Objectifs nationaux de couverture vaccinale et cibles nationales de réduction des maladies évitables par la vaccination d’ici 2025

Un des objectifs de la Stratégie nationale d’immunisation de 2016 à 2021 était d’établir des objectifs nationaux de couverture vaccinale et des cibles de réduction des maladies évitables par la vaccination fondés sur les normes internationales et les meilleures pratiques. Ces objectifs et cibles sont conformes aux objectifs d’élimination des maladies de l’Organisation mondiale de la santé  (OMS) et au Plan d’action mondial pour les vaccins (en anglais seulement), tout en reflétant le contexte canadien.

Table des matières

Objectifs de couverture vaccinale d'ici 2025

Des objectifs de couverture vaccinale ont été établis pour tous les vaccins destinés aux enfants, aux adolescents et aux adultes qui sont financés par l’état dans toutes les provinces et territoires.

Les progrès vers l’atteinte des objectifs seront mesurés au moyen des enquêtes nationales sur les couvertures vaccinales, telles que l’Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE), l’Enquête nationale sur la couverture vaccinale des adultes (ENCVA) et l’Enquête sur la couverture vaccinale contre la grippe saisonnière. La surveillance des couvertures vaccinales au niveau nationale tient compte des différences entre les programmes de vaccination des provinces et territoires.

Nourrissons et enfants

Pour s'assurer que les enfants soient protégés par la vaccination de routine, un objectif élevé de couverture vaccinale de 95 % a été établi pour tous les vaccins chez les enfants de deux et sept ans.

Ce niveau de couverture est le niveau requis pour protéger la population contre la rougeole, la plus contagieuse des maladies évitables par la vaccination.

Atteindre une couverture de 95 % pour les trois premières doses de vaccin contre la coqueluche chez les nourrissons

La plupart des hospitalisations dues à la coqueluche touchent des nourrissons de moins d’un an. Les trois premières doses du vaccin contre la coqueluche sont très efficaces pour prévenir les décès. C’est pourquoi des objectifs spécifiques ont été établis pour les nourrissons de moins d’un ans. 

Première dose de vaccin contre la coqueluche à l'âge de trois mois
Référence :
En 2015, 87 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu leur première dose de vaccin contre la coqueluche à l’âge de trois mois.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Figure 1. Pourcentage d’enfants de deux ans ayant reçu leur première dose de vaccin contre la coqueluche à l’âge de trois mois
Description textuelle : Figure 1
Pourcentage d’enfants de deux ans ayant reçu leur première dose de vaccin contre la coqueluche à l’âge de trois mois
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
87,3 2015 95
87,4 2017 95
91,1 2019 95
Trois doses de vaccin contre la coqueluche à l’âge de sept mois
Référence :
En 2015, 72 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu trois doses de vaccin contre la coqueluche à l’âge de sept mois.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Figure 2. Pourcentage d’enfants de deux ans ayant reçu trois doses de vaccin contre la coqueluche à l’âge de sept mois
Description textuelle : Figure 2
Pourcentage d’enfants de deux ans ayant reçu trois doses de vaccin contre la coqueluche à l’âge de sept mois
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
71,9 2015 95
73,2 2017 95
76,8 2019 95
Trois doses de vaccin contre la coqueluche à l’âge de 12 mois
Référence :
En 2015, 87% des enfants de deux ans au Canada ont reçu trois doses du vaccin contre la coqueluche à l’âge de 12 mois.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Figure 3. Pourcentage d’enfants de deux ans ayant reçu trois doses de vaccin contre la coqueluche à l’âge de 12 mois
Description textuelle : Figure 3
Pourcentage d’enfants de deux ans ayant reçu trois doses de vaccin contre la coqueluche à l’âge de 12 mois
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
87,1 2015 95
85,7 2017 95
88,8 2019 95

Atteindre une couverture vaccinale de 95 % à l’âge de deux ans pour les vaccins infantiles suivants :

