Principaux contacts et intervenants
Remarque
Ces informations étaient correctes à partir de novembre 2015.
Environnement Canada (EC) mène de 100 à 200 consultations par année. Ce nombre varie grandement selon le programme réglementaire et législatif auquel est attribuable l’essentiel des activités de consultation du Ministère. Les consultations peuvent être déclenchées pour diverses raisons, notamment des obligations législatives, l’obligation légale de consulter, des obligations en matière de revendications territoriales ainsi que des motivations liées à la bonne gouvernance. Les consultations peuvent autant porter sur les changements climatiques et la biodiversité que sur la réduction des déchets et de la pollution. Selon la nature du problème et l’objectif du processus, une gamme d’outils de consultation en ligne et traditionnels sont utilisés (ex. réunions, appels téléphoniques, groupes de discussion, ateliers, discussions ouvertes, webinaires, plateformes en ligne).
Les documents du présent cahier fournissent des renseignements sur les principaux groupes ciblés suivants : les associations industrielles (ex. l’Association canadienne des producteurs pétroliers et l’Association minière du Canada), les organisations non gouvernementales à vocation écologique (ex. la Fondation David Suzuki et le Pembina Institute) et les organisations autochtones nationales (ex. l’Assemblée des Premières Nations et l’Inuit Tapiriit Kanatami). Ces entités ont été choisies en raison de leur intérêt pour les questions et les politiques réglementaires et environnementales ainsi que de l’important niveau d’engagement dont elles ont fait preuve au cours des dernières années.
Compte tenu de leurs droits ancestraux et issus de traités protégés par la Constitution, la relation avec la Couronnne fédérale (y compris EC) des peuples autochtones du Canada est différente de celle des autres intervenants. Selon la portée et la nature de la décision proposée, diverses tribunes sont utilisées par le Ministère pour communiquer avec les peuples autochtones, qu’il s’agisse d’une collectivité précise, des habitants d’une région visée par un traité ou d’organisations autochtones régionales ou nationales (OAN). Les OAN représentent les peuples autochtones du Canada reconnus par la Constitution et offrent des points de vue et des analyses pertinents au sujet des enjeux transversaux. De plus, les consultations d’EC auprès des OAN constituent un processus rentable pour traiter les questions stratégiques importantes étant donné que les membres des OAN représentent différents sous-ensembles de groupes autochtones, dont les organisations autochtones régionales, les jeunes, les aînés et les femmes. Quand un enjeu n’a pas une portée nationale, EC mobilise des organisations autochtones régionales (ex. le Congrès des chefs des Premières nations de l’Atlantique et les Chefs de l’Ontario) ainsi que des collectivités et des gouvernements locaux.
Les consultations d’EC sont menées conformément à la Politique sur la participation publique et la consultation des Autochtones, et le Guide sur la participation publique d’EC fournit une orientation opérationnelle supplémentaire. Ces deux documents sont mis à jour au besoin pour tenir compte des enjeux et des possibilités émergents.
Associations industrielles nationales
Association canadienne des producteurs pétroliers
Président et chef de la direction : Tim McMillan, 403-267-1100, tim.mcmillan@capp.ca
Profil organisationnel :
L’Association canadienne des producteurs pétroliers (ACPP) représente l’industrie en amont du pétrole, des sables bitumineux et du gaz naturel. Les membres de l’ACPP comprennent plus de 90 membres producteurs et 150 membres associés. L’ACPP a pour mission de défendre et de favoriser la compétitivité économique et le rendement sécuritaire et responsable tant sur le plan environnemental que sur le plan social.
En s’efforçant d’assurer la mise en valeur responsable des ressources pétrolières et gazières, l’ACPP a cerné plusieurs questions environnementales prioritaires :
- Les changements climatiques – Les principes de la politique sur les changements climatiques de l’ACPP portent sur l’équilibre, la technologie, la prévisibilité et la stabilité, la compatibilité et l’harmonisation. Les travaux de l’organisation en matière de changements climatiques visent principalement à identifier les améliorations en matière d’efficacité et la technologie novatrice axée sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
- L’air – L’ACPP s’efforce d’améliorer la confiance du public en ce qui concerne les façons dont le gaz est régi, exploité et produit. L’industrie a également formé un partenariat avec l’Alliance stratégique pour la qualité de l’air (Clean Air Strategic Alliance) afin d’établir des lignes directrices axées sur la réduction du brûlage à la torche et de la dispersion du gaz dans l’atmosphère.
- L’eau – L’ACPP met l’accent sur la réduction de l’eau utilisée et sur la protection des zones situées au large des côtes.
- Le sol – Les secteurs d’intérêt de l’ACPP comprennent l’utilisation de la recherche et de la technologie pour réduire la taille des bassins de résidus miniers, pour mettre en place des mesures efficaces de réhabilitation des terrains et pour protéger la faune en général.
Association canadienne des pipelines de ressources énergétiques
Présidente et chef de la direction : Brenda Kenny, 403-221-8777, bkenny@cepa.com
Profil organisationnel :
L’Association canadienne des pipelines de ressources énergétiques (CEPA) représente les sociétés de pipelines de transport du Canada, qui transportent presque toute la production quotidienne de pétrole brut et de gaz naturel au Canada depuis les régions productrices jusqu’aux marchés du Canada et des États-Unis. La CEPA a pour mission d’améliorer l’excellence opérationnelle, le contexte commercial et la responsabilité reconnue de l’industrie des pipelines de transport d’énergie du Canada par le leadership et l’engagement crédible des sociétés membres, des gouvernements, du public et des intervenants. Les membres de la CEPA font affaire dans les Territoires du Nord-Ouest, en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan, au Manitoba, en Ontario, au Québec, en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick.
Objectifs que s’est fixés la CEPA :
- améliorer la sécurité, la transparence et la responsabilisation de l’industrie;
- améliorer le contexte commercial de la CEPA;
- communiquer avec les intervenants clés pour améliorer le niveau de confiance et de crédibilité;
- accroître le partage d’idées et de pratiques exemplaires dans certains secteurs en ce qui concerne le rendement, le contexte commercial et la technologie.
La CEPA participe à l’Initiative canadienne pour le gaz naturel, une initiative dirigée par l’industrie canadienne du gaz naturel – production en amont, secteur intermédiaire et secteur d’aval. Cette initiative a pour but la production de documentation d’information objective et basée sur des faits à propos des ressources de gaz naturel afin de mieux faire connaître le rôle du gaz naturel du Canada relativement à l’atteinte des objectifs en matière d’énergie, d’environnement et d’économie. L’Association vise à démontrer aux Canadiens que le gaz naturel peut servir de fondation solide à la nouvelle gamme de choix énergétiques au Canada et elle vise à encourager la mise en place d’une politique publique de soutien au Canada.
En 2012, l’Initiative canadienne pour le gaz naturel a lancé un programme de sensibilisation pancanadien dans le cadre duquel de hauts dirigeants de l’industrie se sont rendus dans huit villes du pays afin de discuter avec les intervenants de la production et de l’utilisation du gaz naturel. Les résultats de ces séances de discussion ont été publiés dans le Rapport sur les dialogues concernant l’industrie du gaz au Canada de l’ICGN, qui est paru en avril 2013.
D’autres partenaires de cette initiative incluent l’Association canadienne du gaz, l’Association canadienne des producteurs pétroliers, la Canadian Society for Unconventional Resources et l’Alliance canadienne de véhicules au gaz naturel.
Association canadienne des carburants
Président : Peter Boag, 613-232-3709
Profil organisationnel :
L’Association canadienne des carburants (ACC), anciennement l’Institut canadien des produits pétroliers, représente l’industrie qui fournit 95 % des carburants de transport au Canada. L’ACC a pour objectif un cadre politique qui rend possible la prise de décisions qui s’appuient sur des preuves solides – qui fournit aux décideurs une explication complète des options de politiques et de leurs répercussions, y compris les conséquences inattendues. Cette organisation mobilise tous les ordres de gouvernement – fédéral, provincial, territorial et administration municipale.
Principales activités de l’ACC :
- établir des relations de travail avec les gouvernements afin de contribuer à l’élaboration des politiques publiques;
- établir des lignes directrices axées sur la manipulation sécuritaire des produits pétroliers;
- fournir de l’information à la population sur l’industrie pétrolière.
