Artistes qui font parti du Programme d'arts des Forces canadiennes
Voici les artistes qui ont participé au Programme d’arts des Forces canadiennes (PAFC).
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Nom | Forme d’art | Province | Année(s) |
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Joseph Amato et Alicia Payne Renseignements supplémentaires sur Joseph AmatoJoseph Amato est établi à Toronto. Il poursuit une carrière diversifiée en tant que saxophoniste, mentor et musicologue. Chargé des partenariats stratégiques à la Merriam School of Music, à Oakville, il favorise la visibilité de l’école dans la collectivité. Comme saxophoniste de jazz, il a joué un peu partout en Amérique du Nord et du Sud. C’est également un professionnel accompli en tant que :
Il a obtenu une maîtrise en composition de l’Université York, à Toronto, et est aspirant au doctorat en composition. Ses études antérieures comprennent une formation en musique créative au Humber College et en prestation au saxophone classique à l’Université Western Ontario. Renseignements supplémentaires sur Alicia PayneAlicia Payne est née à Londres, en Angleterre, et elle vit à Toronto. Elle est interprète, écrivaine et artiste-éducatrice. Elle est membre de diverses associations professionnelles, notamment :
Alicia est une ancienne étudiante du Tapestry Opera Composer-Librettist Laboratory et elle se sert du théâtre et de l’opéra pour aider les jeunes à écrire des histoires au sujet de leurs collectivités. Alicia est cofondatrice des Arbez Drama Projects. Elle a été ambassadrice à la cérémonie d’ouverture des Jeux Invictus à Toronto. |
composition musicale composition musicale, écriture |
Ontario | 2012-2013 |
James Arthur Renseignements supplémentaires sur James ArthurJames Arthur a fait une maîtrise en beaux-arts (création littéraire) à l’Université de Washington et à l’Université de Brunswick. Il a reçu pour ses écrits des distinctions et des prix de nombreuses institutions en Amérique du Nord et en Europe, notamment :
Ses poèmes ont été publiés dans :
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poésie | 2018-2019 | |
Renseignements supplémentaires sur Jean Pierre AubéAprès des études en photographie à l’Université Concordia, Jean-Pierre Aubé a fait une maîtrise en beaux-arts (arts visuels) à l’Université du Québec à Montréal. Sa démarche interdisciplinaire (performance sonore, art médiatique, installation et photographie) emprunte aux méthodes scientifiques des procédés de collecte de données. Jean Pierre Aubé établit des connexions et crée des outils qui captent différents phénomènes naturels, comme les aurores boréales, l'énergie solaire, les exoplanètes ou encore la présence d'ondes radio dans notre environnement. Dans les œuvres de Jean-Pierre Aubé, la technique est transcendée par une passion pour la complexité du monde matériel, source inépuisable d’inspiration. |
techniques mixtes, interdisciplinaire | 2018-2019 | |
Dick Averns Renseignements supplémentaires sur Dick AvernsDick Averns vit à Calgary. Il enseigne à l’Alberta College of Art + Design. Dans ses écrits documentaires et ses œuvres basées sur la photographie, il examine la politique de l’identité nationale. Il étudie la façon dont divers pays favorisent ou neutralisent les canons culturels liés aux conflits. Dans ses œuvres, il fournit des points de repère pour « comprendre comment l’art et l’activité militaire peuvent recadrer la guerre contre le terrorisme ». Dick Averns est né à Londres (R.-U.). Il a étudié à la Wimbledon School of Art, à Londres. Il a obtenu une maîtrise en beaux-arts à l’Université de la Colombie-Britannique. Ses œuvres ont été présentées dans plus de 20 expositions solos au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Il contribue fréquemment à plusieurs publications d'art. En août 2009, Dick Averns a travaillé aux côtés des troupes canadiennes de maintien de la paix déployées auprès de la Force multinationale et Observateurs (FMO). Il était établi au camp nord de la FMO, dans la péninsule égyptienne du Sinaï, près de la frontière de Gaza et d'Israël. Il s'est également rendu aux endroits suivants :
Voici les commentaires de Dick Averns à propos du Programme d’arts des Forces canadiennes : « Il faisait extrêmement chaud et humide, et il y avait beaucoup de sable dans l’air. Le fait de passer plusieurs jours seul au Caire m’a donné l’occasion de m’acclimater, de me familiariser avec les barrières linguistiques et d’entreprendre des recherches essentielles dans des musées militaires. »
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exposition, sculpture | Alberta | 2008-2009 |
Renseignements supplémentaires sur Karen BaileyKaren Bailey est née à Ottawa et elle a étudié à la Reigate School of Art and Design, en Angleterre. Dans ses œuvres antérieures, elle s’est intéressée aux techniques et aux domaines suivants :
Aujourd’hui, elle peint surtout des gens au travail. La série qu’elle a créée dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes montre le personnel médical militaire en service à l’hôpital de rôle 3, à Kandahar, en Afghanistan. Karen Bailey s’intéresse particulièrement aux membres du personnel de soutien « en coulisse ». C’est grâce à eux que les militaires « sur la ligne de front », hommes et femmes, peuvent accomplir leur travail. Elle rend hommage aux personnes dont la contribution passe souvent inaperçue. Karen Bailey exécute ses œuvres dans son studio d’Ottawa et elle a exposé dans les pays suivants :
Voici les explications de Karen Bailey à propos de l’une des peintures réalisées dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes :
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peinture | Ontario | 2006-2007 |
Allen Ball Renseignements supplémentaires sur Allen BallAllen Ball est né à Londres (Angleterre). Il y a obtenu son diplôme de premier cycle, à la Camberwell School of Art and Design. Il a ensuite fait une maîtrise en beaux-arts à l’Université de l’Alberta, grâce à une bourse du Commonwealth. Au cours des 20 dernières années, il a basé son travail principalement sur la pratique de la peinture. Il cherche les limites des formes de cet art et applique le langage de la peinture à de nouveaux sujets. Ses œuvres comprennent des installations numériques immersives de grandes dimensions dans lesquelles il étudie la façon dont les gens perçoivent la nanotechnologie.
Voici les commentaires d’Allen Ball à propos du Programme d’arts des Forces canadiennes : « La participation au Programme d’arts des Forces canadiennes a grandement enrichi ma vie professionnelle et mon art. J’ai passé plus de cinq ans à développer les photos que j’ai prises pendant mon affectation, processus dont le point culminant a été l’inauguration de mon exposition solo à l’ASC Gallery, à Londres, au Royaume-Uni, le 11 novembre 2013. L’exposition s’est poursuivie jusqu’au 11 novembre 2014, jour du centenaire de la Première Guerre mondiale. » Allen Ball décrit quelques-unes de ses images ci-dessous.