Quatre doses de vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et Haemophilus influenzae de type B (Hib)
Référence :
En 2015, 77 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu quatre doses de vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et Hib à leur deuxième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Figure 4. Pourcentage d’enfants ayant reçu quatre doses de vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et Haemophilus influenzae de type B (Hib) à leur deuxième anniversaire
Description textuelle : Figure 4
Pourcentage d’enfants ayant reçu quatre doses de vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et Haemophilus influenzae de type B (Hib) à leur deuxième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
76,9 2015 95
75,8 2017 95
77,5 2019 95
Trois doses de vaccin contre la poliomyélite
Référence :
En 2015, 91 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu trois doses de vaccin contre la poliomyélite à leur deuxième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Figure 5. Pourcentage d’enfants ayant reçu trois doses de vaccin contre la poliomyélite à leur deuxième anniversaire
Description textuelle : Figure 5
Pourcentage d’enfants ayant reçu trois doses de vaccin contre la poliomyélite à leur deuxième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
91,2 2015 95
90,7 2017 95
91,9 2019 95
Trois doses de vaccin contre l’hépatite B chez les enfants ciblés par un programme de vaccination des nourrissons
Référence :
En 2015, 69 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu trois doses de vaccin contre l'hépatite B à leur deuxième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :

Les estimations de la couverture ont été mesurées dans les provinces et territoires où un programme de trois doses pour les nourrissons était en place (Colombie-Britannique, Québec, Nouveau-Brunswick, Île-du-Prince-Édouard, Yukon, Territoires du Nord-Ouest et Nunavut). Dans les autres provinces ou territoires, le vaccin est administré à l’école. Les enfants sont considérés comme étant vaccinés s’ils reçoivent le nombre de doses recommandé par leur province ou leur territoire de résidence.

Une couverture vaccinale élevée est nécessaire pour soutenir l'objectif de l'OMS d'éliminer l’hépatite virale d'ici 2030.

Figure 6. Pourcentage d’enfants ayant reçu trois doses de vaccin contre hépatite B à leur deuxième anniversaire
Description textuelle : Figure 6
Pourcentage d’enfants ayant reçu trois doses de vaccin contre hépatite B à leur deuxième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
69,2 2015 95
74,1 2017 95
83,6 2019 95
Une dose de vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole
Référence :
En 2015, 89 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu leur première dose de vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole à leur deuxième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :

Les estimations de la couverture contre les oreillons sont utilisées pour rapporter le taux de couverture vaccinale contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. Le vaccin contre la rougeole n’est pas utilisé parce que les enfants nés à l’étranger du Canada peuvent avoir reçu le vaccin monovalent contre la rougeole dans un autre pays et la couverture serait par conséquent plus élevée.

Figure 7. Pourcentage d’enfants ayant reçu une dose de vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons à leur deuxième anniversaire
Description textuelle : Figure 7
Pourcentage d’enfants ayant reçu une dose de vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons à leur deuxième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
88,9 2015 95
89,9 2017 95
89,2 2019 95
Une dose de vaccin contre la varicelle
Référence :
En 2017, au moins 83 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu leur première dose de vaccin contre la varicelle à leur deuxième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2017 et 2019.
Remarques :
En raison d'un problème de collecte de données, la vaccination contre la varicelle a été sous estimé dans les cycles précédents de l’ENCVE (voir l’ENCVE de 2015 pour obtenir de plus amples renseignements). Ce problème a été corrigé pour l’ENCVE de 2017 et les enquêtes suivantes.
Figure 8. Pourcentage d’enfants ayant reçu une dose de vaccin contre la varicelle à leur deuxième anniversaire
Description textuelle : Figure 8
Pourcentage d’enfants ayant reçu une dose de vaccin contre la varicelle à leur deuxième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
82,9 2017 95
82,7 2019 95
Trois ou quatre doses de vaccin contre le pneumocoque
Référence :
En 2015, 80 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu trois ou quatre doses de vaccin contre le pneumocoque à leur deuxième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :
Couverture estimée par un programme de quatre doses dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut; programme de trois doses dans toutes les provinces et au Yukon.
Figure 9. Pourcentage d'enfants ayant reçu trois ou quatre doses de vaccin contre le pneumocoque à leur deuxième anniversaire
Description textuelle : Figure 9
Pourcentage d'enfants ayant reçu trois ou quatre doses de vaccin contre le pneumocoque à leur deuxième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
80,3 2015 95
81,4 2017 95
84,4 2019 95
Une dose de vaccin contre le méningocoque C
Référence :
En 2015, 88 % des enfants de deux ans au Canada ont reçu au moins une dose de vaccin contre le méningocoque C à leur deuxième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :
Certaines provinces et certains territoires (Colombie-Britannique, Alberta, Yukon et Territoires du Nord-Ouest) offrent deux doses de vaccin contre le méningocoque C aux enfants de moins de deux ans.
Figure 10. Pourcentage d’enfants ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le méningocoque C à leur deuxième anniversaire
Description textuelle : Figure 10
Pourcentage d’enfants ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le méningocoque C à leur deuxième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
87,8 2015 95
87,6 2017 95
91,1 2019 95