Les membres de l’ACC se sont engagés à respecter les principes directeurs suivants :
- tenir compte de la sécurité, de la santé et de l’environnement dans la planification des activités, la conception des installations et des produits, les pratiques d’exploitation et les programmes de formation;
- exploiter les usines et les installations de façon à protéger l’environnement, ainsi que la sécurité et la santé des employés, des personnes habitant à proximité, des clients et de la population, y compris lors de la manipulation des matières premières, des produits et des déchets;
- mettre en place des mesures d’intervention d’urgence et intégrer ces mesures aux programmes de sensibilisation et aux plans d’intervention d’urgence de la collectivité;
- répondre aux préoccupations de la collectivité au sujet des matières premières, des produits et des activités;
- fournir des conseils aux clients, aux transporteurs et aux autres intervenants au sujet de l’utilisation, du transport et de l’élimination des matières premières, des produits et des déchets;
- veiller à ce que les activités soient éconergétiques;
- réaliser de la recherche et soutenir la recherche réalisée en ce qui concerne les répercussions sur la santé, la sécurité et l’environnement associées aux matières premières, aux produits, aux procédés et aux déchets;
- améliorer le rendement en matière d’environnement, de santé et de sécurité en améliorant les systèmes de gestion;
- maintenir en place des systèmes de gestion visant à assurer la conformité aux normes de l’industrie et aux exigences réglementaires; collaborer avec les gouvernements et les groupes d’intérêt pour l’établissement de normes, de lois et de règlements responsables qui assurent la protection des collectivités, des lieux de travail et de l’environnement;
- fournir de l’information et offrir de l’aide aux autres organismes qui produisent, manipulent, utilisent, transportent ou éliminent des matières premières, des produits pétroliers et des déchets semblables.
Association canadienne de l’électricité
Président et chef de la direction : l’honorable Sergio Marchi, 613-230-9263, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil organisationnel :
Fondée en 1891, l’Association canadienne de l’électricité (ACE) est le porte-parole national de l’industrie de l’électricité au Canada. Les membres de l’ACE comprennent des sociétés de services publics, de grands producteurs d’électricité, des sociétés de consultation auprès des entreprises, ainsi que plusieurs centaines de sociétés et particuliers membres. Les membres de l’ACE fournissent plus de 95 % de l’électricité au Canada.
L’ACE s’efforce de contribuer au succès de ses membres à l’échelle régionale, nationale et internationale et de diriger le secteur de l’électricité en évolution afin de permettre l’identification et l’analyse des enjeux commerciaux sur la scène nationale et internationale, d’assurer l’établissement de positions stratégiques qui permettraient de résoudre ces enjeux et de défendre vigoureusement les points de vue de l’industrie.
Travaux de l’ACE dans le secteur de l’environnement :
- Les espèces en péril – L’ACE a participé activement à l’Examen quinquennal de la Loi sur les espèces en péril qui a été entrepris en 2009. En juin 2015, l’ACE s’est présentée devant le Comité permanent de l’environnement et du développement durable de la Chambre des communes afin de s’exprimer sur les enjeux importants de la LEP auxquels fait face l’industrie de l’électricité.
- Les biphényles polychlorés (BPC) – Atténuer les impacts environnementaux produits par les installations, les activités et les entreprises de ses membres en s’attaquant à des enjeux tels que la qualité de l’air, le mercure, les déversements prioritaires et les biphényles polychlorés (BPC).
- Les changements climatiques – Gérer les émissions de gaz à effet de serre (GES) pour atténuer les impacts des activités de l’industrie sur les changements climatiques tout en adoptant des mesures d’adaptation à ces impacts.
L’ACE est membre du Centre pour l’énergie propre (Centre for Clean Energy) du Conference Board du Canada, qui effectue de la recherche sur les méthodes permettant la conception et la gestion de la transition vers des systèmes énergétiques propres. L’ACE appuie aussi le Dialogue sur l’énergie propre qui a été lancé en février 2009 par le premier ministre Harper et le président Barack Obama et qui vise à déterminer comment le Canada et les États-Unis peuvent trouver des solutions communes reposant sur l’énergie propre et permettant la réduction des émissions de GES et l’atténuation des changements climatiques.
Association canadienne des constructeurs de véhicules
Président : Mark A. Nantais, 416-364-9333, mnantais@cvma.ca
Profil organisationnel :
L’Association canadienne des constructeurs de véhicules (ACCV) est l’association industrielle qui représente les plus grands constructeurs de véhicules motorisés légers et utilitaires lourds au Canada. Les membres de l’ACCV comprennent les constructeurs de véhicules suivants : Fiat Chrysler Canada Inc., Ford du Canada Limitée et General Motors du Canada Limitée.
L’ACCV constitue un cadre de collaboration permettant aux sociétés membres d’œuvrer à la réalisation d’objectifs communs dans divers dossiers importants pour l’industrie, notamment la protection du consommateur, l’environnement et la sécurité des véhicules. L’ACCV effectue des recherches, fournit de l’information, favorise les échanges entre l’industrie et le gouvernement et offre d’autres services destinés à mieux faire comprendre l’importance de la vitalité de l’industrie automobile pour le bien-être économique et la prospérité du Canada. L’ACCV met l’accent sur un vaste éventail de domaines, dont la fabrication, la technologie, les questions transfrontalières et la logistique, l’aménagement du milieu, la sécurité des véhicules, les questions de consommation, la fiscalité et la gestion des ressources humaines.
En 2005, l’ACCV et l’Association des fabricants internationaux d’automobiles du Canada ont signé un protocole d’entente avec le gouvernement du Canada afin que les émissions de GES produites par les véhicules légers au Canada aient été réduites de 5,3 mégatonnes en 2010. L’ACCV a affirmé soutenir fermement les normes d’émission annoncées en avril 2010. L’Association contribue aussi à la recherche et aux initiatives de sensibilisation en ce qui concerne les changements climatiques et le carburant propre.
De plus, l’ACCV a mis sur pied deux programmes axés sur l’environnement. Le projet de prévention de la pollution automobile au Canada, qui a été lancé en 1992, a permis l’élimination de plus de 404 000 tonnes de substances toxiques et ciblées à la source. En 2000, ce projet a reçu le Prix pour la prévention de la pollution du Conseil canadien des ministres de l’Environnement. L’autre programme a trait à la récupération des interrupteurs au mercure et il fait suite à une publication d’Environnement Canada, le 29 décembre 2007, dans la Gazette du Canada, Partie 1.
En juin 2013, l’ACCV a appuyé l’annonce faite par Environnement Canada, qui affirmait avoir l’intention d’adopter les normes d’émissions du groupe 3, qui s’harmonisent avec celles établies par l’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis.
Association canadienne de l’industrie de la chimie
Président et chef de la direction : Richard Paton, 613-237-6215, poste 231, rpaton@chimiecanadienne.ca
Profil organisationnel :
Fondée en 1962, l’Association canadienne de l’industrie de la chimie (ACIC) (anciennement l’Association canadienne des fabricants de produits chimiques) est le porte-parole des entreprises canadiennes du secteur chimique. L’Association représente plus de 50 fabricants de produits chimiques de base et de résines pour une vaste gamme d’industries canadiennes, lesquels adhèrent à l’éthique et aux principes de la Gestion responsable®.
Ensemble, les sociétés membres exploitent quelque 200 installations au pays, lesquelles produisent des produits chimiques de base et des résines destinés aux procédés de fabrication. De plus, elles fournissent des technologies, fournissent des services, effectuent du marketing et réalisent de la recherche-développement pour les produits chimiques. L’industrie de la chimie se situe au carrefour de la base de ressources du Canada – qui comprend l’exploitation minière, la foresterie, l’agriculture et le secteur pétrolier et gazier – et des manufacturiers du Canada – qui comprend les secteurs de l’alimentation et des breuvages, de la construction, des plastiques et des caoutchoucs, des textiles et des vêtements, de l’électricité et de l’électronique, ainsi que de l’équipement de transport. L’Association canadienne de l’industrie de la chimie travaille en collaboration avec les gouvernements et d’autres groupes afin de trouver des solutions avantageuses tant pour la société canadienne que pour l’industrie de la chimie du Canada.
