Fiche technique santé-sécurité : Agents pathogènes – Rickettsia japonica

Sur cette page

Section I : Agent infectieux

Nom : Rickettsia japonica
Type d'agent : Bactérie

Taxonomie

Famille : Rickettsiaceae
Genre : Rickettsia
Espèce : japonica

Synonyme ou renvoi : Fièvre pourprée japonaiseNote de bas de page 1, aussi appelée fièvre pourprée orientaleNote de bas de page 2,Note de bas de page 3.

Caractéristiques

Description brève : R. japonica est un bacille Gram négatif et non mobile mesurant 0,5 μm sur 0,8-1,5 μmNote de bas de page 1. Cette bactérie intracellulaire obligatoire peut être cultivée in vitro à l'aide de cellules VeroNote de bas de page 1. Dans les modèles animaux et chez les humains, les espèces Rickettsia visent principalement les cellules endothéliales qui tapissent les petits vaisseaux sanguinsNote de bas de page 4.

Propriétés : Les rickettsies du groupe des fièvres pourprées, telles que R. japonica, adhèrent aux récepteurs des cellules hôtes à l'aide d'OmpA et d'OmpBNote de bas de page 1. R. japonica pénètre dans les cellules hôtes par phagocytose provoquée. Une fois à l'intérieur de la cellule hôte, les bactéries s'échappent du phagosome, envahissent le cytosol et se reproduisent par fission binaire. R. japonica utilise la machinerie de la cellule hôte pour activer l'apoptose afin d'être libérée de la cellule hôteNote de bas de page 1.

 

Caractéristiques :H. parainfluenzae est un coccobacille Gram négatif exigeant et non mobile. La cellule a un diamètre d'environ 0,4 à 1,0 μm et une longueur d'environ 1,0 à 2,0 μmNote de bas de page 1. Il s'agit d'un agent pathogène opportuniste présent dans la cavité buccale, le pharynx et les voies génitales inférieuresNote de bas de page 1,Note de bas de page 2

Les espèces d'Haemophilus peuvent être cultivées sur une gélose au sang; l'ajout de bacitracine empêche la croissance de la plupart des autres bactéries présentes dans la cavité buccaleNote de bas de page 1. Le facteur X n'est pas nécessaire à la prolifération d'H. parainfluenae; le facteur V est nécessaire pour la plupart des souchesNote de bas de page 1,Note de bas de page 3. Les souches d'H. parainfluenzae sont diversifiées sur le plan génétique et hétérogènes sur le plan phénotypique pour de nombreuses enzymes généralement utilisées pour classer les bactériesNote de bas de page 1,Note de bas de page 3,Note de bas de page 4. Huit biotypes d'H. parainfluenzae ont été identifiés, lesquels sontbasés sur la production de tryptophanase, d'uréase et d'ornithine décarboxylaseNote de bas de page 1,Note de bas de page 3. H. parainfluenzae croît bien dans un milieu microaérophile enrichi avec 5 à 10 % de CO2. Les colonies matures apparaissent après une incubation à 35 °C pendant 18 à 48 heuresNote de bas de page 5.

Section II : Détermination du risque

Pathogénicité et toxicité : R. japonica est l'agent responsable de la fièvre pourprée japonaise, reconnue comme nouvelle maladie en 1984Note de bas de page 5. Les symptômes comprennent généralement la fièvre, le mal de tête et les rougeursNote de bas de page 1,Note de bas de page 2. Une escarre, soit une lésion nécrotique de la peau localisée et inflammatoire, peut également être présente là où la tique a mordu. Les escarres durent généralement une à deux semainesNote de bas de page 3. L'érythème sur les paumes ou à la plante des pieds est fortement associé à la fièvre pourprée japonaiseNote de bas de page 3,Note de bas de page 6.

