Méthodologie 2016 à 2017 du CRG pour les petits ministères et organismes

Table des matières

Aperçu de la méthodologie

L’évaluation annuelle du CRG pour les petits ministères et organismes vise à améliorer les pratiques de gestion et de surveillance ainsi qu’à appuyer l’orientation stratégique de la direction au gouvernement du Canada.

Les petits ministères et organismes sont inclus une fois par an dans le processus d’évaluation du CRG. Le CRG de 2016-2017 sera la troisième évaluation annuelle du CRG dans le cycle triennal qui a été fixé à l’avance.

Les petits ministères et organismes ont une méthodologie adaptée qui comprend certains indicateurs tirés de systèmes centraux. Ces éléments seront évalués sous le titre de rendement de la direction. Les indicateurs ne permettent pas le dédoublement des évaluations dans les audits des contrôles de base.

Pour appuyer les efforts de mise en œuvre de la nouvelle Politique sur les résultats, on n’effectuera pas, cette année, l’évaluation de la Gestion intégrée des risques, de la planification et du rendement.

Étalonnage et analyse comparative dans tous les petits ministères et organismes

Le format de mesure et de présentation de rapports donne lieu à la comparaison et à l’établissement de repères entre les organisations de taille semblable, ce qui permet aux petits ministères et organismes d’échanger des pratiques directrices.

Questionnaire

Gestion financière

Rapports financiers externes

Énoncé des résultats : L’exactitude des renseignements financiers prouve que les ressources financières sont bien gérées et qu’elles sont comptabilisées de façon transparente.

Justification des questions ci-après : Les Canadiens et les parlementaires s’attendent à ce que les ressources financières soient bien gérées et à ce qu’elles soient comptabilisées de façon transparente. L’évaluation du CRG donnera aux administrateurs généraux de l’information utile qui les aidera à s’assurer que des mesures efficaces sont en place à l’appui des responsabilités liées à la présentation de l’information financière.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Nombre d’écritures postérieures à la clôture d’exercice en cours d’exercice et en fin d’exercice pour 2015-2016, d’inexactitudes d’audit non rajustées et d’erreurs de fin d’exercice trouvées après le dépôt des Comptes publics du Canada.

Les organisations devraient tout mettre en œuvre pour ne devoir effectuer aucune écritures postérieures à la clôture en cours d’exercice et en fin d’exercice, inexactitude d’audit non rajustée, ou erreur trouvée à la fin de l’exercice 2015-2016 après le dépôt des Comptes publics du Canada.

La Loi sur la gestion des finances publiques, art. 65

Le BCG du SCT répondra à l’aide des données existantes de l’organisme central (rapports du receveur général et du Bureau du vérificateur général).

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement

Gestion des ressources

Énoncé des résultats : La gestion des fonds publics est appuyée par une planification, une budgétisation, une surveillance et des rapports efficaces.

Justification des questions ci-après : La gestion des fonds publics est appuyée par une planification, une budgétisation, une surveillance et des rapports efficaces, notamment par une analyse solide reposant sur une information fiable.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. En 2015-16, montant des fonds inutilisés ajusté à la fin de l’exercice sous forme de pourcentage des autorisations votées annuelles

    • 2.1

      Crédit de programmes ou de fonctionnement

    • 2.2

      Crédit d’immobilisations (le cas échéant)

    • 2.3

      Crédit de subventions et de contributions (le cas échéant)

    • 2.4

      Total (tous les crédits)

    Calcul de la mesure : 

    Montant total annuel des fonds inutilisés ajusté ministériel

    divisé par

    Montant total annuel votées

    Calcul de montant total annuel des fonds inutilisés ajusté ministériel : 

    Autorités annuels votées moins Dépenses moins Dépenses excédentaires moins Crédits pluriannuels moins Affectations à but spécial non dépensées moins Fonds bloquées

Crédits de programmes ou de fonctionnement inutilisés ajustés: 

Une discussion sur la gestion devrait être envisagée dans le cas des crédits de programmes ou de fonctionnement ajustés de moins de 2 pourcent ou des autorisations votées de crédits de programmes ou de fonctionnement de plus de 5 pourcent.

Crédits d’immobilisation inutilisés ajustés: 

Les organisations devraient reporter moins de 10 pourcent de leurs crédits d’immobilisation autorisés. Il faut remarquer que les organisations peuvent reporter jusqu’à 20 pourcent des crédits d’immobilisation autorisés si une justification pour ce faire existe.

Crédits de subventions et de contributions inutilisés ajustés: 

Une discussion sur la gestion devrait être envisagée dans le cas des crédits de subventions et de contributions inutilisés ajustés de plus de 5 pourcent des crédits de subventions et de contributions autorisés.

Fonds inutilisés ajustés totaux: 

Une discussion sur la gestion devrait être envisagée dans le cas des fonds inutilisés ajustés totaux de moins de 2 pourcent ou des autorisations votées totales de plus de 5 pourcent.

S.O.

Le BCG du SCT répondra à l’aide des données existantes des organismes centraux (Système de gestion des dépenses et Système central de gestion des rapports financiers).

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Le ministère ou l’organisme évalue-t-il les risques financiers pluriannuels associés à ce qui suit?

    • 3.1

      Dépenses salariales projetées: 

      • Oui
      • Non
    • 3.2

      Changements budgétaires (y compris les programmes temporisés)

      • Oui
      • Non
      • S.O.
    • 3.3

      Fluctuation des revenus: 

      • Oui
      • Non
      • S.O.
    • 3.4

      Pressions financières: 

      • Oui
      • Non

Les ministères et organismes devraient préciser et évaluer les risques financiers sur plusieurs années (triennal continu) comme partie de leurs approches à la planification financière et l’établissement du budget.

S.O.

