Erin MacDonald
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Erin MacDonald, agente principale des communications, Sydney, N.-É.
Pour Erin MacDonald, créer des liens est une seconde nature. Cette native du Cap-Breton a fait le tour du monde en grand voilier (24 pays et 28 000 milles nautiques) et a déjà été certifiée en lutte spécialisée contre les incendies et en sauvetage par hélicoptère, des compétences qui lui ont maintes fois été utiles.
L'intérêt d'Erin pour les relations publiques est né d'un incident sur un grand voilier, qui a initié le marin aux communications de crise. En 2013, après une maîtrise en relations publiques de l’Université Mount Saint Vincent, elle s’est jointe à l’équipe des communications de la Société d’expansion du Cap‑Breton. Un an plus tard, elle a fait le saut à l’APECA, où elle est maintenant agente principale des communications.
« Les communications sont au cœur du travail de l’APECA, dit-elle. Nous avons l’obligation d’informer les Canadiens de ce qui se passe au Canada atlantique. Nos contributions soutiennent la croissance et l’expansion de l’économie de la région. »
Erin a aussi pour rôle de célébrer les succès. Elle souligne que les occasions qu’elle a d’assister à des événements en personne et à des annonces de financement font partie des moments les plus gratifiants de son travail. Elle entend alors parler directement des retombées du financement fédéral sur les clients et leurs organisations. « Ce lien avec la communauté est important pour moi », dit-elle.
Le travail d’Erin est varié. Récemment, elle a joué un rôle clé dans la création de produits et de stratégies de communication avec des entreprises autochtones. « Les entreprises autochtones font face à des difficultés particulières. Même lorsqu’il s’agit de projets qui ne relèvent pas du mandat de l’APECA, nous pouvons contribuer à établir des liens et à aider les entreprises à aller de l’avant », explique-t-elle.
« Travailler à l’APECA n’a fait que renforcer à quel point le Canada atlantique est un endroit spécial et à quel point ses habitants sont modestes, brillants et gentils », ajoute-t-elle. Il y a juste une petite méprise qu’Erin aimerait corriger : « Mes parents, dit-elle, pensent que je travaille directement pour le premier ministre en tant que conseillère personnelle et il n’y a pas moyen de les faire démordre. »
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