"Un officier des Forces armées canadiennes et un officier de l’armée australienne effectuent une patrouille dans une ancienne tour de contrôle israélienne." Bureau d’un officier des Forces armées canadiennes dont le travail consiste entre autres à organiser des excursions dans la région pour le personnel militaire basé à El Gorah qui est en permission. Ensemble du contingent canadien de l’opération CALUMET, basé à El Gorah. Garage et dépôt de maintenance des véhicules à El Gorah. Bureau d’un contrôleur aérien des Forces armées canadiennes dont le travail consiste notamment à gérer l’espace aérien dans la région. |
dessin, photographie | Alberta | 2006-2007 |
Renseignements supplémentaires sur Alana BartolNée à Halifax, Alana Bartol vient d’une longue lignée de sourciers. Au moyen de pratiques performatives, fondées sur la recherche et intégrées à la communauté, elle crée des œuvres adaptées à l’emplacement. Par l’intermédiaire de celles-ci, l’artiste propose la marche et la divination comme façons de comprendre les lieux, les espèces et les corps. Les œuvres de Bartol ont été projetées et présentées un peu partout au Canada, notamment aux endroits suivants :
Ses œuvres ont aussi été exposées en Roumanie, en Allemagne, au Mexique et aux États-Unis. Alana Bartol vit à Calgary, où elle enseigne à l’Alberta College of Art+Design. |
Alberta | 2018-2019 | |
François Béroud Renseignements supplémentaires sur François BéroudFrançois Béroud est né en Suisse et il est diplômé de l’École professionnelle des arts et métiers et de l’École de Technique du Théâtre, toutes deux situées à Bienne, en Suisse. François Béroud a présenté ses sculptures dans 15 expositions depuis 1982 aux endroits suivants :
François Béroud vit à Montréal, au Québec, et il enseigne l’art à l’École du Tournant, à Saint Constant. Voici ses explications au sujet de l’une des sculptures réalisées dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes : « Cette sculpture est un hommage aux marins du Navire canadien de Sa Majesté Toronto. Elle représente le gaillard du navire, en route vers de nouvelles missions. Au sommet, une flamme symbolise l’espoir et sert de guide à l’équipage pour qu’il retrouve toujours le chemin du retour, et pour que les marins retournent auprès de leurs familles. » François Béroud a séjourné à bord du NCSM Toronto du 15 au 30 avril 2005. |
sculpture | Québec | 2003-2005 |
Ardell Bourgeois Renseignements supplémentaires sur Ardell BourgeoisArdell Bourgeois est né en Alberta and et il a déménagé plusieurs fois avant de s’établir en Colombie-Britannique, après la retraite de son père des forces armées. Il a obtenu son diplôme de l’école Emily Carr College of Art and Design en 1988. Depuis 1994, il a gagné 14 prix dans des expositions d’art sur l’aviation. Ses œuvres ont été exposées dans des musées (dont le Musée canadien de la guerre et le Musée de l’aviation du Canada, à Ottawa) et présentées dans plusieurs magazines. Ardell Bourgeois vit à Chilliwack (C.-B.) et est membre actif de l’Association Canadienne des Artistes de l’Aviation. Ardell Bourgeois a expliqué quatre des peintures réalisées dans le cadre du PAFC. « J’ai fait une peinture, au lieu de prendre le point de vue d’une personne qui se trouvait en bas dans le camp survolé par l’avion, j’ai fait une peinture comme si on se trouvait au-dessus de l’avion et qu’on regardait en direction du camp. L’idée est que quiconque ayant déjà été au Camp Mirage serait capable de reconnaître certains des bâtiments et autres lieux aux alentours, et que l’image serait familière pour le personnel au sol comme pour l’équipage à bord de l’avion. J’ai simplement essayé d’obtenir une image qui serait représentative de tous ceux qui étaient stationnés à cet endroit. » « C’est évidemment inspiré de notre hymne national. Mais le concept sous-jacent, c’est de montrer l’arrimeur d’un C-130, bien attaché, qui jette un coup d’œil par la fenêtre de son poste. L’idée, c’est que, si le pilote doit plonger ou effectuer une autre manœuvre, les membres de l’équipage ne risquent pas d’être projetés contre le plafond ni de se blesser et ainsi de suite. Leur travail consiste à s’assurer que, si une menace survient, ils peuvent dire au pilote d’où elle vient ou, si c’est dans le compartiment arrière, disons à 11 heures au-dessous, ils sont en mesure de déterminer s’il y a une traînée de fumée ou quelque chose d’autre. »
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peinture | Colombie-Britannique | projet pilote : L’art de l’Op APOLLO |
Douglas Bradford Renseignements supplémentaires sur Douglas BradfordDouglas Bradford a passé sa vie dans le Nord de l’Ontario, où il mène une carrière d’artiste professionnel depuis 32 ans. Ses aquarelles mettent en évidence la majesté du paysage et la dignité des gens. Depuis 1972, il a présenté plusieurs expositions solos, et ses œuvres sont exposées dans divers musées et collections privées dans les pays suivants :
Douglas Bradford vit à Sault Ste. Marie. Il continue à exécuter des œuvres qui illustrent la force de caractère et la détermination tranquille des gens du Nord de l’Ontario. Douglas Bradford a séjourné à bord du Navire canadien de Sa Majesté Calgary du 24 juin au 2 juillet 2004. Voici deux des tableaux qu’il a créés dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes. |
peinture | Ontario | 2003-2005 |
Leah Byrne Renseignements supplémentaires sur Leah ByrneLeah Byrne a présenté des œuvres à l’Odd Gallery, à Dawson City, ainsi que lors de festivals et d’expositions de groupe, aux échelles nationale et internationale. Elle détient un baccalauréat ès arts de l’Université de New York. |
Film, sculpture, prestation | 2014-2015 | |
Renseignements supplémentaires sur Philip CheungPhilip Cheung est un photographe établi à Los Angeles et à Toronto. Ses photographies de paysage, ses portraits et ses photos documentaires ont été exposés dans des galeries, des musées et des festivals un peu partout en Amérique du Nord et en Europe, notamment aux endroits suivants :
En 2011, Cheung a été nommé par Photo District News l’un des 30 nouveaux photographes à surveiller. Il a reçu des subventions de recherche et de production des organismes suivants :
Cheung a été reconnu par la Magenta Foundation, Communication Arts et American Photo. Ses œuvres sont conservées dans la collection d’Akkasah, Center for Photography, à la New York University Abu Dhabi. L’artiste a fait l’objet d’articles vedettes et de critiques, notamment dans le British Journal of Photography, à CNN et dans le TIME. |
photographie | Ontario | 2016-2017 |
Nancy Cole Renseignements supplémentaires sur Nancy ColeNée à Summerside (Î.-P.-É.), Nancy Cole est une artiste professionnelle spécialisée dans les arts visuels qui utilise le textile comme moyen d’expression artistique. Dans son œuvre, elle traite de thèmes sociaux, appuyés par une solide base narrative. Après avoir pratiqué l’art traditionnel de la courtepointe, elle a évolué vers la création d’œuvres d’art contemporaines fondées sur des concepts. Elle a reçu plusieurs subventions et a présenté des expositions à l’échelle internationale. « Mon œuvre s’épanouit dans l’interaction. C’est un processus interdisciplinaire unique qui relie les arts visuels, les arts du textile, l’installation, l’exécution et les nouveaux médias […]. J’ai traité de questions universelles au moyen de ma pratique artistique, comme l’adoption à l’étranger (My First Cousin Once Removed), la naissance de la culture canadienne (Smile the While), le changement climatique (Storm Surge) et la recherche de la particule divine (Big Bang), ainsi que de sujets plus personnels, comme les heureux hasards (Our Two Paths Crossed) et l’amitié (Postcard from Portugal). » |
textile | 2014-2015 | |
David Collier Renseignements supplémentaires sur David CollierDavid Collier est né à Windsor, en Ontario. Il a servi dans l’Armée canadienne et a réalisé des croquis pour le journal de l’Armée avant de devenir dessinateur professionnel de bandes dessinées. Il a produit 14 livres de dessins et romans illustrés. Ses œuvres ont aussi paru dans 14 journaux et magazines, dont le Globe and Mail et le Hamilton Spectator. David Collier vit à Hamilton, en Ontario, et il est associé à Drawn & Quarterly. David Collier a séjourné à bord du Navire canadien de Sa Majesté Toronto du 15 au 30 avril 2005. Voici trois des dessins qu’il a produits dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes. |
dessin | Ontario | 2003-2005 |
Renseignements supplémentaires sur Scott ConarroeScott Conarroe détient un baccalauréat en beaux arts de l’Emily Carr Institute et une maîtrise en beaux-arts du Nova Scotia College of Art and Design. Ses photographies de paysages et de l’environnement bâti sont exposées et collectionnées à grande échelle. Scott est l’un des boursiers 2008 de la Chalmers Arts Fellowship et figure parmi les 30 meilleurs nouveaux photographes de 2010 choisis par la Photo District News. Son étude de l’infrastructure ferroviaire de l’Amérique du Nord est une exposition itinérante de l’Art Gallery of Windsor. Scott est actuellement un artiste-résident parrainé par la Fondation Sulzberg, à la Villa Sträuli, à Winterthur (Suisse). . Scott est représenté par la Stephen Bulger Gallery, de Toronto. |
photographie | Ontario | 2010-2011 |
John Dowling |
peinture | 2003-2005 | |
Sophie Dupuis Renseignements supplémentaires sur Sophie DupuisSophie Dupuis, de Val-d’Or, au Québec, est réalisatrice de films et scénariste. Elle est l’une des principales figures de la nouvelle génération de cinéastes québécois qui a émergé après l’an 2000. Elle a réalisé plusieurs courts films de fiction qui ont remporté des prix à divers festivals tant au Québec qu’ailleurs, dont :
Quiet Forces constitue la première incursion de Sophie Dupuis dans le genre documentaire. Lorsqu’elle n’est pas occupée à réaliser des films, Sophie encadre de jeunes acteurs et coordonne les activités du site de nouvelles érotiques de langue française dont elle est la cofondatrice (jesuisvenu.com). Dupuis écrit présentement le scénario de deux longs métrages de fiction. |
vidéo | Québec | 2012-2013 |
Rosalie Favell Renseignements supplémentaires sur Rosalie FavellRosalie Favell est une artiste photographe née à Winnipeg, au Manitoba. Puisant son inspiration dans son histoire familiale et son héritage métis (cri et anglais), elle utilise des sources diverses, allant des albums de famille à la culture populaire, pour présenter un autoportrait complexe de ses expériences en tant que femme autochtone moderne. Ses œuvres ont été présentées dans des expositions aux endroits suivants :
De nombreux établissements ont acquis de ses œuvres d’art, notamment :
Rosalie a reçu de nombreuses subventions et remporté des prix prestigieux, comme :
Elle est diplômée du Ryerson Polytechnic Institute et elle détient une maîtrise en beaux-arts de l’Université du Nouveau-Mexique. Elle a beaucoup étudié et enseigné au niveau universitaire supérieur. Elle a travaillé avec des organisations locales à Winnipeg, des groupes inuits à caractère éducatif à Ottawa et des groupes de femmes népalaises à Katmandou. |
photographie | Manitoba | 2016-2017 |
Nichola Feldman-Kiss Renseignements supplémentaires sur Nichola Feldman-KissNichola Feldman-Kiss a obtenu un baccalauréat en beaux-arts à l’Université d’Ottawa et une maîtrise en beaux-arts au California Institute of Arts. Elle a fait 16 expositions solos et 14 de groupe depuis 1992, dans les pays suivants :
Nichola Feldman-Kiss vit à Ottawa. |
vidéo | Ontario | 2010-2011 |
Kevin Goligher Renseignements supplémentaires sur Kevin GoligherKevin Goligher a servi dans l’Armée canadienne jusqu’en 1995. Depuis, il a effectué plusieurs expositions présentant ses expériences et celles d’autres personnes, du genre de celles qui échappent en général à la population. Il s’intéresse particulièrement à l’ajout de ce qu’il appelle les détails du « j’y étais », que seuls les participants vont remarquer. Kevin Goligher vit à Kingston, en Ontario. Kevin Goligher a assisté aux cérémonies commémoratives de novembre 2004, à Kingston. Voici l’une des œuvres qu’il a produites dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes. |
peinture, esquisse | Ontario | 2003-2005 |
Jacques Hamel Renseignements supplémentaires sur Jacques HamelJacques Hamel est né à Québec. Il a étudié pendant plusieurs années dans les établissements suivants :
Il a été copiste autorisé au Musée du Louvre de 1998 à 1999. Il a passé une autre année à l’Art Students League, à New York. Ses œuvres ont été exposées par différents musées d’Europe et d’Amérique du Nord et figurent dans leurs collections. Il a présenté quatre expositions solos qui mettaient l’accent sur des scènes urbaines. Jacques Hamel vit à Québec, au Québec. Jacques Hamel a assisté à un exercice d’entraînement à Sherbrooke en décembre 2003. Voici trois des œuvres qu’il a produites dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes.. |
peinture, sculpture | Québec | 2003-2005 |
Renseignements supplémentaires sur John HortonJohn Horton est né à Londres, en Angleterre. Il a obtenu son diplôme du Poole & Bournemouth School of Art avant de s’enrôler dans la Royal Navy. Il a travaillé en design et en architecture pendant plusieurs années avant de s'établir à Vancouver, en 1964. Sa passion pour l’art maritime occupe de plus en plus de son temps. John Horton vit à Vancouver (C.-B.) et est membre de la Canadian Society of Marine Artists. John Horton lives in Vancouver, BC, and is a member of the Canadian Society of Marine Artists. John Horton décrit ci-dessous quelques-unes des peintures exécutées dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes.
