Les gens de PacifiCan : Michelle Radley

Faites la connaissance de Michelle.
Née à New Westminster et élevée à Surrey, juste à côté de la nouvelle administration centrale de PacifiCan, Michelle apporte une solide expérience en agriculture durable et en adaptation aux changements climatiques. En tant qu’analyste des politiques à PacifiCan, elle transforme des idées complexes en stratégies qui soutiennent les Britanno-Colombiens et les Britanno-Colombiennes, en mettant depuis peu l’accent sur la promotion de l’inclusion économique des Autochtones.
L’une de ses plus grandes fiertés est sa participation à l’élaboration du guide de PacifiCan sur la reconnaissance des territoires autochtones traditionnels et visés par des traités, une ressource inestimable qui a déjà un impact significatif au sein de notre agence.
En dehors du travail, Michelle explore l’art de la fermentation en créant des produits comme la choucroute et le kimchi, et trouve de petits moyens d’apporter de la créativité à sa routine quotidienne. Vous la verrez peut-être même suivre un cours de dessin sur les perspectives cet été!
Apprenez-en plus sur cet esprit brillant et attentionné que nous avons la chance d’avoir dans notre équipe.
Comment avez-vous abouti à PacifiCan?
Avant d’arriver à PacifiCan, je travaillais à Environnement et Changement climatique Canada sur l’adaptation aux changements climatiques et l’élaboration de la première Stratégie nationale d’adaptation du Canada. Lorsque j’ai appris que PacifiCan créait des programmes pour aider Lytton, en Colombie-Britannique, à se rebâtir de façon plus résiliente après un incendie de forêt, j’ai sauté sur l’occasion de participer! Cela semblait être une incroyable occasion de travailler sur un projet d’adaptation concret, sur le terrain. Je n’avais pas tort – ce fut l’une des expériences les plus enrichissantes et les plus stimulantes de ma carrière en matière de politiques. Et maintenant, je travaille au sein de l’équipe de la Représentation, qui me permet également de progresser et de m’enrichir chaque jour!
Qu’est-ce qui a soulevé votre intérêt pour PacifiCan?
J’étais vraiment intriguée par la possibilité de me concentrer sur une seule région du pays, et ma province natale, rien de moins. Maintenant que j’habite à Ottawa, une grande partie du travail stratégique que j’ai effectué avec le gouvernement fédéral s’est concentrée à l’échelle nationale, et parfois vous pouvez perdre le lien avec le sens de votre travail sur le terrain. À PacifiCan, je suis beaucoup plus en phase avec l’importance de mon travail, car j’ai rencontré les personnes sur lesquelles il a une incidence! C’est important, et cela me permet de garder les pieds sur terre et m’inspire pour faire le maximum chaque jour.
Que faites-vous durant une journée typique?
En tant qu’analyste des politiques, je passe la plupart de mes journées à lire, écrire, synthétiser et interpréter de l’information sur des éléments qui comptent pour les Britanno-Colombiens et les Britanno-Colombiennes, puis à traduire tout cela en conseils et en recommandations qui peuvent aider l’Agence à faire son travail. Cela peut couvrir des sujets aussi variés que le tourisme, le transport ferroviaire d’ammoniac, et bien d’autres choses encore! Ces jours-ci, je consacre une grande partie de mon énergie à l’inclusion économique des Autochtones, à la création d’une stratégie de représentation pour l’Agence et à la participation bénévole au groupe de travail IDEA (Inclusion, Diversité, Équité et Accessibilité).
Qu’est-ce que vous trouvez le plus gratifiant dans votre travail?
Travailler sur le dossier d’inclusion économique des Autochtones à PacifiCan est très gratifiant pour moi. C’est une tâche très importante qui a une réelle incidence, et j’espère pouvoir aider à créer de meilleures façons de changer les choses sur cette question cruciale. J’ai également beaucoup de chance de travailler avec des collègues aussi incroyables – chacun d’entre eux m’inspire au quotidien.
De quelle ville êtes-vous originaire?
Je suis née à New Westminster, en Colombie-Britannique, mais j’ai grandi à Surrey, quelque part entre la piscine à vagues Newton et le parc Bear Creek, et juste en bas de la rue de la nouvelle administration centrale de PacifiCan!
Quelle est votre formation?
Je suis titulaire d’un baccalauréat ès sciences en agriculture durable et d’une maîtrise en systèmes terrestres et hydriques de l’Université de la Colombie-Britannique.
Qu’est-ce qui vous plaît dans votre rôle à PacifiCan jusqu’à présent?
Chaque jour, je suis mise au défi et j’apprends quelque chose. J’ai constamment l’occasion de plonger dans des sujets complètement nouveaux et parfois inattendus, d’effectuer des recherches approfondies, puis de repérer rapidement pourquoi cela est important pour PacifiCan et la Colombie-Britannique. J’ai également de nombreuses occasions d’utiliser mon côté créatif pour trouver des approches nouvelles et innovantes afin de résoudre des problèmes délicats – c’est tellement gratifiant quand on résout finalement un problème!
Pouvez-vous nous faire part de l’une de vos plus grandes réalisations?
L’une des réalisations dont je suis la plus fière dans mon travail à PacifiCan est ma participation à l’élaboration d’un guide pour l’Agence sur la façon de reconnaître de manière significative les territoires autochtones traditionnels et visés par des traités. Depuis son lancement, nous avons vraiment constaté un changement dans notre culture ici, à PacifiCan. Les reconnaissances territoriales deviennent de plus en plus courantes et réfléchies. J’ai également beaucoup appris de mes collègues qui ont pris à cœur de me faire part de leurs réflexions, de leurs expériences et de leurs recherches individuelles. Mon plus grand conseil pour l’élaboration d’une reconnaissance territoriale est de la considérer comme une occasion d’apprentissage et d’enseignement – mettez-vous au défi d’apprendre quelque chose sur le territoire et ses intendants d’origine, puis aidez à diffuser les connaissances à votre public. C’est cet effet multiplicateur qui rend les reconnaissances si précieuses.
Pouvez-vous nous révéler une ou deux choses qui vous plaisent en dehors de votre travail?
L’un de mes passe-temps préférés est la fermentation! Je me suis essayée à la choucroute, au kimchi, au kéfir d’eau et à la sauce piquante – non sans quelques dégâts et explosions dans la cuisine. J’aime aussi tout ce qui est lié à l’art ou à l’écriture et j’essaie d’intégrer de petits moments créatifs tout au long de ma journée. J’ai hâte de suivre un cours de dessin sur les perspectives cet été.
Citez trois chansons qui figurent sur votre liste de lecture Spotify?
- Cowboy Bossa feat. Yanez, de Mo’ Horizons (je l’ai entendue pour la première fois pendant mon voyage au Portugal au printemps)
- In Your Heart, de Franklin Electric (un groupe canadien que j’ai découvert récemment)
- Burnout Fugue, d’Alexandra Stréliski (ce morceau me fait ressentir une expérience presque physique – écoutez-le et voyez ce que ça vous fait!)