Le taux de mortalité de la fièvre pourprée japonaise est d'environ 1 %Note de bas de page 3. Des complications en lien avec le système nerveux (p. ex., méningoencéphalites)Note de bas de page 7,Note de bas de page 8, le cœurNote de bas de page 9, la coagulation intravasculaire disséminéeNote de bas de page 3, l'insuffisance respiratoireNote de bas de page 10 et la défaillance d'organes multiplesNote de bas de page 8,Note de bas de page 11 ont été documentées.

Les chiens infectés par R. japonica peuvent présenter des symptômes cliniques comme la fièvreNote de bas de page 12, mais il n'y a aucun cas connu d'infection animale naturelle avec R. japonicaNote de bas de page 13.

Facteurs prédisposants : Le dysfonctionnement rénal est associé à des complications, par exemple la coagulation intravasculaire disséminée et une durée prolongée de la maladieNote de bas de page 14.

Transmissibilité : L'inoculation de R. japonica dans l'hôte par une tique est le mode de transmission le plus courant. Les rickettsioses à tiques sont transmises aux humains par les excrétions salivaires des tiques, mais les rickettsies en général ne se transmettent pas d'une personne à l'autreNote de bas de page 15. La transmission par inhalation est considérée probable, car des formes sous aérosol d'autres espèces de rickettsies ont causé des maladies chez des travailleurs de laboratoire et peuvent causer des infections chez les singes et les cochons d'IndeNote de bas de page 16,Note de bas de page 17,Note de bas de page 18,Note de bas de page 19.

Épidémiologie : Japon et CoréeNote de bas de page 2,Note de bas de page 20. Le taux d'incidence de la fièvre pourprée japonaise est d'environ 0,38 par 1 000 000 personnes par annéeNote de bas de page 21. Au Japon, 241 cas ont été déclarés en 2014, et 175 en 2013Note de bas de page 22. Certaines préfectures du Japon (p. ex., Shimane, Kōchi, Kagoshima, Tokushima, Miyazaki, Wakayama, et Ehime) ont un taux d'incidence de la fièvre pourprée japonaise nettement supérieur à la moyenne nationaleNote de bas de page 21. La fièvre pourprée japonaise est associée à la vieillesse et aux personnes résidant dans des régions boiséesNote de bas de page 6. Les cas de fièvre pourprée japonaise surviennent généralement entre avril et octobreNote de bas de page 6.

Gamme d'hôtes

Hôtes naturels : Humains, chiens et chatsNote de bas de page 13.

Autres hôtes : Lors d'expériences, les cochons d'Inde peuvent être infectés par des rickettsies du groupe des fièvres pourpréesNote de bas de page 1,Note de bas de page 23.

Dose infectieuse : Inconnue pour R. japonica; les rickettsies sont considérées comme infectieuses à faible dose sous forme d'aérosolNote de bas de page 19.

Période d'incubation : De 2 à 10 jours après une morsure de tiqueNote de bas de page 3.

Section III : Dissémination

Réservoir : TiquesNote de bas de page 3, rongeursNote de bas de page 24, chatsNote de bas de page 25, chiensNote de bas de page 25,Note de bas de page 26, petits carnivores tels que les ratons laveurs férauxNote de bas de page 27,Note de bas de page 28, bovins et cervidésNote de bas de page 29.

Zoonose/Zoonose inversée : Aucune.

Vecteurs : R. japonica est introduite dans la peau de l'hôte par les excrétions salivaires d'une tique infectée lorsque celle-ci se nourritNote de bas de page 1,Note de bas de page 30. R. japonica a été détectée dans plusieurs espèces de tiques, dont Amblyomma testudinarium, Ixodes monospinosus, Ixodes ovatus, Ixodes persulcatus, Dermacentor taiwanensis, Haemaphysalis flava, Haemaphysalis hystricis, Haemaphysalis longicornis, Haemaphysalis megaspinosa, Haemaphysalis cornigera et Haemaphysalis formosensis Note de bas de page 2,Note de bas de page 3,Note de bas de page 31,Note de bas de page 32.

