Histoires de réussite : Jeunes et étudiants

Emploi et Développement social Canada et ses partenaires du portefeuille ont une incidence quotidienne sur la vie des Canadiens. Les histoires de réussite qui suivent sont celles de Canadiens qui ont vu leur vie, ou celle d’autres personnes s’améliorer.

En matière d’éducation, épargnez tôt, finissez en tête

Visionnez la vidéo d’une histoire de réussite intitulée « En matière d’éducation, épargnez tôt, finissez en tête ».

Ottawa, (Ontario) - Annelise Duval a grandi au sein d’une famille qui accordait une grande valeur à l’éducation. Maintenant diplômée d’une université canadienne et devenue diététiste clinicienne, Annelise affirme qu’elle a pu poursuivre ses études grâce à un environnement familial qui favorisait l’apprentissage et au Régime enregistré d’épargne-études (REEE) que ses parents ont ouvert pour elle.

« Il est certain que si mes parents n’avaient pas mis d’argent de côté pour mes études, je ne serais pas où je suis aujourd’hui », affirme Annelise. Son père, Allan Brown, qui est retourné aux études plus tard dans sa vie pour obtenir un second diplôme universitaire, est d’accord.

« Notre conseiller financier nous a parlé du REEE, et il nous a expliqué que si nous mettions de l’argent de côté dans un régime d’épargne-études, le gouvernement fédéral ajouterait une subvention de 20 % du montant. Cela nous a vraiment incité à épargner, affirme Allan. Nous voulions que nos enfants aient les mêmes chances que nous. Ainsi s’ils voulaient étudier en vue d’une carrière après avoir terminé leurs études secondaires, ils ne seraient pas mal pris financièrement. »

Allan fait référence à la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE). Pour chaque dollar que vous versez dans un REEE, le gouvernement fédéral ajoute entre 20 et 40 cents de subvention pour les premiers 500 $ tout dépendant de votre revenu familial. Ensuite, vous recevrez 20 cents pour chaque dollar que vous contribuez, jusqu’à un montant maximal de 7 200 $ que l’enfant peut recevoir en subventions au cours de sa vie. Les familles à faible revenu qui reçoivent le supplément de la Prestation nationale pour enfants et dont l’enfant est né après le 31 décembre 2003, peuvent également recevoir le Bon d’études canadien qui offre 500 $ à ces familles pour les aider à commencer à épargner. Les familles admissibles peuvent également recevoir 100 $ de plus par année jusqu’à ce que l’enfant atteigne l’âge de 15 ans si elles demeurent admissibles. Ce qui signifie que votre enfant pourrait obtenir jusqu’à 2 000 $ au total.

« Les parents ont la conscience tranquille quand leurs enfants peuvent finalement être autonomes. Ils n’ont pas à s’inquiéter parce qu’ils ont grandi et sont devenus indépendants financièrement », affirme Allan.

Vous, votre famille et vos amis pouvez épargner dans un régime d’épargne-études pour votre enfant. Une contribution dans un REEE est un merveilleux présent à offrir pour une occasion spéciale et comme cadeau des Fêtes.

Pour en savoir davantage au sujet des incitatifs à l’épargne-études, composez 1 800 O-Canada ou le numéro sans frais 1 800 622-6232, visitez un Centre Service Canada proche de chez vous ou consultez le site cibletudes.ca.

Travailler avec des enfants ayant des besoins spéciaux – Une expérience exceptionnelle

Montréal, (Quebec) — Au cours de deux étés consécutifs, Jess Lavin, une étudiante en psychologie âgée de 22 ans, a été embauchée au Camp Aim, un programme de loisirs et de thérapie pour les enfants atteints de troubles médicaux complexes, d’une maladie physique ou d’une déficience cognitive. Le financement par le programme Emplois d’été Canada (EEC) a permis au camp d’embaucher Jess, parmi d’autres étudiants, pour travailler de façon individuelle avec les enfants, sous la direction d’une équipe de professionnels.

EEC offre du financement à des organismes sans but lucratif, au secteur public et à de petites entreprises comptant moins de 50 employés afin qu’ils embauchent à temps plein des étudiants âgés de 15 à 30 ans qui prévoient retourner aux études l’année scolaire suivante. Le programme est conçu pour mettre au premier plan les priorités locales, tout en donnant des résultats tangibles tant pour les étudiants que pour leurs collectivités.