« Je voulais montrer ce qu’on faisait et un peu ce qu’était la vie dans la Marine moderne. Je savais que je devais peindre une sorte de tableau d’un navire, pour ainsi dire, afin de montrer en quoi le travail consistait. C’est ainsi que j’ai fait un tableau qui nous situe immédiatement dans le golfe Persique. Il montre le travail d’arraisonnement, c’est-à-dire, le bateau pneumatique avec l’équipage grimpant l’échelle, astucieusement armé de manière à pouvoir effectuer une inspection et une fouille sur cette embarcation, avec l’Algonquin en arrière-plan. La scène est peinte au lever du soleil; le golfe est brumeux, à cause du sable que le vent souffle du désert. C’est plutôt une peinture d’ambiance, mais elle montre bien le travail d’arraisonnement; ce sont les conditions dans lesquelles les militaires travaillent. »
« Je me souviens d’une nuit chaude sur le pont d’envol. Nous suivions un "navire d’intérêt" de haute mer. La lune était claire, mais l'horizon apparaissait encore une fois voilé dans la brume. Le sujet se situe quelque part entre le romantisme et le sinistre – comme un chat traquant une souris! » |
peinture | Colombie-Britannique | Projet pilote : L’art de l’Op APOLLO |
Renseignements supplémentaires sur Leslie HossackLeslie Hossack est une photographe établie à Ottawa dont les œuvres ont été exposées un peu partout au Canada et présentées dans diverses publications. En 2013, elle a été affectée au Kosovo dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes, s’inscrivant ainsi dans une longue tradition d’artistes de guerre canadiens. Hossack a effectué des études approfondies de l’architecture iconique dans les villes suivantes :
À Ottawa, son exposition intitulée FALLOUT a été présentée au Diefenbunker, Musée canadien de la Guerre froide. En 2013, la série de photos de Leslie Hossack intitulée Stalin’s Architectural Legacy a remporté le troisième prix dans la catégorie d’architecture historique des International Photography Awards. Ses œuvres font partie de collections publiques et d’entreprises au Canada ainsi que de collections privées, au pays et à l’étranger. Pristina est la capitale du Kosovo. Ce bâtiment endommagé est l’un des résultats tragiques de la guerre du Kosovo de 1998-1999. Au cours de ce conflit, l’Armée de libération du Kosovo, avec l’appui aérien de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, s’est battue contre les forces de l’ex-Yougoslavie pour obtenir l’indépendance. Le Canada a participé au conflit en tant que membre de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord. Près de 15 ans après la fin de la guerre, le Programme d’arts des Forces canadiennes (PAFC) a donné la possibilité à la photographe Leslie Hossack de visiter le Kosovo. Leslie Hossack s’intéresse au souvenir. Sa série intitulée The Kosovo Photographs montre de quelle façon la guerre du Kosovo est commémorée dans l’environnement bâti. Dans des photos telles que celle-ci, Hossack vise à ce que rien ne détourne l’attention de la présence du bâtiment en ruine. En grande partie détruit et visiblement isolé dans le paysage environnant, il témoigne de cette violence provocante qui appartient au passé du Kosovo. Skenderaj est situé à 30 kilomètres au nord-ouest de Pristina. C’est là qu’en 2004 a été érigé le Monument national à la mémoire des martyrs, qui porte les noms de 2 184 Albanais de souche membres de l’Armée de libération du Kosovo morts à la guerre. Dans cette photo de 2013, l’aménagement paysager se désintègre. Les arbustes desséchés, le gazon non tondu et les sentiers envahis par les mauvaises herbes indiquent qu’on néglige les morts, peut-être intentionnellement. Un an après la visite de Hossack, en juillet 2014, la European Union Special Investigative Task Force a annoncé que certains des anciens hauts dirigeants de l’Armée de libération du Kosovo avaient commis des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre après la guerre du Kosovo, en 1999. |
photographie | Ottawa | 2012-2013 |
Aislinn Hunter Renseignements supplémentaires sur Aislinn HunterAislinn Hunter est l’auteure de six livres salués unanimement par le public et les critiques :
Son premier roman, Stay, a été publié en 2002 et republié en 2012, puis adapté au cinéma en 2013. Son deuxième roman, The World Before Us (Nos deux mondes), a remporté le BC Book Prize 2015 et a été consacré « choix du rédacteur en chef » du New York Times. Aislinn détient :
Son troisième recueil de poésie, Linger, Still, a été publié au printemps 2017 par Gaspereau Press. Aislinn vit en Colombie-Britannique. |
écriture | Colombie-Britannique | 2016-2017 |
John Hutton Renseignements supplémentaires sur John HuttonJohn Hutton est né à Windsor, en Ontario. Il est membre de l’Association Canadienne des Artistes en Aviation. Ses œuvres ont été exposées et acquises par divers musées et collectionneurs privés de l’Amérique du Nord. John Hutton vit à Windsor, en Ontario. John Hutton a assisté à un exercice des Snowbirds. Voici l’une des peintures qu’il a produites. |
peinture, cartes | Ontario | 2003-2005 |
Richard Johnson Renseignements supplémentaires sur Richard JohnsonNé en Écosse, Richard Johnson a étudié au Duncan of Jordanstone College of Art and Design. Ses dessins et ses écrits ont paru dans de nombreuses publications. En 2003, il a été journaliste intégré au Corps des Marines des États-Unis pour le compte du Detroit Free Press. En 2007, il est allé à Kandahar, en Afghanistan, avec les Forces armées canadiennes, pour le National Post. Il est retourné en Afghanistan en 2011 et en 2012. En 2015, il s’est rendu en Ukraine dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes. |
dessin | 2014-2015 | |
Catherine Jones Renseignements supplémentaires sur Catherine JonesCatherine Jones est née à Halifax et elle a étudié au Nova Scotia College of Art and Design. Elle a réalisé une étude, intitulée At the End of the Day, qui comprend 21 portraits de vétérans canadiens, britanniques et allemands. Cette étude a été inspirée par un dîner de réconciliation, à Ortona, en Italie, en 1998, et est basée sur le thème du pardon. « La capacité de pardonner est la plus rare des qualités humaines », explique t elle. Elle a tenu 15 expositions solos depuis 1980, entre autres At the End of the Day. Certaines de ses œuvres ont été dévoilées au Sénat du Canada. Catherine Jones vit à Halifax. En avril 2007, Catherine Jones a participé aux cérémonies de commémoration du Canada à Vimy. Plus de 19 660 militaires canadiens, hommes et femmes, morts pendant la Première Guerre mondiale n’ont pas de sépulture connue. Les noms de 11 285 d’entre eux sont gravés sur le Mémorial de Vimy. En 2003, les dépouilles de deux soldats du 49e bataillon d’infanterie canadien ont été retrouvées près d’Avion, dans le Nord de la France. D’importantes recherches historiques, généalogiques et médicolégales ont été menées en vue d’identifier ces deux personnes. L’œuvre intitulée Representatives of Their Numbers (huile sur toile, 137 cm x 107 cm) est une interprétation des derniers moments de la vie de ces deux soldats. Elle représente tous les soldats canadiens de la Première Guerre mondiale dont on ne connaît pas la dernière demeure. |
peinture | Nouvelle-Écosse | 2006-2007 |
Renseignements supplémentaires sur Simone JonesSimone Jones est une artiste multidisciplinaire qui travaille avec le film, la vidéo, la sculpture et l’électronique. Beaucoup de ses œuvres mettent en question la nature de la perception. L’artiste s’intéresse à la façon dont nous voyons et dont nous traduisons ce que nous voyons au moyen de diverses techniques de représentation. Jones est diplômée de l’École d’art et de design de l’Ontario (concentration en art expérimental) et elle a obtenu une maîtrise en beaux-arts (sculpture-installation) de l’Université York, à Toronto. Elle a exposé ses œuvres à divers endroits, au Canada et à l’étranger, et elle est représentée par Ronald Feldman Fine Arts, à New York. |
film, vidéo, sculpture, électronique | 2016-2017 | |
Renseignements supplémentaires sur Mary KavanaghMary Kavanagh est artiste spécialisée en arts visuels et professeure au Département des arts de l’Université de Lethbridge (Alberta). Elle a étudié la guerre froide et les programmes d’essais nucléaires. Dans le cadre de ce projet, Mary Kavanagh a fait des recherches en vue de rassembler des informations sur les activités et les objets à plusieurs emplacements historiques d’intérêt, notamment :
En tant qu’artiste participant au Programme d’arts des Forces canadiennes, elle a pris part à l’exercice VIGILANT EAGLE 2013. Il s’agissait d’une simulation, en vol réel, de détournement d’avion par des terroristes menée conjointement par trois pays, à partir d’Anchorage (Alaska) et d’Anydyr (Russie). Les trois pays en question étaient les États-Unis, la Russie et le Canada. La simulation a été organisée par le Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD) et la Force aérienne de la Fédération de Russie. Mary s’est également rendue à Recherche et développement pour la défense Canada (RDDC), à Ottawa, où elle a filmé le groupe de Défense et analyse radiologique (DAR) tandis qu’il suivait la formation en détection des radiations et des agents chimiques. Mary a reçu de nombreuses bourses et récompenses. Ses œuvres ont été abondamment présentées dans le cadre d’expositions solos et de groupe, la plus récente étant Future Station: 2015 Alberta Biennial of Contemporary Art. Ces photographies montrent des membres du personnel de Recherche et développement pour la défense Canada, Jason Brown et Aimee Jones. Ils portent des vêtements de protection conçus par des scientifiques militaires canadiens pour la défense et le combat. Ces combinaisons très sophistiquées ont ensuite été utilisées au cours de la guerre civile en Syrie en 2013 pour assurer la protection contre les armes chimiques. The Expulsion met l’accent sur la vulnérabilité sous-jacente des sujets photographiés. Au moyen de l’image et du titre, l’œuvre fait subtilement allusion à l’histoire biblique d’Adam et Ève à la suite de leur bannissement du Paradis terrestre. Elle constitue aussi une critique de la promesse, représentée par les casques, selon laquelle la technologie garantira une protection à toute épreuve contre les polluants atmosphériques et les nuages toxiques. |
