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Projets à l’étude

Ce sont des projets jugés d’importance nationale, et ont été soumis au Bureau des grands projets pour une évaluation plus approfondie et des consultations supplémentaires. Le Bureau des grands projets continuera de travailler avec les promoteurs, les provinces, les territoires et les peuples autochtones pour trouver la bonne voie à suivre pour ces projets.

D'autres projets seront annoncés dans les prochains mois.

LNG Canada - phase 2

Promoteur

LNG Canada

Secteur

Énergie

Emplacement

Kitimat, C-B

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet doublerait la production de gaz naturel liquéfié de LNG Canada, ce qui en ferait la deuxième plus grande installation du genre au monde. On s’attend à ce qu’il attire au Canada 33 milliards de dollars en capitaux du secteur privé, qu’il contribue à la croissance de notre PIB et qu’il soutienne l’emploi et la croissance économique dans les collectivités locales. Il fournira de l’énergie canadienne à faible intensité en carbone sur les marchés mondiaux et contribuera à diversifier les partenaires commerciaux du Canada, y compris ceux dont la demande énergétique augmente en Asie et en Europe. Le Bureau des grands projets veillera à ce que les travaux finaux sur LNG Canada ouvrent la voie à d’autres promoteurs de projets de GNL qui sont stratégiques pour le pays.

Dernière mise à jour

Le Budget de 2025 propose des mesures importantes pour améliorer la compétitivité des projets canadiens de GNL, ce qui comprend la phase 2 de LNG Canada. Des modifications seraient ainsi apportées à la Loi sur la Régie canadienne de l’énergie afin de faire passer la durée maximale des licences d’exportation de GNL de 40 à 50 ans, ce qui offrira aux promoteurs une plus grande certitude quant à leur capacité à rentabiliser leurs investissements à long terme.

Le Budget de 2025 propose également de rétablir les déductions pour amortissement accéléré (DAA) pour les installations de GNL à faibles émissions de carbone, afin d’encourager la réalisation de projets de GNL ayant la meilleure intensité d’émissions dans leur catégorie. Plus précisément, les installations qui figurent dans la première tranche de 25 % pour ce qui est de leur rendement en matière d’émissions pourraient bénéficier de DAA de 30 % pour l’équipement de liquéfaction et de 10 % pour les bâtiments connexes; et celles qui se situent dans la première tranche de 10 % pourraient bénéficier de DAA de 50 % pour l’équipement de liquéfaction et de 10 % pour les bâtiments connexes de leurs installations de GNL.

LNG Canada - phase 2

 

Promoteur

LNG Canada

Secteur

Énergie

Emplacement

Kitimat, C-B

État

Renvoyé au BGP pour examen and consultation for designation

Description

Ce projet doublerait la production de gaz naturel liquéfié de LNG Canada, ce qui en ferait la deuxième plus grande installation du genre au monde. On s’attend à ce qu’il attire au Canada 33 milliards de dollars en capitaux du secteur privé, qu’il contribue à la croissance de notre PIB et qu’il soutienne l’emploi et la croissance économique dans les collectivités locales. Il fournira de l’énergie canadienne à faible intensité en carbone sur les marchés mondiaux et contribuera à diversifier les partenaires commerciaux du Canada, y compris ceux dont la demande énergétique augmente en Asie et en Europe. Le Bureau des grands projets veillera à ce que les travaux finaux sur LNG Canada ouvrent la voie à d’autres promoteurs de projets de GNL qui sont stratégiques pour le pays.

Dernière mise à jour

Le Budget de 2025 propose des mesures importantes pour améliorer la compétitivité des projets canadiens de GNL, ce qui comprend la phase 2 de LNG Canada. Des modifications seraient ainsi apportées à la Loi sur la Régie canadienne de l’énergie afin de faire passer la durée maximale des licences d’exportation de GNL de 40 à 50 ans, ce qui offrira aux promoteurs une plus grande certitude quant à leur capacité à rentabiliser leurs investissements à long terme.

Le Budget de 2025 propose également de rétablir les déductions pour amortissement accéléré (DAA) pour les installations de GNL à faibles émissions de carbone, afin d’encourager la réalisation de projets de GNL ayant la meilleure intensité d’émissions dans leur catégorie. Plus précisément, les installations qui figurent dans la première tranche de 25 % pour ce qui est de leur rendement en matière d’émissions pourraient bénéficier de DAA de 30 % pour l’équipement de liquéfaction et de 10 % pour les bâtiments connexes; et celles qui se situent dans la première tranche de 10 % pourraient bénéficier de DAA de 50 % pour l’équipement de liquéfaction et de 10 % pour les bâtiments connexes de leurs installations de GNL.