Atteindre une couverture vaccinale de 95 % chez les enfants à l’âge de sept ans pour les vaccins suivants

Cinq doses de vaccin contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos
Référence :
En 2015, 75 % des enfants de sept ans au Canada ont reçu cinq doses de vaccin contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos à leur septième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :
Des éclosions de coqueluche surviennent à l’âge scolaire. Par conséquent, l’administration d’une dose supplémentaire avant l’entrée à l’école est importante.
Figure 11. Pourcentage d’enfants ayant reçu cinq doses de vaccin contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos à leur septième anniversaire
Description textuelle : Figure 11
Pourcentage d’enfants ayant reçu cinq doses de vaccin contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos à leur septième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
74,6 2015 95
80,5 2017 95
78,1 2019 95
Quatre doses de vaccin contre la poliomyélite
Référence :
En 2015, 90 % des enfants de sept ans au Canada ont reçu quatre doses de vaccin contre la poliomyélite à leur septième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Figure 12. Pourcentage d’enfants ayant reçu quatre doses de vaccin contre la poliomyélite à leur septième anniversaire
Description textuelle : Figure 12
Pourcentage d’enfants ayant reçu quatre doses de vaccin contre la poliomyélite à leur septième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
90,2 2015 95
92,3 2017 95
89,3 2019 95
Deux doses de vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons
Référence :
En 2015, 86 % des enfants de sept ans au Canada ont reçu deux doses de vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons à leur septième anniversaire.
Cible :
95 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :
Les estimations de la couverture contre les oreillons sont utilisées pour rapporter les taux de couverture vaccinale contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. Le vaccin contre la rougeole n’est pas utilisé parce que les enfants nés à l’étranger du Canada peuvent avoir reçu le vaccin monovalent contre la rougeole dans un autre pays et que la couverture serait par conséquent plus élevée.
Figure 13. Pourcentage d’enfants ayant reçu deux doses de vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons à leur septième anniversaire
Description textuelle : Figure 13
Pourcentage d’enfants ayant reçu deux doses de vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons à leur septième anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
86,2 2015 95
86,4 2017 95
83,1 2019 95

Adolescents

L'objectif de couverture vaccinale de 90 % pour tous les vaccins destinés aux adolescents a été établi en fonction des cibles de réduction des maladies, de l'impact des programmes de vaccination, des caractéristiques de la maladie, la faisabilité et la variation des programmes de vaccination de chaque province et territoire, ainsi que la qualité et de l'efficacité des vaccins.

Atteindre une couverture vaccinale de 90 % chez les adolescents de 17 ans pour les vaccins suivants administrés à l’adolescence :

Une dose de vaccin contre le méningocoque
Référence :
En 2019, 89 % des adolescents de 17 ans au Canada ont reçu au moins une dose de vaccin contre le méningocoque.
Cible :
90 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2019.
Remarques :
L’administration du vaccin contre le méningocoque chez les adolescents a été mesurée à partir de l’Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2019. Le type de vaccin contre le méningocoque administré varie en fonction du programme provincial ou territorial.
Figure 14. Pourcentage d’adolescents de 17 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le méningocoque
Description textuelle : Figure 14
Pourcentage d’adolescents de 17 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le méningocoque
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
89,3 2019 90
Une ou plusieurs doses de vaccin contre l’hépatite B chez les adolescents
Référence :
En 2015, 88 % des adolescents de 17 ans au Canada ont reçu au moins une dose de vaccin contre l'hépatite B.
Cible :
90 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :

L'ENCVE détermine si, à la connaissance des parents, l'enfant a reçu au moins une dose à l’âge de 14 ans.

