Le 407e Escadron a remporté le Dragon Belt
Article de nouvelles / Le 19 janvier 2022
Affaires publiques de la 19e Escadre
Comme l’an dernier, un CP-140 Aurora du 407e Escadron de patrouille à longue portée, son équipage et son personnel de soutien de la 19e Escadre Comox, ont participé à l’exercice Sea Dragon. Le détachement de l’Aviation royale du Canada a remporté le prix tant convoité du Dragon Belt, pour la meilleure performance.
La compétition était difficile cette année, car elle était modifiée pour simuler une vraie guerre. En plus du Dragon Belt pour le plus grand nombre de points, le 407e Escadron a aussi gagné le prix Kraken décerné pour l’attaque la plus consistante. Au classement final, le Canada remporte le Gold Dragon Belt; les États-Unis ont l’argent et l’Australie, le bronze.
Organisé par l’Andersen Air Base, sur l’île de Guam, l’Ex Sea Dragon 22 est un exercice anti-sous-marin multinational important pour la région du Pacifique. Il se déroule du 29 décembre 2021 au 21 janvier 2022, et il comprend trois parties : Les préliminaires et l’échauffement, la compétition et les entraînements. Centré sur l’entraînement de lutte anti-sous-marine, l’exercice comprend 270 heures d’entraînement en vol pour, en premier, suivre des cibles simulées, puis finir par la poursuite d’un sous-marin américain, dans l’océan. Pendant les cours en classe, les équipages de tous les pays planifient et discutent de tactiques qui incorporent les capacités et les équipements de leurs nations.
Des militaires de l’Aviation royale du Canada et de la Royal Australian Air Force, de la Japanese Maritime Self Defense Force, des marines des États-Unis, de l’Inde, de la République de Corée participent à cet exercice dont le but est d’améliorer leurs relations.
Le Major-général Eric Kenny, commandant de la 1re Division aérienne du Canada a dit : « Des exercices comme le Sea Dragon permettent des entraînements véridiques et un échange de techniques, de tactiques, et une amélioration de la compréhension des opérations multinationales. » Le but commun de l’exercice est d’améliorer l’interopérabilité de nos patrouilles de lutte anti-sous-marine à longue portée, tout en nous aidant à améliorer notre sécurité maritime, en collaboration avec nos partenaires et nos alliés. »
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