L'expérience Canada – États-Unis de renforcement de la résilience IV (CAUSE IV) - Vignette nº 2

De Recherche et développement pour la défense Canada

Le 25 octobre 2016

Le Canada et les États-Unis (É.-U.) ont uni leurs forces du 26 au 28 avril 2016 afin d’évaluer des technologies qui peuvent aider leurs intervenants et experts en matière de gestion d’urgences respectifs à communiquer et échanger de l’information de manière plus efficace lors de situations d’urgence affectant les deux côtés de la frontière.

Transcription

Le logo de la direction des sciences et de la technologie du département de la Sécurité intérieure des États-Unis apparaît sur un arrière-plan noir, puis fond à une vidéo d’eau qui coule.

Une douce musique commence à jouer.

Texte : (La rivière St. Claire traverse le comté de Lambton en Ontario et le comté de St. Clair au Michigan,) apparaît sur un filigrane des drapeaux joints américain et canadien.

Fondre à une vidéo du pont reliant les deux pays.

Texte : (et sépare les deux collectivités de moins de 500 mètres.)

Fondre à un entretien en plan rapproché avec Jeffrey A. Friedland, directeur de la gestion des urgences pour la sécurité intérieure, comté de St. Clair, Michigan, États-Unis.

Friedland : Dans le comté de Lambton, en Ontario, et le comté de St. Clair, au Michigan, ont se voit comme une seule collectivité avec une rivière qui la traverse. Nous ne percevons pas deux pays différents.

Fondre à l’image des drapeaux joints des États-Unis et du Canada.

Texte : (Expérience de renforcement de la résilience Canada-États-Unis [CAUSE IV]) apparaît.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Jeff Brooks, gestionnaire adjoint des services médicaux d’urgence du comté de Lambton, Canada.

Brooks : CAUSE IV nous permet d’expérimenter avec de nouvelles technologies.

Fondre à une vidéo montrant une ambulance quittant un garage. Des véhicules traversent le poste frontalier séparant les comtés de Lambton et de St. Clair (voix hors champ de Jeff Brooks se poursuit).

L’objectif est d’établir un réseau de communications pour les données et peut-être la communication vocale, qui pourra traverser la frontière, ce qui rendra plus facile l’interopérabilité entre les services médicaux d’urgence et autres intervenants d’urgence et la rendra plus homogène au-delà de la frontière.

Fondre à un entretien en plan rapproché avec Jeffrey A. Friedland.

Friedland : Le scénario est fondé sur la météo. Il y a une veille météorologique.

Passer à une vidéo montrant des premiers intervenants et des experts canadiens et américains qui communiquent à l’aide d’un réseau de voix et de données et mettent à l’essai une technologie d’alerte météorologique et d’urgence (voix hors champ de Jeffrey A. Friedland se poursuit).

Nous testons un groupe d’alertes transfrontaliers, pour que les Canadiens soient informés. Mais lorsque ça devient un avertissement, nous avons besoin des détails des observateurs météorologiques. Le service météo transmet l’avertissement dans une boîte de type polygone. Nous prenons cette info, la disposons sur une carte et avertissons automatiquement notre service central de répartition que voilà les sirènes qui doivent être activées dans ce secteur. De cette façon pas besoins de déterminer quoi faire.

Fondre à un entretien en plan rapproché avec Jeffrey A. Friedland.

Nous estimons qu’une tornade touchera environ quatre à six cents maisons dans le comté. Il y aura une grande activité sur les médias sociaux.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Mark Wetering, coordonnateur de la gestion d’urgences communautaires, comté de Lambton, Ontario, Canada.

Wetering : Le programme de bénévoles numériques nous permet d’obtenir de l’information du public qui affiche sur les médias sociaux.

Passer à une vidéo montrant des bénévoles numériques qui se servent de Twitter et du forum en ligne pour suivre CAUSE (voix hors champ de Mark Wetering se poursuit).

Pendant CAUSE, ils vont surveiller le mot-clé CAUSE et signaler ce qu’ils voient en utilisant le formulaire en ligne ou par courriel.

