J'ai le plaisir d'accueillir au Canada le directeur exécutif du Fonds des Nations Unies pour la population [FNUAP], le Dr Babatunde Osotimehin. Dr Osotimehin, vous êtes depuis longtemps un champion des droits des femmes et des filles, et nous sommes fiers d'appuyer votre travail.
Pour le premier ministre Justin Trudeau et le gouvernement du Canada, s'il y a un traité de désarmement dans lequel nous croyons fermement, c'est la Convention sur l'interdiction de l'emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel et sur leur destruction, mieux connue sous le nom de Convention d'Ottawa.
Après cinq ans d'absence, il était temps qu'un ministre canadien des Affaires étrangères s'adresse à la Conférence du désarmement. Je suis heureux de le faire aujourd'hui, au nom du gouvernement du Canada et du premier ministre Justin Trudeau.
À Paris, en décembre 2015, les pays du monde entier ont finalement convenu de s'attaquer aux changements climatiques. Ils se sont engagés à agir de manière à ce que, plus tard au cours du présent siècle, l'humanité n'exerce plus d'effets négatifs sur le climat.
Monsieur le Président, Excellences, Distingués délégués, Mesdames et Messieurs, il y a beaucoup trop longtemps qu'un ministre canadien des Affaires étrangères a pris la parole à l'occasion du segment de haut niveau du Conseil des droits de l'homme. Je suis ravi de le faire aujourd'hui.
Monsieur le Président, c'est avec plaisir et conviction que je présente aujourd'hui les volets sur l'aide humanitaire et l'aide à la résilience et au développement du plan d'action du Canada pour répondre à la crise au Moyen-Orient.
Mesdames et Messieurs, permettez-moi de résumer ce que la ministre du Développement international [Marie-Claude Bibeau], le ministre de la Défense [Harjit Singh Sajjan] et le premier ministre [Justin Trudeau] lui-même viennent tout juste d'exprimer.