Les gens de PacifiCan : Meghan Chen

Meghan Chen, Consultante principale en apprentissage. La citation se lit comme suit : « Je me sens le plus récompensée quand nous pouvons faire en sorte que les gens se sentent vus et entendus. »

 

Nous vous présentons Meghan.

Nous sommes ravis de vous présenter Meghan, qui s’est récemment jointe à PacifiCan en tant que consultante principale en apprentissage. Passionnée par la santé mentale, son expertise a déjà des répercussions positives, tant sur les personnes que dans l’ensemble de notre agence.

Forte d’une vaste expérience de la direction de conversations franches – et parfois même difficiles – portant sur la santé mentale et le bien-être dans la fonction publique, elle croit que les organisations prospèrent lorsque leurs membres du personnel sont en santé. Dans le cadre de son rôle, Meghan interviewe le personnel à tous les échelons pour évaluer les besoins de notre organisation et fournit des conseils sur les initiatives, y compris celles qui ont des composantes d’apprentissage comme l’inclusion des Autochtones.

Lorsque Meghan ne dirige pas d’initiatives porteuses d’impact, vous pouvez la trouver en train de cuisiner une nouvelle recette ou encore de faire du kayak tout en profitant de la vue imprenable sur les montagnes de notre belle province.

Apprenez-en plus sur Meghan, une personne dédiée de Vancouver-Est, et les changements pertinents qu’elle apporte et qui aident à façonner un avenir plus sain et plus inclusif pour notre agence.

Comment avez-vous abouti à PacifiCan?

Au cours de ma carrière, mon intérêt pour la santé mentale a constitué le fil conducteur de bon nombre de mes expériences et de mes affectations. J’ai pris la relève à la tête de la Communauté d’intérêts interministérielle en santé mentale ma deuxième année au gouvernement parce que je voyais un besoin et aussi une occasion de travailler avec des gens incroyables. Cela a mené à l’élaboration du Sondage éclair sur la santé mentale, à la fondation d’un symposium de type portes ouvertes sur la santé mentale, à la cofondation du Réseau de la Fierté du Pacifique et à diverses missions visant à développer la santé mentale, l’EDI (équité, diversité et inclusion), la réconciliation et les stratégies d’apprentissage pour les directions générales et les régions. Parfois, cela a eu l’impression d’être un chemin déconnecté et un peu brouillé, mais cela commence désormais à avoir du sens (pour moi du moins)! Nos organisations sont en bonne santé lorsque nos membres du personnel le sont aussi.

Qu’est-ce qui a soulevé votre intérêt pour PacifiCan?

Tant de gens m’ont dit que l’objectif de PacifiCan est d’être à l’avant-garde. Et j’ai pensé que cela pouvait aussi s’appliquer à l’interne aussi. Je veux faire partie d’une organisation qui se consacre à l’agilité, à l’efficacité et à la rupture du statu quo.

Que faites-vous durant une journée typique?

C’est difficile à dire, parce que ce n’est jamais la même chose. Mon travail consiste à aider l’organisation à concevoir une stratégie d’apprentissage stratégique, porteuse d’impact et tournée vers l’avenir – ce qui m’amène dans de nombreux coins de PacifiCan! Je dirais qu’à l’heure actuelle, ma journée est constituée d’environ 30 % du temps consacré à des entretiens et de réunions avec le personnel de tous les échelons pour comprendre l’organisation et ses besoins; d’environ 30 % du temps consacré prodiguer des conseils et à fournir des commentaires portant sur toutes les initiatives avec des composantes d’apprentissage (p. ex. l’inclusion des Autochtones); d’environ 30 % du temps consacré à l’analyse et la rédaction; et environ 10 % du temps consacré à tenir ma tête dans mes mains en essayant de comprendre comment tout cela s’emboîte.

Qu’est-ce que vous trouvez le plus gratifiant dans votre travail?

Dans chacune de mes affectations et dans chacun de mes rôles au sein du gouvernement, la partie la plus gratifiante est toujours d’avoir une personne qui vient me voir et me dit que cela a participé à changer les choses dans sa vie. Que cela lui ait fait penser un peu différemment, lui ait fourni le soutien dont elle avait besoin ou encore pour qu’elle se sente plus en sécurité au travail et aussi à propos de qui elle est en tant que personne. En faisant le travail important que nous accomplissons quotidiennement, et dans le cadre du système de la fonction publique dans son ensemble, il peut être facile d’oublier que nous ne sommes que des gens qui essaient de servir d’autres gens. Je me sens le plus récompensée quand nous pouvons faire en sorte que les gens se sentent vus et entendus.

Quelques faits en bref

Lieu : Je relève de Library Square qui sera (bientôt) l’administration centrale de Surrey, mais je suis une personne dédiée de Vancouver-Est

Formation : Un baccalauréat ès sciences avec spécialisation en biologie et environnement, en durabilité et en société de l’Université Dalhousie (je sais… jusqu’à quel point je me suis égarée…)

Début à PacifiCan : septembre 2024

Projet ou expérience mémorable à PacifiCan : J’ai tellement de plaisir à organiser des projections de films. J’en ai organisé une pour la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation en partenariat avec l’Office national du film (ONF), et le film était intitulé WaaPaKe (demain), et j’espère en faire plusieurs autres au cours de la prochaine année!

Avez-vous des conseils à donner aux personnes qui souhaiteraient se joindre à PacifiCan?

Non pas pour énoncer l’évidence, mais : parlez aux personnes ici. Invitez-les à prendre un café ou trouvez un autre moyen d’obtenir le temps en face à face. Votre réseau constitue la chose la plus importante que vous allez bâtir dans votre carrière. Et la seule façon d’évaluer si une organisation vous convient bien est de parler aux personnes qui y travaillent.

Pouvez-vous nous faire part de l’une de vos plus grandes réalisations (peut être à l’intérieur ou à l’extérieur de votre travail à PacifiCan)?

J’ai la chance d’avoir participé à de nombreux projets dont je suis très fière. Je serai toujours fière du travail que nous avons accompli pour la Communauté d’intérêts de la santé mentale, notamment le Symposium portes ouvertes sur la santé mentale. Bien que je ne participe plus à sa planification, cette initiative est passée d’un très petit événement sans budget à quelque chose qui semble de grande envergure et fondamental dans la région du Pacifique. Je suis reconnaissante d’avoir eu l’espace nécessaire pour entamer des dialogues honnêtes et difficiles portant sur la santé mentale et le bien-être dans la fonction publique. C’était un bon rappel pour moi que parfois des idées solides et à petite échelle peuvent avoir des répercussions qui vont bien au-delà de vos attentes les plus folles.

Pouvez-vous nous révéler une ou deux choses qui vous plaisent en dehors de votre travail? Il peut s’agir d’un passe-temps ou d’un fait amusant que vos collègues ne connaissent peut-être pas.

J’adore cuisiner. C’est la seule façon dont je peux décompresser après une longue journée et calmer ainsi tout le bourdonnement dans mon cerveau – bien que je ne puisse pas suivre une recette pour sauver ma vie. J’aime aussi faire du kayak. Cette façon de s’asseoir sur l’eau en regardant les montagnes est la chose la plus paisible que je puisse imaginer.

Citez trois chansons qui figurent sur votre liste de lecture Spotify

  1. Pink Pony Club, Chappell Roan
  2. Orange Colored Sky, Nat King Cole
  3. I and Love and You, Avett Brothers

 

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2025-03-17