Une couverture vaccinale élevée est nécessaire pour appuyer l’objectif de l’OMS d’éliminer les hépatites virales d’ici 2030.

Figure 15. Pourcentage d’adolescents de 17 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre l’hépatite B
Description textuelle : Figure 15
Pourcentage d’adolescents de 17 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre l’hépatite B
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
88,1 2015 90
83,1 2017 90
84,5 2019 90
Deux doses ou plus de vaccin contre le virus du papillome humain (VPH)
Filles
Référence :
En 2015, 75 % des filles de 14 ans au Canada ont reçu au moins une dose de vaccin contre le VPH
Cible :
90 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2015, 2017 et 2019.
Remarques :

Dans l’ENCVE, seule l’estimation de l’administration d’au moins une dose de vaccin contre le VPH a été mesurée afin de réduire au minimum le biais de rappel. L’ENCVE indique si le parent se souvient si son enfant a déjà reçu une dose avant l’âge de 14 ans. Le groupe d’âge mesuré au fil des années a changé (passant de 13 à 14 ans en 2015 à 14 ans en 2017 et 2019); il est donc conseillé de faire preuve de prudence lorsqu’on fait des comparaisons au fil du temps.

Figure 16. Pourcentage des filles de 14 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le VPH
Description textuelle : Figure 16
Pourcentage des filles de 14 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le VPH
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
74,6 2015 90
83,0 2017 90
87,1 2019 90
Garçons
Référence :
En 2019, 73 % des garçons de 14 ans au Canada ont reçu au moins une dose de vaccin contre le VPH.
Cible :
90 %
Sources de données :

Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2019

Remarques :

En 2017, la couverture vaccinale contre le VPH n'a été mesurée que chez les filles, car le programme de vaccination chez les garçons n'a pas été mis en œuvre de façon uniforme dans les provinces et les territoires, et il ne s'était pas écoulé suffisamment de temps pour ceux qui avaient des programmes mis en place au moment de la collecte des données.

Figure 17. Pourcentage des garçons de 14 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le VPH
Description textuelle : Figure 17
Pourcentage des garçons de 14 ans ayant reçu au moins une dose de vaccin contre le VPH
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
73,0 2019 90
Une dose du vaccin de rappel contre la diphtérie , la coqueluche et le tétanos (DCaT)
Référence :
En 2017, 89 % des adolescents au Canada ont reçu une ou plusieurs doses de rappel du vaccin contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche acellulaire (DCaT) à leur 17e anniversaire.
Cible :
90 %, cet objectif a été atteint en 2019.
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants (ENCVE) de 2017 et 2019.
Remarques :
Jusqu’à l'ENCVE de 2015, l’enquête a déterminé le pourcentage d'adolescents ayant reçu six doses d’antigènes contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos (DCaT) à leur 17e anniversaire. À partir de 2017, l'ENCVE a déterminé le pourcentage d'adolescents ayant reçu une dose de DCaT entre leur 11e et 17e anniversaire.
Figure 18. Pourcentage d’adolescents ayant reçu une dose de vaccin DCaT entre leur 11e et 17e anniversaire
Description textuelle : Figure 18
Figure 18. Pourcentage d’adolescents ayant reçu une dose de vaccin DCaT entre leur 11e et 17e anniversaire
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
89,3 2017 90
95,3 2019 90

Adultes

Les objectifs de couverture vaccinale pour les adultes ont été établis en raison de l'importance de protéger les Canadiens à risque élevé d'infection ou de complication.