L’Association canadienne de l’industrie de la chimie a défini plusieurs priorités environnementales, notamment la réduction des émissions, les changements climatiques et la responsabilisation au niveau international. L’Association produit le rapport annuel Réduction des émissions qui présente un sommaire du rendement environnemental global de ses sociétés membres, et elle fait la promotion de la durabilité par l’entremise de son programme Gestion responsable®. Ce programme vérifie si les entreprises se conforment au code de pratique établi et en vertu duquel elles s’engagent à innover afin de concevoir des produits et des procédés plus sécuritaires et plus respectueux de l’environnement et à collaborer pour définir et éliminer les dommages associés à leurs produits tout au long de leur durée de vie.
Association des produits forestiers du Canada
Président et chef de la direction : David Lindsay, 613-563-1411
Profil organisationnel :
L’Association des produits forestiers du Canada (APFC) est le porte-parole des producteurs canadiens de bois, de pâtes et de papiers tant sur la scène nationale qu’internationale auprès du gouvernement et en ce qui a trait au commerce et à l’environnement. L’APFC représente les plus grands producteurs canadiens de produits forestiers. Ses membres sont responsables de 66 % des territoires forestiers certifiés au Canada. L’APFC conçoit des programmes visant à promouvoir le leadership du Canada en matière de commerce et d’économie, de gestion durable des forêts et d’intendance environnementale.
L’APFC a exprimé son engagement à l’égard de la gestion durable des forêts. Toutes les terres forestières gérées par les membres de l’APFC sont certifiées de façon indépendante par l’un des trois systèmes de certification utilisés au Canada : les normes de l’Association canadienne de normalisation, du Forest Stewardship Council ou de Sustainable Forestry Initiative. Depuis 2002, une tierce certification est requise pour devenir membre de l’APFC.
Les membres de l’APFC sont responsables de 26 % de toutes les forêts certifiées dans le monde. Les membres de l’APFC s’efforcent aussi d’améliorer les normes de certification. En signant et en mettant en œuvre l’Entente sur la forêt boréale canadienne, ils ont démontré qu’ils s’engageaient à établir des pratiques d’aménagement forestier de calibre mondial. Cette entente exige que les organisations signataires, soit neuf organisations non gouvernementales et 17 sociétés membres de l’APFC, collaborent afin de créer un plan pour les pratiques d’aménagement forestier durable.
En vertu des objectifs établis dans sa Vision2020, l’APFC utilise un indice reposant sur 12 indicateurs de performance environnementale afin d’effectuer la mesure et de rendre compte de l’empreinte environnementale du secteur. L’APFC s’est engagée à réduire de 35 % l’empreinte environnementale du secteur d’ici 2020.
Association minière du Canada
Président et chef de la direction : Pierre Gratton, 613-233-9392, pgratton@mining.ca
Profil organisationnel :
L’Association minière du Canada (AMC) est un organisme national qui représente les sociétés qui œuvrent dans le secteur de l’exploration minière, des mines, de la fusion, de l’affinage et de la semi-fabrication. Les sociétés membres sont responsables de la grande majorité des métaux et des principaux minéraux industriels produits au Canada. L’AMC a pour mission de promouvoir la croissance et le développement de l’industrie minière et de la transformation des métaux au profit de tous les Canadiens. L’AMC collabore avec ses membres afin de représenter les intérêts de leur industrie auprès du gouvernement et d’autres intervenants clés. L’AMC travaille en étroite collaboration avec les associations minières provinciales et territoriales ainsi que d’autres organisations de l’industrie partout au Canada et à l’étranger.
L’AMC mène ses activités par l’entremise d’un certain nombre de comités, dont le Comité de l’environnement, qui est composé d’experts fonctionnels de l’industrie minière. L’AMC contribue à l’étude de certains enjeux environnementaux tels que l’évaluation environnementale, la durabilité, la faune et les zones protégées, les polluants et les changements climatiques.
En 2004, l’AMC a lancé le programme Vers le développement minier durable (VDMD), une initiative d’intendance visant à appuyer l’industrie dans son rôle de partenaire économique de premier plan en renforçant la confiance du public à l’égard de sa capacité à gérer les questions environnementales et sociales. L’initiative VDMD permet aux sociétés d’obtenir l’acceptabilité sociale en ce qui concerne leurs activités. L’Association publie chaque année des rapports d’étape sur l’initiative VDMD, lesquels renferment un examen détaillé du rendement environnemental et social des membres. Le projet VDMD porte également sur la gestion des résidus miniers, la gestion de la conservation de la biodiversité et l’intendance environnementale.
Association canadienne des distributeurs de produits chimiques
Présidente : Cathy Campbell, 905-332-8777 poste 21, ccampbell@cacd.ca
Profil organisationnel :
L’Association canadienne des distributeurs de produits chimiques (ACDPC) est une association commerciale sans but lucratif œuvrant dans le secteur de la distribution de l’industrie chimique canadienne. Depuis janvier 2012, l’ACDPC représente 46 sociétés membres à travers le Canada, pour un total de 169 installations. L’ACDPC a pour mission de maintenir son rôle de chef de file en étant la ressource canadienne la plus importante, fiable, crédible et globale sur la distribution responsable et l’éducation dans l’industrie chimique.
Le 11 juin 2015, l’ACDPC a voté en faveur du changement de nom de l’organisation, qui se nommera donc Distribution responsable Canada (DRC). La nouvelle marque entrera en vigueur dans les 24 mois suivant cette date.
Pour devenir membres de l’Association canadienne des distributeurs de produits chimiques, les sociétés doivent adhérer à la Distribution responsable®. Ce code de pratique régit les mesures prises par les sociétés membres pour respecter les principes directeurs ayant trait à tous les aspects de la distribution des produits chimiques et de leurs dérivés et de la prestation des services chimiques.
Les principes directeurs stipulent que les organisations membres doivent :
- distribuer les produits chimiques, leurs dérivés ainsi que fournir des services connexes en assurant la protection des personnes et de l’environnement;
- fournir de l’information concernant les dangers et les risques associés aux services et aux produits chimiques distribués aux clients, leur permettant d’utiliser et de mettre aux rebuts ces produits de manière responsable;
- fournir de l’information sur les dangers et les risques associés aux activités de distribution aux employés, aux agents contractuels, aux transporteurs, aux visiteurs, aux sous-distributeurs et revendeurs, aux personnes intéressées de la communauté et aux premiers répondants en cas d’urgence;
- faire en sorte que la Distribution responsable® soit à la base et fasse partie intégrante de toute planification menant à l’introduction de nouveaux produits;
- appliquer ce code à tous les produits chimiques, ainsi qu’à tous les dérivés, services ou emplacements de produits chimiques existants, modifiés ou nouveaux;
- respecter toutes les exigences légales concernant ses activités et ses produits;
- être à l’écoute et répondre aux préoccupations de la collectivité;
- exiger, avec une grande diligence, que les sous-distributeurs respectent les normes de ce code de bonne pratique.
Association canadienne de l’industrie de la peinture et du revêtement
Président et chef de la direction : Gary LeRoux, 613-231-3604, gleroux@canpaint.com
Profil organisationnel :
L’Association canadienne de l’industrie de la peinture et du revêtement (ACIPR) représente les principaux fabricants de peinture et de revêtement au Canada, ainsi que leurs fournisseurs et distributeurs, dans trois grandes catégories de produits : les peintures architecturales, les revêtements industriels et les revêtements de carrosserie. L’ACIPR veille à ce que ses membres adhèrent et se conforment pleinement à toutes les exigences législatives et réglementaires fédérales et provinciales au Canada.
L’ACIPR dirige diverses initiatives contribuant à protéger l’environnement et à améliorer la santé humaine et la qualité de vie :
- Groupe de travail sur la peinture et les revêtements (GTPR) – L’ACIPR, Santé Canada et Environnement Canada ont mis sur pied le GTPR, dont les membres se réunissent régulièrement pour partager leurs connaissances et leurs points de vue sur les produits du secteur.