vidéo, photographie, installation | Alberta | 2012-2013 |
Renseignements supplémentaires sur Gertrude KearnsGertrude Kearns est née à Toronto. Elle a reçu plusieurs prix de l’Ontario Society of Artists, du Musée de l'aviation du Canada et d’autres organismes. Elle a présenté plus de 20 expositions solos un peu partout au Canada depuis 1989. Ses œuvres font partie des collections du Musée canadien de la guerre et de 10 autres institutions. L’un des thèmes courants qu’exploite Gertrude est l’expression physique de l’engagement et ses effets psychologiques. Gertrude Kearns vit à Toronto et est affiliée au Propeller Centre for the Visual Arts. Gertrude Kearns a assisté à un exercice d’entraînement au combat dans les zones bâties (cbt ZB) à Petawawa, du 21 juillet au 8 août 2004. Elle a également passé un mois avec les troupes canadiennes en Afghanistan en 2006. Voici ses explications au sujet de l’une des peintures produites à la suite de cette affectation : « Cette peinture a donné le ton à la série [de six œuvres pour l’Armée]. À ce titre, c’est aussi celle que j’ai eu le plus de mal à terminer. Ce tableau s’inspire d’une journée passée en montagne avec le détachement canadien au Centre national de formation de l’armée afghane à Kaboul. Nos 15 instructeurs canadiens coordonnaient en général les efforts de quelque six pays de la coalition chargés de former l’armée nationale afghane. J’ai essayé de rendre les humeurs, les activités d’entraînement et l’histoire dans un style « affiche de guerre » dynamique mais teinté d’un point de vue éditorial. En ce qui concerne le contexte, EH désigne le Canada, par rapport à l’Afghanistan. Le mot « asymmetric » tel qu’il est utilisé actuellement (et qui, selon la définition de Wikipédia en contexte de guerre, décrit une situation militaire dans laquelle deux belligérants, aux pouvoirs ou à la capacité d’action inégaux, interagissent et tirent parti de leurs forces et de leurs faiblesses ainsi que de celles de leurs ennemis) est un jeu de mots lourd de sens, censé manifester aussi la propension des Canadiens à avoir des avis également partagés sur les grandes questions nationales. Ressort également de ce tableau une interaction interne, physique, psychologique et verbale. L’interaction avec le public canadien est subtilement voulue comme une projection dans cette peinture en particulier. » |
dessin, peinture | Ontario | 2003-2005 |
Renseignements supplémentaires sur Thomas KneubühlerNé à Solothurn (Suisse), Thomas Kneubühler vit à Montréal depuis l’an 2000. En 2003, il a obtenu une maîtrise en arts plastiques à l’Université Concordia, à Montréal. Ses œuvres ont souvent pour thèmes les questions sociales et la façon dont la technologie touche la vie des gens. Il a présenté des œuvres dans de nombreuses expositions, tant en Europe qu’en Amérique du Nord, notamment lors de la Triennale québécoise au Musée d’art contemporain de Montréal (2011), au Centre culturel canadien, à Paris (2012), et à l’Ausstellungsraum Klingental, à Bâle (2013). En 2011, il a reçu le prix Pratt & Whitney Canada du Conseil des arts de Montréal. Dans Canadian Art, Bryne McLaughlin a écrit ce qui suit au sujet de Thomas Kneubühler : « Que ce soit en montrant les frontières ambiguës entre l’espace public et l’espace privé, le spectre omniprésent de la surveillance de sécurité ou même la beauté radieuse, bien que déshumanisante, des paysages urbains, les œuvres de Kneubühler cernent avec éloquence les insécurités, les incertitudes et les plaisirs subtils qui coexistent dans les structures de la vie moderne. » Cette photographie fait partie d’une série de huit images intitulée Days in Night. Cette série a été créée par le photographe Thomas Kneubühler à la Station des Forces canadiennes (SFC) Alert, au Nunavut, en février 2013. La SFC Alert est l’endroit habité en permanence le plus au nord dans le monde. En effet, elle n’est située qu’à 817 kilomètres du pôle Nord géographique. De nombreuses personnes y habitent temporairement puisque la station héberge :
La station est soumise à la nuit polaire du milieu d’octobre à la fin de février. Photographier l’obscurité illuminée fascine Kneubühler, qui a précédemment créé des images de tours de bureaux et de tunnels de mine très faiblement éclairés. Ici, une vive lumière rouge est au centre d’une toile de tours de communication et de fils éclairés en bleu. Le degré d’éclairage est tel que les étoiles sont à peine visibles. Cette image indique une telle diversité d’activité humaine qu’elle remet en question toute description présentant Alert comme un endroit isolé. Le sol demeure gelé pendant près de 10 mois par année à la Station des Forces canadiennes (SFC) Alert, au Nunavut. La glace et le pergélisol créent une fusion terre-mer, et le brouillard enveloppe souvent la région. La SFC Alert est considérée comme un poste aux conditions difficiles, ce qui signifie que la durée du séjour va de trois à six mois et qu’aucun membre de la famille n’est autorisé à venir. Il faisait moins 45 degrés Celsius le jour où Thomas Kneubühler est arrivé. Comme il souhaitait photographier la nuit polaire, Kneubühler a capté la gamme diversifiée de lumières qu’il a découverte à Alert :
Ici, un affleurement de glace accroche les rayons du soleil. L’extraordinaire beauté de cette étincelante scène arctique masque l’inhospitalité de la région. En effet, sans la technologie moderne qu’on trouve à la SFC Alert, l’être humain ne peut survivre à cet endroit. |
vidéo, photographie | Québec | 2012-2013 |
Renseignements supplémentaires sur Maskull LasserreMaskull Lasserre est né en Alberta, en 1978, et il a passé son enfance en Afrique du Sud. Il a obtenu un diplôme de premier cycle en arts visuels et philosophie à l’Université Mount Allison. Il a ensuite poursuivi des études supérieures en sculpture à l’Université Concordia. Maskull Lasserre travaille maintenant à temps plein à partir d’un studio à Montréal. Il a exposé des œuvres un peu partout au Canada et a exécuté plusieurs commandes publiques de sculptures. En mars 2011, il est rentré d’Afghanistan, où il a voyagé en tant qu’artiste participant au Programme d’arts des Forces canadiennes. Maskull Lasserre a séjourné à bord du NCSM Calgary, du 29 août au 9 septembre 2005. Ce dessin est l’une des images produites à bord, pendant l’essai de puissance. |
sculpture, dessin | 2003-2005, 2010-2011 | |
Renseignements supplémentaires sur Guy LavigueurNé à Mont-Joli, au Québec, Guy Lavigueur s’est intéressé à l’aviation avant même de se tourner vers la photographie. Il a étudié au Dawson Institute of Photography, à Montréal. La photographie aérienne est au cœur de sa récente œuvre réalisée dans le Nord canadien. Membre de l’Académie royale des arts depuis 2004, il a présenté des expositions un peu partout au Canada, notamment aux endroits suivants :
On retrouve de ses œuvres dans de nombreuses collections publiques et privées et collections d’entreprise, tant en Amérique du Nord qu’en Europe. |
photographie, vidéo | 2014-2015 | |
Emmanuelle Léonard Renseignements supplémentaires sur Emmanuelle LéonardEmmanuelle Léonard est une photographe et vidéaste canadienne née en 1971, à Montréal. Elle a obtenu une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal. Depuis 2007, ses œuvres ont été présentées un peu partout au Canada et dans le monde, notamment dans des expositions aux endroits suivants :
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photographie, vidéo | 2016-2017 | |
William MacDonnell Renseignements supplémentaires sur William MacDonnellWilliam MacDonnell a étudié au Nova Scotia College of Art and Design. Bon nombre de ses œuvres représentent la guerre et ses conséquences, par exemple :
Ses œuvres sont une réflexion sur la mémoire collective et le phénomène de l’oubli. William MacDonnell vit à Calgary. Il a présenté 24 expositions solos depuis 1979. The Wall est une œuvre que William MacDonnell a produite après son séjour en Croatie en 1995, dans le cadre du Programme d’aide des Forces canadiennes aux artistes civils (PAFCAC), qui a précédé le programme actuel. Voici comment William MacDonnell décrit Waiting for Twilight, œuvre créée après son séjour en Afghanistan en 2005 :
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peinture | Ontario | 2003-2005, 2006-2007 |
Renseignements supplémentaires sur Allan MacKayAllan MacKay est né à Charlottetown, Î-P.-É., et il a obtenu son diplôme du Nova Scotia College of Art en 1967. Il a eu une longue et riche carrière dans les arts visuels, comme :
Il a été directeur-fondateur de la Southern Alberta Art Gallery. Il a aussi été directeur de la Mendel Art Gallery, à Saskatoon, et de la Power Plant Contemporary Art Gallery, à Toronto. Allan MacKay vit à Kitchener, en Ontario, et il travaille comme consultant en conservation à la Kitchener-Waterloo Art Gallery. Allan MacKay décrit cinq des œuvres qu’il a créées dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes (PAFC).