Le ministère ou l’organisme répondra.

Aucune preuve n’est requise.

  • Pratique de gestion
    • Pratique

Gestion du contrôle interne

Énoncé des résultats : La gérance des ressources publiques fait l’objet d’une gestion appropriée grâce à des contrôles internes fondés sur le risque.

Justification des questions ci-après : On entend par contrôles internes un ensemble de moyens que les organisations mettent en œuvre pour atténuer le risque et offrir des garanties raisonnables dans les grandes catégories suivantes : 

  • l’efficacité et l’efficience des programmes, les activités et la gestion des ressources, y compris la sauvegarde des actifs;
  • la fiabilité des rapports financiers; et
  • la conformité aux lois, règlements, politiques et pouvoirs délégués.

Selon la Politique sur le contrôle interne, une évaluation annuelle fondée sur le risque du système de gestion des contrôles internes des rapports financiers doit être effectuée pour établir l’efficacité continue.

Les paiements en souffrance et le paiement des intérêts connexes sont un problème fréquent relativement aux fournisseurs, les petits fournisseurs en particulier. Il s’agit d’une question de conformité à la Directive sur les demandes de paiement et le contrôle des chèques.

Le classement chronologique des comptes débiteurs permet de déterminer depuis combien de temps les sommes sont dues à l’État. Selon la Directive sur la gestion des comptes débiteurs, il est attendu que les ministères enregistre et procède au recouvrement des comptes débiteurs.

L’inscription des engagements est une mesure de contrôle importante pour s’assurer qu’un solde non grevé suffisant est disponible avant d’autoriser les dépenses prévues. Selon la Directive sur les demandes de paiement et le contrôle des chèques, il est attendu que les ministères déposent un engagement pour toutes les dépenses prévues, y compris pour les mesures de dotation.

Gestion des comptes débiteurs
Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Quel est le pourcentage des comptes débiteurs non fiscaux bruts du ministère ou de l’organisme qui, au , étaient en suspens depuis: 

    • 0 à 30 jours
    • 31 à 60 jours
    • 61 à 90 jours
    • 91 à 365 jours
    • plus de 365 jours

Les ministères et organismes devraient procéder au recouvrement des comptes débiteurs et, lorsque des comptes sont jugés irrécouvrables, intervenir en temps opportun quant à la radiation des dettes, à leur remise, à la renonciation à celles-ci ou à la dispense de ces dernières.

Directive sur la gestion des comptes débiteurs, sections, 6.1.6 et 6.1.9

Le SCT répondra à l’aide des données existantes des organismes centraux (Système de préparation des Comptes publics).

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement

Capacité de la collectivité de la gestion financière

Énoncé des résultats : Renforcer la gestion financière au sein de la fonction publique et son leadership dans la communauté financière et au sein des ministères, de manière à contribuer à la gérance des ressources publiques, à l’efficacité des processus décisionnels et à l’exécution des politiques et des programmes.

Justification des questions ci-après : La capacité de la collectivité financière est essentielle à l’appui d’une fonction financière ministérielle adéquate.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Est-ce que le contrôleur général a été informé de la nomination (y compris les affectations intérimaires de plus de six mois), du transfert ou du départ du dirigeant principal des finances (DPF)?

    • Oui
    • Non
    • S.O. (Pas de nomination (incluant une nomination intérimaire de plus de 6 mois), de transfert ou de départ entre le et le )

Les organisations doivent veiller à aviser le contrôleur général de la nomination, du transfert ou du départ du Dirigeant principal des finances (DFP).

Politique sur la gouvernance en matière de gestion financière, section 5.1.8

Le ministère ou l’organisme répondra.

Aucune preuve n’est requise.

  • Pratique de gestion
    • Conformité avec les politiques
  1. Le ministère ou l’organisme a-t-il établi des plans de relève pour les postes de gestion financière clés?

    • 6.1

      Poste de DPF

      • Oui
      • Non
    • 6.2

      Poste d’adjoint au DPF

      • Oui
      • Non
    • 6.3

      Autres postes clés: 

      • Oui
      • Non
      • S.O.

Les ministères et organismes devraient établir des plans de relève pour les postes de gestion financière clés.

S.O.

Le ministère ou l’organisme répondra.

Aucune preuve n’est requise.

  • Pratique de gestion
    • Pratique

Gestion des personnes

Effectif, culture du travail et milieu de travail

Énoncé des résultats : S’assurer que la fonction publique demeure une fonction publique bilingue, diversifiée, professionnelle et non partisane, guidée par nos valeurs durables du secteur public.

Milieu de travail diversifié et inclusif

Une culture de milieu de travail acceptable favorise le respect, l’inclusion et la diversité et adopte les compétences et les qualités uniques de ses employés.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie

Mesures 7 à 10 : Représentation, recrutement, promotion et départ des groupes visés par l’équité en emploi.

Justification : 

Évaluer la mesure dans laquelle les ministères et organismes satisfont aux obligations législatives de la Loi sur l’EE.

Interprétation de la mesure : 

  • Les ministères et organismes doivent s’efforcer d’atteindre un niveau de représentation et d’embauche des groupes visés par l’équité en emploi qui atteint ou qui dépasse le nombre de personnes disponibles sur le marché du travail.

Calcul : 

Cette mesure est calculée et affichée séparément pour chacun des quatre groupes désignés.

Représentation : 

Nombre de membres de groupe désigné

divisé par

Nombre total d’employés

Durée des fonctions de l’employé : Employés nommés pour une période indéterminée (incluant les employés saisonniers) et employés nommés pour une période déterminée qui ont été nommés ou mutés dans l’organisation depuis plus de trois mois consécutifs, à l’exclusion des employés occasionnels.

