Les drones, une question d’éthique

Article de nouvelles / Le 2 novembre 2016

Les débats sur l’utilisation éthique des drones ont été adressés durant un panneau d’experts à ce sujet dans le cadre de la semaine d’éthique des Forces canadiennes. Les experts ont répondu à des questions de l’éthique des drones, posée par le Docteur Stephen Hare. Les experts consistaient du Lieutenant-Colonel McGuire, Lieutenant-Colonel LeBouthillier, Lieutenant-Colonel Woods, Major Reimer et finalement Major Fugger.

« Le même niveau d’examen minutieux est appliqué et considéré avant que l’ordre d’engagé est donné ou que le bouton cornichons est activé, qu’il se soit un avion avec pilot ou pas » a dit Lieutenant-Colonel Jeff LeBouthillier. Lieutenant-Colonel LeBouthillier était un Autorité en Engagement de Cible durant Opération Mobile, qui était la contribution canadienne a l’intervention Libyenne, il a aussi développé la doctrine de ciblage du Canada et de l’OTAN. Lieutenant-Colonel LeBouthillier a insisté qu’il n’y a pas de différence dans les considérations éthique or légal pour faire une attaque que ce soit un avion de chasse ou un drone. Durant les discussions on a établi que les drones avaient le pouvoir aux autorités de voire la situation en direct et de la surveillé lorsqu’elle se développe. A cause de ceci les experts légaux et les estimateurs de dommages collatéraux peuvent faire des meilleures recommandations avant que l’ordre d’attaque est donné. Les chasseurs de l’ARC ont la capacité de faire la diffusion vidéo, mais cette technologie était installée durant la modernisation du CF-118 Hornet, ce qui la rend mal fiable en certaine situations.

Lieutenant-Colonel Woods, un pilot du CF-118, a raconté son expérience en travaillé en conjonction avec les drones en Iraq durant Op Impact. Durant certaine mission il a dû retourner au tanker jusqu’à huit fois, ce qui a donné du temps au ennemies de se déplacer et d’opérer sans observation. Ces opportunités n’existent pas lorsqu’on utilise les drones. Les petites unités silencieux opéré par la coalition ont des puissant détecteurs et sont très difficile a remarqué. Lieutenant-Colonel LeBouthillier a remarqué « Les vilains actent très différents si ils savent ou pensent qu’ils ne sont pas observés. » La longévité des opérations avec les drones permet aux commandants d’avoir une meilleure connaissance de la situation. « Dans mon expérience, dans le boulot que j’ai fait avec les drones était plus efficace et propre. » A dit Lieutenant-Colonel Woods, « Propre dans le sens que les attaques était des bons cibles légal et les drones ont immensément assisté dans l’identifications de ces cibles. »

Il y a une peur et malaise générale au sujet des machines de guerre sans pilot. Le mot drone nous fait imaginer des scènes de soulèvement des machines. Un point clé des systèmes présentement utiliser, est qu’un humain est dans la boucle, ce qui signifie qu’un humain doit agir avait que le drone prend une action. Cela s’assure qu’un humain est l’autorité pour déterminé si une attaque est justifiable. Donc la responsabilité de chaque action reste avec les humains. Les personnes sont tellement impliquées dans le processus que de nombreux opérateurs de drones souffrent de TSPT.

Les drones vont être utilisé dans les situations de combat n’importe quelle façon l’ARC décide de s’équiper de cette technologie. L’ARC doit maintenir son agilité, un des vecteurs de la Force aérienne, en regards des innovations des drones. La meilleure façon de connaitre les forces et faiblesses des drones est de les utiliser. Le CEMD Général Vance a mentionné durant ses remarques d’ouverture de la semaine d’éthique, l’importance de ne pas seulement prendre la décision légale mais aussi le choix éthique. Il a dit que les Forces canadiennes font face au jugement publique comme jamais auparavant a cause des médias sociaux. Le partage instantané des photos et vidéos permet au publique de formé une opinion rapidement des opérations des Forces canadienne. Les drones permettent aux autorités de ciblage de maintenir une meilleure connaissance de la situation qui ne peut que crées des décisions plus claires et étiques.

Le débat sur les drones n’était qu’une partie des évènements de la semaine d’éthique de la région de la capitale nationale. Il y avait aussi des présentation des L1s, SMA(Svcs Ex), VCEMD, NRC, AC, ARC, SMA(S&T), SMA(RH(CIV))/ DG Équipe de réponse stratégique, COIC, CPM-Chapelains. Plusieurs autres discussions ont pris place durant la semaine variant de l’éthique du Sécurité en Informations au Webinaires sur le Leadership éthique.