 
 

Projet de nouvelle centrale nucléaire de Darlington

Promoteur

Ontario Power Generation

Secteur

Énergie

Emplacement

Bowmanville, ON

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet fera du Canada le premier pays du G7 à se doter d’un petit réacteur modulaire (PRM) opérationnel. Une fois terminées, les quatre unités de PRM prévues à Darlington fourniront une énergie fiable, abordable et propre à 300 000 foyers, tout en rendant possible la création de 200 emplois bien rémunérés, en plus des 1 600 emplois générés pendant la construction. Le projet a le potentiel de positionner le Canada comme un chef de file mondial de la technologie des PRM qui sera utilisée partout au pays et exportée dès 2030.

Dernière mise à jour

Depuis septembre, le Fonds de croissance du Canada (FCC) et le Fonds ontarien pour la construction (FOC) ont annoncé des engagements d’au plus 3 milliards de dollars en capitaux propres pour financer le projet de nouvelle centrale nucléaire de Darlington, soit un maximum de 2 milliards de dollars de la part du FCC et jusqu’à 1 milliard de dollars de la part du FOC. Les projets seront majoritairement détenus et exploités par Ontario Power Generation, mais cet investissement réduira les risques liés à la construction et à l’exploitation de ces PRM – les premiers du genre – grâce à des accords financiers uniques et novateurs visant à partager temporairement certains risques qui limitent aujourd’hui l’intérêt du secteur privé. Cet investissement incitera le secteur privé et les communautés autochtones à investir dans le projet de nouvelle centrale nucléaire de Darlington au fil du temps.

Dans le Budget de 2025, le gouvernement du Canada a annoncé son intention de prendre des mesures législatives relativement au crédit d’impôt à l’investissement dans l’électricité propre – un crédit remboursable correspondant à 15 % du coût en capital des investissements admissibles dans l’équipement lié à la production d’électricité à faibles émissions, comme l’équipement nucléaire.

Nouveau projet nucléaire de Darlington

 

Promoteur

Ontario Power Generation

Secteur

Énergie

Emplacement

Bowmanville, ON

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet fera du Canada le premier pays du G7 à se doter d’un petit réacteur modulaire (PRM) opérationnel. Une fois terminées, les quatre unités de PRM prévues à Darlington fourniront une énergie fiable, abordable et propre à 300 000 foyers, tout en rendant possible la création de 200 emplois bien rémunérés, en plus des 1 600 emplois générés pendant la construction. Le projet a le potentiel de positionner le Canada comme un chef de file mondial de la technologie des PRM qui sera utilisée partout au pays et exportée dès 2030.

Dernière mise à jour

Depuis septembre, le Fonds de croissance du Canada (FCC) et le Fonds ontarien pour la construction (FOC) ont annoncé des engagements d’au plus 3 milliards de dollars en capitaux propres pour financer le projet de nouvelle centrale nucléaire de Darlington, soit un maximum de 2 milliards de dollars de la part du FCC et jusqu’à 1 milliard de dollars de la part du FOC. Les projets seront majoritairement détenus et exploités par Ontario Power Generation, mais cet investissement réduira les risques liés à la construction et à l’exploitation de ces PRM – les premiers du genre – grâce à des accords financiers uniques et novateurs visant à partager temporairement certains risques qui limitent aujourd’hui l’intérêt du secteur privé. Cet investissement incitera le secteur privé et les communautés autochtones à investir dans le projet de nouvelle centrale nucléaire de Darlington au fil du temps.

Dans le Budget de 2025, le gouvernement du Canada a annoncé son intention de prendre des mesures législatives relativement au crédit d’impôt à l’investissement dans l’électricité propre – un crédit remboursable correspondant à 15 % du coût en capital des investissements admissibles dans l’équipement lié à la production d’électricité à faibles émissions, comme l’équipement nucléaire.

 
 

Projet de terminal à conteneurs de Contrecœur

Promoteur

Administration portuaire de Montréal

Secteur

Industrie

Emplacement

Contrecœur, QC

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet permettra d’augmenter la capacité de manutention de conteneurs du Port de Montréal d’environ 60 % afin de doter le Canada de l’infrastructure commerciale dont il a besoin pour assurer le transport des marchandises, répondre à la demande croissante et diversifier les routes commerciales. Il exploitera les capacités de l’IA pour renforcer les chaînes d’approvisionnement, créer des milliers d’emplois et générer des retombées économiques durables partout au Québec et au Canada.

Dernière mise à jour

Le 29 septembre 2025, le Bureau des grands projets, la Banque de l’infrastructure du Canada et l’Administration portuaire de Montréal ont signé un protocole d’entente dans le but commun de faire progresser le projet de terminal à conteneurs de Contrecœur. Ce protocole d’entente prévoit que les parties travailleront ensemble pour financer le projet et veiller à ce que les exigences en matière d’autorisation et de réglementation soient respectées dans les délais impartis.