Jess espère travailler dans le domaine de la psychologie, avec une spécialisation dans le développement des enfants et des adolescents. « Ma vie s’est améliorée et a complètement changé », a-t-elle déclaré au sujet de son expérience au Camp Aim. « Je suis tellement reconnaissante de l’occasion qui m’est offerte de travailler ici. » Elle estime l’expérience pratique qu’elle a acquise très utile pour se perfectionner non seulement sur le plan personnel, mais aussi sur le plan professionnel.

Yaffi Ulman, créatrice et directrice du camp, dit que travailler au camp fournit « une excellente occasion d’apprentissage pour les étudiants ». Chaque année, elle fait une demande de financement auprès d’EEC afin d’embaucher des étudiants du secondaire et de l’université qui s’intéressent à l’éducation de l’enfance en difficulté pour qu’ils puissent travailler directement avec les enfants. Elle est convaincue que le camp n’aurait pas duré sans l’aide financière d’EEC. « Le programme nous a aidés énormément », a-t-elle déclaré.

Emplois d’été Canada est un élément important de la Stratégie emploi jeunesse à long terme du gouvernement du Canada, qui permet aux jeunes d’obtenir les renseignements et d’acquérir les compétences et l’expérience nécessaires pour réussir leur transition vers le monde du travail. À partir de , le gouvernement a augmenté de façon permanente le budget d’EEC de 10 millions de dollars. Le financement supplémentaire permettra de créer pas moins de 3 500 nouveaux emplois pour les étudiants à l’été , ce qui bénéficie aux collectivités et renforce les économies locales partout au Canada.

Une étudiante donne le goût de la lecture aux enfants

Rapid City, (Manitoba) — Carissa Armstrong est étudiante à l’Université de Brandon. Elle prévoit faire carrière dans l’enseignement au niveau primaire ou intermédiaire. Quoi de mieux pour elle que d’acquérir de l’expérience pertinente en travaillant avec des enfants pendant l’été? Grâce aux fonds du programme Emplois d’été Canada, la bibliothèque régionale de Rapid City l’a engagée pour diriger un programme de lecture destiné à des groupes d’enfants de 3 à 14 ans.

Emplois d’été Canada est une initiative du gouvernement du Canada visant à soutenir financièrement des employeurs qui créent des emplois d’été pour les étudiants de 15 à 30 ans. L’initiative est conçue de manière qu’on mette l’accent sur les priorités locales tout en aidant à la fois les étudiants et leurs collectivités à obtenir des résultats concrets.

Carissa a vite appris à fixer des règles et, très rapidement, elle a su trouver ce qui plaisait aux enfants et ce qu’ils n’aimaient pas. Elle soutient que son emploi d’été lui a donné la possibilité « d’en apprendre beaucoup par la pratique ». À la fin du programme de lecture, la bibliothèque a engagé Carissa en tant qu’employée occasionnelle un soir par semaine, ce qui a permis à l’étudiante de tirer profit d’une plus grande expérience et à gagner de l’argent après son placement initial.

Shirley Martin, la bibliothécaire de la bibliothèque régionale de Rapid City, indique que l’objectif du programme de lecture est d’amener les enfants à lire pour le plaisir, plutôt que par obligation scolaire, au moyen d’activités comme le jeu, l’artisanat, la chanson et les batailles d’éponges. Shirley fait remarquer que la plupart des familles de ces enfants n’auraient pas autrement les moyens d’inscrire leurs enfants à des activités parascolaires. Grâce au soutien financier d’Emplois d’été Canada, la bibliothèque a pu engager « une employée vraiment extraordinaire et offrir aux enfants de la collectivité un été rempli de plaisir ».

Emplois d’été Canada est un volet important de la Stratégie emploi jeunesse. Cette initiative à long terme du gouvernement aide les jeunes à acquérir l’information, les compétences et l’expérience de travail dont ils ont besoin pour réussir leur transition vers le marché du travail. Depuis , le gouvernement a augmenté de 10 millions de dollars le budget d’Emplois d’été Canada, et ce, de façon permanente. Ces fonds supplémentaires permettront de créer jusqu’à 3 500 emplois d’étudiants de plus pendant l’été de , ce qui profitera aux collectivités et renforcera les économies locales partout au Canada.

