RDDC : Science, technologie et savoir pour la défense et la sécurité du Canada

Transcription

Durée de la vidéo : 1:24

Début de la vidéo avec le titre « Recherche et développement pour la défense Canada ».

Différents carrés apparaissent sur une carte du Canada et les noms Suffield, Toronto, Ottawa, Valcartier et Atlantique, représentant la localisation de cinq des centres de recherches de l’Agence Recherche et développement pour la défense Canada (RDDC) apparaissent sur cette même carte. L’ajout des acronymes QG, CARO, CSS et DGRAPM viennent s’ajouter sous Ottawa pour représenter le quartier général de RDDC (QG), le Centre d'analyse et de recherche opérationnelle, le Centre des sciences pour la sécurité, le Directeur général – Recherche et analyse (Personnel militaire), tous localisés dans la région de la capitale nationale. Pour terminer cette séquence, les différents carrés se positionnent sous le nom des villes.

Suivent ensuite, une série de séquences vidéo illustrant les sciences et les technologies développées au sein de RDDC.

Quatre séquences vidéo simultanées apparaissent : un scientifique devant un écran d’ordinateur, une technicienne dans un laboratoire, un militaire dans un simulateur de vol et des gens dans le grand nord.

Quatre autres séquences vidéo suivent : un technicien dans un laboratoire, une technicienne devant plusieurs écrans, deux scientifiques en discussion avec une autre personne devant un écran et un véhicule sous-marin télécommandé flotte à la surface de l’eau.

Quatre autres séquences vidéo : un scientifique devant de grands écrans, deux personnes dans une embarcation, un scientifique qui remet une arme à un militaire et une scientifique et un technicien dans un laboratoire.

Trois séquences vidéo : un CF 18 en vol, une centrifugeuse et un militaire devant des écrans.

Trois séquences vidéo : un véhicule blindé léger (VBL) pour le transport de troupes, trois personnes avec des sarreaux blancs dans un laboratoire font l’inspection d’un siège et deux civils en discussion avec un militaire.

Toujours avec le véhicule de transport de troupes VBL, un scientifique installe un casque sur un support et un technicien avec un mannequin à l’intérieur d’un véhicule.

Cinq séquences vidéo : un technicien qui installe des caméras, une enfilade de personnes qui regardent au loin avec des jumelles, un technicien qui communique des instructions par radio, un scientifique devant un écran d’ordinateur et une explosion dans un champs désertique.

Trois séquences vidéo : une animation du satellite NEOsat dans l’espace, deux scientifiques en discussion et le satellite NEOsat dans un laboratoire de l’Agence spatiale canadienne.

Cinq séquences vidéo : des premiers répondants sur le terrain, des véhicules d’urgences avec les gyrophares clignotants, des militaires dans une salle d’opération médicale en Afghanistan, un ensemble portatif médical et une séquence aérienne la nuit.

Trois séquences vidéo : une simulation d’un CH 146 (Griffon) en vol lançant des leurres, un scientifique en discussion avec deux autre personnes et des militaires et du personnel civil autour d’une table discutent et regardent des écrans.

Trois séquences vidéo : le navire de recherche scientifique Quest, un véhicule sous-marin télécommandé et un coucher de soleil dans le grand nord.

Huit séquences vidéo sur un fond noir se déplacent pour former une signature avec les acronymes officielles DRDC-RDDC, le nom complet Recherche et développement pour la défense Canada et le slogan Science, technologie et savoir pour la défense et la sécurité du Canada.

La dernière séquence montre le mot-symbole « Canada » et les renseignements sur les droits d’auteur.

RDDC

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