Section IV : Stabilité et viabilité

Sensibilité aux médicaments : Les tétracyclines (p. ex., la doxycycline), le chloramphénicolNote de bas de page 33, les fluoroquinolones (p. ex., la ciprofloxacine, l'ofloxacine et la pefloxacine), et certains macrolides, tels que la josamycine et la leucomycineNote de bas de page 33,Note de bas de page 34, sont efficaces contre R. japonica.

Résistance aux médicaments : R. japonica est résistante à l'érythromycineNote de bas de page 34.

Sensibilité aux désinfectants : Les rickettsies sont sensibles à l'hypochlorite de sodium à 1 %, à l'éthanol à 70 %, au glutaraldéhyde à 2 %, au formaldéhyde, et aux composés d'ammonium quaternaireNote de bas de page 35.

Inactivation physique : La chaleur humide (121 °C pendant 15 minutes) et la chaleur sèche (170 °C pendant une heure) sont efficaces contre les bactéries telles que R. japonicaNote de bas de page 36.

Survie à l'extérieur de l'hôte :Les rickettsies sont généralement incapables de survivre une longue période une fois séparées des éléments de la cellule hôteNote de bas de page 1. En général, la période de survie des bactéries sur des surfaces inanimées dépend également des conditions ambiantes, par exemple l'humidité relative, la température, le biofilm et le type de surfaceNote de bas de page 37.

Section V : Premiers soins et aspects médicaux

Surveillance :Un diagnostic est effectué à la lumière des symptômes cliniques, des antécédents médicaux du patient et d'essais en laboratoireNote de bas de page 2. Des tests sérologiques (p. ex., essais par immunofluorescence indirecte, analyses ELISA) peuvent être réalisés pour détecter des rickettsies du groupe des fièvres pourprées, mais ne sont pas suffisamment précis pour en déterminer l'espèce exacteNote de bas de page 38,Note de bas de page 39. Des échantillons de sang appariés sont requis (phase aiguë et phase de la convalescence) et la séroconversion est généralement détectée de 7 à 15 jours après l'apparition des symptômes, ce qui limite l'utilité de ces tests pour la prise de décisions cliniques rapidesNote de bas de page 2. L'analyse par PCR du sangNote de bas de page 11,Note de bas de page 40,Note de bas de page 41 et des échantillons de peau prélevés des escarres ou des lésionsNote de bas de page 40,Note de bas de page 42 peut être utilisée pour détecter rapidement R. japonica.

Remarque : Les recommandations particulières pour la surveillance en laboratoire devraient provenir du programme de surveillance médicale, qui est fondé sur une évaluation locale des risques des agents pathogènes et des activités menées, ainsi que sur une évaluation globale des risques du programme de biosécurité dans son ensemble. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la surveillance médicale, veuillez consulter le Guide canadien sur la biosécurité (GCB).

Premiers soins et traitement : La fièvre pourprée japonaise peut être traitée avec les antibiotiques appropriés. La tétracycline (p. ex., la doxycycline ou la minocycline), seule ou combinée à une fluoroquinolone (p. ex., la ciprofloxacin), est couramment administréeNote de bas de page 3,Note de bas de page 43.

Remarque : Les recommandations particulières pour les premiers soins et le traitement en laboratoire devraient provenir du plan d'intervention post-exposition, qui est élaboré dans le cadre du programme de surveillance médicale. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le plan d'intervention post-exposition, veuillez consulter le GCB.

Immunisation : Aucun vaccin n'est offert à l'heure actuelle.
Remarque : Pour obtenir de plus amples renseignements sur le programme de surveillance médicale, veuillez consulter le GCB et le Guide canadien d'immunisation.

Prophylaxie : Aucune.
Remarque : Pour obtenir de plus amples renseignements sur la prophylaxie dans le cadre du programme de surveillance médicale, veuillez consulter le GCB.