Situation de l’employé : En service

Période : Évaluation ponctuelle en date du

Recrutement : 

Nombre de membres d’un groupe désigné recrutés

divisé par

Nombre total d’employés recrutés

Durée des fonctions de l’employé : Nouveaux employés nommés pour une période indéterminée (incluant les employés saisonniers) et employés nommés pour une période déterminée qui ont été nommés ou mutés dans l’organisation depuis plus de trois mois consécutifs, à l’exclusion des employés occasionnels.

Situation de l’employé : S.O.

Période : Du au

  1. Quelles sont les proportions de représentation, de recrutement, de promotion et de départ des femmes dans votre ministère ou organisme?

    • 7.1

      Représentation des femmes

    • 7.2

      Recrutement des femmes

Voir l’interprétation dans la section en gris ci-dessus.

La Loi sur l’équité en matière d’emploi et la Politique sur l’équité en emploi

Fichier de données sur le titulaire et Banque de données sur l’équité en emploi

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Quelles sont les proportions de représentation, de recrutement, de promotion et de départ des peuples autochtones dans votre ministère ou organisme?

    • 8.1

      Représentation des peuples autochtones

    • 8.2

      Recrutement des peuples autochtones

Voir l’interprétation dans la section en gris ci-dessus.

La Loi sur l’équité en matière d’emploi et la Politique sur l’équité en emploi

Fichier de données sur le titulaire et Banque de données sur l’équité en emploi

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Quelles sont les proportions de représentation, de recrutement, de promotion et de départ des personnes handicapées dans votre ministère ou organisme?

    • 9.1

      Représentation des personnes handicapées

    • 9.2

      Recrutement des personnes handicapées

Voir l’interprétation dans la section en gris ci-dessus.

La Loi sur l’équité en matière d’emploi et la Politique sur l’équité en emploi

Fichier de données sur le titulaire et Banque de données sur l’équité en emploi

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Quelles sont les proportions de représentation, de recrutement, de promotion et de départ des minorités visibles dans votre ministère ou organisme?

    • 10.1

      Représentation des minorités visibles

    • 10.2

      Recrutement des minorités visibles

Voir l’interprétation dans la section en gris ci-dessus.

La Loi sur l’équité en matière d’emploi et la Politique sur l’équité en emploi

Fichier de données sur le titulaire et Banque de données sur l’équité en emploi

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
Milieu de travail respectueux et prévention du harcèlement

Une culture organisationnelle acceptable crée un milieu de travail respectueux, exempt de harcèlement et de discrimination.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Que fait l’organisme ou le ministère pour favoriser un milieu de travail respectueux?

    • Tenir des activités à l’échelle du ministère, comme des ateliers, des séances d’information ou des discussions de groupe
    • Offrir de la formation sur le leadership pour développer la responsabilisation et favoriser une culture éthique
    • Rendre la formation sur la prévention du harcèlement et/ou la communication respectueuse obligatoire pour tous les employés
    • Veiller à ce que des mécanismes faciles d’accès soient en place pour signaler et résoudre les incidents de harcèlement ou de discrimination

    Justification : 

    Donner un indicateur de la mesure dans laquelle les ministères et organismes satisfont à l’exigence de la Politique sur la prévention et la résolution du harcèlement pour veiller à ce que des activités de prévention soient mises en œuvre, et ce, non seulement pour favoriser un milieu de travail sans harcèlement, mais aussi pour résoudre les possibles situations de harcèlement.

Les ministères doivent favoriser un milieu de travail respectueux et exempt de harcèlement et de discrimination, en veillant à ce que des activités de prévention soient mises en œuvre.

Il est attendu que les employés ont amplement eu l’occasion d’en apprendre davantage sur les stratégies de prévention du harcèlement, le processus de plainte de harcèlement et leur droit à un milieu de travail sans harcèlement.

Politique sur la prévention et la résolution du harcèlement (consulter les sections 5.2 et 6.1)

Fait partie des priorités du Vingt-troisième rapport annuel au Premier ministre sur la fonction publique du Canada.

Demande ministérielle : 

Les ministères ou organismes doivent présenter des preuves qui démontrent le mieux possible leurs choix (une [1] preuve par choix).

Maximum de quatre (4) preuves

Exemples de preuves attendues: 

Sélection 1: Plan d’atelier, de séance d’information ou de discussion de groupe, invitation, ordre du jour, guide, manuel, capture d’écran de la page intranet du ministère;

Sélection 2: Guide de formation, invitation, capture d’écran de la page intranet du ministère;

Sélection 3: Description ou plan de cours ou d’atelier, capture d’écran de la page intranet du ministère qui souligne la formation obligatoire sur la prévention du harcèlement et/ou la communication respectueuse (nota : la preuve doit préciser qu’il s’agit d’une mesure obligatoire au sein du ministère);

Sélection 4: Capture d’écran de la page intranet du ministère, courriel envoyé aux employés décrivant les mécanismes mis en place, transcriptions des présentations.

  • Pratique de gestion
    • Pratique
Langues officielles

Une culture organisationnelle acceptable établit, reflète et maintient un environnement de travail propice à l’usage des deux langues officielles et dans lequel les employés sont incités à utiliser la langue officielle de leur choix.

Les leaders de l’organisation donnent l’exemple et favorisent l’atteinte de cet objectif. Les employés tiennent un rôle vital dans le respect des responsabilités relatives aux langues officielles de leur organisation, non seulement dans la prestation de services au public ou aux employés, mais aussi dans la communication avec eux. Diverses mesures sont utilisées pour mieux cerner les secteurs qui pourraient nécessiter de l’attention.

