Fiche Technique Santé-Sécurité : Agents Pathogènes – Virus de l’immunodéficience humaine (VIH)

Fiche technique santé-sécurité: Agents pathogènes

Section I – Agent infectieux

NOM : Virus de l'immunodéficience humaine (VIH).

SYNONYME OU RENVOI : VIH, syndrome d'immunodéficience acquise, sidaNote de bas de page 1-Note de bas de page 20. Anciennement appelé virus lymphadéno-associé, virus T-lymphotrope humain de type III (HTLV-III), virus associé à l'immunodéficience et rétrovirus associé au sidaNote de bas de page 1-Note de bas de page 20.

CARACTÉRISTIQUES : Le VIH appartient au genre Lentivirus de la famille des RetroviridaeNote de bas de page 14Note de bas de page 16. C'est un virus enveloppé et icosaédrique, d'un diamètre d'environ 100 à 110 nm, dont le génome est constitué d'ARN monocaténaire, linéaire et à polarité positiveNote de bas de page 14Note de bas de page 16. Il existe deux souches de VIH: VIH-1 et VIH-2Note de bas de page 11Note de bas de page 16Note de bas de page 17. Lors de son introduction dans la cellule hôte, l'ARN rétroviral est converti en ADN par une enzyme codée par le génome viral, la transcriptase inverse, et l'ADN ainsi obtenu est intégré à l'ADN chromosomique de l'hôteNote de bas de page 14.

Section II – Détermination du risque

PATHOGÉNICITÉ ET TOXICITÉ : Le sida est caractérisé par des symptômes et des infections causés par la défaillance du système immunitaire (par suite de la destruction ou de l'altération fonctionnelle des récepteurs des cellules CD4) imputable à l'infection à VIHNote de bas de page 10Note de bas de page 12. Le VIH peut infecter de nombreux types de cellules, principalement des lymphocytes mais aussi des macrophages, des microglies dans le cerveau et d'autres cellules du système nerveux, et provoquer une profonde asthénie, la démence et des lésions du système nerveux périphériqueNote de bas de page 12. À cause de l'immunodéficience, les patients meurent des suites d'une infection par différents champignons, parasites, bactéries et virus et sont sujets à certains types de tumeursNote de bas de page 10Note de bas de page 12. Globalement, Mycobacterium tuberculosis est la cause de décès la plus répandue chez les individus infectés par le VIH. Les caractéristiques cliniques de l'infection à VIH varient selon le stade de la maladieNote de bas de page 6. L'infection aiguë est accompagnée de symptômes aspécifiques semblables à ceux de la grippe ou de la mononucléose tels qu'une myalgie, une arthralgie, de la diarrhée, des nausées, des vomissements, des céphalées, une hépatosplénomégalie, une perte de poids et des symptômes neurologiquesNote de bas de page 6Note de bas de page 16Note de bas de page 21. La phase précoce de la maladie est la période de latence clinique séparant le moment de la primo-infection et l'apparition de symptômes évocateurs de l'immunodéficience avancée. En général, lorsque la numération des lymphocytes CD4+ chute à moins de 500 cellules/µL, des syndromes indiquant une dépression de l'immunité à médiation cellulaire peuvent apparaître, par exemple une candidose oropharyngée et une candidose vulvo-vaginale récidivante, une angiomatose bacillaire, un zona récidivant ou un multidermatome, une listériose, des infections imputables à Rhodococcus equi, des atteintes inflammatoires pelviennes, une leucoplasie chevelue associé au virus d'Epstein-Barr, des diarrhées chroniques, un purpura thrombopénique idiopathique et une neuropathie périphériqueNote de bas de page 21. La phase tardive de la maladie est la période durant laquelle la numération de lymphocytes T CD4+ du patient chute à moins de 200 cellules/µLNote de bas de page 10Note de bas de page 21. L'effondrement de la réponse immunitaire à médiation cellulaire permet à des organismes à virulence limitée présents partout dans l'environnement de devenir potentiellement mortelsNote de bas de page 6. Suivent quelques exemples de telles affections, selon les US Centers for Disease Control and Prevention: candidose des bronches, de la trachée, des poumons ou de l'œsophage, cancer envahissant du col de l'utérus, coccidioïdomycose, cryptococcose, cryptosporidiose, maladie à cytomégalovirus (touchant des organes autres que le foie, la rate ou les ganglions), rétinite à cytomégalovirus (avec perte de la vision), encéphalopathie liée au VIH, herpès simplex, histoplasmose, isosporose, sarcome de Kaposi, lymphome de Burkitt, lymphome immunoblastique, lymphome primaire du cerveau, complexe Mycobacterium avium, Mycobacterium tuberculosis, pneumonie à Pneumocystis jirovecii, pneumonie récidivante, leucoencéphalopathie progressive multifocale, septicémie à salmonelle récidivante, toxoplasmose du cerveau et syndrome cachectique imputable au VIHNote de bas de page 21.