- Principes de gestion efficace des produits de peinture postconsommation – Cette politique de gestion de la peinture postconsommation précise les nombreux éléments et enjeux dont les associations peuvent tenir compte lorsqu’elles tentent de déterminer comment régler le problème de la peinture postconsommation. Ce document doit servir de guide pour l’établissement d’une politique sur les démarches que peut prendre l’industrie afin de mettre sur pied et de gérer un programme sur les résidus de peinture postconsommation.
- Gestion des résidus de peinture postconsommation – L’ACIPR met de l’avant des méthodes de traitement des résidus de peinture postconsommation efficaces, rentables et respectueuses de l’environnement. Afin d’assurer une utilisation appropriée des résidus de peinture, l’Association a admis sa responsabilité quant au partage d’informations sur ses produits et leurs emballages.
- Programme environnemental complet Revêtement écoresponsable – Ce programme témoigne de l’objectif de l’industrie de la peinture et du revêtement d’améliorer l’intégrité et la qualité de ses produits en adoptant les pratiques définies dans les codes de pratiques de gestion en matière de santé, de sécurité et de protection de l’environnement.
- Réactions aux enjeux sur la qualité de l’air – L’ACIPR et le gouvernement se sont entendus tout récemment sur une nouvelle réglementation visant à limiter les émissions de composés organiques volatils dans les revêtements architecturaux et d’entretien industriel, ainsi que dans les revêtements carrosserie.
- Initiative de collaboration pour éliminer la peinture au plomb – L’ACIPR collabore avec Santé Canada, les intervenants concernés et l’industrie en général afin de prévenir les dangers pour la santé associés aux produits et afin de promouvoir la sécurité et l’utilisation responsable des produits ménagers au Canada.
Conseil canadien du commerce de détail
Présidente et chef de la direction : Diane J. Brisebois, 416-922-6678
Profil organisationnel :
Le Conseil canadien du commerce de détail (CCCD) est une association sans but lucratif financée par l’industrie qui représente plus de 45 000 commerces de tous types au Canada, notamment des grands magasins, des magasins spécialisés, des magasins à rabais, des magasins indépendants et des détaillants en ligne.
Le CCCD est un ardent défenseur du commerce de détail au Canada et il collabore avec l’ensemble des ordres de gouvernement et d’autres parties prenantes dans le but de favoriser la croissance de l’emploi et les possibilités de carrière dans le commerce de détail, de promouvoir et de soutenir les investissements du secteur du détail dans les collectivités canadiennes ainsi que d’améliorer l’offre de produits proposée aux consommateurs et la compétitivité de l’industrie. Le CCCD propose à ses membres une vaste gamme de services et de programmes, notamment dans les domaines de l’éducation et de la formation, de l’étalonnage et des meilleures pratiques, du réseautage, de la représentation et de l’information relative à l’industrie.
Principaux champs d’activité de l’organisation :
Les activités du CCCD sont principalement concentrées dans les six domaines ci-dessous puisque les règlements et politiques du gouvernement dans ces domaines influent sur les activités commerciales de ses membres :
- le salaire minimum en Alberta;
- la réglementation applicable aux cartes de crédit;
- les heures d’ouverture des commerces pendant la période des Fêtes;
- les lois sur le salaire minimum;
- la campagne d’information sur les valeurs nutritives;
- les tarifs.
Les Services aux membres du CCCD offrent les services d’efficacité énergétique suivants :
- Services d’efficacité énergétique – Le Comité des questions énergétiques du CCCD offre des conseils d’expert sur les programmes incitatifs de conservation de l’énergie, le marketing des produits écoénergétiques, le renforcement des capacités, ainsi que des conseils sur la tarification de l’énergie et la tarification réglementaire. Notamment, ces services d’efficacité énergétique permettent aux membres d’obtenir de l’aide pour le traitement des demandes relatives aux programmes incitatifs, l’analyse des données énergétiques et l’examen des vérifications énergétiques.
- Élimination graduelle de l’éclairage inefficace – Le CCCD, en collaboration avec Ressources naturelles Canada, a produit divers documents de formation et de référence pour les membres. Le CCCD encourage les détaillants à fournir ces ressources à leurs associés afin qu’ils puissent se renseigner sur les avantages offerts par les options d’éclairage efficace et qu’ils puissent répondre aux questions posées par les clients.
Association canadienne de produits de consommation spécialisés
Présidente : Shannon Coombs, 613-232-6616 [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information], coombs@ccspa.org
Profil de l’organisation :
L’Association canadienne de produits de consommation spécialisés (ACPCS) est une association commerciale nationale regroupant les entreprises membres œuvrant au Canada et aux États-Unis qui fabriquent, commercialisent, traitent, emballent et distribuent des produits spécialisés destinés aux consommateurs, à l’industrie et aux établissements. En 2015, l’ACPCS comptait 36 entreprises membres qui exploitent 118 installations partout au Canada. Elle représente une industrie de 20 milliards de dollars qui emploie directement plus de 12 000 personnes.
L’ACPCS a pour mission de renforcer la capacité des entreprises membres de mener efficacement leurs activités en favorisant la coopération entre l’industrie et le gouvernement, en militant pour des politiques et des lois équitables fondées sur des données scientifiques, en favorisant des initiatives en matière de durabilité environnementale pour l’industrie dans son ensemble, et en agissant comme organisme national de communication avec tous les intervenants.
L’ACPCS a établi à l’intention de ses membres un Code d’éthique en matière d’environnement, de santé et de sécurité. Elle participe également aux diverses activités du Programme de recyclage « boîtes bleues » ainsi qu’à la collecte de peinture et d’autres produits de consommation (déchets municipaux dangereux ou spéciaux – DMDS) en Ontario, en Colombie-Britannique, au Manitoba, en Saskatchewan et au Québec.
L’ACPCS a lancé en 2008 le programme volontaire de communication sur les ingrédients, grâce auquel les consommateurs peuvent se renseigner sur les ingrédients que contiennent les produits domestiques d’usage courant comme les solutions de nettoyage, les produits à polir, les teintures, les parfums et les agents de conservation en consultant l’étiquette du produit, le site web de l’entreprise ou en composant un numéro de téléphone sans frais.
Recyclage des produits électroniques Canada
Présidente et directrice générale : Shelagh Kerr, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisation :
Mis sur pied en 2003, Recyclage des produits électroniques Canada (RPEC) est un organisme à but non lucratif dirigé par l’industrie et créé pour élaborer, promouvoir et mettre en œuvre des solutions durables de recyclage des produits électroniques en fin de vie utile. En 2015, l’organisme comptait parmi ses membres 30 fabricants de produits électroniques de premier plan. RPEC a pour but de collaborer avec l’industrie et le gouvernement pour mettre au point une solution canadienne souple, efficace et efficiente.
En collaboration avec le Conseil canadien du commerce de détail, RPEC a mis sur pied des programmes de bonne gestion des produits en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à l’Île-du-Prince-Édouard, en Ontario, en Saskatchewan, au Manitoba, au Québec ainsi qu’à Terre-Neuve-et-Labrador. Les membres de RPEC siègent également au conseil de l’industrie de l’Alberta Recycling Management Authority.
RPEC aide à définir le cadre de politiques qui permet d’assurer la réussite opérationnelle de l’Association de recyclage des produits électroniques.
La Norme de recyclage des produits électroniques (NRPE) a d’abord été élaborée par RPEC en 2004. La NRPE a pour objectif de s’assurer que les produits électroniques en fin de vie utile recueillis dans le cadre des programmes de gouvernance provinciaux sont traités de façon sécuritaire, saine pour l’environnement et responsable. La NRPE de départ a été revue à plusieurs reprises et comprend maintenant la norme R2 reconnue à l’échelle internationale. La révision de la NRPE a pour but de s’assurer qu’elle répond aux besoins actuels des programmes de gouvernance ainsi qu’à la nature évolutive des produits électroniques et de l’industrie du recyclage.
Manufacturiers et Exportateurs du Canada
Président et chef de la direction : Jayson Myers, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisation :
Manufacturiers et Exportateurs du Canada (MEC) est la plus importante association commerciale et industrielle du Canada, où elle représente les entreprises manufacturières et générales. Fondée en 1871, MEC regroupe plus de 10 000 entreprises de partout au pays. Plus de 85 % de ses membres sont de petites et moyennes entreprises qui représentent ensemble environ 82 % de la production manufacturière canadienne et 90 % de toutes les exportations de biens et de services. MEC a pour mission d’aider les manufacturiers et les exportateurs du Canada à rivaliser avec leurs concurrents et à les surpasser sur le marché canadien et international grâce à son leadership, à son expertise, à ses relations et aux atouts de ses membres.