Section VI : Dangers pour le personnel de laboratoire

Infections contractées en laboratoire : Aucune infection signalée à ce jour. Cependant, il y a eu des cas d'infections de personnel de laboratoire par des bactéries sous forme d'aérosol de R. rickettsia, fortement apparentée à R. japonicaNote de bas de page 17.

Remarque : Veuillez consulter la Norme canadienne sur la biosécurité (NCB) et le GCB pour obtenir de plus amples renseignements sur les exigences et les lignes directrices relatives à la déclaration des incidents d'exposition.

Sources et échantillons : Sang, biopsie cutanéeNote de bas de page 42.

Dangers primaires : Inhalation d'aérosols infectieux, exposition de membranes muqueuses, inoculation accidentelle sous la peau ou morsures de tiques infectées.

Dangers particuliers : Aucun.

Section VII : Contrôle de l'exposition et protection personnelle

Classification par groupe de risque : R. japonica est un agent pathogène humain du groupe de risque 3 et un agent zoopathogène du groupe de risque 1Note de bas de page 44.

Exigences de confinement : Les installations, l'équipement et les pratiques opérationnelles de niveau de confinement 3 définis dans la NCB pour le travail avec des matières, cultures ou animaux infectieux ou potentiellement infectieux.

Vêtements de protection : Les exigences applicables au niveau de confinement 3 pour l'équipement et les vêtements de protection individuelle décrites dans la NCB doivent être respectées. De l'équipement de protection individuel qui protège tout le corps, y compris les yeux et les voies respiratoires, devrait être envisagé.

Autres précautions : Toutes les activités impliquant des contenants ouverts de matières infectieuses ou de toxines devraient être effectuées dans une enceinte de sécurité biologique (ESB) certifiée ou dans un autre dispositif de confinement primaire appropriéNote de bas de page 45. Des précautions supplémentaires devraient être envisagées lors de la manipulation d'arthropodes infectés. Des procédures de confinement, de manipulation, d'immobilisation et de surveillance des arthropodes et de capture d'arthropodes échappés devraient être mises en œuvre. Voir les exigences applicables relatives aux arthropodes prescrites par les Normes sur le confinement des installations manipulant des phytoravageursNote de bas de page 46.

Section VIII : Manutention et entreposage

Déversements :
Laisser les aérosols se déposer. Tout en portant des vêtements de protection, couvrir délicatement le déversement avec des essuie-tout absorbants et appliquer un désinfectant approprié, en commençant par le périmètre et en se rapprochant du centre. Laisser agir suffisamment longtemps avant de nettoyerNote de bas de page 47.

Élimination :
Toutes les matières et substances qui ont été en contact avec l'agent infectieux devraient être complètement décontaminées avant d'être retirées de la zone de confinement. Cela peut se faire en utilisant une méthode de décontamination dont l'efficacité contre les matières infectieuses a été démontrée, telle que les désinfectants chimiques, l'autoclavage, l'irradiation, l'incinération, un système de traitement des effluents ou la décontamination gazeuseNote de bas de page 47.

Entreposage :
Les exigences applicables au niveau de confinement 3 pour l'entreposage décrites dans la NCB doivent être respectées. Les contenants renfermant des matières infectieuses ou des toxines entreposés à l'extérieur de la zone de confinement devraient être étiquetés, étanches, résistants aux chocs et conservés dans un équipement d'entreposage verrouillé et dans une zone à accès restreintNote de bas de page 47.

Section IX : Renseignements sur la réglementation et autres

Renseignements sur la réglementation : L'importation, le transport et l'utilisation d'agents pathogènes au Canada sont régis par de nombreux organismes de réglementation, dont l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Transports Canada. Il incombe aux utilisateurs de veiller à respecter tous les règlements et toutes les lois, directives et normes applicables.