Important pour ce qui est des questions sur les langues officielles : Les ministères n’ont pas besoin de présenter de preuves ou de répondre aux questions, car ces renseignements sont fournis par le Bureau du dirigeant principal des ressources humaines (BDPRH) en fonction du Bilan sur les langues officielles pour 2015-2016 ou par l’entremise du Système d’information sur la classification des postes. Les ministères qui n’ont pas soumis d’informations pour le bilan annuel sur les langues officielles seront contactés par le Centre d’excellence en langues officielles.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Les profils linguistiques des postes bilingues correspondent-ils au travail des employés ou de leurs unités de travail, et tiennent-ils compte des obligations linguistiques relatives au service au public et à la langue de travail?

    Les résultats seront classés ainsi: Presque toujours (dans 90 p. 100 des cas ou plus); très souvent (entre 70 et 89 p. 100 des cas); souvent (entre 50 et 69 p. 100 des cas); quelquefois (entre 25 et 49 p. 100 des cas); presque jamais (moins de 25 p. 100des cas); ne s’applique pas (ne s’applique pas à votre organisation)

    Justification : 

    Cette question se penche sur la nécessité que les personnes qui conviennent et qui possèdent des compétences linguistiques appropriées fournissent les services au public et/ou assurent la supervision des employés, et ce, «en parfaite conformité avec la Loi sur les langues officielles», selon les priorités mises de l’avant dans la lettre de mandat du président. Cette question doit aussi permettre d’apporter certaines solutions aux préoccupations soulevées par le commissaire aux langues officielles (dans son dernier rapport annuel et dans le cadre de ses enquêtes) et qui découlent d’une augmentation des plaintes en vertu de l’article 91 de la Loi sur les langues officielles.

On s’attend à ce que les organisations respectent la Politique sur les langues officielles.

Exigences 6.2 et 6.3 de la Directive sur les langues officielles pour la gestion des personnes

Bilan annuel sur les langues officielles pour 2015‑2016

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

  • Pratique de gestion
    • Conformité avec les politiques
  1. Langues officielles dans les bureaux bilingues

    • 13.1

      Dans les bureaux désignés bilingues, les communications orales se font-elles dans la langue officielle choisie par le public?

    • 13.2

      Dans les bureaux désignés bilingues, les communications écrites se font-elles dans la langue officielle choisie par le public?

    Les réponses seront classées ainsi: Presque toujours (dans 90 p. 100 des cas ou plus); très souvent (entre 70 et 89 p. 100 des cas); souvent (entre 50 et 69 p. 100 des cas); quelquefois (entre 25 et 49 p. 100 des cas); presque jamais (moins de 25 p. 100des cas); ne s’applique pas (ne s’applique pas à votre organisation)

    Justification : 

    Cette question se penche sur l’une des priorités du président du Conseil du Trésor (CT), qui est de «veiller à ce que tous les services fédéraux soient offerts en parfaite conformité avec la Loi sur les langues officielles».

On s’attend à ce que les organisations respectent la Politique sur les langues officielles et la Directive sur les langues officielles pour les communications et services.

Exigence 6.2 de la Politique sur les langues officielles et la Directive sur les langues officielles pour les communications et services

Bilan annuel sur les langues officielles pour 2015‑2016

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

  • Pratique de gestion
    • Conformité avec les politiques
  1. Quel est le pourcentage de cadres occupant un poste désigné bilingue dans votre organisation dont les résultats d’évaluation de langue seconde ne sont pas expirés (lecture, écriture et oral)?

    Période: Évaluation ponctuelle en date du 31 mars 2016

    Durée des fonctions de l’employé : EX‑01 à EX‑05

    Situation de l’employé : Cadres supérieurs en service

    Justification : 

    Ces données fournissent des renseignements sur la mesure dans laquelle l’effectif de l’organisation maintient ses compétences en langue seconde au sein du groupe de la direction. De plus, ces données sont directement liées au rôle de leadership tenu par les dirigeants au sein de leurs organisations. Pour donner l’exemple, les dirigeants d’une organisation doivent être en mesure d’utiliser leurs compétences linguistiques dans leurs activités quotidiennes, créant ainsi un environnement propice à l’utilisation des deux langues officielles.

On s’attend à ce que les cadres supérieurs donnent l’exemple et qu’ils créent un environnement propice à l’utilisation des deux langues officielles. De plus, on s’attend à ce que les organisations respectent la Politique sur les langues officielles et la Directive sur les langues officielles pour la gestion des personnes.

La Politique sur les langues officielles et la Directive sur les langues officielles pour la gestion des personnes.

Système d’information sur les postes et la classification (SIPC)

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement

Santé en milieu de travail

Énoncé des résultats : Un milieu de travail sain est essentiel à la santé physique et psychologique des employés de la fonction publique fédérale. Un milieu de travail sain est aussi le fondement d’une fonction publique fédérale efficace, productive et engagée.

Justification des questions ci-après : Pour mesurer le recours aux jours de maladie et déterminer les tendances moyennes afin d’éclairer la prise de décisions.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Jours de maladie

    • 15.1

      Nombre moyen de jours de maladie payés avec attestation du médecin par équivalents temps plein

    • 15.2

      Nombre moyen de jours de maladie payés sans attestation du médecin par équivalents temps plein

    • 15.3

      Nombre moyen de jours de maladie payés avec attestation du médecin et sans attestation du médecin (totale) par équivalents temps plein

    Justification : 

    Pour mesurer le recours aux jours de maladie et déterminer les tendances moyennes afin d’éclairer la prise de décisions.

    Calcul de la mesure 15.1 : 

    Somme du nombre de jours de maladie payés avec attestation du médecin pris par les employés pendant la période

    divisé par

    Nombre d’équivalents temps plein pour une année entière (ETPAE)

    Calcul de la mesure 15.2 : 

    Somme du nombre de jours de maladie payés sans attestation du médecin pris par les employés pendant la période

    divisé par

    Nombre d’équivalents temps plein pour une année entière (ETPAE)

    Calcul de la mesure 15.3 : 

    Somme du nombre de jours de maladie payés avec attestation du médecin + somme du nombre de jours de maladie payés sans attestation du médecin pris par les employés pendant la période

    divisé par

    Nombre d’équivalents temps plein pour une année entière (ETPAE)

    Remarque : 

    Inclure seulement les codes de congé 205, 206, 210, 220 dans le calcul du nombre de jours de maladie payés.