Un emploi d'été qui profite à une étudiante et à une maison de refuge pour femmes

Regina, (Saskatchewan) — Joanna Blair, une étudiante en soins infirmiers psychiatriques, âgée de 22 ans, a été en mesure d’aider des femmes et des enfants fuyant la violence familiale grâce à un emploi d’été qu’elle a obtenu à la Regina Transition House, dans le cadre du programme Emplois d’été Canada (EEC).

Regina Transition House est une maison de refuge pour femmes battues que dirige la Regina Transition Women’s Society de Regina, en Saskatchewan. Depuis 1976, le refuge a fourni des services à 13 000 femmes et enfants, soit une moyenne d'environ 400 personnes par an. En 2010, le refuge souhaitait embaucher une étudiante pour l'été afin de mettre sur pied un programme de loisirs pour les enfants fuyant la violence familiale. Comme dans les années précédentes, le refuge a reçu un soutien financier dans le cadre du programme EEC.

Joanna connaissait déjà Regina Transition House et ses services par l'entremise de la coordonnatrice des services externes. Le refuge l'a embauchée à titre de directrice de loisirs, dont les tâches consistaient à organiser des activités pour les enfants hébergés.

L’organisation d’activités récréatives à l'intention des enfants peut sembler un emploi d'été idéal pour certains, mais un refuge présente un environnement de travail unique où les défis ne manquent pas. Maria Hendrika, directrice exécutive de la Regina Transition Women’s Society, souligne que « la plupart des enfants hébergés ont vu leur mère maltraitée, et beaucoup d'entre eux ont été victimes de violence ou de négligence à la maison. Ils manifestent souvent des comportements négatifs et peuvent avoir des besoins particuliers. »

Les responsabilités de Joanna ne se limitaient pas à organiser des activités récréatives : elle a eu l'occasion d'acquérir des compétences constructives en résolution de conflits dans le cadre de son travail quotidien. « Joanna s'est immédiatement attelée à la tâche, déclare Maria. Ses compétences en communication et son entregent lui ont permis de tisser rapidement des liens avec les occupants du refuge. Le visage des enfants s'illuminait dès qu'ils la voyaient. ».

Joanna, quant à elle, a bénéficié d'une surveillance et d'une rétroaction continues ainsi que d’une formation en secourisme. De plus, elle s’est familiarisée avec les facteurs qui contribuent au cycle de la violence familiale ainsi qu’avec les pratiques exemplaires en matière d'intervention. Elle reconnaît d'ailleurs que l'expérience acquise au refuge lui a permis de développer les compétences dont elle aura besoin dans sa carrière en soins infirmiers psychiatriques.

Comme elle le dit elle-même, son emploi d'été au refuge a été une expérience inoubliable. Elle admire les mères pour leurs remarquables qualités, leur force et leur bravoure, mais ce sont les enfants qui occupent une place spéciale dans son cœur. « Je n'oublierai jamais leur sens de l'émerveillement et leur enthousiasme », dit-elle.

Joanna veut continuer de faire des progrès sur les plans personnel et professionnel. Elle termine ses études et continue de travailler à temps partiel au refuge en tant que membre important de l’équipe. Cela témoigne de ses compétences, qu’elle continue de développer en poursuivant la carrière qu'elle a choisie.

Emplois d’été Canada est une initiative du gouvernement du Canada qui accorde un soutien financier aux organismes sans but lucratif et du secteur public ainsi qu’aux petites entreprises de moins de 50 employés afin qu’ils puissent créer des emplois d’été pour les étudiants de 15 à 30 ans. L’initiative est conçue de manière à mettre l’accent sur les priorités locales tout en produisant des résultats concerts pour les étudiants et leurs collectivités.

Nouveau départ pour des jeunes de Tyendinaga

Tyendinaga (Ontario) — Une initiative menée dans une école secondaire indépendante de la région améliore véritablement la vie de jeunes Autochtones qui font face à des obstacles à l’emploi. Parmi ces obstacles figurent une vie familiale perturbée, des problèmes d’alcoolisme ou de toxicomanie, ou des troubles d’apprentissage. Le First Nations Technical Institute, situé sur le territoire mohawk de Tyendinaga, exécute tranquillement ce projet couronné de succès qui aide les jeunes Autochtones à acquérir des compétences améliorant l’employabilité, et ce, en partie grâce à un financement versé dans le cadre du programme fédéral Connexion compétences.

Le programme Connexion compétences vise à aider les jeunes (jeunes Autochtones, jeunes habitant dans des régions rurales et éloignées, jeunes décrocheurs, etc.) qui font face à des obstacles à l’emploi. Le programme leur permet d’acquérir des compétences professionnelles de base et avancées au moyen d’une approche coordonnée afin qu’ils puissent trouver un emploi et le conserver.