Augmenter la couverture vaccinale pour les vaccins pour adultes suivants :

Atteindre une couverture vaccinale de 80 % pour le vaccin contre le pneumocoque (une dose) chez les adultes de 65 ans et plus.
Référence :
En 2016, 42 % des aînés (65 ans et plus) au Canada ont reçu une dose de vaccin contre le pneumocoque.
Cible :
80 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale des adultes de 2016; La vaccination des adultes canadiens en 2019; La vaccination des adultes canadiens : Points saillants de l’Enquête sur la couverture vaccinale contre la grippe saisonnière de 2020-2021
Figure 19. Pourcentage des adultes de 65 ans et plus ayant reçu une dose de vaccin contre le pneumocoque
Description textuelle : Figure 19
Pourcentage des adultes de 65 ans et plus ayant reçu une dose de vaccin contre le pneumocoque
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
41,6 2016 80
58,1 2018 80
54,8 2020 80
Atteindre une couverture de 90 % pour le vaccin contre l’hépatite B (une dose) chez les professionnels de la santé
Référence :
Non disponible
Cible :
90 %
Sources de données :
À déterminer

Objectifs de couverture vaccinale contre la grippe saisonnière

Un objectif de couverture vaccinale de 80 % contre la grippe saisonnière a été établi à cause de l’importance de protéger les Canadiens à risque élevé de complication ou d’hospitalisation suite à la grippe. Cet objectif reflète aussi l’importance du vaccin antigrippal comme composante des pratiques de contrôle des infections visant à protéger les professionnels et la santé et les patients contre la grippe.

Augmenter la couverture vaccinale pour le vaccin contre la grippe saisonnière pour les groupes suivants :

Atteindre une couverture vaccinale de 80 % chez les adultes âgés de 65 ans et plus.
Référence :
Pour la saison de la grippe de 2015-2016, 65 % des adultes de 65 ans et plus au Canada ont été vaccinés.
Cible :
80 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale contre la grippe de 2015-2016, 2016-2017, 2017-2018, 2018-2019, 2019-2020 et 2020-2021
Figure 20. Pourcentage d’adultes de 65 ans et plus ayant reçu le vaccin contre la grippe saisonnière
Description textuelle : Figure 20
Pourcentage d’adultes de 65 ans et plus ayant reçu le vaccin contre la grippe saisonnière
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
64,6 2015/16 80
69,5 2016/17 80
70,7 2017/18 80
69,9 2018/19 80
70,3 2019/20 80
70,4 2020/21 80
Atteindre une couverture vaccinale de 80 % chez les adultes de 18 à 64 ans ayant des problèmes de santé chroniques.
Référence :
Pour la saison grippale 2015-2016, 37 % des adultes de 18 à 64 ans atteints d’un problème de santé chronique ont été vaccinés.
Cible :
80 %
Sources de données :
Enquête nationale sur la couverture vaccinale contre la grippe de 2015-2016, 2016-2017, 2017-2018, 2018-2019, 2019-2020 et 2020-2021
Remarques :
Les problèmes de santé chroniques sont fondés sur le chapitre sur la grippe du Guide canadien d’immunisation et sur la Déclaration sur la vaccination antigrippale pour la saison 2017-2018.
Figure 21. Pourcentage d’adultes de 18 à 64 ans avec des problèmes de santé chroniques ayant reçu le vaccin contre la grippe saisonnière
Description textuelle : Figure 21
Pourcentage d’adultes de 18 à 64 ans avec des problèmes de santé chroniques ayant reçu le vaccin contre la grippe saisonnière
% vaccinés Année Cible 2025 pourcent vaccinés
37,2 2015/16 80
37,0 2016/17 80
39,4 2017/18 80
30,8 2018/19 80
43,6 2019/20 80
40,5 2020/21 80
Atteindre une couverture vaccinale de 80 % chez les professionnels de la santé.
Référence :
Non disponible  
Cible :
80 %
Sources de données :
À déterminer

Cible de réduction des maladies évitables par la vaccination d’ici 2025

Maladies en voie d'élimination : maintenir l'élimination

Maintenir zéro cas de polio au Canada.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
0 cas
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
0 cas
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
0 cas
Cible :
0 cas
Justification :
On s’attend à ce que la poliomyélite soit éradiquée mondialement avant 2025.
Sources de données :

Surveillance des maladies en direct

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :
Le dernier cas de poliomyélite sauvage (asymptomatique) acquise au Canada a été rapporté en 1996.