ÉPIDÉMIOLOGIE : Le VIH est un problème mondial majeur: on compte quelque 25 millions de décès liés à ce virus, auxquels s'ajoutent 40,3 (36 à 45,3) millions d'individus infectés à l'échelle de la planèteNote de bas de page 17. Le sida a été décrit pour la première fois en 1981. Le nouveau rétrovirus (VIH-1) a été observé dans les tissus de patients atteints du sida en 1983, et le lien de causalité entre le VIH et le sida a été établi en 1984Note de bas de page 3Note de bas de page 12. Le VIH-2 a été découvert en 1986 et est la forme la moins pathogène du VIH, affichant de faibles taux de transmission et causant rarement le sidaNote de bas de page 4. La majorité des personnes vivant avec le VIH vivent dans les pays en voie de développement (environ 95 % des individus infectés dans le monde entier). L'Afrique subsaharienne est de loin la région du monde la plus touchéeNote de bas de page 10. Cette région héberge un peu plus de 10 % de la population mondiale et plus de 60 % du nombre total d'individus vivant avec le VIH/sidaNote de bas de page 10. Les nouveau-nés qui ont contracté l'infection par leur mère constituent environ 11 % de tous les cas d'infection à VIHNote de bas de page 10. Dix p. cent des infections dans le monde sont associées à l'utilisation de drogues injectables; 5 à 10 % sont transmises par des relations sexuelles entre deux hommes, et 5 à 10 % sont contractées dans le milieu des soins de santéNote de bas de page 10. Le principal mode de transmission de l'infection est la relation sexuelle entre un homme et une femme, qui est responsable de près des deux tiers des nouveaux cas d'infection et de 85 % des infections existantes dans le monde entierNote de bas de page 10Note de bas de page 17. Environ 50 % de tous les nouveaux cas d'infection à VIH dans le monde touchent des personnes de moins de 25 ansNote de bas de page 10.

GAMME D'HÔTES : HumainsNote de bas de page 3-Note de bas de page 6Note de bas de page 8Note de bas de page 10-Note de bas de page 13Note de bas de page 15-Note de bas de page 17Note de bas de page 20-Note de bas de page 23.

DOSE INFECTIEUSE : Inconnue.

MODE DE TRANSMISSION : Le VIH est transmis par contact avec la muqueuse buccale, rectale ou vaginale durant l'activité sexuelle; par inoculation intravasculaire lors d'une transfusion de produits sanguins contaminés; par l'injection de drogues au moyen de matériel contaminé; ou de la mère à l'enfant durant la grossesse, l'accouchement ou l'allaitementNote de bas de page 6Note de bas de page 16. Il n'existe pas de différence visible sur le plan de la manifestation de la maladie entre les infections transmises par les muqueuses et celles transmises par le sangNote de bas de page 6. La transmission sexuelle est responsable de plus de 90 % des infections à VIH dans le mondeNote de bas de page 6Note de bas de page 16.