Par ailleurs, le 9 octobre 2025, le Port de Montréal a entamé les travaux préparatoires de son projet d’expansion et confié au consortium CTCGP (Constructeurs Terminal de Contrecœur Grand Projet), composé de Pomerleau et Aecon, la réalisation des travaux en eau du futur terminal à conteneurs. L’Administration portuaire de Montréal a également obtenu de Pêches et Océans Canada le permis autorisant la mise en œuvre du plan de compensation pour les herbiers d’alimentation du chevalier cuivré. Ce plan a été élaboré en conformité avec la Déclaration de décision et en consultation avec Pêches et Océans Canada, le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec, Environnement et Changement climatique Canada et les Premières Nations.

Projet de terminal à conteneurs de Contrecœur

 

Promoteur

Administration portuaire de Montréal

Secteur

Industrie

Emplacement

Contrecœur, QC

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet permettra d’augmenter la capacité de manutention de conteneurs du Port de Montréal d’environ 60 % afin de doter le Canada de l’infrastructure commerciale dont il a besoin pour assurer le transport des marchandises, répondre à la demande croissante et diversifier les routes commerciales. Il exploitera les capacités de l’IA pour renforcer les chaînes d’approvisionnement, créer des milliers d’emplois et générer des retombées économiques durables partout au Québec et au Canada.

Dernière mise à jour

Le 29 septembre 2025, le Bureau des grands projets, la Banque de l’infrastructure du Canada et l’Administration portuaire de Montréal ont signé un protocole d’entente dans le but commun de faire progresser le projet de terminal à conteneurs de Contrecœur. Ce protocole d’entente prévoit que les parties travailleront ensemble pour financer le projet et veiller à ce que les exigences en matière d’autorisation et de réglementation soient respectées dans les délais impartis.

Par ailleurs, le 9 octobre 2025, le Port de Montréal a entamé les travaux préparatoires de son projet d’expansion et confié au consortium CTCGP (Constructeurs Terminal de Contrecœur Grand Projet), composé de Pomerleau et Aecon, la réalisation des travaux en eau du futur terminal à conteneurs. L’Administration portuaire de Montréal a également obtenu de Pêches et Océans Canada le permis autorisant la mise en œuvre du plan de compensation pour les herbiers d’alimentation du chevalier cuivré. Ce plan a été élaboré en conformité avec la Déclaration de décision et en consultation avec Pêches et Océans Canada, le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec, Environnement et Changement climatique Canada et les Premières Nations.

 
 

Projet de mine de cuivre de Foran à McIlvenna Bay

Promoteur

Foran Mining

Secteur

Exploitation minière

Emplacement

Centre-est, SK

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet, situé dans l’une des ceintures minérales les plus riches du Canada, fournira du cuivre et du zinc afin de renforcer la position du Canada en tant que fournisseur mondial de minéraux critiques pour l’énergie propre, la fabrication de pointe et les infrastructures modernes. Il créera des centaines d’emplois, stimulera les économies locales et sera l’une des opérations les moins polluantes du genre.

Dernière mise à jour

Le 22 octobre, Foran a indiqué que le projet était achevé à environ 64 %, qu’il progressait conformément à l’échéancier en vue d’une production commerciale vers le milieu de l’année 2026, et qu’il continuait à respecter le budget établi.

Le Budget de 2025 propose d’étendre l’admissibilité au crédit d’impôt à l’investissement de 30 % pour la fabrication de technologies propres afin d’inclure l’équipement acceptable utilisé dans les projets miniers polymétalliques admissibles. Ces modifications seraient applicables rétroactivement à partir du 1er janvier 2024.

Projet de mine de cuivre de Foran à McIlvenna Bay

 

Promoteur

Foran Mining

Secteur

Exploitation minière

Emplacement

Centre-est, SK

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet, situé dans l’une des ceintures minérales les plus riches du Canada, fournira du cuivre et du zinc afin de renforcer la position du Canada en tant que fournisseur mondial de minéraux critiques pour l’énergie propre, la fabrication de pointe et les infrastructures modernes. Il créera des centaines d’emplois, stimulera les économies locales et sera l’une des opérations les moins polluantes du genre.

Dernière mise à jour

Le 22 octobre, Foran a indiqué que le projet était achevé à environ 64 %, qu’il progressait conformément à l’échéancier en vue d’une production commerciale vers le milieu de l’année 2026, et qu’il continuait à respecter le budget établi.

Le Budget de 2025 propose d’étendre l’admissibilité au crédit d’impôt à l’investissement de 30 % pour la fabrication de technologies propres afin d’inclure l’équipement acceptable utilisé dans les projets miniers polymétalliques admissibles. Ces modifications seraient applicables rétroactivement à partir du 1er janvier 2024.