Contexte réglementaire canadien : Au moment de la publication de la présente FTSSP, cet agent pathogène fait l'objet de mesures de lutte officielles. Ce qui suit constitue une liste non exhaustive des désignations, règlements ou lois applicables :

Dernière mise à jour : Septembre 2019

Préparée par : Centre de la biosécurité, Agence de la santé publique du Canada.

Bien que les renseignements, opinions et recommandations présentés dans la présente Fiche technique santé-sécurité : agents pathogènes proviennent de sources jugées fiables, nous ne sommes en aucun cas responsables de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements. Comme on découvre fréquemment de nouveaux dangers, il est possible que ces renseignements ne soient pas tout à fait à jour.

Tous droits réservés © Agence de la santé publique du Canada, 2019, Canada.

Références

Notes de bas de page

Notes de bas de page 1

Yu, X. J., et D. H. Walker. (2005). Genus I. Rickettsia, p. 96. DansGeorge M. GARRITY, Don J. BRENNER, Noel R. KRIEG, et James T. STALEY (éds), Bergey's Manual of Systematic Bacteriology, Second Edition. Volume Two : The Proteobacteria (Part C). Springer, États-Unis.

Retour à la référence de la note de bas de page 1

Notes de bas de page 2

Parola, P., C. D. Paddock, C. Socolovschi, M. B. Labruna, O. Mediannikov, T. Kernif, M. Y. Abdad, J. Stenos, I. Bitam, P. -. Fournier et D. Raoult. (2013). Update on Tick-Borne Rickettsioses around the World: a Geographic Approach. Clinical Microbiology Reviews. 26(4):657-702.

Retour à la référence de la note de bas de page 2

Notes de bas de page 3

Mahara, F.  (2006). Rickettsioses in Japan and the far East. Annals of the New York Academy of Sciences. 1078:60-73.

Retour à la référence de la note de bas de page 3

Notes de bas de page 4

Sahni, , Sanjeev K. et E. Rydkina. (2009). Host-cell interactions with pathogenic Rickettsia species. Future Microbiology. 4:323-339.

Retour à la référence de la note de bas de page 4

Notes de bas de page 5

 Kawamura Jr., Akiyoshi et H.Tanaka (1988). Rickettsiosis in Japan. Japanese Journal of Experimental Medicine. 58:169-184.

Retour à la référence de la note de bas de page 5

Notes de bas de page 6

Sando, E., M. Suzuki, M. Yaegashi, M. Taira, T. Ogawa et K. Ariyoshi. (2017). Clinical and Epidemiological Characteristics of Japanese Spotted Fever and Scrub Typhus in Central Japan, 2004-2015. Open Forum Infectious Diseases. 4:S119.

Retour à la référence de la note de bas de page 6

Notes de bas de page 7

Araki, M., K. Takatsuka, J. Kawamura et Y. Kanno. (2002). Japanese Spotted Fever Involving the Central Nervous System: Two Case Reports and a Literature Review. Journal of Clinical Microbiology. 40:3874-3876.

Retour à la référence de la note de bas de page 7

Notes de bas de page 8

Nakata, R., M. Motomura, M. Tokuda, H. Nakajima, T. Masuda, T. Fukuda, A. Tsujino, T. Yoshimura, A. Kawakami. (2012). A case of Japanese spotted fever complicated with central nervous system involvement and multiple organ failure. Internal Medicine. 51:783-786.

Retour à la référence de la note de bas de page 8

Notes de bas de page 9

Fukuta, Y., F. Mahara, T. Nakatsu, T. Yoshida et M. Nishimura. (2007). A case of Japanese spotted fever complicated with acute myocarditis. Japanese Journal of Infectious Diseases. 60:59-61.

Retour à la référence de la note de bas de page 9

Notes de bas de page 10

Takiguchi, J., K. Okimura, M. Ishii, K. Okamura, H. Sakamoto, S. Inamoto et S. Ando. (2016). Severe Japanese Spotted Fever Complicated by Acute Respiratory Failure in Kobe City. Kansenshogaku Zasshi. 90:120-124.

