Archivé - Le ministre Oliver rencontre des économistes du secteur privé pour discuter de l'économie canadienne
Le 9 avril 2015 – Ottawa (Ontario) – Ministère des Finances
Le ministre des Finances, Joe Oliver, a rencontré aujourd’hui d’éminents économistes du secteur privé au Canada pour connaître leurs points de vue sur l’économie du pays et l’économie mondiale. Cette réunion précède la parution du Plan d’action économique de 2015, qui aura lieu le 21 avril.
Les économistes ont indiqué que la chute des prix mondiaux du pétrole brut et la faiblesse de l’économie mondiale avaient une incidence sur l’économie du Canada. Ils ont toutefois également mentionné que les facteurs fondamentaux sous-jacents de l’économie canadienne demeuraient solides et qu’ils s’attendaient à ce que la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel du pays se situe en moyenne à environ 2 % en 2015.
Les participants à la rencontre d’aujourd’hui se sont entendus pour dire que, malgré la grande incertitude entourant les perspectives économiques, la moyenne des prévisions de l’enquête de mars auprès des économistes du secteur privé constituait un point de départ raisonnable aux fins de la planification budgétaire.
Le ministère des Finances fonde ses hypothèses économiques et ses hypothèses de planification budgétaire sur la moyenne des prévisions économiques du secteur privé. Cette approche, qui est appuyée par le Fonds monétaire international, assure l’objectivité des prévisions budgétaires avant la publication, le 21 avril, du Plan d’action économique de 2015.
- Le gouvernement a répété qu’il rétablira l’équilibre budgétaire dans le Plan d’action économique de 2015.
- Le Canada affiche le plus faible ratio de la dette nette au PIB parmi les pays du Groupe des Sept (G–7), et il bénéficie d’une cote de crédit AAA, assortie de perspectives stables, de la part de toutes les grandes agences de notation.
- Depuis le creux de la récession, plus de 1,2 million d’emplois nets ont été créés au Canada, ce qui représente l’un des meilleurs bilans à cet égard parmi les pays du G–7.
- Selon la firme KPMG, les coûts fiscaux globaux des entreprises au Canada sont les plus faibles du G–7, et ils sont inférieurs de 46 % à ceux qui prévalent aux États-Unis.
Melissa Lantsman
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