Avis de possibilité de nomination ministérielle : Plusieurs postes au sein de divers comités

Poste

Plusieurs postes au sein de divers comités à compter de mars 2019.

Description

Environnement et Changement climatique Canada cherche à pourvoir de multiples postes associés à divers mécanismes de consultation publique, notamment le Comité consultatif public mixte de la Commission nord‑américaine de coopération environnementale, le Groupe de travail sur le savoir écologique traditionnel de la Commission nord‑américaine de coopération environnementale, le Comité consultatif public mixte de la Commission de coopération environnementale entre le Canada et le Chili et le groupe consultatif canadien sur l’environnement de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne.

La description des comités se trouve ci-dessous. Les candidats doivent examiner la description de chaque comité et indiquer clairement dans leur demande les comités auprès desquels ils souhaitent postuler, par ordre de préférence.

Comité consultatif public mixte de la Commission nord‑américaine de coopération environnementale

Mandat

Depuis 1994, le Canada, le Mexique et les États‑Unis collaborent à la protection de l’environnement par l’intermédiaire de la Commission de coopération environnementale (CCE), organisation intergouvernementale trilatérale créée en vertu de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l’environnement (ANACDE).

Le Comité consultatif public mixte (CCPM) interagit avec le public et donne des avis au Conseil sur toute question relevant de l’ANACDE. Il sert également de source de renseignements pour le secrétariat de la CCE. Composé de quinze citoyens indépendants (cinq de chaque pays), c’est l’organe public de la CCE.

La vision du CCPM consiste à promouvoir la coopération à l’échelle du continent dans les domaines de la protection des écosystèmes et du développement économique durable, tout en veillant à ce que le public participe de façon active et que la CCE fasse preuve de transparence.

Principales activités

L’ANACDE exige du CCPM qu’il se réunisse au moins une fois par année, au moment de la séance régulière du Conseil. Le CCPM peut se réunir deux ou trois autres fois par année à divers endroits en Amérique du Nord. Les membres du CCPM sont également tenus d’examiner les documents de la CCE et de formuler régulièrement des commentaires à cet effet, en plus de contribuer à la planification et à l’organisation des activités du CCPM. De plus amples renseignements sur la CCE, le CCPM et ses activités se trouvent sur le site Web de la Commission de coopération environnementale. Les Règles de procédure du CCPM se trouvent sur le site Web du CCPM.

Rémunération

Il s’agit d’un poste de bénévole; les membres ne deviennent pas des employés de la fonction publique du Canada à la suite de cette nomination ministérielle. Les membres du comité ne reçoivent ni cadeaux, ni honoraires, ni frais; les dépenses de déplacement sont remboursées conformément aux Règles de procédure du CCPM.

Lieu du poste/durée

Les réunions du CCPM se tiennent au Mexique, aux États‑Unis et au Canada. De plus, le CCPM tient régulièrement des téléconférences pour discuter des documents de la CCE, des réunions et des activités du CCPM.

Groupe de travail sur le savoir écologique traditionnel de la Commission nord‑américaine de coopération environnementale

Depuis 1994, le Canada, le Mexique et les États‑Unis collaborent pour protéger l’environnement par l’intermédiaire de la Commission de coopération environnementale (CCE), organisation intergouvernementale trilatérale établie en vertu de l’Accord nord‑américain de coopération dans le domaine de l’environnement (ANACDE).

En 2014, le Conseil de la CCENote de bas de page 1  a souligné la contribution précieuse et essentielle des collectivités locales et autochtones dans la prise de décisions touchant l’environnement. En 2015, le Groupe de spécialistes sur les connaissances écologiques traditionnelles (CET) a été mis sur pied pour donner des avis au Conseil sur les opportunités de mettre en application les CET dans les activités et les recommandations stratégiques de la CCE. Le Groupe de spécialistes sur les CET peut également donner des avis et des conseils sur la mise en application des CET dans les travaux en cours de la CCE et entreprendre d’autres activités liées aux CET, à la demande du Conseil.

Les membres d’organisations autochtones locales, régionales et nationales (y compris les communautés et les bandes) qui souhaitent siéger au Groupe de spécialistes sur les CET sont invités à manifester leur intérêt à cet égard.

Selon les modalités de fonctionnement révisées du Groupe de spécialistes sur les CET (approuvées en juin 2017), le Groupe de spécialistes est composé de neuf personnes, soit trois membres par pays pour le Mexique, le Canada et les États‑Unis. Les trois membres du Canada seront nommés par la ministre de l’Environnement et du Changement climatique pour un mandat renouvelable d’au plus deux ans.

Dans le cadre de leur travail au sein du Groupe de spécialistes sur les CET, les membres auront l’occasion de collaborer avec d’autres représentants autochtones de partout en Amérique du Nord afin de favoriser l’utilisation des CET dans le travail de la CCE. Les membres peuvent également participer à des rencontres publiques tenues en Amérique du Nord sur des questions liées à l’ANACDE, et à formuler des recommandations et des avis pour le Conseil de la CCE. Les membres du Groupe de spécialistes sur les CET exercent leurs fonctions de façon indépendante et ne représentent aucune organisation ni aucun groupe d’intérêt particulier.