Le St. Lawrence College, situé à Brockville, est responsable de l’élaboration et de l’administration d’un projet d’acquisition de compétences améliorant l’employabilité à Tyendinaga. Le collège retient à forfait les services du First Nations Technical Institute pour l’exécution du programme, d’une durée de 16 semaines, à l’intention des jeunes Autochtones de 16 à 30 ans. Les cours, qui totalisent 30 heures par semaine, sont donnés par des instructeurs, des agents de formation, des superviseurs et d’autres intervenants des Premières nations. Les participants acquièrent un large éventail de compétences et de connaissances, ainsi que de l’expérience grâce à des placements en milieu de travail.

Ken Sparks est coordonnateur sur le terrain au First Nations Technical Institute. Il coordonne le placement des étudiants sur le marché du travail et effectue un suivi régulier auprès d’eux. « Les placements sont fondés sur les besoins et l’expérience personnels, explique-t-il. Certains étudiants trouveront du travail dans le secteur du commerce de détail, alors que d’autres opteront pour des métiers dans les domaines du soudage et de la construction. »

Ken mentionne que les étudiants qui participent au programme connaissent un haut taux de réussite. « Certains étudiants ont obtenu tous les crédits du diplôme d’études secondaires par l’entremise du First Nations Technical Institute. Les jeunes de notre collectivité font de nouveaux progrès et sont en mesure de bénéficier d’une seconde chance qui autrement ne leur serait pas offerte. »



Il parle d’un étudiant, Dakota Bardy, qui a obtenu les deux crédits du diplôme d’études secondaires qui lui manquaient. Ce jeune fréquente maintenant une école de pilotage. « Il souhaite poursuivre une carrière en aviation et il a déjà réalisé son premier vol en solo. »

Dakota, maintenant collégien, nous fait part de son propre témoignage.

« Le programme m’a donné la chance de m’améliorer sur le plan scolaire et sur le plan personnel. Cette amélioration aurait été difficile sans l’aide du programme. J’y ai pris plaisir en plus d’acquérir davantage d’expérience dans un environnement de travail. »

Les programmes d’emploi pour les jeunes font partie de la stratégie globale du gouvernement du Canada, qui vise à constituer une main-d’œuvre instruite, compétente et souple. Le gouvernement a souligné son engagement envers cette stratégie dans le Plan d’action économique du Canada. Un des éléments clés du Plan consiste à multiplier et à améliorer les possibilités d’emploi pour les travailleurs canadiens grâce au développement des compétences. Pour en apprendre davantage sur le Plan d’action économique du Canada, consultez le site suivant : www.plandaction.gc.ca.

Connexion compétences : un tremplin pour un avenir meilleur

Toronto (Ontario) — Lorsqu’il a emménagé à Toronto après avoir connu des bouleversements dans sa famille, Adrian (nom fictif) était un jeune timide et introverti. Il avait décroché du secondaire et n’avait pas de véritable possibilité d’emploi. Déterminé à améliorer sa situation, Adrian a présenté une demande au Youth Succeeding in Employment Program (YSEP), qui reçoit des fonds du programme Connexion compétences du gouvernement du Canada. Le programme YSEP était offert par l’organisme Eva’s Phoenix, une maison d’accueil pour les jeunes sans-abri où Adrian a habité pendant qu’il participait au programme.

Connexion compétences vise à aider les jeunes qui font face à des obstacles à l’emploi, notamment les Autochtones, les résidants des régions rurales ou éloignées et les décrocheurs du secondaire. Il amène les jeunes à acquérir des compétences professionnelles essentielles et avancées grâce à des services coordonnés qui peuvent les aider à trouver un emploi et à le conserver.

Adrian a participé activement au programme YSEP et a concentré ses efforts sur l’exploration des carrières et la recherche d’emploi. Au cours de cette période, le jeune homme réservé et discret est devenu sociable, ouvert et confiant, a montré un leadership naturel et a aidé les autres jeunes à se rassembler. Il a fait un stage d’emploi dans une boutique de bandes dessinées bien connue, où il a continué à travailler après avoir terminé le programme. Il a également quitté la maison d’accueil pour emménager dans son propre logement.