PÉRIODE D'INCUBATION : Variable. En général, il s'écoule de 1 à 3 mois entre l'infection et l'apparition d'anticorps détectables; cependant, d'après les observations, le temps écoulé entre l'infection par le VIH et le diagnostic de sida varie de moins d'un an à 15 ans et plusNote de bas de page 11.

TRANSMISSIBILITÉ : Les niveaux les plus élevés de risque par acte pour ce qui concerne la transmission du VIH d'une personne à une autre sont les suivants: transfusion du sang d'un donneur infecté, partage de seringues par des utilisateurs de drogues injectables infectés, relations sexuelles anales passives et lésions percutanées avec une aiguilleNote de bas de page 6Note de bas de page 11Note de bas de page 12Note de bas de page 20. Les relations anales actives, le coït vaginal et le sexe oral représentent un risque par acte beaucoup plus faibleNote de bas de page 6Note de bas de page 11Note de bas de page 20. Le VIH peut également être transmis de la mère à l'enfant in utero (transmission verticale) ainsi que durant l'accouchement et par le lait maternelNote de bas de page 6Note de bas de page 11. On a également observé des cas de transmission du VIH par des lésions causées par une morsureNote de bas de page 22. La période de transmissibilité commence peu de temps après l'infection par le VIH, et on pense qu'elle dure pendant toute la vie de l'individu infectéNote de bas de page 11. L'infectiosité est liée à la charge virale.

SECTION III – DISSÉMINATION

RÉSERVOIR : HumainsNote de bas de page 6Note de bas de page 8Note de bas de page 10-Note de bas de page 12Note de bas de page 16Note de bas de page 17Note de bas de page 22.

ZOONOSE : Non, bien que les données actuelles laissent croire que le VIH-1 et le VIH-2 se seraient introduits dans la population humaine par suite de multiples infections zoonotiques associées à des primates non humains infectés par le virus de l'immunodéficience simienneNote de bas de page 17.

VECTEURS : Aucune donnée de laboratoire ou épidémiologique ne permet de croire que des insectes piqueurs ont transmis l'infection à VIHNote de bas de page 11Note de bas de page 16.

SECTION IV - VIABILITÉ ET STABILITÉ

SENSIBILITÉ AUX MÉDICAMENTS : On dispose à l'heure actuelle d'agents antirétroviraux appartenant à 5 classes thérapeutiques pour traiter l'infection à VIH: les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse (INTI), les inhibiteurs nucléotidiques de la transcriptase inverse (INtTI), les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI), les inhibiteurs de la protéase (IP) et les inhibiteurs de fusionNote de bas de page 10Note de bas de page 15.

SENSIBILITÉ AUX DÉSINFECTANTS : Le VIH est sensible au glutaraldéhyde à 2 % frais, à Jodopax (détergent et iode) à 2 %, à l'hypochlorite, à l'iode, aux dérivés phénoliques et, dans une moindre mesure, au NaOH, à l'isopropanol et à l'éthanol à 70 %Note de bas de page 7Note de bas de page 9Note de bas de page 18.

INACTIVATION PHYSIQUE : Le VIH est inactivé par les rayons ultraviolets (UV); toutefois, le degré d'inactivation est fortement dépendant de la proximité de l'échantillon à la source de rayons UV et de la concentration des protéines dans l'échantillon. Le VIH est facilement inactivé dans un milieu exempt de cellules; toutefois, dans les échantillons associés à des cellules et dans les échantillons de sang, l'inactivation complète nécessite une exposition beaucoup plus longue à la source d'UVNote de bas de page 7. Le VIH est également inactivé à un pH supérieur ou inférieur à la valeur optimale de 7,1Note de bas de page 18. Une exposition à une température de 60 °C pendant 30 minutes inactivera probablement le VIH; toutefois, des températures plus élevées et des périodes d'incubation plus longues pourraient être nécessaires, selon le titre initial du virusNote de bas de page 18.