 
 

Expansion de la mine Red Chris

Promoteur

Newmont Mining & Imperial Metals

Secteur

Exploitation minière

Emplacement

Nord-ouest, C-B

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce grand projet d’expansion permettra de prolonger de plus de 10 ans la durée de vie de la mine, d’augmenter de plus de 15 % la production annuelle de cuivre au Canada, d’employer près de 1 500 travailleurs pendant la période d’exploitation et jusqu’à environ 1 800 travailleurs pendant la période de construction, et de réduire de plus de 70 % les émissions de gaz à effet de serre lorsqu’il sera opérationnel. Ce projet, qui sera réalisé en étroite collaboration avec la Nation tahltan, constitue une étape importante dans le processus de réconciliation et le développement du potentiel du nord de la Colombie-Britannique. Il contribuera également à renforcer le rôle du Canada en tant que fournisseur fiable de cuivre et d’autres ressources essentielles à la fabrication mondiale et aux technologies d’énergie propre. Cette mine fait partie du Corridor essentiel de conservation du Nord-Ouest, une initiative qui sera maintenant à l’étude du BGP puisqu’elle présente des possibilités de mise en valeur des minéraux critiques, de transmission d’énergie propre et de leadership de la part des peuples autochtones et qu’elle pourrait donner lieu à une nouvelle zone de conservation de la taille de la Grèce.

Dernière mise à jour

Dans le Budget de 2025, le gouvernement a annoncé son intention de déposer un projet de loi visant à étendre l’admissibilité au crédit d’impôt à l’investissement de 30 % pour la fabrication de technologies propres afin d’inclure les activités minières polymétalliques. Ces modifications seraient applicables rétroactivement à partir du 1er janvier 2024.

Expansion de la mine Red Chris

 

Promoteur

Newmont Mining & Imperial Metals

Secteur

Exploitation minière

Emplacement

Nord-ouest, C-B

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce grand projet d’expansion permettra de prolonger de plus de 10 ans la durée de vie de la mine, d’augmenter de plus de 15 % la production annuelle de cuivre au Canada, d’employer près de 1 500 travailleurs pendant la période d’exploitation et jusqu’à environ 1 800 travailleurs pendant la période de construction, et de réduire de plus de 70 % les émissions de gaz à effet de serre lorsqu’il sera opérationnel. Ce projet, qui sera réalisé en étroite collaboration avec la Nation tahltan, constitue une étape importante dans le processus de réconciliation et le développement du potentiel du nord de la Colombie-Britannique. Il contribuera également à renforcer le rôle du Canada en tant que fournisseur fiable de cuivre et d’autres ressources essentielles à la fabrication mondiale et aux technologies d’énergie propre. Cette mine fait partie du Corridor essentiel de conservation du Nord-Ouest, une initiative qui sera maintenant à l’étude du BGP puisqu’elle présente des possibilités de mise en valeur des minéraux critiques, de transmission d’énergie propre et de leadership de la part des peuples autochtones et qu’elle pourrait donner lieu à une nouvelle zone de conservation de la taille de la Grèce.

Dernière mise à jour

Dans le Budget de 2025, le gouvernement a annoncé son intention de déposer un projet de loi visant à étendre l’admissibilité au crédit d’impôt à l’investissement de 30 % pour la fabrication de technologies propres afin d’inclure les activités minières polymétalliques. Ces modifications seraient applicables rétroactivement à partir du 1er janvier 2024.

 
 

Ligne de transport d’électricité de la côte nord

Promoteur

Hydro C-B

Secteur

Électricité

Emplacement

Nord-Ouest de la Colombie-Britannique

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet reliera le Corridor essentiel de conservation du Nord-Ouest, fournissant de l’électricité propre et à faible coût aux collectivités locales le long de la côte ouest. Il se jumèlera aux lignes de transport existantes de Prince George à Terrace, et vers le nord jusqu’à la sous-station Bob Quinn. Comme elle jumellera d’importantes lignes de transport, la Ligne de transport d’électricité de la côte nord favorisera la mise en place de nouveaux projets industriels transformateurs, dont le terminal de GNL Ksi Lisims et la mise en valeur des minéraux critiques dans le Triangle d’or. L’avantage de LTECN serait de renforcer l’accès aux télécommunications et à l’électricité des collectivités éloignées du nord-ouest de la Colombie-Britannique tout en favorisant la croissance propre des minéraux critiques et des projets de GNL axés sur l’exportation.

Cette zone est actuellement alimentée par 450 km de lignes de transport de 500 kilovolts (kV), mais une croissance importante et des investissements potentiels dans la région du Triangle d’or stimuleront la demande d’électricité propre – et cette expansion permettra à ces projets d’aller de l’avant.

Selon les estimations de la province, une fois en service, le projet permettra de créer des milliers d’emplois directs à temps plein, de générer des millions de dollars par année en recettes publiques annuelles et de mettre en place un corridor industriel d’énergie propre pour les générations à venir. De plus, il permettra d’éviter de deux à trois millions de tonnes d’émissions de carbone chaque année, ce qui appuiera la réalisation des objectifs climatiques du Canada tout en favorisant la croissance économique. En lien avec cette vision, le projet Grid Connect Yukon –Colombie-Britannique étendra les avantages encore plus au nord, en raccordant le réseau d’électricité distinct du Yukon au réseau canadien en passant par la Colombie-Britannique, ce qui accroîtra la sécurité énergétique du Yukon et alimentera en énergie propre les communautés longeant le corridor nord-ouest du Canada.

