Déclaration du ministre LeBlanc concernant la réunion du Comité des ministres du commerce intérieur

Montréal (Québec), le 23 novembre 2018 – Le ministre des Affaires intergouvernementales et du Nord et du Commerce intérieur, l’honorable Dominic LeBlanc, a publié la déclaration suivante aujourd’hui :

« Il est décevant que je n’aie pu assister à la réunion du Comité des ministres du commerce intérieur à Montréal aujourd’hui en raison d’un certain nombre de votes urgents à la Chambre des communes sur la loi pour reprendre le service postal. Plusieurs hauts fonctionnaires du gouvernement du Canada ont assisté à la réunion et réaffirmé notre volonté de collaborer en vue de réduire les obstacles au commerce entre les provinces et les territoires. Cependant, j’étais heureux d’avoir eu une discussion très positive avec le président du comité, l’honorable Pierre Fitzgibbon, ce matin.

L’Énoncé économique de l’automne présenté cette semaine constitue la prochaine étape du plan de notre gouvernement qui vise à assurer la croissance de l’économie et à soutenir la classe moyenne. Il cerne des secteurs prioritaires, comme le transport, l’inspection des aliments, la construction et les boissons alcoolisées. Nous pouvons rendre l’économie plus concurrentielle en éliminant les règlements inutiles et les obstacles au commerce entre les provinces et les territoires.

Entre autres mesures annoncées dans l’Énoncé économique de l’automne, nous voulons harmoniser les codes du bâtiment à l’échelle du pays et les rendre accessibles gratuitement. Le fait d’avoir un seul ensemble de règles signifie qu’un secteur qui emploie près de 1,4 million de Canadiens peut devenir plus concurrentiel et se concentrer sur la croissance et la création d’emplois.

J’ai bien hâte de poursuivre le travail sur l’amélioration des échanges commerciaux entre les provinces et les territoires lors de la prochaine réunion des premiers ministres, en décembre. Aujourd’hui plus que jamais, il est essentiel que nos gouvernements travaillent ensemble pour stimuler notre compétitivité, ouvrir nos marchés intérieurs et réduire les formalités administratives auxquelles doivent faire face les entreprises canadiennes. »

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