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techniques mixtes | Ontario | Projet pilote : L’art de l’Op APOLLO |
Renseignements supplémentaires sur Sharon McKaySharon McKay est née à Montréal. Elle écrit, pour les jeunes, des séries d’histoires au sujet de la vie d’enfants en temps de guerre. Elle fait des entrevues avec des enfants et des adultes à propos de moments difficiles et elle fournit aux enfants canadiens « un véritable aperçu du rôle des Forces canadiennes dans le monde ». Elle s’est rendue en Afghanistan en mars 2009. Sharon McKay vit à Kilbride, en Ontario. Elle a publié 7 ouvrages de fiction historique pour jeunes adultes. Deux d’entre eux ont été retenus en sélection finale pour le Prix littéraire du Gouverneur général. Elle a également écrit 11 autres ouvrages non romanesques, 7 pour enfants et 4 pour adultes. Elle est souvent invitée dans des écoles pour expliquer aux jeunes le rôle des forces militaires dans le monde. Voici quelques critiques de Thunder over Kandahar. What If? Canada’s Creative Teen Magazine, hiver 2010 « … une lecture fascinante […] McKay parvient à vous faire vivre, directement dans votre chambre à coucher (ou à n’importe quel endroit où vous aimez lire), cette histoire bien documentée qui se déroule dans un pays lointain. » Quill & Quire, décembre 2010 « …action rapide et personnages attachants […] fait découvrir aux jeunes lecteurs les réalités de l’Afghanistan moderne, tant leur côté obscur que leur côté lumineux. » Canadian Childrens Book News, automne 2010 « ... instructif et inspirant [...] bien construit et crédible [...] ce roman devrait devenir une lecture scolaire obligatoire pour les élèves de 7e et de 8e année. » CM Magazine, 3 décembre 2010 « ... dans cette histoire palpitante, l’auteure pose un regard empathique sur l’une des sociétés les plus dangereuses et les plus misogynes qui existent aujourd’hui, par l’entremise des personnages vraisemblables et inspirants de Yasmine et de son amie Tamanna. Vivement recommandé. » Karen Rigby forewordreviews.com « ... McKay, première romancière pour jeunes adultes à être désignée artiste de guerre canadienne, a puisé dans son expérience de voyage en Afghanistan pour créer Thunder Over Kandahar, une histoire poignante, dans laquelle la providence a parfois un rôle à jouer et qui, entre autres sujets, traite de la traversée des frontières, de la survie aux bombardements et de l’adoption. » |
littérature | Ontario | 2008-2009, 2012-2013 |
Ramses Madina Renseignements supplémentaires sur Ramses MadinaRamses Madina a étudié à l’Université Carleton et a exposé des œuvres un peu partout en Amérique du Nord. Parmi les collections où ses œuvres se retrouvent, mentionnons celles des organisations suivantes : s
Autre lecture suggérée sur Ramses Madina : |
photographie, vidéo | 2014-2015 | |
Trevor Mahovsky et Rhonda Weppler Renseignements supplémentaires sur Trevor Mahovsky et Rhonda WepplerRhonda Weppler (née à Winnipeg) et Trevor Mahovsky (né à Calgary) collaborent depuis 2004. Les deux artistes détiennent des maîtrises en beaux-arts de l’Université de la Colombie Britannique, où ils se sont rencontrés en 1996. Ils ont exposé leurs œuvres notamment aux endroits suivants :
Ils ont effectué une commande permanente pour la Main Street Skytrain Station, à Vancouver. Ils se sont vu décerner le prix Glenfiddich 2014, et certaines de leurs œuvres font partie de collections publiques, notamment au Musée d’art contemporain de Montréal et au Musée des beaux-arts du Canada. En 2015, les artistes Rhonda Weppler et Trevor Mahovsky, collaborateurs de longue date, ont visité le Collège militaire royal (CMR), à Kingston. Le CMR est l’université militaire des Forces armées canadiennes. Ce duo s’adonne à la sculpture et à la photographie. Une grande partie des œuvres des deux artistes consigne des tâches quotidiennes répétitives comme le magasinage ou, même, le fouinage et l’amassage. On voit ici deux des photographies qui ont résulté du temps passé par les artistes à examiner les collections du musée du CMR. Pour créer ces photographies d’objets entreposés, Weppler et Mahovsky ont rassemblé numériquement de nombreuses images fixes. Ce processus minutieux a donné comme résultat une rangée de coiffures militaires diverses, certaines semblant figurer plus d’une fois. L’autre photo montre une collection idiosyncrasique de souvenirs militaires. On peut par exemple voir :
Les deux photographies comprennent les étagères de métal gris sur lesquelles ces objets sont entreposés. On voit les objets présentés comme s’ils étaient devant soi en réalité; ils sont grandeur nature. L’ancienne chambre forte du Diefenbunker abritait jadis des étagères similaires sur lesquelles il était prévu d’entreposer les réserves d’or du Canada. Dans ces images, les artistes nous donnent l’occasion de réfléchir sur le fait que la richesse ne s’évalue pas toujours en lingots d’or, mais en fonction de l’histoire d’un objet. Chacun de ces curieux articles a une histoire à raconter au sujet du passé militaire du Canada. |
photographie, sculpture | 2012-2013 | |
Renseignements supplémentaires sur Karole MaroisKarole Marois est née à Ottawa, où elle vit actuellement. Elle a obtenu un diplôme de l’École d’art et de design de l’Ontario, à Toronto, en 1979. Elle a poursuivi ses études à l’Accademia di Belle Arti, à Florence, en Italie. L’art de la Renaissance demeure une importante source d’inspiration pour ses peintures et ses murales. Karole Marois peint des murales pour les secteurs tant public que privé. Parmi ses clients, elle compte les Musées nationaux du Canada et Parcs Canada. La production d’œuvres de grande taille lui permet de créer des environnements qui soulèvent l’intérêt de l’observateur et suscitent une relation émotionnelle. Elle puise son inspiration dans la forme et l’esprit humains, et ses sujets sont variés. Depuis le début de sa carrière artistique, Karole a beaucoup voyagé et fait de nombreuses expositions. On retrouve de ses œuvres dans des collections privées et publiques un peu partout au Canada et à l’étranger. Sélectionnée comme participante au Programme d’arts des Forces canadiennes (PAFC), elle s’est rendue aux Pays-Bas en 2005. Elle a assisté aux fêtes soulignant le 60e anniversaire de la libération de la Hollande. L’une de ses œuvres de grande dimension découlant de cette expérience, The Parade, fait partie d’une exposition itinérante présentée par le Musée canadien de la guerre. Cette exposition, intitulée Sur le vif : L’art militaire de la Corée à l’Afghanistan, a voyagé d’un bout à l’autre du Canada de 2009 à 2012. Karole Marois a séjourné à Sherbrooke en décembre 2003 et aux Pays-Bas du 25 avril au 12 mai 2005. Voici sa description d’une œuvre produite à la suite de ces visites :
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peinture | Ontario | 2003-2005 |
Renseignements supplémentaires sur Michael MarkowskyMichael Markowsky est visualiste et écrivain et il vit à Vancouver. Il produit principalement des huiles sur toiles et des dessins semi-abstraits qui sont inspirés par le paysage. Michael est né et a grandi à Calgary, en Alberta, où il a obtenu un diplôme avec mention de l’Alberta College of Art + Design. Michael a également étudié à Cooper Union (New York) et au Royal College of Art (Londres, R. U.). Il a ensuite obtenu une maîtrise en beaux arts à l’Art Center (Los Angeles) en 2002. Ses œuvres ont été exposées avec celles d’artistes comme :
Il a exposé dans des galeries et des musées des villes suivantes :
Les œuvres de Michael sont souvent présentées à la télévision et dans les médias imprimés, notamment :
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peinture | Colombie-Britannique | 2010-2011 |
Alex Meyboom |
photographie | Ontario | 2003-2005 |
Ivan Murphy Renseignements supplémentaires sur Ivan MurphyIvan Murphy est né à Québec et il a étudié au Nova Scotia College of Art and Design. La plupart de ses peintures à l’acrylique font référence à des paysages qui définissent la trame narrative. Les lieux qu’il peint n’existent pas nécessairement, mais ils représentent des bribes de souvenirs ou d’impressions provenant de rêves qui confèrent de l’authenticité à l’image. Ivan Murphy a reçu des prix du ministère de la Culture de la Nouvelle-Écosse. On retrouve de ses œuvres dans de nombreuses collections publiques et privées, notamment celles des organisations suivantes :