Pour veiller à ce que les décisions d’investissement concernant tous les éléments clés de l’infrastructure et des aires de conservation qui soutiennent le développement accéléré de la région du Triangle d’or puissent être prises, cette initiative a été soumise à l’examen du BGP, ce qui permettra d’établir un plan coordonné pour la région. Sous l’étendard du « Corridor essentiel de conservation du Nord-Ouest : Nord-Ouest de la Colombie-Britannique et Yukon », les investissements nécessaires seront évalués et accélérés afin que le potentiel de la région soit atteint.

Ligne de transport d’électricité de la côte nord

 

Promoteur

Hydro C-B

Secteur

Électricité

Emplacement

Nord-Ouest de la Colombie-Britannique

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet reliera le Corridor essentiel de conservation du Nord-Ouest, fournissant de l’électricité propre et à faible coût aux collectivités locales le long de la côte ouest. Il se jumèlera aux lignes de transport existantes de Prince George à Terrace, et vers le nord jusqu’à la sous-station Bob Quinn. Comme elle jumellera d’importantes lignes de transport, la Ligne de transport d’électricité de la côte nord favorisera la mise en place de nouveaux projets industriels transformateurs, dont le terminal de GNL Ksi Lisims et la mise en valeur des minéraux critiques dans le Triangle d’or. L’avantage de LTECN serait de renforcer l’accès aux télécommunications et à l’électricité des collectivités éloignées du nord-ouest de la Colombie-Britannique tout en favorisant la croissance propre des minéraux critiques et des projets de GNL axés sur l’exportation.

Cette zone est actuellement alimentée par 450 km de lignes de transport de 500 kilovolts (kV), mais une croissance importante et des investissements potentiels dans la région du Triangle d’or stimuleront la demande d’électricité propre – et cette expansion permettra à ces projets d’aller de l’avant.

Selon les estimations de la province, une fois en service, le projet permettra de créer des milliers d’emplois directs à temps plein, de générer des millions de dollars par année en recettes publiques annuelles et de mettre en place un corridor industriel d’énergie propre pour les générations à venir. De plus, il permettra d’éviter de deux à trois millions de tonnes d’émissions de carbone chaque année, ce qui appuiera la réalisation des objectifs climatiques du Canada tout en favorisant la croissance économique. En lien avec cette vision, le projet Grid Connect Yukon –Colombie-Britannique étendra les avantages encore plus au nord, en raccordant le réseau d’électricité distinct du Yukon au réseau canadien en passant par la Colombie-Britannique, ce qui accroîtra la sécurité énergétique du Yukon et alimentera en énergie propre les communautés longeant le corridor nord-ouest du Canada.

Pour veiller à ce que les décisions d’investissement concernant tous les éléments clés de l’infrastructure et des aires de conservation qui soutiennent le développement accéléré de la région du Triangle d’or puissent être prises, cette initiative a été soumise à l’examen du BGP, ce qui permettra d’établir un plan coordonné pour la région. Sous l’étendard du « Corridor essentiel de conservation du Nord-Ouest : Nord-Ouest de la Colombie-Britannique et Yukon », les investissements nécessaires seront évalués et accélérés afin que le potentiel de la région soit atteint.

 
 

Terminal de GNL Ksi Lisims

Promoteur

Western LNG, La Nation Nisg̱a’a, Rockies LNG Partners

Secteur

Énergie

Emplacement

Île Pearse, Colombie-Britannique

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Le Terminal de GNL KSI Lisims est un projet d’installation flottante de liquéfaction et d’exportation de gaz naturel qui serait situé sur la côte nord de la Colombie-Britannique, au sein du territoire visé par un traité moderne de la Nation Nisg̱a’a. Il s’agit d’un partenariat entre la Nation Nisg̱a’a, Western LNG et Rockies LNG. Conçu pour être l’une des installations de GNL les moins émettrices au monde, Ksi Lisims LNG vise à favoriser le développement économique durable et la prospérité durable dans le Nord-Ouest canadien.

Une fois entièrement électrifié, le projet deviendrait la deuxième installation de GNL en importance au Canada et l’une des installations de GNL ayant les émissions les plus faibles au monde, avec des émissions inférieures de 94 % à la moyenne mondiale. Ce projet devrait attirer des investissements de 30 milliards de dollars, créer des milliers d’emplois spécialisés et renforcer la position du Canada en tant qu’exportateur mondial de GNL.

Le 15 septembre 2025, l’installation de GNL a reçu les approbations fédérale et provinciale en matière d’évaluation environnementale, conformément à l’objectif « un projet, une évaluation ». L’examen du projet comprend également le projet de gazoduc de Prince Rupert de 800 kilomètres, qui assurera l’alimentation en gaz en vue de la liquéfaction, ainsi qu’une ligne de transport électrique de 95 kilomètres qui alimentera l’installation en électricité. KSI Lisims LNG propose de construire et d’exploiter jusqu’à deux structures flottantes qui, ensemble, exporteraient jusqu’à 22,4 milliards de mètres cubes de gaz naturel liquide par année.