Retour à la référence de la note de bas de page 10

Notes de bas de page 11

Kodama, K., T. Senba, H. Yamauchi, Y. Chikahira, T. Katayama, Y. Furuya, H. Fujita et S. Yamamoto. (2002). Fulminant Japanese spotted fever definitively diagnosed by the polymerase chain reaction method. Journal of Infection and Chemotherapy. 8:266-268.

Retour à la référence de la note de bas de page 11

Notes de bas de page 12

Inokuma, H., H. Matsuda, L. Sakamoto, M. Tagawa et K. Matsumoto. (2011). Evaluation of Rickettsia japonica Pathogenesis and Reservoir Potential in Dogs by Experimental Inoculation and Epidemiologic Survey. Clinical and Vaccine Immunology. 18:161-166.

Retour à la référence de la note de bas de page 12

Notes de bas de page 13

Tabuchi, M., Jilintai, Y. Sakata, N. Miyazaki et H. Inokuma. (2007). Serological Survey of Rickettsia japonica Infection in Dogs and Cats in Japan. Clinical and Vaccine Immunology. 14:1526-1528.

Retour à la référence de la note de bas de page 13

Notes de bas de page 14

Nakamura, T., K. Takagaki, Y. Matsubara & K. Kikuchi. (2011). Predictive values of clinical parameters for severe Japanese spotted fever. Journal of Infection and Chemotherapy. 17:246-253.

Retour à la référence de la note de bas de page 14

Notes de bas de page 15

Azad, A. F. et C. B. Beard. (1998). Rickettsial pathogens and their arthropod vectors. Emerging Infectious Diseases. 4:179-186.

Retour à la référence de la note de bas de page 15

Notes de bas de page 16

Kenyon, R. H., R. A. Kishimoto, W. C. Hall. (1979). Exposure of guinea pigs to Rickettsia rickettsii by aerosol, nasal, gastric, and subcutaneous routes and protection afforded by an experimental vaccine. Infection and Immunity. 25(2):580-582.

Retour à la référence de la note de bas de page 16

Notes de bas de page 17

Oster, C. N., D. S. Burke, R. H. Kenyon, M. S. Ascher, P. Harber et C. E. Pedersen. (1977). Laboratory-acquired Rocky Mountain spotted fever. The hazard of aerosol transmission. The New England Journal of Medicine. 297(16):859-863.

Retour à la référence de la note de bas de page 17

Notes de bas de page 18

Saslaw, S., et H. N. Carlisle. (1966). Aerosol infection of monkeys with Rickettsia rickettsii. Bacteriological Reviews. 30(3):636-645.

Retour à la référence de la note de bas de page 18

Notes de bas de page 19

Walker, D. H. (2003). Principles of the malicious use of infectious agents to create terror: reasons for concern for organisms of the genus Rickettsia. Annals of the New York Academy of Sciences. 990:739-742.

Retour à la référence de la note de bas de page 19

Notes de bas de page 20

Chung, M. H., S. H. Lee, M. J. Kim, J. H. Lee, E. S. Kim, M. K. Kim, M. Y. Park, et J. S. Kang. (2006). Japanese spotted fever, South Korea. Emerging Infectious Diseases. 12:1122-1124.

Retour à la référence de la note de bas de page 20

Notes de bas de page 21

Hashimoto, S., M. Kawado, Y. Murakami, M. Izumida, A. Ohta, Y. Tada, M. Shigematsu, Y. Yasui, K. Taniguchi et M. Nagai. (2007). Epidemics of Vector-borne Diseases Observed in Infectious Disease Surveillance in Japan, 2000-2005. Journal of Epidemiology. 17:S48-55.

Retour à la référence de la note de bas de page 21

Notes de bas de page 22

Japan Ministry of Health, Labour and Welfare. Handbook of Health Welfare and Statistics 2016. 2018.