    Le nombre d’ETPAE est calculé comme suit: 

    • La variable ETPAE (équivalents temps plein pour une année entière) convertit tous les employés en unités représentant un employé à temps plein travaillant pour l’année entière. Le calcul de l’équivalence ETPAE est basé sur un ratio entre la semaine désignée de travail et la semaine normale de travail selon la convention collective et la quantité de temps qu’un employé est actif sur une période de 12 mois.

    La formule employée est la suivante: 

    Nombre de périodes où l’employé est actif au cours d’une année donnée

    divisé par

    12 mois multiplié par Semaine désignée de travail

    divisé par

    Semaine de travail normale

    Il est important de noter que le nombre d’heures dans les semaines de travail normales assignées peut varier selon les employés. L’utilisation des congés par employé est convertie d’heures en jours sur la base individuelle d’après la semaine de travail assignée. Cela signifie que le nombre d’heures contenues dans une journée de travail peut varier en fonction de l’employé. Cependant, la moyenne de la conversion de la journée est proche de 7,5 heures.

    Durée des fonctions de l’employé : employés nommés pour une période indéterminée et employés nommés pour une période déterminée (période de plus de 3 mois)

    Situation de l’employé : Employés en service

    Période: Du au

Les organisations devraient s’efforcer de maintenir de faibles taux de congé de maladie. L’utilisation des congés de maladie est demeurée relativement stable en 2012-2013 et 2013-2014 pour les grands et les petits ministères et organismes, soit à un peu plus de 11,0 jours.

S.O.

Système de rapports sur les congés des employés

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Que fait le ministère ou l’organisme pour appuyer la tenue en milieu de travail d’un dialogue sur la santé mentale qui soit ouvert et sans préjugés?

    • Élaborer un plan d’action sur la santé mentale
    • Nommer un champion de la santé mentale
    • Éduquer et outiller les gestionnaires, les superviseurs et les membres des comités de santé et sécurité au travail (SST), au moyen de séances d’information, entre autres
    • Offrir des séances de sensibilisation à la santé mentale aux employés, y compris des services de soutien en santé mentale en milieu de travail

    Justification : 

    La santé mentale demeure l’une des priorités, et la fonction publique doit faire preuve de leadership au moment de bâtir un milieu de travail sain, respectueux et solidaire où des mesures concrètes sont prises pour soutenir un dialogue sur la santé mentale qui soit ouvert et sans préjugés. Le gouvernement du Canada publiera une stratégie de santé mentale pour la fonction publique fédérale. Dans le cadre de cette stratégie, les organisations devront, d’une part, élaborer et mettre en œuvre des plans d’action sur la santé mentale, et, d’autre part, rendre compte des efforts qui auront été déployés au cours du cycle de gestion du rendement 2016‑2017.

La fonction publique doit faire preuve de leadership au moment de bâtir un milieu de travail sain, respectueux et solidaire où des mesures concrètes sont prises pour soutenir un dialogue sur la santé mentale qui soit ouvert et sans préjugés. Le gouvernement du Canada publiera une stratégie de santé mentale pour la fonction publique fédérale. Dans le cadre de cette stratégie, les organisations devront, d’une part, élaborer et mettre en œuvre des plans d’action sur la santé mentale, et d’autre part, rendre compte des efforts qui auront été déployés au cours du cycle de gestion du rendement 2016‑2017.

Des milieux de travail respectueux où la santé mentale est au premier plan: Vingt-troisième rapport du greffier au premier ministre.

Demande ministérielle : 

Les ministères ou organismes doivent soumettre des preuves qui appuient leurs sélections. Une (1) preuve par sélection.

Maximum de quatre (4) preuves

Sélection 1: Plan d’action ministériel en santé mentale;

Sélection 2: Capture d’écran de la page intranet du ministère (une page où figure un champion responsable de la santé mentale), communications transmises aux employés qui présentent le champion en santé mentale;

Sélection 3: Guide ou manuel destiné aux gestionnaires, aux superviseurs et aux membres des comités de SST, communications aux gestionnaires, aux superviseurs et aux membres des comités de SST;

Sélection 4: Documentation transmise aux employés lors des séances d’information, communications aux employés, capture d’écran de la page intranet ministérielle qui mentionne le soutien offert aux employés.

  • Pratique de gestion
    • Pratique

Gestion du rendement, apprentissage et perfectionnement des employés

Énoncé des résultats : Un effectif qualifié et agile ayant les compétences et la souplesse requises pour répondre aux besoins d’une fonction publique en évolution.

Gestion du rendement et des talents pour les cadres supérieurs

Énoncé des résultats : Une gestion du rendement et des talents réussie facilite la réalisation des objectifs stratégiques et opérationnels. Afin que le processus fonctionne, les employés doivent le comprendre et en saisir l’objet et être témoins de son applicabilité au jour le jour.

Justification des questions ci-après : Les données des mesures ci-dessous seront tirées du Système de gestion du rendement et du Système de gestion des talents des cadres supérieurs. Dans certaines circonstances particulières, la totalité ou un sous-ensemble d’employés d’un ministère ou organisme pourraient ne pas utiliser les systèmes de gestion du rendement. Ces ministères ou organismes pourraient devoir soumettre les données exigées dans le cadre de leur présentation.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie

Notes du tableau 9

Note 1 du tableau 9

Ou classifications équivalentes dans le cas des organisations qui ne font pas partie de l’administration publique centrale et qui ont un système de classification différent

Retour à la référence de la note * du tableau 9

  1. Quel est le pourcentage (p. 100) de cadres (EX‑03 à EX‑05) qui ont répondu à un questionnaire portant sur la gestion des talents?