Maintenir l'élimination de la rougeole endémique au Canada.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
0 cas endémique
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
0 cas endémique
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
0 cas endémique
Cible :
0 cas endémique
Justification :

La rougeole endémique a été éliminée au Canada en 1998 et dans la Région des Amériques en 2016. 

L'Assemblée mondiale de la Santé a approuvé le Plan d'action mondial pour les vaccins avec pour objectif d'éliminer la rougeole dans 5 régions de l'OMS d'ici 2020.

Sources de données :

Système canadien de surveillance de la rougeole et de la rubéole (SCSRR)

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :

L'élimination de la rougeole (en anglais seulement) est définie comme l’interruption de la transmission endémique du virus pour une période de 12 mois ou plus, démontrée par une surveillance de haute qualité.

Le Canada pourrait continuer à détecter occasionnellement des cas importés mais avec une couverture vaccinale de 95 % d’ici 2025, l’immunité collective aidera à prévenir l’apparition de cas de seconde génération ou de génération subséquente.

Maintenir l'élimination de la rubéole endémique au Canada.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
0 cas endémique
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
0 cas endémique
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
0 cas endémique
Cible :
0 cas endémique
Justification :
La rubéole endémique a été éliminée au Canada en 2005 et dans la Région des Amériques en 2015.
Sources de données :

Système canadien de surveillance de la rougeole et de la rubéole (SCSRR)

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :
Le Canada pourrait continuer à détecter occasionnellement des cas importés mais avec une couverture vaccinale de 95 % d'ici 2025, l'immunité collective aidera à prévenir l'apparition de cas de seconde génération ou de génération subséquente.

Maintenir zéro cas de syndrome de rubéole congénitale (SRC) ou d'infection congénitale par le virus de la rubéole au Canada.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
0 cas
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
0 cas
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
0 cas
Cible :
0 cas
Justification :

Il n'y a eu aucun cas de SRC ou d'infection congénitale par le virus de la rubéole au Canada depuis 2000. 

La rubéole endémique a été éliminée au Canada en 2005 et dans la Région des Amériques en 2015.

Sources de données :

Système canadien de surveillance de la rougeole et de la rubéole (SCSRR)

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Maladies endémique à faible incidence: maintenir les faibles niveaux actuels

Atteindre zéro cas annuellement de diphtérie respiratoire résultant d'une exposition au Canada. 

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
Non disponible
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
Non disponible
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
Non disponible
Cible :
0 cas
Sources de données :

Surveillance des maladies en direct

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :
En moyenne, un cas de diphtérie a été rapporté chaque année de 2011 à 2015 (0 à 2 cas par année), tandis qu’en moyenne, 6 cas ont été rapportés chaque année de 2016 à 2017 (1 à 10 cas par année) et en moyenne 6 cas par année (étendue de 3 à 9 cas) de 2018 à 2019. Pour vérifier l’atteinte de la cible, la définition nationale de cas de diphtérie devrait être modifiée pour distinguer les formes respiratoire et cutanée de la maladie, et pour tenir compte de l’endroit où l’exposition a eu lieu.

Maintenir moins de cinq cas de tétanos par année au Canada.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
4 cas (2-6)
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
4 cas (4-5)
2019 (étendue de 2018 à 2019) :
4 cas (1-4)
Cible :
Moins de 5 cas
Justification :

Les spores de Clostridium tetani sont omniprésentes, il est impossible de les éliminer de l'environnement. 

Un seuil de moins de 5 cas est assez bas pour démontrer le succès d'un programme de vaccination.

Sources de données :

Surveillance des maladies en direct

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :

Le tétanos n'étant pas transmissible, il ne peut y avoir d'immunité collective.

Les données sont présentées en fonction du nombre de cas pour l’année de référence, suivi de l’étendue des cas pour les années spécifiées.