Todd Hiuser, gestionnaire des services d’emploi à Eva’s Phoenix, affirme qu’Adrian a vécu une très grande transformation. Il a amélioré sa condition physique et a trouvé un emploi au centre de mieux-être communautaire CrossFit, où il aidait les gens à se mettre en forme.

En 2011, dans le cadre d’un échange de personnel, il a passé six semaines dans un village isolé du Pérou, où il a fait du travail communautaire. « Adrian est aujourd’hui une tout autre personne que lorsqu’il a franchi nos portes la première fois, souligne M. Hiuser. C’est vraiment une transformation extraordinaire, et c’est fantastique d’y être pour quelque chose. »

Aujourd’hui, Adrian travaille toujours au centre CrossFit, où il suit une formation pour devenir gérant adjoint. Il a également présenté une demande d’inscription à un programme de deux ans en gestion de la condition physique et du style de vie au collège Humber.

Adrian ne regarde jamais en arrière et il est conscient du chemin qu’il a parcouru. « Je suis fier de moi, car j’ai fait quelque chose que je ne croyais pas pouvoir faire, dit il. Je me suis vu sous un nouveau jour, et j’ai compris que j’avais plus à offrir. Le programme YSEP a été un tremplin pour moi. »

Le programme Connexion compétences fait partie de la Stratégie emploi jeunesse (SEJ) du gouvernement du Canada. La SEJ vise à aider les jeunes, en particulier ceux qui rencontrent des obstacles à l’emploi, à obtenir de l’information sur les carrières, à acquérir des compétences professionnelles, à trouver un emploi et à le garder. Dans son Plan d’action économique de 2012, le gouvernement a proposé d’investir 50 millions de dollars de plus sur deux ans pour améliorer la SEJ afin que plus de jeunes puissent acquérir des compétences pratiques et de l’expérience concrète.

Pour en apprendre plus sur le Plan d’action économique du Canada, visitez le www.plandaction.gc.ca.

Connexion compétences aide les jeunes à se bâtir un avenir prometteur

Welland (Ontario) ― Lorsque la compagnie Niagara Peninsula Homes a choisi Stephen Cecchin pour participer à son projet d’emploi des jeunes à titre de constructeur apprenti, elle lui a donné les outils nécessaires pour se bâtir une vie meilleure. Stephen a pu prendre part à ce projet grâce au soutien du programme fédéral Connexion compétences.

Connexion compétences finance des projets d’emploi qui aident les jeunes vivant dans des circonstances particulières, entre autres les chefs de famille monoparentale, les Autochtones, les personnes handicapées, les nouveaux immigrants, les résidents d’une région rurale ou éloignée et les jeunes qui n’ont pas terminé leurs études secondaires, à acquérir les connaissances et l’expérience nécessaires pour trouver un emploi ou la confiance voulue pour retourner aux études.

Après ses études secondaires, Stephen a travaillé à divers emplois saisonniers et à temps partiel au salaire minimum. Ces emplois n’offraient pas le genre de perfectionnement dont il avait besoin pour entreprendre une carrière. « Lorsque j’ai commencé mon programme d’apprenti, dit-il, j’ai été impressionné par l’importance que revêt ce programme et par l’aide qu’il apporte aux jeunes de la région. »

Les jeunes qui prennent part au projet d’emploi de Niagara Peninsula Homes reçoivent un encadrement individuel et suivent des ateliers de groupe axés sur le développement de compétences telles que la communication, le travail d’équipe et les techniques de recherche d’emploi. À la fin du programme, Stephen a continué à travailler pour la compagnie, qui lui a offert un poste d’apprentissage auprès d’un entrepreneur en électricité. Il dit que sa participation au programme Connexion compétences lui a permis de se doter des compétences dont il avait besoin pour aller de l’avant et bâtir un avenir prometteur pour sa famille et pour lui-même.

Les programmes d’emploi pour les jeunes font partie de la stratégie globale du gouvernement du Canada qui vise à constituer une main-d’œuvre instruite, compétente et souple. Le gouvernement a souligné son engagement envers cette stratégie dans le Plan d’action économique du Canada. Un des éléments clés du Plan consiste à multiplier et à améliorer les possibilités d’emploi pour les travailleurs canadiens grâce au développement des compétences. Pour en apprendre davantage sur le Plan d’action économique du Canada, visitez le www.plandaction.gc.ca.