À titre de plus importante association industrielle et commerciale du Canada, MEC concentre ses efforts sur les questions les plus importantes pour ses membres : la compétitivité du secteur manufacturier, les échanges commerciaux avec les États-Unis, les marchés internationaux, les travailleurs et leurs compétences, l’énergie et l’environnement. Ses trois priorités à l’égard des entreprises membres sont les suivantes :
- Réduire les dépenses et économiser des matériaux et du temps – En misant sur les points forts du réseau industriel le plus vaste du pays, MEC offre à ses membres les avantages du Programme de retombées industrielles, de programmes de formation et d’activités qui leur permettent d’acquérir des outils susceptibles d’améliorer leur efficacité, en plus de militer pour des politiques et des structures d’imposition qui leur permettent d’augmenter leurs profits.
- Faire des profits – Grâce à ses partenaires stratégiques dans chaque secteur de l’économie, MEC facilite l’accès à des occasions d’affaires, tant à l’échelle nationale que mondiale. MEC fait connaître aux entreprises de nouveaux débouchés commerciaux, de nouvelles technologies ainsi que des sources de financement dans plus de 50 pays, tandis que ses missions et autres événements commerciaux permettent aux membres d’établir des contacts directs avec d’importants représentants et dirigeants de l’économie mondiale. Tous les paliers de gouvernement s’appuient sur les idées de MEC pour faire connaître la politique commerciale, ce qui apporte aux membres un accès réciproque aux marchés et permet de réduire les obstacles au commerce.
- Faire le lien avec ses membres – MEC fait connaître à ses membres les renseignements, les occasions de réseautage et les questions de l’heure qui leur sont nécessaires pour réussir sur le marché international, en plus d’organiser plus de 700 activités virtuelles et activités tenues en personne.
Association canadienne des cosmétiques, produits de toilette et parfums
Directrice générale : Sherry Abbott, 416-452-0363, sabbott@cctfafoundation.cats
Profil de l’organisation :
L’Association canadienne des cosmétiques, produits de toilette et parfums (ACCPTP) est la principale association commerciale canadienne de l’industrie des produits de soins personnels. L’ACCPTP, qui regroupe plus de 150 entreprises, entretient un dialogue permanent avec les représentants du gouvernement canadien afin de bien présenter la position de l’industrie dans tous les dossiers de réglementation.
L’ACCPTP s’efforce également de maintenir un environnement commercial susceptible de favoriser la compétitivité mondiale grâce à une réglementation intelligente et équitable. En outre, l’ACCPTP offre à l’industrie des outils éducatifs, notamment par l’entremise du Programme de certification des spécialistes de la beauté, qui permet de transmettre aux professionnels de la beauté les renseignements les plus récents sur le plan scientifique et de la sécurité.
L’ACCPTP a pour mission de favoriser la confiance envers l’industrie canadienne des cosmétiques, produits de toilette et parfums et à l’égard de la sécurité, de l’efficacité et de la qualité de ses produits. Pour y parvenir, l’ACCPTP s’entretient avec les fonctionnaires du gouvernement et les représentants élus par la population pour veiller à ce que la position de l’industrie soit bien formulée et efficacement présentée dans tous les dossiers de réglementation. L’Association communique également avec les médias, les consommateurs et d’autres parties intéressées pour favoriser la confiance du grand public envers l’industrie.
L’ACCPTP tient ses membres au courant des questions actuelles et émergentes pouvant avoir des répercussions sur leur entreprise et leur offre une structure qui leur permet de communiquer entre eux et de partager leurs idées grâce à un bulletin mensuel, un site web consacré exclusivement aux membres, et à la participation à des comités, des séminaires, des webinaires et d’autres activités. En matière de réglementation, l’Association participe à la gestion et à la diffusion des questions réglementaires qui peuvent, dès maintenant ou à l’avenir, avoir une incidence sur leur organisation, notamment par des ateliers sur les questions de réglementation, des bulletins et des mises à jour exclusivement destinés à ses membres, par des « rapports mensuels sur la réglementation » et enfin par un accès permanent à des spécialistes reconnus de la réglementation au sein de l’industrie.
En outre, l’ACCPTP s’occupe des relations avec les médias et milite pour influencer les représentants élus, les responsables de la réglementation, les médias et les groupes d’intérêts spéciaux. L’ACCPTP entretient un dialogue constant avec les responsables gouvernementaux de la réglementation et les législateurs pour assurer en permanence la formulation de la position de l’industrie et sa présentation efficace dans tous les dossiers touchant la réglementation et la législation.
Constructeurs mondiaux d’automobiles du Canada
Président : David C. Adams, 416-595-8251
Profil de l’organisation :
Constructeurs mondiaux d’automobiles du Canada (CMAC) est l’association industrielle nationale qui représente les intérêts des constructeurs de véhicules automobiles au Canada et défend les intérêts de ses membres qui travaillent dans la fabrication, l’importation, la distribution et l’entretien des véhicules légers, et elle milite également pour l’adoption de judicieuses politiques publiques afin de favoriser l’existence d’un marché de l’automobile concurrentiel et viable au Canada. Bien que l’Association ait à ses débuts consacré ses efforts à la défense des intérêts des importateurs, elle a depuis élargi son champ d’action avec la construction au Canada d’usines de fabrication de véhicules par des entreprises étrangères.
L’Association a pour mission :
- d’atteindre les objectifs communs de l’industrie sur les questions comme les normes s’appliquant aux véhicules à moteur, la protection des consommateurs, l’automobile et l’environnement, la sécurité des véhicules et le commerce international;
- de rassembler et de diffuser des renseignements d’intérêt pour les membres de l’association;
- de servir de source reconnue de renseignements sur l’industrie et de source d’information pour le public.
En 2014, les entreprises membres des CMAC représentaient 55,1 % du marché canadien de l’automobile et employaient, directement et indirectement, quelque 77 000 Canadiens. CMAC comprent actuellement quatorze membres titulaires, qui ont tous un siège social au Canada chargé de la distribution de véhicules sous leur propre nom; trois membres « représentatifs » qui commercialisent des véhicules par l’intermédiaire de constructeurs installés au pays; et un membre « de soutien » qui est un constructeur de véhicules et de pièces administrant ses activités de l’étranger.
CMAC collabore avec diverses administrations gouvernementales sur les questions suivantes :
- la sécurité des véhicules et les normes environnementales établies par le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux;
- la réduction des barrières au commerce international de véhicules, en particulier les tarifs douaniers;
- les lois sur la protection juridique et la protection des consommateurs, en particulier à l’échelle régionale;
- l’imposition des entreprises, qui a un impact sur les investissements et la compétitivité du secteur automobile au Canada;
- l’imposition des consommateurs, qui a des répercussions sur les décisions d’achat de véhicules;
- le dédouanement et la facilitation des échanges transfrontaliers;
- l’harmonisation de la réglementation et la reconnaissance mutuelle des normes autres que canadiennes.
Association des administrations portuaires canadiennes
Présidente : Wendy Zatylny, 613-232-2036, poste 201, wzatylny@acpa-ports.net
Profil de l’organisation :
L’Association des administrations portuaires canadiennes (AAPC) a été fondée en 1958 et rassemble les ports et d’autres intérêts maritimes connexes en une seule association nationale. L’AAPC représente toutes les administrations portuaires canadiennes, différentes entités gouvernementales et des entreprises qui font des affaires dans le secteur maritime. Il s’agit de la plus importante association de défense et de promotion de l’industrie portuaire canadienne. Les membres de l’AAPC contribuent à l’économie du Canada aux échelles locale, régionale et nationale, sont responsables directement et indirectement de plus de 250 000 emplois et traitent plus de 400 milliards de dollars de marchandises annuellement.