Maintenir zéro cas de tétanos maternel et néonatal au Canada.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
Non disponible  
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
Non disponible  
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
Non disponible  
Cible :
0 cas
Justification :
Conformité avec l'objectif de l'OMS d'éliminer le tétanos maternel et néonatal.
Sources de données :

Surveillance des maladies en direct

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :
Le tétanos maternel et néonatal a été éliminé dans la Région des Amériques en 2017. Grâce aux soins de santé de qualités étant universellement disponibles au Canada, l'apparition de cas de tétanos maternel et néonatal est improbable. Des travaux sont actuellement en cours pour estimer le nombre de cas de tétanos maternel et néonatal à partir des codes de diagnostic des bases de données des hôpitaux canadiens et des consultations avec les partenaires provinciaux et territoriaux.

Maintenir moins de cinq cas évitables de Haemophilus influenzae de type b (Hib) par année chez les enfants de moins de cinq ans.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
0 cas (0-1)
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
1 cas (0-1)
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
1 cas (1-2)
Cible :
Moins de 5 cas évitables de Haemophilus influenzae de type b (Hib) par année chez les enfants de moins de 5 ans. 
Justification :
Ce seuil est assez bas pour démontrer le succès du programme de vaccination. Il a été établi pour s'attaquer à une issue modifiable en ciblant les cas survenant chez les enfants non vaccinés ou incomplètement vaccinés.
Sources de données :

Programme canadien de surveillance active de l'immunisation (IMPACT)

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :

Les données du Programme canadien de surveillance active de l’immunisation (IMPACT) proviennent de 12 hôpitaux de soins tertiaires pédiatriques dans l’ensemble du Canada, ce qui représente 90 % de tous les lits pédiatriques de soins tertiaires au Canada; il est donc possible que les cas soient insuffisamment représentés.

Les cas de Hib évitables se rapportent à ceux qui étaient admissibles à la vaccination, mais n'ont pas reçu le vaccin et à ceux qui étaient incomplètement vaccinés par rapport aux recommandations du calendrier vaccinal pour leur âge. L'échec vaccinal n'est pas considéré comme évitable.

Les données sont présentées sous forme de nombre de cas pour l’année de référence, suivi de l’étendue des cas pour les années spécifiées.

Maintenir une moyenne de moins de 100 cas d’oreillons par année au Canada (moyenne mobile sur cinq ans).

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :

103 cas (103-617)

2017 (étendue de 2016 à 2017) :

565 cas (122-565)

2019 (étendue de 2018
à 2019):

734 cas (707-734)

Cible :
Moyenne sur 5 ans de moins de 100 cas par année
Justification :
Les éclosions d'oreillons étant cycliques, la cible est pour la moyenne sur cinq ans plutôt qu'annuelle.
Sources de données :

Surveillance des maladies en direct

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :

La cible voulue devrait refléter le besoin de contrôler les oreillons de façon continue et la nature cyclique des éclosions d’oreillons.

Les données sont présentées sous forme de moyenne mobile sur cinq ans pour l’année de référence, suivie de l’étendue de la moyenne mobile sur cinq ans pour les années spécifiées.

Maintenir moins de cinq cas de méningococcie invasive de sérogroupe C chez les enfants de moins de 18 ans.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
0 cas (0-3)
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
2 cas (0-2)
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
3 cas (2-3)
Cible :
Moins de 5 cas chez les enfants de moins de 18 ans. 
Justification :
La faible incidences au cours des années de référence (2011 à 2015) indique un vaccin efficace et distribué par des un programme de vaccination bien rodés dans les provinces et territoires. Ce succès doit être maintenu.
Sources de données :

Système national de surveillance améliorée de la méningococcie invasive

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :
Les données sont présentées sous forme de nombre de cas pour l’année de référence, suivi de la fourchette de cas pour les années spécifiées.