Autre lecture suggérée sur Ivan Murphy : |
peinture | 2014-2015 | |
Renseignements supplémentaires sur Kathryn MussallemKathryn Mussallem a obtenu un baccalauréat en beaux-arts (photo) et une maîtrise en arts appliqués (arts visuels) de l’Emily Carr University of Art + Design, à Vancouver. Elle a ensuite obtenu une maîtrise en études professionnelles en photographie numérique de la School of Visual Arts, à New York (NY). Kathryn Mussallem est devenue photographe, graveuse et illustratrice exposante. Certaines de ses œuvres ont été présentées dans des expositions de groupe, notamment dans les villes suivantes :
Kathryn est lauréate du prix national canadien des Sony World Photography Awards 2016. Parmi ses expositions solos, mentionnons les suivantes :
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photographie | 2014-2015 | |
Renseignements supplémentaires sur Midi OnoderaMidi Onodera est une cinéaste canadienne primée qui dirige et produit des films et rédige des scénarios depuis plus de 20 ans. Elle a à son actif plus de 25 courts métrages indépendants, ainsi qu’un long métrage destiné au cinéma et plusieurs courtes vidéos. Dans ses récentes œuvres, elle a utilisé toute une gamme de formats et de médias, allant du film 16mm à la vidéo Hi8 en passant par la vidéo numérique et des jouets numériques « bas de gamme » comme :
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vidéo, film | 2010-2011 | |
Louie Palu Renseignements supplémentaires sur Louie PaluLouie Palu est photographe et cinéaste documentariste. Dans ses œuvres, il examine depuis 26 ans des enjeux socio-politiques, comme les droits humains, la pauvreté et la guerre. Il est boursier de la Fondation Guggenheim et il a obtenu une bourse de recherche du Harry Ransom Center, à l’Université du Texas, à Austin. Il s’est vu accorder deux subventions distinctes du Pulitzer Center on Crisis Reporting pour des projets sur divers sujets, dont la guerre de la drogue et le crime organisé au Mexique. Louie Palu a fait des reportages sur les conflits en Afghanistan, au Pakistan, au Mexique et en Ukraine. Ses œuvres font partie de nombreuses collections, notamment aux endroits suivants :
Ses œuvres ont été présentées dans les médias suivants :
Ses photographies et ses films ont été présentés dans de nombreux musées et festivals à l’échelle internationale, entre autres au Smithsonian National Portrait Gallery et au festival du film documentaire de Munich. Louie Palu a publié un grand nombre de livres, dont le plus récent s’intitule Front Towards Enemy (Yoffy Press, 2017). Il travaille présentement à la réalisation d’un projet à long terme portant sur l’avenir de l’Arctique en transformation, pour le National Geographic Magazine. |
photographie, film | 2018-2019 | |
Renseignements supplémentaires sur Sylvia PecotaLa photographe et artiste Sylvia Pecota, dont les œuvres ont été primées, est née à Toronto. C’est la première femme canadienne à avoir présenté une exposition dans l’ancienne Union soviétique. Ses œuvres ont aussi été exposées dans les pays suivants :
Pendant son affectation à Kandahar en 2006, elle a exposé une sélection d’épreuves canadiennes à la Maison du Canada, à la base aérienne de Kandahar. Silvia Pecota s’est rendue à Sherbrooke en 2003, en Haïti en 2004 et en Afghanistan en 2006-2007. On voit ici l’une des épreuves produites à la suite de ces voyages. |
photographie | 2003-2005 | |
Tim Pitsiulak Renseignements supplémentaires sur Tim PitsiulakTimootee Pitsiulak est né à Kimmirut, au Nunavut. Il est décédé en 2016. |
Nunavut | 2010-2011 | |
Renseignements supplémentaires sur Talia PuraTalia Pura a étudié le théâtre à l’Université de Winnipeg et à l’Université du Manitoba. Elle a enseigné le théâtre dans des écoles publiques. Depuis 1987, elle exerce les fonctions d’arbitre dans le cadre de festivals d’art oratoire et de théâtre au Manitoba et dans le Nord-Ouest de l’Ontario. Elle a publié quatre pièces de théâtre et l’ouvrage général intitulé Stages: Creative Ideas for Teaching Drama. Elle vit au Manitoba et enseigne le théâtre à l’Université de Winnipeg. |
écriture dramatique | Manitoba | 2010-2011 |
Renseignements supplémentaires sur Leslie ReidDans ses œuvres, Leslie Reid examine depuis longtemps les sensations au niveau de la perception et de la psychologie qu’évoque l’expérience d’un endroit particulier. Ses peintures combinent les effets sensoriels de la lumière et de l’espace au vécu historique de l’endroit. Souvent, cela se fait au moyen d’allusions à la famille. Ses œuvres abordent les sentiments de danger, de sécurité et de survie qui y résident. Elle a présenté des œuvres dans le cadre de l’exposition baptisée Les bâtisseurs : La biennale canadienne 2012 au Musée des beaux-arts du Canada. En 2011, une exposition rétrospective intitulée Leslie Reid: A Darkening Vision s’est tenue à la Carleton University Art Gallery. Cette exposition a été organisée par l’ancienne directrice, Diana Nemiroff. Elle mettait en vedette diverses peintures exécutées de 1975 à 2011, ainsi que de nouvelles réalisations vidéo. Leslie Reid s’est récemment rendue au Yukon, aux T.N.-O. et au Nunavut dans le cadre de l’Op NANOOK des FAC, en tant que participante au Programme d’arts des Forces canadiennes. Leslie Reid est professeure émérite au Département des arts visuels de l’Université d’Ottawa. |
peinture, vidéo | Ontario | 2012-2013 |
Zeqirja Rexhepi Renseignements supplémentaires sur Zeqirja RexhepiZeqirja Rexhepi est né à Perlepnice (Gjilan), au Kosovo. Il a étudié au Collège des arts de Scopia, en Macédoine, et à l’Académie des arts, à l’Université de Pristina. Il a travaillé comme artiste professionnel pendant 25 ans. Les fresques monumentales qu’il a créées dans des églises et des mosquées sont célèbres. Ses œuvres ont été exposées dans plusieurs pays d’Europe et au Canada. Toutefois, on le connaît surtout pour ses peintures dans l’église de Binqa, à Kosova. Zeqirja Rexhepi vit à Dartmouth, en Nouvelle Écosse, où il a réalisé plusieurs murales un peu partout dans la ville. Zeqirja Rexhepi a assisté aux cérémonies commémoratives de novembre 2004, à Ottawa. Il a accompagné son œuvre du message suivant : « En souvenir de toutes les personnes qui ont sacrifié leur vie pour offrir au Canada un avenir meilleur. » Zeqirja Rexhepi a accompagné son œuvre du message suivant : « Envoyer nos forces dans des pays en guerre pour les aider à rétablir la paix. » Zeqirja Rexhepi a accompagné son œuvre du message suivant : « Traumatisme et espoir d’aide. » |
peinture | Nouvelle-Écosse | 2003-2005 |
Mark Richfield Renseignements supplémentaires sur Mark RichfieldMark Richfield est né en Colombie-Britannique. Il a participé à plusieurs expositions à la Pitt Gallery, à Vancouver. Il vit à Pitt Meadows, en Colombie-Britannique. Mark Richfield a assisté à des cérémonies à Cold Lake, en Alberta, du 28 mars au 2 avril 2005. Voici deux œuvres produites à la suite de cette visite |
peinture | Colombie-Britannique | 2003-2005 |
Erin Riley Renseignements supplémentaires sur Erin RileyErin Riley est née à Toronto. Elle a étudié à l’Université de Western Ontario et au Loyalist College. Ses œuvres mettent l’accent sur certaines personnes et sur des détails dans leur entourage. Erin cherche ainsi à exprimer des caractéristiques et des thèmes universels. Elle utilise un agencement multimédia d'entrevues audio, de photographies et de textes. Elle crée de cette façon des portraits de membres du personnel en service afin d’aider à trouver l’universel dans le spécifique. Elle s’est rendue dans le Nord canadien en avril 2009. Erin Riley vit à Toronto. Elle a présenté des expositions un peu partout au Canada et a travaillé pour plusieurs publications, dont les suivantes :
Erin Riley décrit son expérience dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes (PAFC) : « Nous avons quitté Yellowknife au milieu de la nuit, dans l’obscurité totale. En débarquant du Hercules à Eureka, j’ai immédiatement été saisie par l’air froid, qui m’a subitement réveillée. J’ai ensuite été frappée par la vive lumière extérieure. Tout était si blanc, et le ciel étincelait de particules sur lesquelles la lumière du soleil se réfractait. J’avais l’impression que nous nous étions posés sur la lune. » Voici quelques-unes des images qu’elle a saisies en 2008 2009 : Voici deux images qu’elle a saisies en 2014 2015 : |
photographie numérique | Ontario | 2008-2009, 2014-2015 |
