Nouvelles de l’Équipe de la Défense : le NCSM Vancouver a effectué un réarmement historique en Australie
Vidéo / Le 2 décembre 2022
Transcription
Capitaine de frégate Tyson Bergmann
Je suis le capitaine de frégate Tyson Bergmann, commandant du NCSM VANCOUVER, à quai ici aujourd’hui à Broome pour notre réarmement avancé. Nous sommes en train de décharger l’un des missiles réels. Nous venons de décharger tous les caissons vides pour les missiles ainsi que tout l’armement principal utilisé que nous avons tiré pendant les exercices. Cette opération se poursuivra tout au long de la journée jusqu’à ce que nous ayons terminé avant notre départ.
Capitaine de frégate Matthew Wernas
C’est un jour important pour le réarmement des VLS ici dans le Nord de l’Australie. Il s’agit de la première fois qu’un réarmement de VLS a lieu ici, dans le port de Broome, et ce n’est seulement que la deuxième fois qu’un pays extérieur à l’Australie mène des activités de VLS en Australie.
Capitaine de frégate Tyson Bergmann
Tout le processus a commencé il y a environ neuf mois. Nous savions que le NCSM VANCOUVER allait effectuer un certain nombre d’exercices en allant à notre déploiement dans le cadre de l’opération Horizon. Et nous savions que nous devrions procéder à un réarmement avant pour tous les missiles ou les armes que nous aurions utilisés au cours de ces exercices. Les discussions qui ont eu lieu jusqu’à ce moment-là, y compris les communications directes entre le chef d’état-major de la défense de l’Australie et son homologue du Canada, ont abouti à la décision d’utiliser l’Australie comme preuve de concept pour réarmer à l’avance l’un de nos navires canadiens. Bien que l’entrée des missiles en Australie a été principalement assurée par l’Aviation canadienne à bord de son Globemaster. Une fois les munitions arrivées dans le pays, c’est les Forces de Défense de l’Australie qui sont chargées de les transporter jusqu’à l’endroit où nous nous trouvons aujourd’hui.
Capitaine de frégate Matthew Wernas
Ce type d’activité est bénéfique pour la population canadienne. Il permet au VANCOUVERde rester déployé à l’avant, ce qui signifie qu’il n’a pas besoin de retourner dans des ports plus proches de son domicile et qu’il reste donc plus longtemps en station.