Retour à la référence de la note de bas de page 22

Notes de bas de page 23

Bechah, Y., C. Capo, J. L. Mege et D. Raoult. (2008). Rickettsial diseases: from Rickettsia-arthropod relationships to pathophysiology and animal models. Future Microbiology. 3:223-236.

Retour à la référence de la note de bas de page 23

Notes de bas de page 24

Yamamoto, S., C. Morita et K. Tsuchiya. (1992). Isolation of spotted fever group rickettsia from Apodemus speciosus in an endemic area in Japan. Japanese Journal of Medical Science and Biology. 45:81-86.

Retour à la référence de la note de bas de page 24

Notes de bas de page 25

Tabuchi, M., Jilintai, Y. Sakata, N. Miyazaki et H. Inokuma. (2007). Serological Survey of Rickettsia japonica Infection in Dogs and Cats in Japan. Clinical and Vaccine Immunology. 14:1526-1528.

Retour à la référence de la note de bas de page 25

Notes de bas de page 26

Inokuma, H., S. Yamamoto et C. Morita. (1998). Survey of tick-borne diseases in dogs infested with Rhipicephalus sanguineus at a kennel in Okayama Prefecture, Japan. Journal of Veterinary Medical Science. 60:761-763.

Retour à la référence de la note de bas de page 26

Notes de bas de page 27

Inoue, K., H. Kabeya, H. Fujita, T. Makino, M. Asano, S. Inoue, H. Inokuma, S. Nogami et S. Maruyama.  (2011). Serological survey of five zoonoses, scrub typhus, Japanese spotted fever, tularemia, Lyme disease, and Q fever, in feral raccoons (Procyon lotor) in Japan. Vector Borne and Zoonotic Diseases. 11:15-19.

Retour à la référence de la note de bas de page 27

Notes de bas de page 28

Sashika, M., G. Abe, K. Matsumoto et H. Inokuma. (2010). Molecular survey of rickettsial agents in feral raccoons (Procyon lotor) in Hokkaido, Japan. Japanese Journal of Infectious Diseases. 63:353-354.

Retour à la référence de la note de bas de page 28

Notes de bas de page 29

Hoshina, K., H. Itogawa, A. Itagaki, M. Gomyoda et T. Uchida.  (1995). Serosurvey for spotted fever group rickettsial infection in vertebrates in Shimane Prefecture. Kansenshogaku Zasshi. 69:524-531.

Retour à la référence de la note de bas de page 29

Notes de bas de page 30

Levin, M. L., L. F. Killmaster et G. E. Zemtsova. (2012). Domestic dogs (Canis familiaris) as reservoir hosts for Rickettsia conorii. Vector-Borne and Zoonotic Diseases. 12:28-33.

Retour à la référence de la note de bas de page 30

Notes de bas de page 31

Ando, S. et H. Fujita. (2013). Diversity between spotted fever group rickettsia and ticks as vector. Medical Entomology and Zoology. 64:5-7.

Retour à la référence de la note de bas de page 31

Notes de bas de page 32

Fournier, P. E., H. Fujita, N. Takada et D. Raoult. (2002). Genetic Identification of Rickettsiae Isolated from Ticks in Japan. Journal of Clinical Microbiology. 40:2176-2181.

Retour à la référence de la note de bas de page 32

Notes de bas de page 33

Miyamura, S. et T. Ohta. (1991). In vitro susceptibility of Rickettsial strains from patients with Japanese spotted fever to quinolones, penicillins and other selected chemotherapeutic agents. Chemotherapy. 39:258-260.

Retour à la référence de la note de bas de page 33

Notes de bas de page 34

Rolain, J. M., M. Maurin, G. Vestris et D. Raoult. (1998). In vitro susceptibilities of 27 rickettsiae to 13 antimicrobials. Antimicrobial Agents and Chemotherapy. 42:1537-1541.