L’objectif ultime de l’AAPC est de représenter efficacement les intérêts de la communauté portuaire canadienne en établissant des liens solides avec des représentants clés des trois ordres du gouvernement, des associations alliées et des partenaires d’affaires privilégiés afin de veiller à ce que les enjeux ne deviennent pas des problèmes et à ce que les problèmes se règlent rapidement. Les principaux enjeux d’ordre industriel par lesquels l’AAPC se sent concernée sont : la compétitivité, l’infrastructure, la sécurité, le développement durable, les lois et les règlements, ainsi que l’innovation et la technologie.
L’AAPC est responsable d’un certain nombre de programmes liés à l’éducation, et organise notamment des séminaires et des conférences tout au long de l’année, dont un séminaire sur les opérations, un séminaire sur la gouvernance, un projet d’interface annuel entre le port et le gouvernement, des ateliers sur les politiques et des ateliers techniques ainsi qu’une assemblée générale annuelle. Ces événements offrent l’occasion aux membres de la communauté portuaire, ainsi qu’à d’autres personnes, de discuter des enjeux et de faire du réseautage. De plus, l’AAPC cherche à reconnaître les membres de la communauté portuaire qui ont effectué des réalisations qui méritent les accolades de l’industrie.
L’objectif de promotion est atteint, par exemple, grâce à la conception de meilleurs produits, notamment des magazines, des chaînes de lettres, des vidéos, des communiqués, des entrevues avec les médias et des séminaires, ainsi que par l’intermédiaire d’initiatives de sensibilisation auprès d’intervenants de l’industrie. De plus, les relations gouvernementales sont axées directement sur l’environnement légal et réglementaire et ont comme objectif de veiller à ce que rien ne soit laissé au hasard en ce qui concerne les conséquences des actions du gouvernement sur la communauté portuaire du Canada. En vertu de la Loi maritime du Canada, les autorités portuaires ont reçu le mandat d’atteindre certains objectifs nationaux, notamment : maintenir l’infrastructure portuaire pour les utilisateurs du port et les Canadiens, assurer une intendance environnementale rigoureuse dans les ports et les havres, garantir la sécurité et la sûreté des opérations portuaires et aider à développer l’économie du Canada aux échelles régionale et nationale.
Association de l’aluminium du Canada
Président et PDG : Jean Simard, 514-288-4842, poste 221, jeansimard@aluminium.qc.ca
Profil de l’organisation :
L’Association de l’aluminium du Canada (AAC) est une organisation à but non lucratif dont la mission est de représenter l’industrie canadienne de l’aluminium dans le cadre de ses échanges avec les citoyens, les autorités publiques, les utilisateurs actuels et potentiels de l’aluminium, ainsi que d’autres joueurs, sur la scène économique.
L’AAC a été fondée dans l’optique de rassembler les trois producteurs d’aluminium canadiens (Alcoa, Aluminerie Alouette et Rio Tinto Alcan) en un seul groupe représentatif. L’AAC concentre ses efforts à résoudre des problèmes qui concernent ses membres et qui ne sont pas liés à la concurrence.
L’AAC affirme que la présence de l’industrie de l’aluminium au Canada et des dix alumineries qu’elle exploite font d’elle un levier puissant pour l’économie nationale en plus de lui permettre d’offrir une contribution permanente et croissante à la richesse économique du Canada et du Québec. L’industrie fait partie des trois plus importants secteurs industriels au Québec, autant en matière de la valeur du produit que sur le plan du volume des ventes à l’étranger.
Association canadienne des éleveurs de bovins
Vice-président directeur : Dennis Laycraft, 403-275-8558, laycraftd@cattle.ca
Profil de l’organisation :
L’Association canadienne des éleveurs de bovins (ACEB) est une fédération sans but lucratif composée de huit associations provinciales d’éleveurs de bovins qui représente ses membres auprès d’un conseil d’administration national dirigé par des producteurs. Le conseil de 27 membres fournit le leadership et l’unité nécessaires pour parler d’une seule voix sur des enjeux d’importance pour l’industrie des bovins de boucherie. Les divisions d’exploitation de l’ACEB sont responsables des activités au jour le jour en matière de soutien de la vision, des politiques et des recommandations établies par le conseil.
L’ACC se concentre actuellement sur certains des principaux domaines suivants : accès au marché et règlements sur le commerce, développement durable, soins des animaux, santé des animaux et salubrité des aliments, classement/inspection, mise en marché, affaires gouvernementales et réglementaires, politique fiscale/monétaire et gestion des risques de l’entreprise.
Les principaux champs d’activité de l’organisation incluent :
Compétitivité : l’ACEB fait la promotion de la compétitivité dans les secteurs de l’alimentation des bovins et de la transformation du bœuf. L’ACEB se concentre sur les obstacles à l’accès au marché international et sur les pénuries de main-d’œuvre dans les secteurs de l’agriculture et de la transformation de la viande.
Accès aux marchés : L’ACEB appuie la participation du Canada en matière de négociation d’accords de libre-échange ainsi que ses efforts visant à créer des environnements de commerce prévisibles et stables avec les principaux marchés. L’accès au marché comprend également des efforts déployés pour éliminer les mesures de restriction du commerce et les obstacles au commerce tout en encourageant l’adoption de pratiques commerciales fondées sur des principes scientifiques. Les dossiers prioritaires de l’ACEB en matière d’accès au marché et de commerce comprennent notamment : les exportations vers l’Union européenne, l’Accord économique et commercial global (AECG), l’étiquetage indiquant le pays d’origine (EPO), les tarifs négociés avec la Corée du Sud dans le cadre de l’accord de libre-échange et l’accord de partenariat économique entre le Canada et le Japon.
Institut canadien des engrais
Président et PDG : Garth Whyte, 613-786-3030, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisation :
L’Institut canadien des engrais (ICE) est une association industrielle qui représente les fabricants, les grossistes et les détaillants d’engrais azotés, phosphatés et potassiques.
Les principaux champs d’activité de l’ICE comprennent :
Farming 4R Future – Des programmes collaboratifs qui donnent plus de pouvoirs aux agriculteurs canadiens et leur permettent d’utiliser le cadre de la gérance des nutriments fondée sur les 4B afin d’atteindre l’objectif commun d’une industrie agricole durable.
Conseil de la sécurité en fertilisation (CSF) – Le CSF fait la promotion de la fabrication, de la manipulation, de la conservation, du transport et de l’application sécuritaires des engrais commerciaux, protégeant ainsi les employés, les travailleurs du transport, les premiers répondants, les agriculteurs et le grand public des risques causés par undéversement accidentel, une urgence environnementale ou une utilisation criminelle en lien à des produits fertilisants.
GrowZone – Ce programme a été conçu par l’ICE afin de fournir une éducation continue aux travailleurs de l’industrie des engrais. Les modules comprennent des formations sur la fatigue du conducteur, l’emploi sécuritaire du nitrate d’ammonium, le Protocole de réduction des émissions d’oxyde nitreux (PREON) et la gérance des nutriments fondée sur les 4B.
Conseil des nutriments culturaux – Le Conseil s’efforce d’être une source d’information pour les gouvernements fédéral et provinciaux, ainsi que pour les producteurs et le grand public, et assure la coordination des communications à ces destinataires concernant les pratiques écologiques liées aux nutriments culturaux dans la production alimentaire.
Protocole de réduction des émissions d’oxyde nitreux (PREON) – Le PREON a comme objectif de réduire les émissions d’oxyde nitreux (N2O) à la ferme d’une manière quantifiable, crédible et vérifiable.
Gérance des nutriments fondée sur les 4B – Dans le cadre de ce programme, les producteurs et leurs conseillers agricoles choisissent la bonne source, au bon taux, au bon moment et au bon endroit en fonction des pratiques validées par les recherches menées par les agronomes.
Fondation des nutriments pour la vie – Fondée par l’ICE, il s’agit d’une œuvre de bienfaisance canadienne enregistrée qui produit et distribue du matériel éducatif sur la science des sols et la durabilité de l’agriculture. Elle a comme objectif d’aider les Canadiens à mieux comprendre la manière dont les nutriments favorisent la santé et la qualité du sol, améliorent la production d’aliments nutritifs et permettent la conservation des espaces verts.