    Justification : 

    Donner un indicateur de la mesure dans laquelle les administrateurs généraux satisfont à l’exigence en matière de gouvernance qui consiste à participer à l’exercice annuel de gestion des talents qui s’adresse aux sous-ministres adjoints (SMA) et au groupe de relève EX‑03 des SMA.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre de EX-03 à EX-05Note * du tableau 9 au sein de l’organisation dont les questionnaires sur la gestion des talents sont à l’état « Présenté au BDPRH » dans le Système de gestion des talents des cadres supérieurs.

    divisé par

    Nombre de EX-03 à EX-05Note * du tableau 9 au sein de l’organisation.

    Période : Cycle de gestion du rendement 2015‑2016

    Date de l’extraction: Septembre 2016

    Situation de l’employé: Cadres supérieurs actifs nommés pour une période déterminée ou indéterminée de niveau EX-03 à EX-05

Les organisations devraient s’efforcer d’avoir un taux de réponse d’au moins 90 p. 100 pour le questionnaire sur la gestion des talents.

S.O.

Système de gestion des talents des cadres supérieurs

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

Dans certaines circonstances particulières, la totalité ou un sous-ensemble d’employés d’un ministère ou organisme pourraient ne pas utiliser le système. Ces ministères et organismes pourraient devoir soumettre les données exigées dans le cadre de leur présentation.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
Gestion du rendement et des talents pour les gestionnaires autres que les cadres supérieurs
Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie

Notes du tableau 10

Note 1 du tableau 10

Le ministère de la Défense nationale, la Garde côtière canadienne et certaines populations spéciales utilisent des ententes de rendement sur papier pour présenter leurs données au BDPRH.

Retour à la référence de la note * du tableau 10

  1. Quel est le pourcentage (p. 100) des employés de votre organisation qui possèdent des documents permettant d’établir des attentes/objectifs de rendement?

    Justification : 

    Évaluer la mesure dans laquelle les ministères et organismes satisfont aux exigences de la Directive sur la gestion du rendement du CT.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre d’employés qui possèdent des documents permettant d’établir des attentes (objectifs) de rendement

    divisé par

    Nombre total d’employés multiplié par 100 p. 100

    Durée des fonctions de l’employé : Employés nommés pour une période indéterminée et employés nommés pour une période déterminée de plus de trois mois (n’inclut pas les cadres)

    Situation de l’employé : Employés en service

    Période : Cycle actuel de gestion du rendement

    Date d’extraction des données: Novembre 2016

Les organisations devraient s’efforcer de faire en sorte que 100 p. 100 des employés possèdent des documents permettant d’établir des objectifs de rendement.

Directive sur la gestion du rendement

Application de gestion du rendement de la fonction publique (GRFP)Note * du tableau 10

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Quel est le pourcentage (p. 100) des employés de votre organisation qui possèdent des documents permettant d’établir des objectifs d’apprentissage (plan d’apprentissage et de perfectionnement)?

    Justification : 

    Évaluer la mesure dans laquelle les ministères et organismes satisfont aux exigences de la Directive sur la gestion du rendement du CT.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre d’employés qui possèdent des documents permettant d’établir des objectifs d’apprentissage (plan d’apprentissage et plan de perfectionnement)

    divisé par

    Nombre total d’employés multiplié par 100 p. 100

    Durée des fonctions de l’employé : Employés nommés pour une période indéterminée et employés nommés pour une période déterminée de plus de trois mois (n’inclut pas les cadres)

    Situation de l’employé : Employés en service

    Période : Cycle actuel de gestion du rendement

    Date d’extraction des données: 

Les organisations devraient s’efforcer de faire en sorte que 100 p. 100 des employés possèdent des documents permettant d’établir des objectifs d’apprentissage.

Directive sur la gestion du rendement

Application de GRFPNote * du tableau 10

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Quel est le pourcentage (p. 100) des employés de votre organisation qui ont un ou des entretiens semestriels avec leur superviseur immédiat aux fins de l’examen du rendement?

    Justification : 

    Évaluer la mesure dans laquelle les ministères et organismes satisfont aux exigences de la Directive sur la gestion du rendement du CT.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre d’employés qui ont eu un ou des entretiens semestriels avec leur superviseur immédiat aux fins de l’examen du rendement

    divisé par

    Nombre total d’employés multiplié par 100 p. 100

    Durée des fonctions de l’employé : Employés nommés pour une période indéterminée et employés nommés pour une période déterminée de plus de trois mois (n’inclut pas les cadres)

    Situation de l’employé : Employés en service

    Période : Cycle actuel de gestion du rendement

    Date d’extraction des données : 

Les organisations devraient s’efforcer de faire en sorte que 100 p. 100 des employés aient un entretien semestriel avec leurs superviseurs immédiats aux fins d’examen du rendement.

Directive sur la gestion du rendement

Application de GRFPNote * du tableau 10

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure et assurer la plus grande participation possible au processus de gestion du rendement.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement
  1. Quel est le pourcentage (p. 100) des employés avec une évaluation annuelle du rendement écrite terminée?

    Justification : 

    Évaluer la mesure dans laquelle les ministères et organismes satisfont aux exigences de la Directive sur la gestion du rendement du CT.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre d’employés qui ont complété une évaluation annuelle du rendement écrite

    divisé par

    Nombre total d’employés multiplié par 100 p. 100

    Durée des fonctions de l’employé : Employés nommés pour une période indéterminée et employés nommés pour une période déterminée de plus de trois mois (n’inclut pas les cadres)

    Situation de l’employé : Employés en service

    Période : Le plus récent cycle complété de gestion du rendement

    Date d’extraction des données : 

Les organisations devraient s’efforcer de faire en sorte que 100 p. 100 des employés aient rempli une évaluation annuelle du rendement écrite.

