Les eaux canadiennes abritent divers écosystèmes marins, des caractéristiques uniques et des espèces incroyables qui contribuent non seulement à la santé de nos océans, mais aussi à notre identité culturelle. Les effets des changements climatiques étant évidents dans le monde entier, le travail pour prévenir la perte de biodiversité, et protéger les espèces et les habitats marins est devenu urgent. Comprendre comment les conditions océaniques et la vie aquatique sont touchées par les changements climatiques et l’activité humaine mène à des solutions plus durables pour conserver les eaux canadiennes, tout en assurant des possibilités de pêche.
Le capelan est essentiel à notre écosystème océanique, car il constitue une importante source de nourriture pour de nombreuses espèces plus larges, comme la morue. Il constitue également une importante source de revenus pour les pêcheurs, les travailleurs d'usine et les communautés côtières de certaines régions du Canada atlantique.
Les pêches du Canada sont l’épine dorsale de nombreuses collectivités côtières et une force motrice de l’économie. Le secteur des produits de la mer est un environnement qui évolue rapidement; la concurrence s’intensifie, les consommateurs recherchent la durabilité et la qualité. C’est pourquoi le gouvernement du Canada et la Province de la Nouvelle-Écosse ont annoncé aujourd’hui un soutien financier au Centre Verschuren pour la durabilité en matière d’énergie et de l’environnement (le Centre) dans le cadre du Fonds des pêches de l’Atlantique (FPA
S’appuyant sur l’arrangement renouvelé conclu avec la Première Nation de Potlotek le mois dernier, Pêches et Océans Canada (MPO) a conclu un arrangement avec la Première Nation We’koqma’q qui permettra à ses membres de pêcher le jakej (homard) à des fins de subsistance convenable, et de vendre leurs prises conformément à une modification apportée au Netukulimk Livelihood Fisheries Plan des Premières Nations We’koqma’q et de Potlotek, et dans le cadre d’une autorisation délivrée par le MPO. Le Plan a été élaboré par la collectivité en collaboration avec la Première Nation de Potlotek, l’Assemblée des chefs Mi’kmaw de la Nouvelle-Écosse, et le Bureau de négociation Kwilmu’kw Maw-klusuaqn.
Le vendredi 22 avril 2022, la Cour de justice du Nunavut a condamné M. George Hudson, qui a plaidé coupable à des infractions à la Loi sur les pêches. L’honorable juge Bonnie Tulloch a ordonné que le capitaine du bateau de pêche paie 35 000 $ dans un délai de six mois.
Le gouvernement du Canada travaille fort pour protéger nos océans et la vie marine qu’ils abritent. Les engins de pêche perdus, abandonnés ou rejetés ̶ ou engins fantômes, peuvent rester dans nos eaux durant des centaines d’années, nuisant aux mammifères marins, aux pêches et aux habitats. Dans le cadre du Fonds pour les engins fantômes, le gouvernement du Canada travaille avec l’industrie et d’autres partenaires pour débarrasser nos océans des engins fantômes, et créer de nouvelles solutions pour réduire les débris de pêche.
Le gouvernement du Canada apprécie l’expérience et l’expertise des Canadiens des régions côtières pour aider à éclairer la gestion et l’exploitation durables de nos ressources océaniques. La collaboration est essentielle pour s’assurer que nos décisions sont fondées sur les meilleures données disponibles.
Il est impératif que le Canada trouve un équilibre entre des écosystèmes sains, des pêches durables et la vitalité des communautés côtières et autochtones. Il est essentiel d’entendre les pêcheurs parler de leur expérience sur l’eau pour trouver cet équilibre.
De haute qualité et exploités de façon durable, le poisson et les fruits de mer du Canada ont une réputation mondiale. Le Canada, de même que les provinces et les territoires, élargissent leurs marchés, en tirant parti de la solide image de marque de notre pays sur le plan international, ainsi que des possibilités commerciales croissantes.
Le gouvernement du Canada s’est engagé à faire avancer la réconciliation. Pêches et Océans Canada (MPO) travaille activement avec les Premières Nations dans les provinces maritimes, et en Gaspésie (au Québec), afin de poursuivre la mise en œuvre de leur droit de pêche issu de traités visant à assurer une subsistance convenable, tout en maintenant des pêches en bonne santé pour tous les pêcheurs pour des générations.