Canadian Independent Petroleum Marketers Association
Président et PDG : Tricia Anderson, 905-823-6996, tanderson@cipma.org
Profil de l’organisation :
La Canadian Independent Petroleum Marketers Association (CIPMA) est une association de commerce nationale à but non lucratif qui représente les intérêts de ses membres issus de l’industrie de la distribution et de la mise en marché du carburant. La CIPMA travaille à défendre les intérêts de ses membres aux échelles fédérale et provinciale, par l’intermédiaire d’une recherche et d’une connaissance approfondies des marchés du carburant et des modèles d’affaires des négociants en carburant indépendants. Actuellement, les efforts de défense des intérêts sont axés sur l’augmentation de la sensibilisation aux conséquences des frais des cartes de crédit sur les entreprises indépendantes au Canada.
La CIPMA avise également les entreprises membres au sujet des lois en vigueur ou en attente, des tendances majeures sur le plan du marché et des règlements ainsi que des événements de réseautage intéressants, comme la conférence sur le marketing du carburant au Canada.
La mission de la CIPMA est d’assurer la durabilité et la croissance d’un secteur indépendant de mise en marché et de distribution du carburant pour les grossistes et les détaillants du Canada. Plus précisément, voici certains de ses objectifs :
- veiller à ce que les négociants en carburant indépendants soient prospères et qu’ils aient la possibilité d’obtenir un rendement équitable et raisonnable proportionnel aux risques pris et au capital investi par leur entreprise;
- veiller à ce que les consommateurs canadiens et les négociants du carburant indépendants aient facilement accès à une source d’approvisionnement de produits de carburant vendus à des prix concurrentiels dans toutes les régions du pays.
Association canadienne de droit maritime
Président : David Colford, 514-393-3700, davidcolford@brissetbishop.com
Profil de l’organisation :
L’Association canadienne de droit maritime (ACDM) est une société à but non lucratif principalement composée d’avocat du droit maritime et d’autres personnes intéressées par l’industrie des transports maritimes. Son mandat est de promouvoir l’élaboration d’une loi maritime commerciale efficace et moderne au Canada et à l’international.
Le premier rôle de l’ACDM est de représenter tous les intérêts maritimes commerciaux canadiens en vue d’une élaboration uniforme des lois maritimes canadiennes et internationales qui touchent les transports maritimes et les enjeux connexes.
Au Canada, l’ACDM a travaillé activement avec le gouvernement et l’industrie afin de promouvoir de nouveaux développements juridiques dans de nombreux domaines, notamment :
- transport de marchandises par mer;
- transport des passagers par eau;
- réglementation douanière;
- lois fédérales sur l’assurance maritime;
- sociétés de transport maritime internationales;
- responsabilité des transitaires;
- limitation de la responsabilité des exploitants de navire;
- pollution maritime causée par le pétrole et les matières dangereuses;
- sauvetage maritime;
- règlements touchant la sécurité des pétroliers;
- règlement sur le Bureau de la sécurité des transports.
À l’international, l’ACDM participe pleinement à l’établissement, à la révision et à la réforme du droit maritime international et des conventions. L’ACDM est le représentant du Canada pour le Comité maritime international (CMI), une organisation fondée en 1897 afin de promouvoir l’uniformité et la réforme du droit maritime et du commerce international. À l’échelle internationale, le CMI est responsable de conventions comme : les règles de La Haye (1924), les règles de La Haye-Visby (1968), la limitation de la responsabilité en matière de créances maritimes (1976), la convention sur le sauvetage (1989), les règles d’York et d’Anvers, ainsi que d’autres accords internationaux qui régissent les transports maritimes internationaux.
Association canadienne des carburants renouvelables
Présidente : Andrea Kent, 613-594-5528, a.kent@greenfuels.org
Profil de l’organisation :
Fondée en 1984, l’Association canadienne des carburants renouvelables (ACCR) est une organisation à but non lucratif dont la mission est de promouvoir l’utilisation des produits à valeur ajoutée provenant de ressources renouvelables par l’intermédiaire de la sensibilisation des consommateurs et d’activités de liaison avec le gouvernement. Ses membres comprennent des producteurs d’éthanol de céréales et de cellulose, de producteurs de biodiesel et de diesel renouvelable, des fournisseurs de technologie du carburant, des fournisseurs de matières premières, etc.
Les membres et les organisations de soutien de l’ACCR fournissent aux Canadiens de l’éthanol et du biodiesel renouvelable dont la combustion est propre. En même temps, ils travaillent à la conception de la prochaine génération de biocarburants. L’ACCR a élaboré des stratégies de travail avec les gouvernements fédéral et provinciaux afin de permettre au Canada d’atteindre les cibles de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de demeurer un marché compétitif et intéressant pour de futurs investissements dans les carburants renouvelables.
Le plan d’action « Évolution et croissance » de l’ACCR décrit la meilleure manière pour le Canada de tirer profit des avantages économiques et environnementaux de notre industrie des biocarburants et propose une voie à suivre pour la croissance et l’expansion continues de toute la bioéconomie. Le plan d’action comprend :
- une juste valeur pour la réduction des gaz à effet de serre;
- le soutien de l’innovation et des investissements au Canada;
- l’accès aux marchés en croissance et l’augmentation des niveaux de teneur en diesel renouvelable.
- la fourniture de mélanges de carburants modernes aux consommateurs;
- l’augmentation de la production et de l’utilisation des biocarburants avancés au pays;
- l’élaboration d’une stratégie complète pour la bioéconomie au Canada.
Association canadienne des producteurs d’acier
Président : Joseph Galimberti, 613-238-6049, j.galimberti@canadiansteel.ca
Profil de l’organisation :
Par l’intermédiaire de l’Association canadienne des producteurs d’acier (ACPA), les entreprises qui en sont membres cherchent à proposer des politiques publiques afin de faire la promotion de leur compétitivité, de leur esprit d’innovation, de leur rendement sur le plan environnemental, de leur effectif compétent et productif, ainsi que de leur responsabilité communautaire. Le travail que fait l’ACPA pour assurer un commerce libre et équitable en sidérurgie, de même qu’un climat d’affaires compétitif à l’échelle mondiale favorise davantage la réalisation de ces objectifs.
Ses principaux champs d’activité comprennent :
Commerce – L’ACPA collabore avec les autres nations productrices d’acier afin de conclure des accords et d’éliminer ou de grandement diminuer les subventions qui ont un effet de distorsion sur le marché. En collaboration avec le gouvernement fédéral, l’ACPA travaille activement à régler ces problèmes avec l’Organisation mondiale du commerce et le Comité sur l’acier de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Environnement et énergie – L’ACPA s’efforce à apporter des améliorations sur le plan environnemental, notamment en matière d’émissions d’oxyde d’azote et de matières particulaires totales, de traitement de l’eau, de recyclage de l’acier, de changements climatiques et de conservation de l’énergie ainsi que de prévention de la pollution par le mercure.
Fabrication – L’ACPA fait la promotion de la fabrication de l’acier comme une priorité pour les politiques du gouvernement.
Compétences et innovation – L’ACPA s’efforce d’attirer de nouveaux travailleurs dans l’industrie sidérurgique ainsi qu’à maintenir et à mettre à jour les compétences de sa main-d’œuvre actuelle étant donné que les processus industriels sont de plus en plus complexes.
Association canadienne du ciment
Président et PDG : Michael McSweeney, 613-236-9471, mmcsweeney@cement.ca
Profil de l’organisation :
L’Association canadienne du ciment (ACC) représente l’industrie canadienne du ciment – huit entreprises exploitant des usines de clinker et de ciment, des granulateurs, des installations de broyage et des terminaux de ciment. Les membres de cette association s’efforcent de maintenir une industrie durable ainsi que de faire la promotion des avantages économiques, environnementaux et sociaux de la construction avec le ciment et le béton. Membre fondateur du Conseil canadien du béton, l’ACC établit et maintient de bonnes relations avec les organisations des intervenants. Elle fait la promotion du rôle de l’industrie comme un partenaire proactif pour relever les défis de la société en matière de durabilité ainsi que de la nécessité de faire preuve de résilience face aux changements climatiques.