Terminal de GNL Ksi Lisims

 

Promoteur

Western LNG, La Nation Nisg̱a’a, Rockies LNG Partners

Secteur

Énergie

Emplacement

Île Pearse, Colombie-Britannique

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Le Terminal de GNL KSI Lisims est un projet d’installation flottante de liquéfaction et d’exportation de gaz naturel qui serait situé sur la côte nord de la Colombie-Britannique, au sein du territoire visé par un traité moderne de la Nation Nisg̱a’a. Il s’agit d’un partenariat entre la Nation Nisg̱a’a, Western LNG et Rockies LNG. Conçu pour être l’une des installations de GNL les moins émettrices au monde, Ksi Lisims LNG vise à favoriser le développement économique durable et la prospérité durable dans le Nord-Ouest canadien.

Une fois entièrement électrifié, le projet deviendrait la deuxième installation de GNL en importance au Canada et l’une des installations de GNL ayant les émissions les plus faibles au monde, avec des émissions inférieures de 94 % à la moyenne mondiale. Ce projet devrait attirer des investissements de 30 milliards de dollars, créer des milliers d’emplois spécialisés et renforcer la position du Canada en tant qu’exportateur mondial de GNL.

Le 15 septembre 2025, l’installation de GNL a reçu les approbations fédérale et provinciale en matière d’évaluation environnementale, conformément à l’objectif « un projet, une évaluation ». L’examen du projet comprend également le projet de gazoduc de Prince Rupert de 800 kilomètres, qui assurera l’alimentation en gaz en vue de la liquéfaction, ainsi qu’une ligne de transport électrique de 95 kilomètres qui alimentera l’installation en électricité. KSI Lisims LNG propose de construire et d’exploiter jusqu’à deux structures flottantes qui, ensemble, exporteraient jusqu’à 22,4 milliards de mètres cubes de gaz naturel liquide par année.

 
 

Projet nickélifère Crawford de la société Canada Nickel

Promoteur

Canada Nickel Company

Secteur

Exploitation minière, minéraux critiques

Emplacement

Timmins, Ontario

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet va permettre de consolider le leadership mondial du Canada dans le domaine des matériaux industriels propres. Situé sur la deuxième plus vaste réserve de nickel au monde, le projet nickélifère Crawford va produire du nickel de haute qualité et à faible teneur en carbone, un élément essentiel pour les batteries et l’acier vert.

Cette mine possède la deuxième réserve de nickel en importance au monde et devrait être exploitée pendant plus de 40 ans. On estime que les émissions de carbone du projet seraient presque 90 % inférieures à la moyenne mondiale, et le projet a le potentiel d’avoir une empreinte carbone nette négative. Cela représente un modèle pour l’avenir de l’exploitation minière responsable. Le projet attirera des investissements de 5 milliards de dollars et créera des milliers d’emplois bien rémunérés, ce qui assurera au Canada une place de premier plan dans l’économie propre.

Des ententes ont été signées avec les Premières Nations de Mattagami, de Matachewan et de Flying Post pour des occasions d’affaires et d’emploi précoces, ce qui comprend des engagements de négociations relativement à des possibilités de contrats. Par ailleurs, la Nation Taykwa Tagamou s’est associée à Canada Nickel pour investir 20 millions de dollars dans le projet Crawford. Cet investissement prendra la forme de titres d’emprunt convertibles qui, s’ils sont convertis, donneront à la Nation Taykwa Tagamou une importante participation au capital dans le projet.

Canada Nickel propose également, par l’intermédiaire de sa filiale en propriété exclusive NetZero Metals, de mettre en place une raffinerie de nickel pour les marchés de l’acier inoxydable et des véhicules électriques, ainsi qu’une usine de production d’acier inoxydable et d’alliages.

Projet nickélifère Crawford de la société Canada Nickel

 

Promoteur

Canada Nickel Company

Secteur

Exploitation minière, minéraux critiques

Emplacement

Timmins, Ontario

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Ce projet va permettre de consolider le leadership mondial du Canada dans le domaine des matériaux industriels propres. Situé sur la deuxième plus vaste réserve de nickel au monde, le projet nickélifère Crawford va produire du nickel de haute qualité et à faible teneur en carbone, un élément essentiel pour les batteries et l’acier vert.

Cette mine possède la deuxième réserve de nickel en importance au monde et devrait être exploitée pendant plus de 40 ans. On estime que les émissions de carbone du projet seraient presque 90 % inférieures à la moyenne mondiale, et le projet a le potentiel d’avoir une empreinte carbone nette négative. Cela représente un modèle pour l’avenir de l’exploitation minière responsable. Le projet attirera des investissements de 5 milliards de dollars et créera des milliers d’emplois bien rémunérés, ce qui assurera au Canada une place de premier plan dans l’économie propre.

