Le maquereau fait partie intégrante de l’écosystème océanique, et est essentiel à la prospérité des pêches dans toute la région. Le gouvernement du Canada prend des mesures décisives pour reconstituer ce stock, ayant connu d’importants déclins au cours des dernières années, afin que les pêches qui dépendent du maquereau puissent continuer de prospérer pour les générations à venir.
La Indigenous Coastal Waters Stewardship Society (la Société d’intendance autochtone des eaux côtières) et l'honorable Diane Lebouthillier, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, ont annoncé aujourd’hui un financement de 50 millions de dollars, pour soutenir l'intendance des Premières Nations dans la mer des Salish et les eaux le long de la côte ouest de l'île de Vancouver.
Le gouvernement du Canada travaille avec ardeur pour protéger nos océans et la vie marine qu’ils abritent. Les engins de pêche perdus, abandonnés et rejetés, ou engins fantômes, sont une source importante de pollution plastique, qui peut rester dans nos eaux pendant des centaines d’années, causant des dommages aux mammifères marins, aux pêcheries, et aux habitats. Les phénomènes météorologiques violents sont l’une des principales raisons de la perte d’engins de pêche, comme on l’a vu lorsque l’ouragan Fiona a touché terre dans l’est du Canada en septembre 2022.
Les ports pour petits bateaux jouent un rôle fondamental dans l'économie de nos collectivités côtières, car plusieurs d'entre elles en dépendent comme principale source d'emploi. Assurer que ces ports demeurent en bon état de fonctionnement aide à garantir que nos collectivités côtières peuvent continuer à prospérer.
La protection et le maintien d’un écosystème marin riche et diversifié sont d’importance cruciale pour la santé des espèces et des habitats aquatiques du Canada.
La pêche non autorisée constitue une menace pour la durabilité des stocks de poissons et compromet les moyens de subsistance des pêcheurs respectueux de la loi. La pêche à la civelle n’est pas ouverte pour 2024 en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick, donc la pêche n’est pas autorisée. Si quelqu’un choisit de pêcher la civelle, il fera l’objet de mesures d’application de la loi en vertu de la Loi sur les pêches et du Règlement de pêche des provinces maritimes.
La pêche non autorisée constitue une menace pour la durabilité des stocks de poissons et compromet les moyens de subsistance des pêcheurs respectueux de la loi.
L'océan Arctique dans l'Inuit Nunangat est un environnement unique et difficile. Il est essentiel de veiller à ce que ces eaux soient sécuritaires pour les résidents du Nord et les navigateurs. C'est pourquoi le gouvernement du Canada continue de faire des investissements importants pour améliorer la sécurité maritime dans le Nord et l’Arctique.
Les eaux du Canada foisonnent de certains des poissons et fruits de mer de la meilleure qualité au monde. Bordé par trois océans et des eaux froides et limpides, le Canada peut se prévaloir d’avoir du poisson et des fruits de mer de qualité supérieure, prisés tant sur le plan national que dans le monde entier.
La pêche non autorisée menace la durabilité des stocks de poissons et compromet les moyens de subsistance des pêcheurs respectueux de la loi. La pêche à la civelle n’est pas ouverte pour 2024 en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick; par conséquent, aucun pêcheur n’est autorisé à pêcher la civelle, et s’il choisit de le faire, il fera l’objet de mesures d’application de la loi en vertu de la Loi sur les pêches et du Règlement de pêche des provinces maritimes.