Passer à une vidéo montrant le personnel responsable des opérations d’urgence qui examine et analyse des données, et communique avec le service 2-1-1 en Ontario (voix hors champ de Jeff Friedland se poursuit).

Friedland : Notre personnel des opérations d’urgence sera ici. Il consultera les données. Il commencera à prendre des décisions.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Jeffrey A. Friedland.

Et pourra se connecter au 2-1-1 si nous avons une surcharge, soit à notre centre 9-1-1 ou à notre centre d’opérations d’urgence.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Jennifer Tanner, gestionnaire de projet, Service 2-1-1 du sud-ouest de l’Ontario, Canada.

Tanner : C’est un numéro que les gens peuvent téléphoner lorsqu’ils ont besoin d’info sur la communauté, les services sociaux ou les services du gouvernement.

Passer à une vidéo montrant le personnel du 2-1-1 communiquant par téléphone avec des municipalités et utilisant un outil de communication et de cartographie muni d’une fonction GPS aux fins de l’exécution d’opérations (voix hors champ de Jennifer Tanner se poursuit).

En cas d’urgence, nous sommes une ressource pour les municipalités et nous pouvons les aider à informer le public qui peut composer le 2-1-1 et obtenir de l’info comme : quelles rues sont fermées, où sont les refuges d’urgence et comment ils peuvent aider les victimes.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Jennifer Tanner.

Cela réduit le nombre d’appels non urgents au 9-1-1.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Mark Wetering, puis à une vidéo montrant le personnel du service 2-1-1 en Ontario exécutant leurs fonctions, sous l’observation d’experts en matière de sciences et de technologie (voix hors champ de Mark Wetering se poursuit).

Wetering : Un élément clé du service 2-1-1 est qu’il peut nous indiquer le genre d’appel reçu et guider les activités du centre des opérations d’urgence afin de répondre aux besoins des résidents.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Jeffrey A. Friedland.

Friedland : Nous automatisons l’évaluation des dommages en commençant par les citoyens qui complètent un formulaire électronique.

Passer à une vidéo montrant l’outil de suivi, de cartographie et d’évaluation de CAUSE IV, qui permet aux intervenants de repérer l’endroit où les dommages se sont produits et d’évaluer les dommages (voix hors champ de Jeffrey A. Friedland se poursuit).

Cela apparaît sur une carte et redirige l’utilisateur vers un autre formulaire plus détaillé. On voit où envoyer le personnel d’évaluation et on peut prioriser les dommages. Cela indique le nombre de maisons détruites et les dommages majeurs et mineurs. On peut aussi calculer le montant en dollars à tout moment.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Doug Socha, Gestionnaire, portefeuille des services paramédics, Centre des sciences pour la sécurité de Recherche et développement pour la défense Canada.

Socha : Hier, il y a eu un avertissement local pour une fuite de benzène. Les autorités locales ont utilisé leurs avertissements habituels; déclencher les sirènes et les participants à CAUSE ont été avisés.

Passer à une vidéo montrant des premiers intervenants des comtés de Lambton et de St. Clair qui communiquent à l’aide d’un réseau de voix et de données, utilisant différents systèmes de positionnement GPS et de suivi, aux fins de l’étude d’avertissements (voix hors champ de Doug Socha se poursuit).

C’était très intéressant de voir comment les interactions, les messages des médias sociaux et les alertes et avertissements sont survenus, et comment les autorités partageaient l’info sur l’intervention, ainsi que du côté numérique.

Passer à un entretien en plan rapproché avec Doug Socha.

CAUSE IV a fonctionné.

Fondre à une vidéo d’eau qui coule.

Texte : (CAUSE est une collaboration entre le Centre des sciences pour la sécurité de Recherche et développement pour la défense Canada, Sécurité publique Canada et la direction des sciences et de la technologie du département de la Sécurité intérieure des États-Unis.)

Le logo de la direction des sciences et de la technologie du département de la Sécurité intérieure des États-Unis et le filigrane du Canada apparaissent au-dessous du texte.

L’intensité de la musique douce diminue progressivement.

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