Des ententes ont été signées avec les Premières Nations de Mattagami, de Matachewan et de Flying Post pour des occasions d’affaires et d’emploi précoces, ce qui comprend des engagements de négociations relativement à des possibilités de contrats. Par ailleurs, la Nation Taykwa Tagamou s’est associée à Canada Nickel pour investir 20 millions de dollars dans le projet Crawford. Cet investissement prendra la forme de titres d’emprunt convertibles qui, s’ils sont convertis, donneront à la Nation Taykwa Tagamou une importante participation au capital dans le projet.

Canada Nickel propose également, par l’intermédiaire de sa filiale en propriété exclusive NetZero Metals, de mettre en place une raffinerie de nickel pour les marchés de l’acier inoxydable et des véhicules électriques, ainsi qu’une usine de production d’acier inoxydable et d’alliages.

 
 

Mine Matawinie de Nouveau Monde Graphite

Promoteur

Nouveau Monde Graphite

Secteur

Exploitation minière, minéraux critiques

Emplacement

Saint-Michel-des-Saints Québec

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Nouveau Monde Graphite réalise les travaux de développement d’une mine de graphite à ciel ouvert qui sera intégrée à une éventuelle usine de matériaux de batteries afin de produire du graphite sphérique pour les batteries et d’autres applications manufacturières de pointe. Ces activités viendront renforcer la toute nouvelle plaque tournante de l’industrie des batteries à Bécancour, au Québec, et pourraient même ouvrir le marché du secteur du graphite à l’échelle du pays. Le projet va créer plus d’un millier d’emplois et attirer des investissements de 1,8 milliard de dollars.

Le graphite est une composante essentielle des produits de défense et des batteries des véhicules électriques et des systèmes de stockage d’énergie, et un matériau clé pour la décarbonisation de l’industrie du transport. Ce projet, alimenté par l’énergie hydroélectrique propre et abordable du Québec, contribuera à la diversification des sources d’approvisionnement mondiales en graphite en réduisant la dépendance vis-à-vis des chaînes d’approvisionnement à forte intensité carbonique. De plus, Nouveau Monde prévoit éventuellement de passer à une flotte de véhicules zéro émission au site minier.

Le projet tire parti des investissements déjà réalisés, notamment plus de 35 millions de dollars provenant du Fonds de croissance du Canada, une lettre d’intérêt de la Banque de l’infrastructure du Canada et une lettre d’intérêt pour un montant maximal de 430 millions de dollars américains provenant d’Exportation et développement Canada, ainsi que des contributions des entreprises japonaises Panasonic Energy et Mitsui & Co. pour aider l’entreprise dans ses efforts pour devenir le plus grand producteur de graphite naturel entièrement intégré, de l’extraction minière aux produits à usage industriel.

Mine Matawinie de Nouveau Monde Graphite

 

Promoteur

Nouveau Monde Graphite

Secteur

Exploitation minière, minéraux critiques

Emplacement

Saint-Michel-des-Saints Québec

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Nouveau Monde Graphite réalise les travaux de développement d’une mine de graphite à ciel ouvert qui sera intégrée à une éventuelle usine de matériaux de batteries afin de produire du graphite sphérique pour les batteries et d’autres applications manufacturières de pointe. Ces activités viendront renforcer la toute nouvelle plaque tournante de l’industrie des batteries à Bécancour, au Québec, et pourraient même ouvrir le marché du secteur du graphite à l’échelle du pays. Le projet va créer plus d’un millier d’emplois et attirer des investissements de 1,8 milliard de dollars.

Le graphite est une composante essentielle des produits de défense et des batteries des véhicules électriques et des systèmes de stockage d’énergie, et un matériau clé pour la décarbonisation de l’industrie du transport. Ce projet, alimenté par l’énergie hydroélectrique propre et abordable du Québec, contribuera à la diversification des sources d’approvisionnement mondiales en graphite en réduisant la dépendance vis-à-vis des chaînes d’approvisionnement à forte intensité carbonique. De plus, Nouveau Monde prévoit éventuellement de passer à une flotte de véhicules zéro émission au site minier.

Le projet tire parti des investissements déjà réalisés, notamment plus de 35 millions de dollars provenant du Fonds de croissance du Canada, une lettre d’intérêt de la Banque de l’infrastructure du Canada et une lettre d’intérêt pour un montant maximal de 430 millions de dollars américains provenant d’Exportation et développement Canada, ainsi que des contributions des entreprises japonaises Panasonic Energy et Mitsui & Co. pour aider l’entreprise dans ses efforts pour devenir le plus grand producteur de graphite naturel entièrement intégré, de l’extraction minière aux produits à usage industriel.

 
 

Northcliff Resources’ Mine Sisson

Promoteur

Northcliff Resources Ltd.