Réduire les niveaux de maladies endémiques à incidence modérée

Réduire l'incidence des pneumococcies invasives chez les adultes de 65 ans et plus.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
23,6 cas pour 100 000 (23,6-26,0)
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
24,0 cas pour 100 000 (22,7-24,0)
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
23,2 cas pour 100 000 (23,2-25,8)
Cible :
Réduction de 5 % de l'incidence de la pneumococcie invasive chez les personnes de 65 ans et plus.
Justification :

À cause des sérotypes associés à la pneumococcie invasive chez l’adulte, on estime que 61 % des isolats de patients de 65 ans et plus étaient évitables par la vaccination (sérotypes contenus dans le vaccin conjugué Pneu-C-13 et le vaccin polysaccharidique Pneu-P-23).

Bien que le vaccin polysaccharidique Pneu-P-23 soit offert gratuitement dans toutes les provinces et territoires et que le Comité consultatif national de l’immunisation recommande une dose chez toutes les personnes âgées de 65 ans et plus, la couverture vaccinale dans ce groupe n’est que de 42 %.

Sources de données :

Surveillance des maladies en direct

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :
Les données sont présentées sous forme de taux d’incidence pour l’année de déclaration, suivi de la fourchette des taux d’incidence pour les années spécifiées.

Maintenir moins de 50 hospitalisations par année pour la varicelle chez les enfants de moins de 18 ans admissibles à la vaccination contre la varicelle.

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
31 hospitalisations (12-31) chez les enfants admissibles à la vaccination, mais non vaccinés.
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
9 hospitalisations (9-15) chez les enfants admissibles à la vaccination, mais non vaccinés.
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
5 hospitalisations (5-5) chez les enfants admissibles à la vaccination, mais non vaccinés.
Cible :
Moins de 50 hospitalisations par année.
Justification :
Le programme de vaccination contre la varicelle a débuté en 2000 et a été complètement implémenté par l’année 2007. Compare à avent le début des programmes de vaccination, une réduction de 85 % d’hospitalisations a été observé depuis 2008 et depuis, le nombre d’hospitalisation lié à la varicelle est demeuré stable.
Sources de données :

Programme canadien de surveillance active de l'immunisation (IMPACT)

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :

Les données du Programme canadien de surveillance active de l’immunisation (IMPACT) proviennent de 12 hôpitaux de soins tertiaires pédiatriques dans l’ensemble au Canada, ce qui représente 90 % de tous les lits pédiatriques de soins tertiaires au Canada; il est donc possible que les cas soient sous‑représentés.

Les données sont présentées sous la forme du nombre d’hospitalisations au cours de l’année de déclaration, suivi de l’étendue des hospitalisations au cours des années spécifiées.

Maintenir moins de trois décès par année causés par la coqueluche chez les nourrissons de moins de six mois au Canada (moyenne mobile sur trois ans).

Référence de 2015 (étendue de 2011 à 2015) :
1 décès (1-2)
2017 (étendue de 2016 à 2017) :
<1 décès (<1-1)
2019 (étendue de 2018
à 2019) :
1 décès (<1-1)
Cible :
Moins de 3 décès chez les nourrissons de moins de six mois.
Justification :

L'incidence la plus élevée de la coqueluche est chez les nourrissons de moins d'un an, tandis que la plupart des décès se produisent chez les nourrissons de moins de six mois. 

L’incidence de la coqueluche étant cyclique, les cibles devraient être fondées sur une moyenne mobile.

L’objectif du programme de vaccination contre la coqueluche est de réduire les hospitalisations et la mortalité chez les nourrissons de moins d’un an. Afin de s'aligner sur cet objectif, la cible vise la réduction des issues les plus graves de la maladie, y compris les décès, qui sont plus fréquentes chez les nourrissons de moins de six mois.

Sources de données :

Programme canadien de surveillance active de l'immunisation (IMPACT)

Maladies évitables par la vaccination : Rapport de surveillance – 2015, 2017 et 2019

Remarques :

Les données du Programme canadien de surveillance active de l’immunisation (IMPACT) proviennent de 12 hôpitaux de soins tertiaires pédiatriques au Canada, ce qui représente 90 % de tous les lits pédiatriques de soins tertiaires au Canada; il est donc possible que les cas soient sous-représentés.

Les données sont présentées sous forme de moyenne mobile sur trois ans pour l’année de référence, suivie de la fourchette de la moyenne mobile sur trois ans pour les années spécifiées.

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