Le saumon du Pacifique revêt une grande importance culturelle, sociale et écologique pour les Premières Nations et les Britanno-Colombiens; cependant, sa population connaît un grave déclin se poursuivant à long terme, et de nombreuses montaisons sont sur le point de disparaître.
Dans la gestion des pêches canadiennes, la conservation est une priorité absolue du gouvernement fédéral. En Colombie-Britannique, le hareng du Pacifique est une espèce fourragère importante, et joue un rôle capital visant à favoriser le riche écosystème côtier de la C.-B. Préserver l’abondance de cette espèce vitale passe par une gestion préventive du hareng du Pacifique tout en autorisant dans la mesure du possible des allocations de pêche.
Les océans jouent un rôle essentiel dans la vie des gens partout dans le monde. Pour promouvoir la durabilité à long terme de l’océan mondial, et faire en sorte que les générations futures puissent bénéficier de nos ressources marines, la communauté mondiale doit travailler ensemble pour lutter contre les changements climatiques, et s’attaquer à la perte de biodiversité qui touche les écosystèmes océaniques.
Les océans du Canada jouent un rôle essentiel dans la vie des Canadiens d’un océan à l’autre. Ils sont essentiels à toute vie sur la planète, abritent un vaste éventail d’espèces et d’organismes, contribuent à réguler le climat de la Terre, et jouent un rôle important dans notre patrimoine, notre culture et notre économie. Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger davantage nos océans, afin que les générations futures puissent poursuivre notre tradition de fière nation océanique, et profiter des nombreux avantages qu’offrent des écosystèmes marins en bonne santé.
Aujourd’hui, à l’occasion du cinquième Congrès international sur les aires marines protégées (IMPAC5), à Vancouver, l’honorable Joyce Murray, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, ainsi que le Conseil de la Nation haïda, le Conseil tribal Nuu chah nulth, la Première Nation Pacheedaht, et la Première Nation Quatsino ont annoncé les progrès réalisés à l’égard de la zone de protection marine (ZPM) proposée Tang.ɢwan — ḥačxwiqak — Tsig̱is, une vaste zone océanique unique sur le plan écologique, située en moyenne à 150 kilomètres de la côte ouest de l’île de Vancouver.
La science de l’observation des océans peut contribuer à sauver des vies, à protéger nos eaux et nos écosystèmes, et à faire croître notre économie. Le gouvernement du Canada travaille avec la communauté des sciences océaniques pour recueillir, et transmettre des renseignements et des données océaniques, qui sont nécessaires pour garder nos zones marines et côtières propres et sécuritaires pour des générations.
Après plus d’une décennie de travail, le plan directeur d’un vaste réseau d’aires marines protégées (AMP) réparties dans le tiers nord de la côte ouest du Canada est dévoilé. Aujourd’hui, 15 Premières Nations, le gouvernement du Canada et le gouvernement de la Colombie-Britannique (C.-B.) annoncent conjointement l’approbation du plan d’action pour un réseau des aires marines protégées (le plan d’action) (en anglais seulement) dans la biorégion du plateau Nord (BPN).
Aujourd’hui, à l’occasion du cinquième Congrès international sur les aires marines protégées (IMPAC5), l’honorable Joyce Murray, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, le chef de la Première Nation Mamalilikulla John Powell (Winidi), et l’honorable Nathan Cullen, ministre de l’Intendance des terres, de l’eau et des ressources de la Colombie-Britannique, ont annoncé des fermetures de pêche et la création d’un refuge marin, en vue d’aider à protéger la zone d’importance écologique et culturelle de Gwaxdlala/Nalaxdlala dans l’inlet Knight, sur la côte de la Colombie-Britannique.
L’océan mondial subit des pressions croissantes dues aux changements climatiques et aux activités humaines, ce qui entraîne une perte de biodiversité et menace les écosystèmes.
Notre façon de gérer nos océans devient de plus en plus importante, car les répercussions des changements climatiques se font sentir partout au Canada et dans le monde. La sauvegarde de nos espaces marins exige de trouver le juste équilibre entre les activités humaines et les besoins de nos écosystèmes.