Sous réserve de modifications. Ce discours a été traduit en conformité avec la Politique sur les langues officielles du gouvernement du Canada et révisé aux fins d’affichage et de distribution conformément à sa politique sur les communications.
Permettez-moi de commencer en remerciant Masood, Nancy ainsi que les dirigeants et les chercheurs du Center for Global Development (CGD) d’accueillir cet événement important à un moment aussi crucial. L’une des nombreuses raisons pour lesquelles nous aimons travailler avec le CGD tient du fait qu’un niveau élevé d’expertise est rassemblé pour discuter des liens qui existent entre, d’une part, les choix des femmes et des filles en matière de reproduction et, d’autre part, le renforcement de leur pouvoir économique.
Permettez-moi de commencer en exprimant ma gratitude à nos collègues argentins pour leur excellent travail comme hôtes de cette conférence – la toute première organisée par un pays d’Amérique du Sud.
Vous savez tous que le commerce est essentiel à notre prospérité actuelle et future. C’est pourquoi je suis ici pour parler de notre plan pour stimuler la croissance de notre économie, créer des emplois et uniformiser les règles du jeu afin que chaque travailleur, producteur, agriculteur, pêcheur, entrepreneur et investisseur – que ce soit les femmes ou les hommes – puisse être concurrentiel et réussir sur la scène mondiale.
Une nouvelle politique féministe qui, pour réaliser l’objectif mondial ambitieux de mettre fin à la pauvreté d’ici 2030, mise délibérément sur le renforcement du pouvoir des femmes et des filles et sur l’égalité des genres
Alors que je vous souhaite la bienvenue à Toronto à l’occasion de la troisième réunion ministérielle du Groupe de Lima, chers collègues et amis de partout dans les Amériques, je tiens à souligner que nous nous rassemblons aujourd’hui sur le territoire traditionnel de la Première Nation des Mississaugas de New Credit.
Bonjour à tous et merci pour votre accueil toujours aussi chaleureux. Si je me souviens bien, la dernière fois où nous étions tous réunis, c’était le 9 juin dernier lors du lancement de la nouvelle Politique d’aide internationale féministe.
Je suis ici pour vous parler de la tâche que m’a confiée le premier ministre Trudeau. Il m’a demandé de « faire du commerce une réalité pour les gens ».
Je suis très heureux d’être ici, dans le port de Montréal, parce que, comme vous pouvez le voir, c’est un lieu où le commerce se pratique de manière très concrète.