Matelot-chef Emely Alcina

À la recherche d’un emploi d’été alors qu’elle étudiait à l’université, le matelot-chef Emely Alcina s’est enrôlé dans la Réserve navale après avoir vu une annonce à ce sujet dans le journal. « Mon enrôlement dans la Marine à titre de manoeuvrier était tout à fait accidentel », dit-elle. « Aucun membre de ma famille n’est militaire et, à ce moment-là, je ne parlais pas très bien l’anglais ».
Emely a grandi au Venezuela. Elle est déménagée au Canada à l’âge de seize ans et s’est inscrit à l’Université d’Ottawa en psychologie. Depuis qu’elle fait partie des FAC, Emely a obtenu un baccalauréat ainsi qu’une maîtrise en counselling. Étant réserviste, elle a reçu l’appui des Forces qui l’ont aidée à payer ses études et elle a bénéficié de prestations médicales et dentaires.
Le plus grand avantage que m’offre la Réserve est la possibilité de vivre deux vies
Aujourd’hui, Emely travaille à temps plein comme conseillère aux Services de santé mentale de l’Université d’Ottawa tout en continuant de participer à temps partiel aux activités de la Réserve. Elle travaille, au sein de la Marine, à la coordination de l’instruction des nouveaux manoeuvriers à son unité d’Ottawa. « Le plus grand avantage que m’offre la Réserve est la possibilité de vivre deux vies », dit Emely. « La Réserve me permet de voyager, d’apprendre et de m’entraîner de façon complètement différente de ce que je fais dans la vie civile, une double vie que j’adore ».
Emely possède une résidence à Ottawa où elle demeure avec son conjoint, lui aussi membre des Forces armées canadiennes. Dans ses temps libres, elle joue au soccer et à la balle molle et elle s’adonne à la photographie et fait du bénévolat dans la collectivité. Elle aime aussi voyager. « J’ai beaucoup voyagé avec la Marine et débarqué à nombre de ports, un peu partout aux États-Unis, en Alaska et au Canada ».
« Les Forces armées canadiennes offrent à quiconque souhaite s’enrôler la possibilité de vivre une expérience extraordinaire, d’apprendre, de faire des rencontres et de voyager partout dans le monde », souligne Emely. « Si c’était à refaire, je m’enrôlerais immédiatement. Je ne peux m’imaginer vivre sans faire partie des Forces armées canadiennes ».
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