Un brouhaha environnemental

Kingston, Ontario – Lorsque Dan Hendry a pris connaissance de la Subvention de la YMCA et de la YWCA pour la création de stages pour les jeunes, il a décidé de prendre le destin entre ses mains en se rendant au Kingston Sustainability Centre pour présenté le programme Éco-stages jeunesse. Il est ainsi devenu le premier stagiaire du Centre.

« Je suis un grand adepte du programme Éco-stages jeunesse, et je l’ai recommandé à mes amis et probablement à 100 autres personnes souhaitant acquérir de l’expérience dans le secteur environnemental », a mentionné Dan. « Ce programme m’a offert la chance dont j’avais besoin. »

Pendant son stage, Dan s’est engagé à informer la collectivité en gérant la prestation de plusieurs programmes axés sur les mesures et les pratiques durables, les déchets, l’eau, l’énergie et l’alimentation, espérant ainsi inciter la collectivité à d’adopter changements favorisant la durabilité dans leurs activités quotidiennes.

Il a aussi organisé un concours d’art oratoire pour les jeunes. Les deux gagnants ont présenté leur discours à un événement organisé pour souligner l’Heure de la terre, auquel ont participé plus de 1 000 personnes. De plus, Dan a participé à diverses émissions de radio et de télévision en direct, espérant encourager la population à adopter un style de vie axé sur la durabilité.

« Dan Hendry est un jeune homme attachant, énergique et engagé», a déclaré M. Randy J. Cluff, directeur du Centre. « Il sait que le changement ne se fait pas à court terme, mais bien à long terme. Son travail a attiré bien du monde au Centre et les organisations nous demandent maintenant de l’aide. Dan a créé tout un brouhaha dans la ville autour de notre organisation et des programmes que nous offrons. »

Par l'entremise du Plan d'action économique du Canada, le gouvernement fédéral a annoncé qu'il prévoit fournir une subvention ponctuelle d'une valeur de 15 millions de dollars aux organismes YMCA et YWCA pour leur permettre de placer des jeunes sans emploi âgés de 15 à 30 ans en stage auprès d'organisations sans but lucratif et de services communautaires, notamment dans le cadre de projets qui sont axés sur l'environnement.Les postes, qui sont offerts au sein d’un large éventail d’organismes, permettront à de jeunes Canadiens d’acquérir les compétences nécessaires pour obtenir et conserver un emploi dans le secteur précité. Ce programme est le fruit d’une collaboration entre la YMCA Canada et la YWCA Canada, moyennant un financement accordé dans le cadre du Plan d’action économique du gouvernement du Canada.

« Ce poste m’a permis acquérir de solides compétences ainsi que de perfectionner celles que j’avais déjà et aussi d’établir de nombreuses relations ici à Kingston. Je suis convaincu que ce cheminement sera fort utile pour trouver du travail dans mon domaine dans la région de Kingston. Dans l’ensemble, ce fut une expérience extraordinaire », a conclu Dan.

Plus compétente que jamais grâce à la Subvention de la YMCA et de la YWCA

Hamilton, Ontario - Leah Serafini, une jeune femme de 22 ans récemment diplômée de l’Université de Guelph, était à la recherche de son premier emploi à temps plein lorsqu’elle a découvert le programme Éco-stages jeunesse sur le site Web de la YWCA de Hamilton. Peu de temps après, grâce à la Subvention de la YMCA et de la YWCA pour la création de stages pour les jeunes, on lui a offert un stage à Green Venture, un organisme environnemental sans but lucratif qui fait la promotion d’un mode de vie durable et l’éducation du public dans la région de Hamilton.

« Dans le cadre de mes responsabilités à Green Venture, je fais visiter leur maison modèle appelée “EcoHouse” (maison verte) qui montre aux gens comment vivre de façon plus durable dans leur maison, grâce à diverses technologies d’économie d’eau et d’énergie. J’offre aussi, à des groupes d’élèves, des visites fondées sur le programme éducatif ainsi que des activités adaptées à leur groupe d’âge », a expliqué Leah. De plus, elle représente Green Venture lors de divers évènements publics, où elle offre aux gens des conseils sur des moyens de vivre de façon plus durable.

Le stage de Leah à Green Venture lui a permis d’acquérir de nombreuses compétences, comme la gestion de plusieurs tâches à la fois, tout en établissant l’ordre de priorité de différents projets. Elle a aussi amélioré son entregent et sa capacité d’interagir avec différentes personnes, notamment le grand public, les enfants, les membres du personnel et les membres du conseil d’administration. De plus, elle a développé des compétences en informatique, en autre en ce qui a trait aux domaines de la publication, de l’édition et de la création de sites Web, et elle a appris à quel point la souplesse est importante en milieu de travail.