SURVIE À L'EXTÉRIEUR DE L'HÔTE : Le VIH peut demeurer viable pendant 42 jours dans le sang contenu dans une seringue à la température de la pièce, et jusqu'à 11 jours dans le sang et le liquide céphalorachidien prélevé dans le cadre d'une autopsieNote de bas de page 1Note de bas de page 2. Si l'on sait que le séchage à l'air ambiant provoque une réduction rapide de la concentration de VIH, dans des conditions expérimentales, le VIH exempt de cellules séché sur une lamelle couvre-objet en verre dans 10 % de sérum peut survivre pendant plus de 7 jours, selon son titre initialNote de bas de page 19.

SECTION V - PREMIERS SOINS ET ASPECTS MÉDICAUX

SURVEILLANCE : Le diagnostic d'infection à VIH fait appel à des tests qui évaluent si le système immunitaire d'un individu a produit une réponse immunitaire spécifiquement dirigée contre ce virusNote de bas de page 16. Les tests les plus courants sont le test de liaison indirecte, le test de capture d'anticorps, la technique du double sandwich, le test ELISA, l'immunofluorescence, le transfert de Western, les dosages immunologiques à paramètres multiples et la PCR, ainsi que l'isolement viralNote de bas de page 16.

PREMIERS SOINS ET TRAITEMENT : Le sida doit être traité comme une maladie chronique. Le traitement antirétroviral est complexe et fait intervenir plusieurs médicaments administrés en association; une résistance apparaît rapidement si le traitement ne fait intervenir qu'un seul agentNote de bas de page 11. Les 5 classes disponibles de médicaments antirétroviraux, les INTI, les INtTI, les INNTI, les IP et les inhibiteurs de fusion, peuvent être utilisées en association pour produire un traitement antirétroviral hautement actif (HAART). Pour de nombreux patients (mais pas tous), le HAART transforme une maladie inexorablement mortelle en maladie chronique dont le pronostic est plutôt bonNote de bas de page 8Note de bas de page 13.

IMMUNISATION : Aucune.

PROPHYLAXIE : Les régimes prophylactiques post-exposition contre le VIH sont fondés sur la nature de l'exposition. La majorité des conditions d'exposition au VIH justifie un régime à deux médicaments, faisant appel à deux INTI ou à un INTI et à un INtTI. Les principales associations sont les suivantes: zidovudine (ZDV) et lamivudine (3CT) ou emtricitabine (FTC); stavudine (d4T) et 3TC ou FTC; ténofovir (TDF) et 3TC ou FTCNote de bas de page 15.

Dans le cas des expositions présentant un risque accru de transmission, l'addition d'un troisième ou d'un quatrième médicament doit être envisagée. Dans un tel cas, les agents de prédilection sont les inhibiteurs de la protéase tels que le lopinavir/ritonavir (LPV/RTV)Note de bas de page 15Note de bas de page 16.

SECTION VI - DANGERS POUR LE PERSONNEL DE LABORATOIRE

INFECTIONS CONTRACTÉES AU LABORATOIRE : Si de nombreux cas d'infection à VIH transmise lors d'activités professionnelles ont été signalés, le nombre d'infections contractées en laboratoire est faible. En 2001, aux États-Unis, on recensait au total 57 cas documentés d'infection à VIH contractée dans le cadre d'activités professionnelles chez les travailleurs de la santéNote de bas de page 24.

SOURCES ET ÉCHANTILLONS : Sang, sperme, sécrétions vaginales, liquide céphalorachidien, liquide synovial, liquide péritonéal, liquide pleural, liquide péricardique, liquide amniotique, autres échantillons contenant du sang visible, lait maternel, produits sanguins non analysés ou traités de manière inadéquate et tissu humain infectéNote de bas de page 11Note de bas de page 15Note de bas de page 16.

Les fèces, les sécrétions nasales, les crachats, la sueur, les vomissures, la salive, les larmes et l'urine ne sont pas considérés comme pouvant être infectieux, sauf s'ils contiennent des traces de sang visiblesNote de bas de page 11Note de bas de page 15.

DANGERS PRIMAIRES : Aiguilles, objets tranchants contaminés et contact direct entre la peau non intacte ou les muqueuses et des échantillons/tissus infectés par le VIHNote de bas de page 15Note de bas de page 16.