Principales activités

Les membres du Groupe de spécialistes sur les CET se réunissent à la demande du Conseil, pendant les réunions du Comité consultatif public mixte (CCPM), et à d’autres moments, sur demande, conformément aux fonctions du Groupe de spécialistes. Il est attendu que les membres du Groupe de spécialistes se réuniront deux ou trois fois par année, y compris une fois à l’occasion de la session régulière annuelle du Conseil, à différents emplacements en Amérique du Nord. Lorsque cela est possible et approprié, les membres peuvent participer à la réunion par téléconférence ou vidéoconférence. Lorsque les membres du Groupe de spécialistes participent aux réunions en personne, ils peuvent avoir des interactions avec des intervenants du public (p. ex. pendant les réunions publiques du CCPM). Les membres du Groupe de spécialistes auront également la responsabilité d’examiner les documents de la CCE et de formuler régulièrement des commentaires à cet égard au cours de leur mandat. Le Groupe de spécialistes sur les CET reçoit de l’aide et du soutien du secrétariat de la CCE, situé à Montréal, pour s’acquitter de ses fonctions. Pour de plus amples renseignements au sujet de la CCE, du CCPM et de leurs activités Sur le site web de la CEC. Vous trouverez plus d’information sur le fonctionnement du Groupe de spécialistes sur les CET sur le site web de la CEC.

Rémunération

Il s’agit d’un poste bénévole à temps partiel; les membres ne deviennent pas des employés de la fonction publique du Canada à la suite d’une nomination ministérielle. Les membres du Groupe de spécialistes ne reçoivent ni cadeaux, ni honoraires, ni frais; les dépenses de déplacement sont remboursées conformément aux Règles de procédure du CCPM.

Lieu du poste/durée

Les réunions en personne se tiennent au Mexique, aux États‑Unis et au Canada. Des téléconférences régulières seront également tenues pour discuter des documents, des réunions et des événements de la CCE.

Comité consultatif public mixte de la Commission de coopération environnementale entre le Canada et le Chili

Depuis 1997, le Canada et le Chili collaborent à la protection de l’environnement par l’intermédiaire de la Commission de coopération environnementale (CCE), organisation intergouvernementale bilatérale créée en vertu de l’Accord de coopération environnementale entre le Canada et le Chili (ACECC).

Le Comité consultatif public mixte (CCPM) interagit avec le public et donne des avis au Conseil sur toute question relevant de l’ACECC. Composé de quatre citoyens indépendants (deux de chaque pays), c’est l’organe public de la CCE.

La vision du CCPM consiste à promouvoir la coopération à l’échelle du continent dans les domaines de la protection des écosystèmes et du développement économique durable, tout en veillant à ce que le public participe de façon active et que la CCE fasse preuve de transparence.

Principales activités

L’ACECC exige du CCPM qu’il se réunisse au moins une fois par année, au moment de la séance régulière du Conseil. Le CCPM peut se réunir deux ou trois fois de plus, généralement par téléconférence. Les membres du CCPM sont également tenus d’examiner les documents de la CCE et de formuler régulièrement des commentaires à cet effet, en plus de contribuer à la planification et à l’organisation des activités du CCPM. De plus amples renseignements sur l’ACECC, le CCPM et ses activités se trouvent sur le site Web de l’ACECC.

Rémunération

Il s’agit d’un poste de bénévole; les membres ne deviennent pas des employés de la fonction publique du Canada à la suite de cette nomination ministérielle. Les membres du comité ne reçoivent ni cadeaux, ni honoraires, ni frais; les dépenses de déplacement sont remboursées conformément aux Règles de procédure du CCPM.

Lieu du poste/durée

Le CCPM tient des réunions au Canada et au Chili. De plus, le CCPM tient régulièrement des téléconférences pour discuter des documents de la CCE, des réunions et des activités du CCPM.

Groupe consultatif canadien sur l’environnement (GCCE) pour l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne

L’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne (UE), qui s’applique provisoirement depuis le 21 septembre 2017, couvre pratiquement tous les secteurs et tous les aspects du commerce entre le Canada et l’UE et a pour but de réduire ou d’éliminer les obstacles au commerce.

L’AECG incorpore directement des engagements qui aideront à faire en sorte que le commerce et la protection de l’environnement s’appuient et se renforcent mutuellement, et que la prospérité accrue découlant de la libéralisation des échanges ne se fasse pas aux dépens de la protection de l’environnement.

Les objectifs du chapitre de l’AECG sur le commerce et l’environnement consistent à soutenir le développement durable, à renforcer la gouvernance environnementale et à prendre appui sur les accords internationaux sur l’environnement auxquels le Canada et l’UE sont tous deux parties. Les dispositions énonçant des engagements ou prévoyant la création de mécanismes de dialogue et de coopération en matière de commerce et d’environnement favorisent la réalisation de ces objectifs.