« Leah a évolué rapidement dans un contexte éducatif et de travail, et a acquis d’importantes compétences pratiques. Elle ne devrait pas avoir de difficulté à se tailler sa place dans le secteur de l’environnement puisqu’elle a acquis de l’expérience dans des domaines comme l’énergie, l’eau, les transports, le jardinage écologique et les déchets », a déclaré Michael Gemmel, gestionnaire de l’EcoHouse de Green Venture.

« En cette période d’incertitude économique, il peut être très difficile pour une jeune diplômée de trouver un emploi, et le programme Éco-stages jeunesse m’a donné la chance de travailler pour un organisme qui pose tant de gestes bénéfiques pour la ville de Hamilton et ailleurs également », a ajouté Leah.

Par l'entremise du Plan d'action économique du Canada, le gouvernement fédéral a annoncé qu'il prévoit fournir une subvention ponctuelle d'une valeur de 15 millions de dollars aux organismes YMCA et YWCA pour leur permettre de placer des jeunes sans emploi âgés de 15 à 30 ans en stage auprès d'organisations sans but lucratif et de services communautaires, notamment dans le cadre de projets qui sont axés sur l'environnement. Les postes, qui sont offerts au sein d’un large éventail d’organismes, permettront à de jeunes Canadiens d’acquérir les compétences nécessaires pour obtenir et conserver un emploi dans le secteur précité. Ce programme est le fruit d’une collaboration entre la YMCA Canada et la YWCA Canada, moyennant un financement accordé dans le cadre du Plan d’action économique du gouvernement du Canada.

Un stage parfait pour une professeure en formation

Kingston (Ontario), le 7 octobre 2010 — Au cours de son stage au Kingston Sustainability Centre, Katie McKenzie a eu la chance extraordinaire d’acquérir bien plus que de l’expérience. Grâce au Programme Éco-stages jeunesse, elle se rapproche de son rêve de devenir enseignante au niveau primaire.

Par l’entremise de la Subvention de la YMCA et de la YWCA pour la création de stages pour les jeunes, le Kingston Sustainability Centre aide à mettre en place des mécanismes de collaboration entre la Ville de Kingston, les établissements scolaires locaux, les entreprises privées, les organismes sans but lucratif et les bénévoles. Les visiteurs peuvent connaître et comprendre des solutions qui leur permettent d’être plus conscients de la durabilité dans leurs activités quotidiennes et leurs choix.

Dans l’espoir de travailler un jour au sein de la commission scolaire de la région, Katie, dans le cadre de son stage, a pu utiliser ses aptitudes à l’enseignement pour élaborer et mettre en œuvre des programmes pédagogiques en matière de durabilité axés sur le curriculum. Elle a mis sur pied des programmes et des activités visant à sensibiliser le public au changement. Elle a également créé des attractions invitant les gens à se rendre au centre, à regarder les présentations et à lire les renseignements offerts.

Katie a aussi eu la possibilité de diriger un autre stage de trois semaines et d’y accueillir trois étudiants au baccalauréat en éducation. Ensemble, ces quatre personnes ont formé une équipe efficace qui a conçu de solides présentations interactives servant d’outils d’apprentissage.

« Katie comprend le processus d’éducation et l’incidence qu’il a sur la modification des comportements, a déclaré Randy J. Cuff, directeur du centre. Ses choix de vie personnels en ce qui a trait à la durabilité lui donnent le désir de transmettre ce message à ses classes puisqu’elle souhaite obtenir un emploi à temps plein dans le domaine de l’éducation. »

« Je crois que je peux sensibiliser les élèves à la durabilité dans le cadre des programmes quotidiens en classe, que ce soit par l’entremise du vermicompostage ou de systèmes de recyclage, ou encore en encourageant les enfants à adopter des mesures de durabilité à l’école et à la maison, affirme Katie. Mes connaissances et les liens que j’ai créés dans la collectivité me seront des plus utiles lorsque je terminerai mon stage. »

Le programme Éco­-stages jeunesse offre aux jeunes sans emploi âgés de 15 à 30 ans de partout au Canada la possibilité de faire un stage rémunéré dans le secteur canadien des services communautaires et sans but lucratif, où l’accent est mis sur l’environnement, la communauté et les services pour les femmes. Le programme est offert aux jeunes non diplômés ainsi qu’aux titulaires d’un diplôme d’études secondaires ou postsecondaires. Les postes, qui sont offerts au sein d’un large éventail d’organismes, permettront à de jeunes Canadiens d’acquérir les compétences nécessaires pour obtenir et conserver un emploi dans le secteur précité.

