Le secteur canadien du poisson et des fruits de mer a fait preuve de résilience et de souplesse face aux défis sans précédent qui ont découlé de la situation causée par la COVID-19. Il ne s'agit pas d'une situation habituelle et, en tant que gouvernement, nous en sommes bien conscients.
Aujourd’hui, l'honorable Bernadette Jordan, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, et ses homologues provinciaux, André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, Ross Wetmore, ministre de l’Agriculture, de l’Aquaculture et des Pêches du Nouveau-Brunswick, Gerry Byrne, ministre des Pêches et des Ressources foncières de Terre-Neuve-et-Labrador, Keith Colwell, ministre de l’Agriculture, des Pêches et de l’Aquaculture de la Nouvelle-Écosse, et Jamie Fox, ministre des Pêches et des Collectivités de l'Île-du-Prince-Édouard, ont publié la déclaration commune suivante.
L'honorable Bernadette Jordan, ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, et Lana Popham, ministre de l'Agriculture de la Colombie-Britannique, ont fait la déclaration commune suivante :
En ces temps sans précédent, il est plus important que jamais que nous travaillions à tous les niveaux de gouvernement pour assurer la sécurité des Canadiens et soutenir les économies locales. Aujourd’hui, les ministres provinciaux des pêches et de l’aquaculture de l'Est du Canada se sont joints à moi par téléconférence afin de discuter des répercussions en évolution rapide du Covid-19 sur l’industrie au Québec, au Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Nouvelle-Écosse, et à l'Île-du-Prince-Édouard.
La situation causée par le Covid-19 est fluide et évolue rapidement. Le gouvernement du Canada, en collaboration avec ses partenaires internationaux, et se basant sur les meilleurs conseils de santé publique disponibles, a pris un certain nombre de mesures pour aider à réduire les effets sur la santé des Canadiens. Bien qu'il s'agisse d'une urgence de santé publique, nous savons qu'elle a des répercussions sur de nombreuses personnes, sur le plan personnel, social et économique.
C’est aujourd’hui que commence la semaine nationale de sensibilisation aux espèces envahissantes, au cours de laquelle les Canadiens auront l’occasion d'en apprendre davantage sur les espèces aquatiques envahissantes et sur ce que nous pouvons faire pour empêcher leur introduction et leur propagation dans les bassins hydrographiques du Canada.
Hier, le ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne Jonathan Wilkinson accompagné du ministre des Forêts, des Terres, de l'Exploitation des ressources naturelles et du Développement rural du gouvernement de la Colombie-Britannique Doug Donaldson, étaient à Lillooet (C.-B.) pour participer à un vol en hélicoptère pour évaluer le glissement de roches de Big Bar sur le fleuve Fraser. Pendant qu’ils se trouvaient à Lillooet, les ministres ont rencontré des spécialistes clés examinant le glissement, et les Premières Nations concernées. L’accent était mis sur les prochaines mesures qui devaient être prises pour mieux gérer les répercussions de cette catastrophe naturelle sur les migrations de saumon du Fraser.
La côte du Pacifique du Canada abrite l'épaulard emblématique, qui tient une place spéciale dans le cœur des Britanno-Colombiens et des Canadiens, et qui a une importance culturelle profonde et historique pour les Premières Nations de la côte.
En tant que ministre des Pêches, des Océans et de la Garde côtière canadienne, je suis ravi de souligner la Journée des océans de l'Arctique de l'Ouest de cette année, qui sera célébrée le 1er juillet à Sachs Harbour, la collectivité la plus au nord des Territoires du Nord-Ouest.
Pêches et Océans Canada et le gouvernement de la Colombie-Britannique sont très préoccupés par un important glissement rocheux qui s'est produit près de Big Bar, C.-B., juste au nord de Lillooet, C.-B. Entre le 21 et le 23 juin 2019, une grande plaque de roche s’est fracturée juste en amont d'une étroite portion du fleuve Fraser près de Big Bar, créant une chute d'eau de 5 mètres. L'ampleur même de l'obstruction soulève l’inquiétude de savoir si les saumons qui migrent en amont peuvent atteindre leurs frayères.