Retour à la référence de la note de bas de page 34

Notes de bas de page 35

Narang, R. (2016). Biology of Orientia tsutsugamushi, p. 385. DansTHOMAS, Sunil (éd.), Rickettsiales : Biology, Molecular Biology, Epidemiology, and Vaccine Development. Springer, Cham, Suisse.

Retour à la référence de la note de bas de page 35

Notes de bas de page 36

Hancock, C. O. (2013). Heat Sterilization, p. 277-293. Dans FRAISE, Adam P., Jean-Yves MAILLARD et Syed SATTAR (éds), Russell, Hugo & Ayliffe's : Principles and Practice of Disinfection, Preservation and Sterilization, Fifth Edition. Wiley-Blackwell.

Retour à la référence de la note de bas de page 36

Notes de bas de page 37

Kramer, A. et O. Assadian. (2014). Survival of microorganisms on inanimate surfaces, p. 7. Dans BORKOW, Gadi (éd.), Use of Biocidal Surfaces for Reduction of Healthcare Acquired Infections. Springer.

Retour à la référence de la note de bas de page 37

Notes de bas de page 38

Amano, K., H. Hatakeyama, M. Okuta, T. Suto et F. Mahara. (1992). Serological studies of antigenic similarity between Japanese spotted fever rickettsiae and Weil-Felix test antigens. Journal of Clinical Microbiology. 30:2441-2446.

Retour à la référence de la note de bas de page 38

Notes de bas de page 39

Wu, J. J., D. B. Huang, K. R. Pang et S. K. Tyring. (2005). Rickettsial infections around the world, part 1: pathophysiology and the spotted fever group. Journal of Cutaneous Medicine and Surgery. 9:54-62. 

Retour à la référence de la note de bas de page 39

Notes de bas de page 40

Kondo, M., S. Akachi, M. Kawano, K. Yamanaka, A. Yamagiwa, E. C. Gabazza, K. Ando et H. Mizutani. (2015). Improvement in early diagnosis of Japanese spotted fever by using a novel Rick PCR system. Journal of Dermatology. 42:1066-1071.

Retour à la référence de la note de bas de page 40

Notes de bas de page 41

Hanaoka, N., M. Matsutani, H. Kawabata, S. Yamamoto, H. Fujita, A. Sakata, Y. Azuma, M. Ogawa, A. Takano, H. Watanabe, T. Kishimoto, M. Shirai, I. Kurane et S. Ando.  (2009). Diagnostic Assay for Rickettsia japonica. Emerging Infectious Diseases. 15:1994-1997.

Notes de bas de page 42

 Kurokawa, I., M. Kondo et S. Akachi. (2013). Early diagnosis of Japan spotted fever by PCR using skin samples. Journal of Infection and Chemotherapy. 19:628-632.

Retour à la référence de la note de bas de page 42

Notes de bas de page 43

Botelho-Nevers, E., C. Socolovschi, D. Raoult et P. Parola. (2012). Treatment of Rickettsia spp. infections: a review. Expert Review of Anti-Infective Therapy. 10:1425-1437.

Retour à la référence de la note de bas de page 43

Notes de bas de page 44

Agence de la santé publique du Canada. (2015). Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines (LAPHT).

Retour à la référence de la note de bas de page 44

Notes de bas de page 45

Gouvernement du Canada. (2015). Norme canadienne sur la biosécurité, Ottawa, Canada. http://canadianbiosafetystandards.collaboration.gc.ca/cbs-ncb/index-fra.php

Retour à la référence de la note de bas de page 45

Notes de bas de page 46

Agence canadienne d'inspection des aliments. (2014). Normes sur le confinement des installations manipulant des phytoravageurs, première édition.

Retour à la référence de la note de bas de page 46

Notes de bas de page 47

Gouvernement du Canada. (2016). Guide canadien sur la biosécurité, Deuxième édition, Ottawa, Canada. http://canadianbiosafetystandards.collaboration.gc.ca/cbh-gcb/index-fra.php.

Retour à la référence de la note de bas de page 47

Détails de la page

Date de modification :