Olivia Rozema Renseignements supplémentaires sur Olivia RozemaLes œuvres d’Olivia Rozema sont dictées par ses intérêts obsessionnels qu’elle aborde avec la précision méthodique d’une scientifique. Elle recadre les sujets de ses obsessions dans des sculptures de céramique à grande échelle en grossissant les formes et en transformant la surface. Ses sculptures, qui imitent l’esthétique des fossiles, sont rendues étranges par leur forme et leur texture afin que la perception soit plus longue. En effet, pour Olivia, la perception est une fin en soi et doit être prolongée. Les sculptures d’Olivia incarnent un genre de connaissance de soi. Leurs formes suggèrent quelque chose que nous sentons que nous devrions reconnaître, mais que nous ne parvenons pas à situer. Ces formes, retirées de leur contexte naturel et grossies, résident dans l’espace entre le familier et le non-familier. Elles exacerbent le lien souvent d’anxiété qui existe entre l’intérieur et l’extérieur, ainsi que notre dissociation générale des parties qui forment des touts. Olivia Rozema a obtenu un baccalauréat spécialisé en art visuel et lettres classiques de l’Université McMaster en 2014. Elle a ensuite obtenu une maîtrise en beaux-arts (sculpture) de l’Université de Regina en 2016. Rozema a animé des ateliers et des programmes basés sur les arts à divers endroits au Canada. Elle a participé à un programme d’artiste en résidence à long terme, à Medalta, dans le quartier historique de l’industrie de l’argile. Les œuvres de Rozema ont été exposées dans diverses galeries un peu partout au Canada.. Olivia Rozema vit à Grimsby, en Ontario. |
sculpture | Ontario | 2018-2019 |
Andreas Rutkauskas Renseignements supplémentaires sur Andreas RutkauskasAndreas Rutkauskas étudie l’effet de diverses technologies sur la perception et le développement des paysages, au moyen de la photographie et de la vidéo. Dans le cadre de ses récents projets, il a examiné l’effet de la recherche par Internet sur la reconstitution des espaces sauvages, les cycles de l’industrialisation et de la désindustrialisation dans les champs de pétrole canadiens, ainsi que les technologies ingénieuses utilisées pour surveiller la frontière canado-américaine. Les œuvres de Rutkauskas ont été exposées dans des galeries et lors de festivals, notamment :
Ses œuvres ont aussi été présentées dans les médias suivants :
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photographie et vidéographie | 2016-2017 | |
Charles Stankievech Renseignements supplémentaires sur Charles StankievechCharles Stankievech est un artiste qui crée des « œuvres sur le terrain » en art, en architecture et en musique. Ses œuvres ont été exposées à l’échelle internationale dans divers endroits, notamment des musées, des galeries, des festivals et des salles de concert. Ses écrits ont paru dans des revues publiées par MIT Press et Princeton Architectural Press. Ils ont été traduits en français, en italien et en allemand. Charles Stankievech détient une maîtrise en beaux-arts avec spécialisation en médias ouverts et un baccalauréat spécialisé en philosophie et en littérature. Il est membre fondateur de la Yukon School of Visual Arts, à Dawson City, au Yukon. Charles Stankievech partage son temps entre l’Arctique et d’autres paysages. |
photographie, vidéo et musique | 2010-2011 | |
Suzanne Steele Renseignements supplémentaires sur Suzanne SteeleSuzanne Steele est née à Vancouver. Elle relate l’expérience des soldats canadiens (relations avec les collègues, environnement, équipement, rencontres, cheminement intérieur) au moyen de la poésie. Elle rend compte « des défis, de l’humour et des réalités du soldat canadien moderne ». Suzanne Steele vit à Victoria. Elle a étudié en Écosse, à Banff, à l’Université de la Colombie Britannique et à l’Université de Western Ontario. Elle a fait connaître ses œuvres dans de nombreuses publications et lectures publiques. Voici un poème qu’elle a écrit dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes :
Le 28 novembre 2009, Patrick White, du Globe and Mail, a écrit ce qui suit dans son article intitulé « Penning lyrical images of the broken beautiful men » : « C’est une imprécision poétique qui a amené Suzanne Steele à quitter les pluies abondantes de Victoria (C.-B.) pour aller s’exposer à la poussière brûlante de Kandahar. Il y a trois ans, la poète a lu un article au sujet de la mort du caporal Anthony Boneca, réserviste de Thunder Bay tué près de la ville de Kandahar en 2006, et a éprouvé l’envie profonde d’écrire une élégie en son honneur. "J’étais au R.-U. depuis quelques années et, jusque-là, je ne m’étais pas rendu compte à quel point le Canada était impliqué dans cette guerre, a-t-elle indiqué. En tant que poète, il me fallait réagir." Mais elle achoppait sur le vers "in fields of grape vines and hot white dust" (dans des champs de vignes et de poussière blanche brûlante). En effet, blottie sur la côte Ouest du Canada, la poète n’avait aucune idée de la couleur de la poussière en Afghanistan. Elle a donc décroché le téléphone pour appeler la Défense nationale, à Ottawa. Cet appel allait l’amener à participer au PAFC. "L’exactitude dans l’imagerie est très importante, a-t-elle dit. Je devais trouver la couleur juste." » |
poésie | Colombie-Britannique | 2008-2009 |
Adrian Stimson Renseignements supplémentaires sur Adrian StimsonAdrian Stimson est membre de la nation des Siksikas (Pieds-Noirs) dans le Sud de l’Alberta, et est un artiste interdisciplinaire. Il a obtenu un baccalauréat en beaux-arts avec mention de l’Alberta College of Art + Design. Il a ensuite obtenu une maîtrise en beaux-arts de l’Université de la Saskatchewan. Il a aussi participé au programme d’artiste-résident intitulé Living Artfully, à la Mendel Art Gallery, à Saskatoon. Ses œuvres explorent les thèmes de la punition, de l’identité et de l’attribution d’une nouvelle signification à l’histoire post-coloniale. Parmi ses expositions, mentionnons :
Adrian a travaillé comme conservateur adjoint à la Mendel Art Gallery et comme chargé de cours à temps partiel à l’Université de la Saskatchewan. Ses projets de conservation comprennent les suivants :
Il a également contribué à Blackflash et à de nombreuses autres publications. |
peinture et vidéo | Saskatchewan | 2010-2011 |
Ho Tam Renseignements supplémentaires sur Ho TamHo Tam a étudié à l’Université McMaster et au Banff Centre for the Arts. Il a aussi participé à des programmes au Whitney Museum of American Art, à New York, et à la MacDowell Colony, au New Hampshire. En plus d’avoir contribué à plus de 30 expositions collectives un peu partout sur le continent, il a tenu plus de 20 expositions solos. Ho Tam vit actuellement à Toronto. Ho Tam a voyagé de Pearl Harbor à Esquimalt à bord du NCSM Calgary en février 2005. |
photographie | Ontario | 2003-2005 |
Katherine Taylor Renseignements supplémentaires sur Katherine TaylorKatherine Taylor a grandi à Toronto, où elle a obtenu son diplôme de l'Ontario College of Art. Après son mariage avec un soldat affecté en Allemagne, elle a commencé à s’intéresser aux sujets militaires et a acquis une expertise dans ce domaine. À la fin des années 80, elle a cofondé la revue Esprit de Corps, qui rend hommage aux Forces armées canadiennes et témoigne de leur travail aux quatre coins du monde. Diverses études de sujets militaires lui ont été commandées par :
Katherine Taylor vit à Ottawa. Dans ce montage détaillé, un pilote du CETA se prépare à effectuer un vol. Dans ce montage détaillé, les procédures de maintenance des aéronefs et les mesures de sécurité sont appliquées sur l’aire de trafic avant un vol. Voici les commentaires de Katherine Taylor au sujet de son expérience :
Katherine Taylor a assisté à des cérémonies à Cold Lake, en Alberta, du 28 mars au 2 avril 2005. |
peinture, esquisse | Ontario | 2003-2005 |
Althea Thauberger Renseignements supplémentaires sur Althea ThaubergerAlthea Thauberger est née à Saskatoon. Elle utilise la photographie, la murale, le film et d’autres techniques pour explorer « l’expression de soi et les difficultés de communication, les relations entre l’individu et les structures sociopolitiques, ainsi que la nature. » Elle s’est rendue en Afghanistan en mars 2009. Althea Thauberger a étudié à Concordia et a obtenu une maîtrise en beaux-arts à l’Université de Victoria. Elle a fait 12 expositions solos aux endroits suivants :