Secteur

Exploitation minière, minéraux critiques

Emplacement

Sisson Brook, Nouveau-Brunswick

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Le tungstène a des applications civiles et militaires, comme les outils de coupe, l’acier, les munitions militaires et l’équipement de protection. Les marchés mondiaux du tungstène sont très concentrés, et ce projet a le potentiel de faire du Canada un fournisseur sûr pour nos industries nationales et celles de nos alliés.

La dernière mine de tungstène du Canada a fermé ses portes en 2015, et Sisson revitaliserait la production canadienne de tungstène et produirait du molybdène, qui rend l’acier et les superalliages plus solides, plus durs et plus résistants à la corrosion.

Northcliff Resources’ Mine Sisson

 

Promoteur

Northcliff Resources Ltd.

Secteur

Exploitation minière, minéraux critiques

Emplacement

Sisson Brook, Nouveau-Brunswick

État

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Description

Le tungstène a des applications civiles et militaires, comme les outils de coupe, l’acier, les munitions militaires et l’équipement de protection. Les marchés mondiaux du tungstène sont très concentrés, et ce projet a le potentiel de faire du Canada un fournisseur sûr pour nos industries nationales et celles de nos alliés.

La dernière mine de tungstène du Canada a fermé ses portes en 2015, et Sisson revitaliserait la production canadienne de tungstène et produirait du molybdène, qui rend l’acier et les superalliages plus solides, plus durs et plus résistants à la corrosion.

 
 

Projet hydroélectrique de la Nunavut Nukkiksautiit Corporation à Iqaluit

Promoteur

Nunavut Nukkiksautiit Corporation

Secteur

Électricité

Emplacement

Iqaluit, Le Nunavut

État

Renvoyé au BGP pour examen

Description

Le projet hydroélectrique de la Nunavut Nukkiksautiit Corporation à Iqaluit (ᐃᖃᓗᐃᑦᓄᑭᒃᓴᐅᑏᑦᓴᓇᔭᐅᔪᖅ) comprend l’aménagement d’une centrale hydroélectrique conventionnelle d’une capacité de 15 à 30 mégawatts située sur la rivière Kuugaluk, à 60 kilomètres d’Iqaluit, au Nunavut. Il est dirigé par Nunavut Nukkiksautiit Corporation, la première entreprise de conception de systèmes d’énergie renouvelable appartenant entièrement à des Inuits du Nunavut. Grâce à ce projet, l’électricité produite par le diesel utilisée à l’heure actuelle à Iqaluit serait remplacée par une énergie abordable, fiable et exempte d’émissions.

À l’heure actuelle, Iqaluit dépend du diesel importé pour produire de l’électricité, soit 15 millions de litres par année, et génère ainsi environ 130 000 tonnes d’émissions de gaz à effet de serre par année. Le projet contribuera à stabiliser les tarifs d’électricité d’Iqaluit, qui ont connu une hausse de plus de 22 % au cours des cinq dernières années. Il soutient la transition énergétique dirigée par les Autochtones, la réconciliation économique, favorise l’autodétermination des Inuits et appuie les priorités établies par ces derniers. La consultation régulière des détenteurs de droits et des groupes concernés se poursuit à chaque étape décisionnelle du projet.

Projet hydroélectrique de la Nunavut Nukkiksautiit Corporation à Iqaluit

 

Promoteur

Nunavut Nukkiksautiit Corporation

Secteur

Électricité

Emplacement

Iqaluit, Le Nunavut

État

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Description

Le projet hydroélectrique de la Nunavut Nukkiksautiit Corporation à Iqaluit (ᐃᖃᓗᐃᑦᓄᑭᒃᓴᐅᑏᑦᓴᓇᔭᐅᔪᖅ) comprend l’aménagement d’une centrale hydroélectrique conventionnelle d’une capacité de 15 à 30 mégawatts située sur la rivière Kuugaluk, à 60 kilomètres d’Iqaluit, au Nunavut. Il est dirigé par Nunavut Nukkiksautiit Corporation, la première entreprise de conception de systèmes d’énergie renouvelable appartenant entièrement à des Inuits du Nunavut. Grâce à ce projet, l’électricité produite par le diesel utilisée à l’heure actuelle à Iqaluit serait remplacée par une énergie abordable, fiable et exempte d’émissions.

À l’heure actuelle, Iqaluit dépend du diesel importé pour produire de l’électricité, soit 15 millions de litres par année, et génère ainsi environ 130 000 tonnes d’émissions de gaz à effet de serre par année. Le projet contribuera à stabiliser les tarifs d’électricité d’Iqaluit, qui ont connu une hausse de plus de 22 % au cours des cinq dernières années. Il soutient la transition énergétique dirigée par les Autochtones, la réconciliation économique, favorise l’autodétermination des Inuits et appuie les priorités établies par ces derniers. La consultation régulière des détenteurs de droits et des groupes concernés se poursuit à chaque étape décisionnelle du projet.

 
 

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