Directive sur la gestion du rendement

Application de GRFPNote * du tableau 10

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les employeurs distincts évalués dans le CRG doivent présenter tous les éléments de données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Indicateur de rendement

Normes de service

La Politique sur les services du CT définit une norme de service comme : « Engagement public de fournir un niveau de service mesurable auquel les clients peuvent s’attendre dans des conditions normales »

Énoncé des résultats : Atteindre l’excellence dans les services de gestion des ressources humaines afin d’assurer qu’ils sont efficaces et axés sur le client.

Justification des questions ci-après : Les descriptions d’emploi génériques et normalisées peuvent aider les ministères et organismes à : réduire le temps ou l’effort nécessaire pour rédiger, classer et mettre à jour ses descriptions d’emploi; simplifier l’embauche, la dotation, le perfectionnement professionnel et les efforts consacrés à l’apprentissage; faciliter la mobilité au sein d’un groupe professionnel; etc.

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Quel est le pourcentage des postes qui ont une description d’emploi générique ou normalisée?

    Justification : 

    Les descriptions d’emploi génériques et normalisées peuvent aider les ministères et organismes à: réduire le temps ou l’effort nécessaire pour rédiger, classer et mettre à jour ses descriptions d’emploi; simplifier l’embauche, la dotation, le perfectionnement professionnel et les efforts consacrés à l’apprentissage; faciliter la mobilité au sein d’un groupe professionnel; etc.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre de postes qui ont une description d’emploi générique ou normalisée

    divisé par

    Nombre total de postes

    Période: Évaluation ponctuelle en date du .

Année de référence

S.O.

Secrétariat du Conseil du Trésor

Aucun élément probant ne doit être soumis pour cette mesure.

Les organismes distincts doivent présenter des données pour cette mesure.

  • Rendement de la gestion
    • Mesure de service interne

Gestion de l’information et gestion de la technologie de l’information (GI-TI)

Régie de la GI

Énoncé des résultats : Les ministères et organismes élaborent et mettent en œuvre des stratégies et des plans pour gérer efficacement les actifs informationnels aux fins de la prestation des programmes et services et l’exécution des initiatives prioritaires du gouvernement du Canada (GC)

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Quel est le degré de maturité de la tenue des documents dans le ministère ou l’organisme déterminé au moyen de l’Outil d’évaluation de la tenue des documents (OETD)?

    Justification : 

    Donne une vue d’ensemble de l’état de la tenue des documents dans le ministère ou l’organisme en indiquant les progrès réalisés, les lacunes et les enjeux en vue de la mise en œuvre de la Directive sur la tenue de documents

    Calcul de la mesure : 

    Résultats de l’autoévaluation réalisée à l’aide de l’Outil d’évaluation de la tenue des documents mis à disposition par l’entremise du Portail des applications du SCT le ou avant cette date.

La date limite de conformité avec la Directive sur la tenue des documents était le . Le seuil de conformité est de 100 %.

Directive sur la tenue des documents

Réponse à fournir par le SCT.

Limite de document : 0

  • Gestion du rendement
    • Indicateur du rendement
  1. Quel est le pourcentage de l’élimination prévue des documents sur papier qui a été atteint au cours de l’exercice financier de 2015-2016?

    Justification : 

    Indique la mesure dans laquelle le ministère ou l’organisme exerce les pouvoirs délégués en matière de disposition pour réduire la surabondance de documents papier. Donne un aperçu du degré de risque lié à l’accès à l’information (AI) et aux divulgations à des fins juridiques encourus par le ministère ou l’organisme si les autorisations de disposer ne sont pas appliquées.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre de RDVO sur papier qui ont été éliminées entre le et le

    divisé par

    Nombre de RDVO sur papier dont la période de conservation a expiré le ou avant et que le ministère ou l’organisme a le pouvoir d’éliminer

    Remarquez : 

    Si le ministère ou l’organisme ne possède pas de processus formel documenté pour l’élimination des ressources documentaires sur papier applicable pour l’exercice financier de 2015-2016, indiquer zéro (0) comme réponse. Si un ministère ou organisme n’est pas en mesure de déterminer le nombre de RDVO sur papier dont la période de conservation a expiré le ou avant et qu’il a le pouvoir d’éliminer, indiquer zéro (0) comme réponse. Si un ministère ou organisme n’a pas prévu d’éliminer de RDVO sur papier pendant l’exercice financier de 2015-2016, indiquer zéro (0) comme réponse. Le processus d’élimination documenté présenté comme preuve pour la question 3 sera utilisé comme preuve pour la question 4.

On s’attend à ce que le pourcentage de l’élimination prévue des documents sur papier en 2015-2016 sera plus élevé que le pourcentage achevé en 2014-2015. Directive sur la tenue des documents, 6.1.3

Plan d’élimination applicable pour l’exercice financier de 2015-2016

Registre d’élimination du papier/suivi des activités pour l’exercice financier de 2015-2016

Limite de document : 2

  • Gestion du rendement
    • Services internes de mesure
  1. Quel est le pourcentage de l’élimination prévue des ressources documentaires électroniques qui a été atteint au cours de l’exercice financier de 2015-2016?

    Justification : 

    Indique la mesure dans laquelle le ministère ou l’organisme exerce les pouvoirs délégués en matière de disposition pour réduire la surabondance de renseignements électroniques. Donne un aperçu du degré de risque lié à l’AI et aux divulgations à des fins juridiques encouru par le ministère ou l’organisme si les autorisations de disposer ne sont pas appliquées.