Althea Thauberger vit à Vancouver. Elle enseigne à l’Emily Carr University of Art + Design. Voici les commentaires d’Althea Thauberger Renseignements supplémentaires sur son expérience : « Nous sommes arrivés à l’aérodrome de Kandahar (KAF) aux premières heures du matin. Je n’y voyais pas grand-chose, mais j’avais une très forte impression de surréalisme, d’apocalypse. La poussière, les véhicules, les tentes, les routes de fortune, l’odeur suffocante des eaux d’égout [...] Je savais avant de partir que je m’intéressais particulièrement aux femmes militaires affectées en Afghanistan. C’était la première fois qu’autant de Canadiennes participaient à un déploiement, surtout qu’il s’agissait de la première opération de combat actif du Canada depuis la guerre de Corée [...] La majeure partie du temps, nous (l’écrivaine Sharon McKay, ma compagne de voyage, et moi-même) avons été traitées avec un respect, une jovialité et une obligeance incroyables. Les officiers des visites au KAF étaient exceptionnels, vraiment remarquables, avertis et professionnels. » |
photographie | Colombie-Britannique | 2008-2009 |
Renseignements supplémentaires sur Mark ThompsonMark Thompson est né à Ottawa en 1958 et a obtenu son diplôme de l’Ontario College of Art (maintenant l’Université de l’École d’art et de design de l’Ontario) en 1985. Il travaille à son propre compte comme artiste spécialisé dans l’utilisation du verre depuis 1991. Il a fait de nombreuses expositions, notamment en solo à la Canadian Clay & Glass Gallery en 2003. La forme d’art qu’il a adoptée est la peinture et la sculpture sur verre. Il travaille aussi à l’occasion comme restaurateur de vitraux. Il a notamment réalisé un projet de deux ans visant la restauration des vitraux de la Chambre des communes. Mark Thompson a construit une verrerie entièrement équipée près de Westport (Ontario) et en assure le fonctionnement. |
vitraux | Ontario | |
Eric Walker Renseignements supplémentaires sur Eric WalkerEric Walker est originaire d’Halifax. Les Forces canadiennes font partie de son héritage culturel. En effet, son grand-père était premier maître au sein du Corps de l’intendance de l’Armée canadienne. Son père, qui appartenait à la Marine royale canadienne, était un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale. Eric a étudié les arts médiatiques et les arts visuels au Nova Scotia College of Art and Design, à Halifax, de 1976 à 1984. Ses œuvres, qui s’étendent sur un quart de siècle, se retrouvent dans de nombreuses collections. Eric Walker est Métis acadien et est membre de l’Eastern Woodland Métis Nation of Nova Scotia. In this detailed montage, the aircraft maintenance procedures and safety measures are performed on the tarmac before a flight. |
peinture et vidéo | Nouvelle-Écosse | 2014-2015 |
Ian Wall Renseignements supplémentaires sur Ian WallIan Wall a grandi à Brampton. Il a étudié l’art au Sheridan College au début des années 90, après avoir passé huit ans au sein du Princess Patricia’s Canadian Light Infantry. Il a représenté quelques unes de ses expériences comme soldat dans ses œuvres. Ian Wall vit à Kincardine, en Ontario, où il a contribué à fonder la Victoria Park Art Gallery et a participé à plusieurs expositions. Ian Wall a assisté à des cérémonies commémoratives en Normandie du 2 au 11 juin 2004. Voici une œuvre produite à la suite de son séjour. |
Peinture | Ontario | 2003-2005 |
Scott Waters Renseignements supplémentaires sur Scott WatersScott Waters a obtenu un diplôme en arts visuels de l’Université de Victoria et une maîtrise en beaux-arts de l’Université York. C’est un ancien membre du Princess Patricia’s Canadian Light Infantry. Dans sa démarche artistique, il examine :
Scott Waters est né dans le Nord de l’Angleterre et il a grandi en Colombie-Britannique. Il vit maintenant à Toronto. Voici les commentaires de Scott Waters concernant Sleeping in a LAV:
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peinture | Ontario | 2006-2007, 2010-2011 |
Jessica Lynn Wiebe Renseignements supplémentaires sur Jessica Lynn WiebeJessica Lynn Wiebe est originaire de Brandon, au Manitoba. Elle a obtenu un baccalauréat en beaux arts de l’Université Nova Scotia College of Art and Design en 2015 et un baccalauréat en éducation de l’Université Acadia en 2016. Ancienne artilleuse des Forces armées canadiennes, elle examine, dans ses œuvres, les mécanismes de la guerre, notamment la politique complexe concernant le genre, l’économie, l’architecture de la guerre et la condition humaine. Elle utilise la narration d’histoires et l’interprétation dans une pratique multidisciplinaire. Ses œuvres créent un dialogue en traitant et en remettant en question les croyances et les émotions profondes au sujet des forces armées et de la guerre. Jessica Lynn Wiebe vit et travaille présentement à Halifax, en Nouvelle-Écosse. |
Nouvelle-Écosse | 2018-2019 | |
David Wityk Renseignements supplémentaires sur David WitykDavid Wityk est un artiste de la photo établi à Winnipeg qui utilise le photomontage pour traiter l’histoire industrielle et la géographie urbaine. Toujours à la recherche d’éléments nouveaux, il a réalisé des œuvres axées sur une perspective mondiale. Ses ensembles d’œuvres actuels portent principalement sur la régression industrielle et les systèmes de métro. David Wityk détient un baccalauréat en beaux-arts avec spécialisation en photographie de la School of Fine Art de l’Université du Manitoba. Il a reçu des subventions des organismes suivants :
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photographie | Manitoba | 2019-2011 |
Andrew Wright Renseignements supplémentaires sur Andrew WrightOn décrit les œuvres d’Andrew Wright comme étant des investigations à plusieurs niveaux sur la nature de la perception, ainsi que sur les structures et technologies photographiques. Elles ont aussi été décrites comme une étude sur les façons dont nous entretenons des rapports avec un monde essentiellement médiatisé et principalement visuel. Dans sa façon d’utiliser la photographie, Wright établit des liens avec des techniques aussi diverses que celles d’Alfred Stieglitz et d’Iain & Baxter (avec qui il a travaillé dans les années 90). Ses œuvres sont non conventionnelles, car Wright évite le lyrisme et les objectifs traditionnels sur le plan de l’image. Sa technique se situe à l’intersection des formes traditionnelles et des formes conceptuelles de la création artistique. Andrew Wright a présenté de nombreuses expositions, au pays comme à l’étranger, notamment aux endroits suivants :
Il a aussi été artiste en résidence, entre autres au Banff Centre et au Braziers Workshop (R.-U.) Il est fondateur et directeur artistique du Contemporary Art Forum Kitchener and Area (CAFKA). Wright a reçu de nombreuses récompenses. En 2010, il a obtenu une bourse de la Fondation canadienne pour l’innovation relativement à la saisie numérique haute résolution. En 2001, il a remporté la Ernst & Young Great Canadian Printmaking Competition et il a reçu de nombreuses subventions des organismes suivants :
Ses œuvres lui ont valu les éloges de la critique dans diverses publications, dont :
Il a été mis en nomination six fois pour le Sobey Art Award, se rendant même en demi-finale en 2007. Il a également été mis en nomination pour le prestigieux Karsh Award in Photography en 2010 et en 2012. En 2011, il a remporté le BMW Exhibition Award, remis dans le cadre du Contact Photography Festival, à Toronto. Andrew Wright est représenté par la Patrick Mikhail Gallery, à Ottawa. Il est professeur agrégé en arts visuels et directeur intérimaire du Département d’arts visuels de l’Université d’Ottawa. Il vit actuellement à Waterloo, en Ontario. Voici ses commentaires au sujet de son expérience dans le cadre du Programme d’arts des Forces canadiennes : « Mon expérience à bord du NCSM Toronto en 2005 m’a donné un aperçu peu commun des opérations quotidiennes de la Marine et de la vie des militaires. J’ai passé mon temps à tirer des portraits photographiques des membres de l’équipage et à les leur offrir, en plus de recueillir des images qui ont mené à d’autres travaux et explorations, dont certains se poursuivent encore aujourd’hui. » |
photographie, vidéo | Ontario | 2003-2005 |
Edward Zuber Renseignements supplémentaires sur Edward ZuberEdward Zuber est né à Montréal. C’est un vétéran de la guerre de Corée. |
peinture | Ontario | 2003-2005 |
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