Un stage gagnant-gagnant pour une biologiste de la faune

Victoria, Colombie-Britannique , le 7 septembre 2010 - Amy Medve croit bien être sur le point d’atteindre son objectif de devenir une biologiste de la faune grâce à la Subvention de la YMCA et de la YWCA pour la création de stages pour les jeunes. Elle a fait une demande de financement par l’entremise du Programme Éco-stages jeunesse et a ensuite fait une demande de stage auprès des responsables de la réserve Swan Lake Christmas Hill Nature Sanctuary, à Victoria, en Colombie-Britannique.

La réserve Swan Lake Christmas Hill Nature Sanctuary a été fondée en 1975 dans le but de protéger un lac urbain et les marécages qui l’entourent ainsi que la forêt de chênes de Garry. Les marécages et la forêt qui entourent le lac Swan offrent un habitat pour de nombreuses espèces florales et fauniques communes et en voie de disparition.

Dans le cadre de son stage, la jeune femme de 25 ans a diverses responsabilités liées, entre autres, à la restauration de l’habitat, à l’enlèvement des plantes invasives, aux recensements fauniques et à la recherche sur les oiseaux reproducteurs. Comme la réserve est située au cœur d’une zone urbaine, Amy est également en mesure d’interagir avec le public et de travailler auprès de groupes d’élèves et de naturalistes afin de les informer au sujet de l’environnement de la réserve. Ses travaux portent toutefois plus spécifiquement sur la recherche sur les oiseaux reproducteurs et l’évaluation des types d’oiseaux qui se reproduisent dans le parc.

« Mon travail comporte de nombreux défis, et c’est précisément la raison pour laquelle cette expérience a été si enrichissante et m’a permis de développer mes compétences en tant que biologiste. J’ai acquis des habiletés qui sont essentielles pour devenir biologiste de la faune, et j’ai appris de spécialistes de divers domaines de la science de l’environnement, explique Amy. Ce qui est incroyable à Swan Lake, c’est la diversité de gens qui y travaillent, qui font du bénévolat ou qui savourent tout simplement le site, et j’aurai toujours des souvenirs inoubliables de ces gens­là. »

Son employeuse et gestionnaire du site, Mme June Pretzer, ne pourrait être plus enchantée qu’Amy l’ait approchée à propos du programme de la YWCA. Elle est en effet d’avis que le travail qu’Amy a effectué sur les oiseaux reproducteurs leur a également été très utile, leur faisant connaître des aspects essentiels sur les espèces aviaires qui vivent au lac, ce qui contribue au mandat de la réserve d’améliorer la gérance de l’environnement.

« Amy a apporté une fraîcheur à nos projets, la fraîcheur propre aux jeunes qui poursuivent leur carrière avec enthousiasme. Elle nous a sensibilisés au sujet de certaines espèces rares et en voie de disparition, elle a apporté des idées et des conseils à l’égard de l’élaboration du plan de gestion de l’habitat du lac, et elle a également créé de nouveaux liens avec des ornithologues amateurs habitués du parc », a déclaré Mme Pretzer.

Mme Pretzer est d’avis que grâce à son stage, Amy a accru sa confiance en elle et perfectionné ses capacités en tant que biologiste. Amy est tout à fait d’accord. « Je termine ce stage avec la profonde conviction que je réussirai et que je deviendrai membre importante de ma communauté qui œuvre dans le domaine des sciences de l’environnement », a­t­elle affirmé.

Le programme Éco­stages jeunesse offre aux jeunes sans emploi âgés de 15 à 30 ans de partout au Canada la possibilité de faire un stage rémunéré dans le secteur canadien des services communautaires et sans but lucratif, où l’accent est mis sur l’environnement, la communauté et les services pour les femmes. Le programme est offert aux jeunes non diplômés ainsi qu’aux titulaires d’un diplôme d’études secondaires ou postsecondaires. Les postes, qui sont offerts au sein d’un large éventail d’organismes, permettront à de jeunes Canadiens d’acquérir les compétences nécessaires pour obtenir et conserver un emploi dans le secteur précité.

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