    Calcul de la mesure : 

    Nombre de RDVO électroniques qui ont été éliminées entre le et le

    divisé par

    Nombre de RDVO électroniques dont la période de conservation a expiré le ou avant et que le ministère ou l’organisme a le pouvoir d’éliminer

    Remarquez : 

    Si le ministère ou l’organisme ne possède pas de processus formel documenté pour l’élimination des ressources documentaires électroniques applicable pour l’exercice financier de 2015-2016, indiquer zéro (0) comme réponse. Si un ministère ou organisme n’est pas en mesure de déterminer le nombre de RDVO électroniques dont la période de conservation a expiré le 31 mars 2016 ou avant et qu’il a le pouvoir d’éliminer, indiquer zéro (0) comme réponse. Si un ministère ou organisme n’a pas prévu d’éliminer de RDVO électroniques pendant l’exercice financier de 2015-2016, indiquer zéro (0) comme réponse. Le processus d’élimination documenté présenté comme preuve pour la question 3 sera utilisé comme preuve pour la question 4.

On s’attend à ce que le pourcentage de l’élimination prévue des ressources documentaires électroniques en 2015-2016 sera plus élevé que le pourcentage achevé en 2014-2015. Directive sur la tenue des documents, 6.1.3

Registre d’élimination électronique/suivi des activités pour l’exercice financier de 2015-2016

Limite de document : 1

  • Gestion du rendement
    • Indicateur du rendement

Habilitation des programmes et des services de la GI

Énoncé de résultat : On utilise efficacement les ressources documentaires à l’appui des programmes et services du ministère ou de l’organisme

Indicateurs et méthode de calcul (le cas échéant) Résultat attendu Renvoi à la politique Source de preuve et limite de documents Catégorie
  1. Est-ce que le répertoire de données du ministère ou de l’organisme a été complété?

    • Oui
    • Non

    Justification : 

    Confirme qu’un des éléments fondamentaux du gouvernement ouvert est en place afin d’appuyer les initiatives sur la responsabilité, la transparence et la prise de décision informée.

    Calcul de la mesure : 

    Publication du répertoire de données dans ouvert.canada.ca le ou avant cette date.

Le répertoire de données complété devait être publié dans ouvert.canada.ca le ou avant cette date.

Directive sur le gouvernement ouvert, 6.3

Réponse à fournir par le SCT.

Limite de document : 0

  • Pratique de gestion
    • Conformité à la politique
  1. Combien de jeux de données le ministère ou l’organisme a-t-il publiés dans le site ouvert.canada.ca?

    Justification : 

    Donne une vue d’ensemble des progrès réalisés par le ministère ou l’organisme à l’égard de la maximisation de la publication des données du GC pour les Canadiens et les Canadiennes.

    Calcul de la mesure : 

    Le nombre total de jeux de données reçus par le SCT à des fins de publication par un ministère ou organisme dans ouvert.canada.ca le ou avant cette date.

On s’attend à ce que le nombre de jeux de données publiés en 2015-2016 sera plus grand qu’en 2015-2016.

Directive sur le gouvernement ouvert, 6.1

Réponse à fournir par le SCT.

Limite de document : 0

  • Pratique de gestion
    • Conformité à la politique

Glossaire

Bureau du contrôleur général (BCG)

Le contrôleur général a la responsabilité de fournir orientation fonctionnelle et assurance en matière de gestion financière, de vérification interne, de planification des investissements, d’approvisionnement, de gestion de projets et de gestion du matériel et des biens immobiliers à l’échelle du gouvernement.

Le Bureau du contrôleur général assiste le contrôleur général du Canada en veillant à l’instauration de politiques, normes et pratiques qui soient saines, en supervisant le rendement et la conformité à l’échelle du gouvernement ainsi qu’en créant des collectivités dynamiques et en assurant leur maintien grâce à une gamme d’activités de recrutement et de perfectionnement.

Plan d’élimination
Processus opérationnels documentés approuvés à l’interne qui décrivent la méthodologie d’élimination des ressources documentaires à valeur opérationnelle (RDVO) de tous les formats. Il peut exister des variantes concernant les règles et les étapes dans le cas de certaines ressources documentaires précises.
Registre d’élimination/suivi d’activités
Preuve qui quantifie les progrès réalisés dans la mise en œuvre d’un plan d’élimination d’un ministère ou d’un organisme concernant les RDVO dont les périodes de conservation sont expirées et que le ministère ou l’organisme a le pouvoir d’éliminer.
Système de gestion financière (SGF)

Le SGF est une combinaison de processus opérationnels (de bout en bout, automatisés et manuels), de procédures, de contrôles, de données et d’applications logicielles répartis selon les catégories suivantes: systèmes ministériels de gestion des finances et du matériel (SMGFM), ou systèmes de programme ou systèmes centraux produisant de l’information financière et de l’information non financière connexe.

Les systèmes de gestion financière servent à l’une ou l’autre des fins suivantes: 

  • collecte, traitement, tenue, transmission et déclaration de données sur les activités financières et reddition de comptes sur les actifs, passifs et avoirs connexes;
  • soutien des activités de gestion financière, de planification, de budgétisation et de prise de décisions;
  • collecte des données sur les coûts et rapports connexes; ou
  • appui de l’élaboration de rapports internes et externes tels que les états financiers ministériels et l’information pour les Comptes publics du Canada.
Transformation de la gestion financière (TGF)
La TGF s’inscrit dans un effort dirigé par les activités de l’ensemble du gouvernement du Canada qui vise à changer fondamentalement la façon dont la fonction de gestion des finances appuie la gestion de l’organisation et la prise de décisions pour soutenir l’exécution efficace des programmes et le service aux Canadiens.

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