Transcription : Plus de 45 M$ pour soutenir le chemin de fer de la baie d’Hudson et des projets autochtones au Manitoba

Transcription

[Musique]

[La vidéo commence par des images aériennes de la ville de Churchill]

Chris Avery : Vous savez, la part de propriété autochtone et Communautaire de l’Arctic Gateway Group est essentielle à sa réussite.

[La vidéo montre Chris Avery assis devant de grandes fenêtres donnant sur une rue, la nuit]

Texte à l’écran : Chris Avery (directeur général de l’Arctic Gateway Group)

[Montage rapide d’images de trains et de voies ferrées dans différents états de fonctionnement et de réparation]

Chris : Tout d’abord, elle garantit que nous réinvestissons dans l’infrastructure, car c’est là que vivent la communauté et nos propriétaires.

[La vidéo montre d’autres images aériennes du paysage de Churchill avant de passer à de courtes séquences montrant diverses personnes]

Chris : Deuxièmement, elle crée des occasions pour les Autochtones et les habitant du Nord, des occasions qu’ils n’ont jamais eues avant.

[La vidéo montre Michael Woelcke en train de parler à l’intérieur de l’Union Station de Winnipeg]

Texte à l’écran : Michael Woelcke (ancien directeur général de l’Arctic Gateway Group)

Michael Woelcke : Cela signifie que les communautés situées le long e ce corridor de transport en bénéficieront. Nous pourrons embaucher des personnes qui vivent dans ces communautés, qui pourront y travailler et qui auront de bonnes carrières, et non des emplois. Des carrières.

[La vidéo montre des séquences du panneau de bienvenue indiquant « The Town of Churchill », l’extérieur de la gare, un petit bateau sur la baie d’Hudson, des fleurs, des ours polaires sur des rochers près du rivage, et les voies ferrées menant à la ville.]

Chris : Enfin, la troisième partie est la réconciliation économique, car l’activité économique et la richesse générées par l’infrastructure reviendront dans les communautés.

[La vidéo passe à un plan rapproché de Chris Avery en train de parler]

[Montage d’une personne parlant, d’un train avec le logo du chemin de fer de la baie d’Hudson sur le côté, et de voies ferrées à la gare]

Chris : Il s’agit d’une forme de réconciliation économique que l’on ne retrouve nulle part ailleurs dans le monde, ni même au Canada.

[Musique]

[La vidéo montre Mike Spence assis devant un tableau représentant un ours polaire avec une aurore boréale dans la nuit]

Texte à l’écran : Mike Spence (maire de Churchill, coprésident de l’AGG)

Mike Spence : Nous avons besoin de voir d’autres produits arriver ici, qu’il s’agisse de minéraux, de minéraux bruts, d’engrais, de potasse. Il pourrait s’agir d’énergie verte.

[La vidéo montre des images aériennes de Churchill et de la baie d’Hudson]

[La vidéo revient sur Mike Spence assis devant une toile de fond peinte]

Mike : Vous savez, il y a beaucoup de choses qui peuvent être expédiées par le port de Churchill en utilisant la ligne ferroviaire.

[La vidéo passe à un plan rapproché de Chris Avery en train de parler]

Chris : L’infrastructure que possède l’Arctic Gateway Group. C’est essentiel  pour l’industrie au Manitoba. Cela permet à l’industrie minière de transporter les minéraux critiques à destination du port de Churchill et en provenance du port de Churchill, une voie directe vers les marchés mondiaux.

[Une vidéo aérienne du littoral et du port, un bateau de pêche bleu et blanc qui s’éloigne, un clip du port et un clip d’une personne qui parle en faisant des gestes]

[La vidéo montre une carte du Canada indiquant le port de Churchill avant de passer au Mexique]

Chris : Nous avons ici un corridor nord-sud qui peut relier le cercle arctique jusqu’au Mexique. Donc d’un point de vue commercial, c’est crucial.

[La vidéo montre une vue aérienne de la baie d’Hudson et de la ville de Churchill, des fleurs et l’horizon de la baie, ainsi qu’un clip du port]

[La vidéo revient sur Mike Spence assis devant la toile de fond peinte]

Mike : La présence du gouvernement fédéral par l’intermédiaire de PrairiesCan a été énorme. Il s’agit d’un véritable partenariat. Il n’y a pas d’autre façon de le décrire.

[Séquence vidéo d’un drapeau canadien flottant au vent, de l’avant d’un train bleu, de vagues dans la baie et d’un rivage rocheux]

Mike : PrairiesCan croyait en cette vision, en cette vision de ce corridor de transport. En cette vision de propriété locale. Et sans eux, nous ne serions pas ici.

[La signature fédérale de Développement économique Canada pour les Prairies et la signature fédérale du gouvernement du Canada apparaissent à l’écran]

[Fin de la musique]

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2025-02-04