Conformément à ses responsabilités en vertu de l’AECG (article 24.13.5), ECCC est à la recherche de personnes qui participeraient à un mécanisme de consultation permanent pour le chapitre sur le commerce et l’environnement de l’AECG, qu’on appelle provisoirement le groupe consultatif canadien sur l’environnement (GCCE).

Les personnes qui occupent actuellement un poste au sein d’un groupe environnemental, d’une association d’entreprises, d’une organisation autochtone ou d’un groupe de réflexion sont invitées à manifester leur intérêt. Une lettre de mise en candidature émanant de l’organisation doit accompagner la trousse de demande. Les personnes qui n’occupent pas de tels postes, mais qui possèdent une expertise ou des compétences particulières dans des domaines couverts par le chapitre sur le commerce et l’environnement de l’AECG peuvent également postuler. Les membres seront choisis de manière à assurer une représentation équilibrée des intérêts.

De plus amples renseignements sur l’AECG et le chapitre sur le commerce et l’environnement se trouvent sur le site Web d’Affaires mondiales Canada.

Principales activités

Le GCCE aura pour but de favoriser le dialogue et de permettre au Canada de solliciter des points de vue et des conseils sur les enjeux liés au chapitre sur le commerce et l’environnement de l’AECG. Plus précisément, les membres du GCCE auront trois fonctions clés :

  1. Les membres seront chargés de donner des conseils, de formuler des recommandations et d’exprimer leur opinion sur ces enjeux, y compris de leur propre initiative.
  2. Dans la mesure du possible, les membres seront appelés à participer avec leurs homologues de l’UE au Forum de la société civile, tenu chaque année pour mener un dialogue sur des enjeux touchant le développement durable, y compris l’environnement.
  3. Le GCCE sera le mécanisme officiel par l’intermédiaire duquel ECCC pourra informer les intervenants et les organisations autochtones des mémoires reçus du public, y compris les plaintes, sur des questions relevant de ce chapitre.

Rémunération

Il s’agit d’un poste de bénévole; les membres ne deviennent pas des employés de la fonction publique du Canada à la suite de cette nomination ministérielle. Les membres ne reçoivent ni cadeaux, ni honoraires, ni frais. Les frais de déplacement engagés dans l’exercice de leurs fonctions sont remboursés à un niveau conforme à la Directive sur les voyages du Conseil national mixte (CNM) et aux lignes directrices du Conseil du Trésor du Canada.

Lieu du poste/durée

Les rencontres en personne des membres du GCCE auront lieu au Canada, dans la région de la capitale nationale. Le Forum de la société civile se tiendra soit dans la région de la capitale nationale, soit à Bruxelles, en Belgique.

Lorsque c’est possible et approprié, la participation aux réunions et au Forum de la société civile peut se faire par téléconférence ou vidéoconférence.

Comment présenter une demande

Étant donné l’importance des enjeux environnementaux pour les jeunes du Canada, les Canadiens âgés de 18 à 29 ans sont également encouragés à présenter leur candidature.

Pour les candidats au GCCE qui occupent un poste au sein d’un groupe environnemental, d’une association d’entreprises, d’une organisation autochtone ou d’un groupe de réflexion, une lettre de mise en candidature émanant de l’organisation est exigée.

Les candidats doivent indiquer clairement dans leur demande les comités auprès desquels ils souhaitent postuler, par ordre de préférence.

Un bassin de candidats qualifiés pourra être établi et utilisé pour des postes à pourvoir semblables.

Afin que votre candidature puisse être envisagée, veuillez fournir dans votre demande des exemples qui démontrent clairement que vous répondez aux exigences ci-dessous :

Études et expérience

Si votre candidature est retenue aux fins d’une entrevue, les critères suivants seront évalués :

Connaissances, compétences et capacités

Si vous passez à la prochaine étape du processus de sélection, nous pourrions communiquer avec vos répondants pour vérifier en quoi vous répondez aux exigences relatives à l’expérience et en quoi vous affichiez les qualités personnelles suivantes dans le cadre de vos fonctions récentes :

Caractéristiques personnelles

Langues officielles et diversité

Le gouvernement du Canada tiendra compte du bilinguisme et de la diversité des candidats au moment de les évaluer pour ces postes. Par conséquent, nous vous encourageons à indiquer dans votre candidature votre compréhension de la langue seconde officielle et votre capacité de vous exprimer dans cette langue. Le gouvernement s’engage à veiller, dans le cadre de ses nominations, à ce qu’on tienne compte du désir d’atteindre la parité hommes-femmes et de refléter la diversité du Canada, sur le plan linguistique et régional, et en ce qui concerne la représentation des groupes désignés aux fins de l’équité en matière d’emploi. Par conséquent, nous vous encourageons à indiquer dans votre demande si vous appartenez à l’un des groupes suivants : femmes, Autochtones, personnes handicapées, minorités visibles. Veuillez noter qu’il n’y a aucune obligation de fournir ces renseignements. Autrement dit, ces renseignements sont fournis à titre volontaire.

Facteurs d’admissibilité et conditions d’emploi

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