DANGERS PARTICULIERS: Il faut prendre des précautions exceptionnelles en vue d'éviter le déversement et les éclaboussures de matériel infecté – il faut présumer que le VIH est présent sur tout équipement et tout dispositif entrant directement en contact avec le matériel infectéNote de bas de page 25.

SECTION VII - CONTRÔLE DE L'EXPOSITION ET PROTECTION PERSONNELLE

CLASSIFICATION DU GROUPE DE RISQUE : Groupe de risque 3Note de bas de page 26.

EXIGENCES DE CONFINEMENT : Veuillez vous référer à la Directive en matière de biosécurité portant sur le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus T-lymphotrope humain de type 1 (HTLV-1).

VÊTEMENTS DE PROTECTION : Avant d'entrer dans le laboratoire, le personnel doit enlever sa tenue de ville et ses bijoux pour ensuite mettre des vêtements et des chaussures réservés aux travaux en laboratoire, ou mettre un vêtement protecteur complet (c'est-à-dire qui couvre entièrement la tenue de ville). Une protection supplémentaire peut être portée par-dessus les vêtements de laboratoire lors de la manipulation directe de matériel infectieux, comme une blouse ne s'ouvrant pas à l'avant avec poignets serrés, des gants et une protection respiratoire. Une protection pour les yeux doit être utilisée lorsqu'il y a un risque connu ou potentiel d'éclaboussureNote de bas de page 25.

AUTRES PRÉCAUTIONS : Toutes les activités avec du matériel infectieux doivent s'effectuer dans une enceinte de sécurité biologique (ESB) ou dans un autre dispositif de confinement primaire adéquat, avec un équipement de protection individuelle. La centrifugation des matières infectées doit s'effectuer dans des enceintes scellées placées dans des réservoirs hermétiques ou des rotors qui sont remplis et vidés dans une ESB. L'utilisation d'aiguilles, de seringues et d'autres objets tranchants doit être strictement restreinte. Les plaies ouvertes, les coupures et les éraflures doivent être couvertes avec des pansements imperméables. Des précautions supplémentaires doivent être envisagées pour les activités avec des animaux ou à grande échelleNote de bas de page 25.

SECTION VIII - MANUTENTION ET ENTREPOSAGE

DÉVERSEMENTS : Laisser les aérosols se déposer et, tout en portant des vêtements de protection, couvrir délicatement le déversement avec des essuie-tout et appliquer un désinfectant approprié, en commençant par le périmètre et en se rapprochant du centre. Laisser agir suffisamment longtemps avant de nettoyerNote de bas de page 25.

ÉLIMINATION : Avant la mise au rebut, décontaminer tout le matériel par stérilisation à la vapeur, désinfection chimique ou incinérationNote de bas de page 25.

ENTREPOSAGE : Le matériel infectieux doit être entreposé dans des contenants étanches, scellés et étiquetés de façon appropriéeNote de bas de page 25.

SECTION IX - RENSEIGNEMENTS SUR LA RÉGLEMENTATION ET AUTRES

INFORMATION SUR LA RÉGLEMENTATION : L'importation, le transport et l'utilisation de pathogènes au Canada sont régis par de nombreux organismes de réglementation, dont l'Agence de la santé publique du Canada, Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement Canada et Transports Canada. Il incombe aux utilisateurs de veiller à respecter tous les règlements et toutes les lois, directives et normes applicables.

DERNIÈRE MISE À JOUR : Septembre 2016

PRÉPARÉE PAR : Centre de la biosûreté, agence de la santé publique du Canada.

Bien que les renseignements, opinions et recommandations présentés dans cette Fiche de renseignements proviennent de sources que nous jugeons fiables, nous ne nous rendons pas responsables de leur justesse, de leur caractère exhaustif ou de leur fiabilité, ni des pertes ou blessures pouvant résulter de l'utilisation de ces renseignements. Comme on découvre fréquemment de nouveaux dangers, il est possible que ces renseignements ne soient pas tout à fait à jour.

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