L’ACC préconise des environnements juridiques et réglementaires où sont appliquées des règles du jeu équitables et concurrentielles pour tous ses membres à tous les ordres de gouvernement et donne son avis sur des questions techniques importantes pour les industries du ciment et du béton, notamment en ce qui concerne les codes, les normes, les spécifications et les pratiques exemplaires. Ils font la promotion de :
- l’harmonisation des initiatives fédérales et provinciales en matière de diminution des gaz à effet de serre;
- l’alignement du fardeau fiscal des sociétés canadiennes avec la moyenne de l’Organisation de Coopération et de Développement Économique (OCDE);
- la diminution du fardeau administratif de la réglementation;
- l’amélioration de l’efficacité des mécanismes de délivrance de permis pour chacune des juridictions;
- l’adoption de lois et de règlements qui profitent aux solutions de l’industrie en matière de durabilité.
Toutes les entreprises membres de l’ACC mesurent, surveillent et déclarent publiquement les données sur les émissions de polluants de l’air et de gaz à effet de serre pour chacune des installations de fabrication de ciment, sur une base annuelle, par l’intermédiaire de l’Inventaire national des rejets de polluants et de l’Inventaire des gaz à effet de serre du Canada. Les entreprises membres doivent appliquer le Cement CO2 Protocol élaboré dans le cadre de la Cement Sustainability Initiative mondiale afin de mesurer et de déclarer les émissions de gaz à effet de serre.
Toutes les entreprises membres de l’ACC qui produisent du ciment gris au Canada participent à la Cement Sustainability Initiative. Lancée par le World Business Council for Sustainable Development, la CSI est un effort mondial de 25 producteurs de ciment importants qui opèrent dans plus de 100 pays et qui croient qu’il existe une solide possibilité de rentabilisation des efforts continus de développement durable. Comme condition pour ses membres, la CSI demande l’engagement et la conformité avec la Charte de la CSI. En matière de performance environnementale, la Charte demande aux entreprises d’agir individuellement sur trois principaux indicateurs : les CO2 et changements climatiques, la réduction des émissions et l’utilisation responsable des matières et des carburants.
International Ship-Owners Alliance of Canada
Président : Oscar Pinto, 604-685-3318, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisation :
La International Ship-Owners Alliance of Canada Inc. (ISAC) a été fondée en 2004 dans l’optique de créer une alliance de propriétaires de navire qui pourrait se concentrer sur l’établissement d’un climat de confiance et de bonne volonté auprès de différents secteurs de l’industrie, à l’échelle nationale et internationale, notamment des gouvernements fédéral et provinciaux du Canada, ainsi que de groupes d’intérêts précis, comme des organisations syndicales et environnementales, afin d’établir des voies de communication ouvertes pour des relations de travail efficaces.
L’ISAC souhaite renforce l’industrie maritime du Canada et travailler à créer un regroupement de pôles d’activités maritimes dans l’Ouest canadien. Par la même occasion, l’ISAC reconnaît la nécessité de faire preuve de responsabilité sur le plan environnemental tout en demeurant concurrentiel sur le marché international. La connaissance des politiques et des lois gouvernementales, la conscience des impacts sociaux et environnementaux et la coordination avec différents secteurs, notamment les syndicats, sont des facteurs nécessaires afin d’assurer la durabilité de l’industrie du transport maritime.
L’ISAC appuie l’Organisation maritime internationale (OMI) et, en tant que membre de la délégation canadienne, assiste régulièrement aux réunions du Comité de protection du milieu marin à titre de conseiller pour Transports Canada et Environnement Canada.
Depuis 1959, l’OMI, une institution spécialisée des Nations Unies avec comme responsabilités la sûreté et la sécurité du transport maritime, ainsi que la prévention de la pollution maritime par les navires, offre un forum de discussion axé sur la coopération entre les gouvernements.
L’OMI facilite l’adoption de traités multilatéraux exhaustifs concernant un large éventail de mesures techniques et de domaines de compétences opérationnels touchant la sûreté, la sécurité, les développements technologiques, les initiatives environnementales, etc. sur le plan maritime.
Depuis 1959, sur les 51 instruments de traité qui ont été adoptés par l’OMI, 23 sont directement liés à l’environnement.
Organisations non gouvernementales
Société pour la nature et les parcs du Canada
Directeur général au bureau national : Éric Hébert-Daly, 613-569-7226, eric@cpaws.org
Profil de l’organisation :
La Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) est une organisation communautaire sans but lucratif qui a pour objectif d’établir de nouveaux parcs marins et terrestres et de nouvelles aires protégées marines et terrestres et qui veille à ce que les besoins de la nature soient prioritaires dans sa gestion. La SNAP joue depuis 1963 un rôle de chef de file dans les efforts pour créer plus des deux tiers des aires protégées du pays. Selon sa vision, le Canada devrait protéger au moins la moitié des terres et des eaux publiques du Canada. À titre d’organisation caritative nationale comptant 13 sections régionales, 60 000 membres et des centaines de bénévoles, la SNAP collabore avec les gouvernements, les collectivités locales, l’industrie et les Autochtones à la protection des magnifiques milieux naturels du Canada.
L’organisation a pour mission de créer une écosphère saine où il est possible de vivre en respectant les écosystèmes naturels. Elle compte y parvenir :
- en protégeant les écosystèmes naturels du pays à l’intérieur de parcs, dans des aires de nature sauvage et dans d’autres aires naturelles semblables, favorisant ainsi la diversité des habitants et des espèces;
- en encourageant la sensibilisation et la compréhension des principes écologiques et des valeurs inhérentes de la nature par l’information, la compréhension et l’expérience;
- en encourageant chaque individu à poursuivre ces buts; en coopérant avec les gouvernements , les Premières Nations, les entreprises et d’autres organisations ainsi que les citoyens afin d’orienter ses actions vers la recherche de solutions pour parvenir chaque fois que possible à un consensus.
Les régions auxquelles la SNAP s’intéresse sont la forêt boréale canadienne, le corridor entre Yellowstone et le Yukon, les forêts de l’Est et les océans et les grands lacs d’eau douce.
Parmi les principaux secteurs d’activité de la SNAP figurent :
- La conservation des habitats des espèces sauvages – La SNAP travaille à la protection d’importantes superficies de terre, d’océans et de grands lacs d’eau douce afin que les espèces sauvages du Canada puissent s’y développer.
- Les parcs – La SNAP plaide pour la création de nouveaux parcs et joue le rôle de chien de garde pour veiller à ce que ceux qui existent déjà soient bien gérés.
- Les forêts – La SNAP a pour objectif de conserver au moins la moitié de la forêt boréale du pays et de créer un réseau de vastes aires de conservation dans les régions boisées tempérées de l’est du pays, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, au Québec et en Ontario.
- Les océans – La SNAP fait la promotion de l’établissement de mesures de conservation marine à long terme, dont la création d’un réseau d’aires marines protégées.
- Les surfaces pastorales – Les sections régionales de la SNAP de la Colombie-Britannique, de l’Alberta et de la Saskatchewan travaillent à la protection de ces paysages tout particuliers et de leur riche biodiversité.
Fédération canadienne de la faune
Directeur général et vice-président administratif : Wade Luzny, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information] wadel@cwf-fcf.org
Profil de l’organisation :
La Fédération canadienne de la faune (FCF) est une organisation caritative non gouvernementale et non partisane qui a pour mission de conserver la faune sauvage du Canada et d’encourager l’utilisation rationnelle des ressources naturelles au moyen d’initiatives en matière de conservation, de sciences, d’éducation et de défense. Les activités de la FCF portent sur les thèmes stratégiques suivants : rapprocher les Canadiens de la nature, maintenir des populations de faune sauvage en santé et encourager le rétablissement des espèces en péril, et conserver et restaurer les habitats de la faune sauvage. Fondée en 1962, la FCF représente 300 000 membres et sympathisants et elle est entièrement financée par leurs dons.
Parmi les activités menées dans le passé par la FCF, mentionnons son rôle dans l’établissement du Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC), chargé de fournir aux Canadiens une liste unique, fondée sur des données scientifiques, des espèces sauvages en péril. La Fédération continue ses efforts de protection des espèces en péril, comme des recherches nationales sur les infestations de salicaire pourpre, la surpêche dans l’Atlantique et ses activités pour la conservation de diverses espèces en péril, comme la grue blanche, le renard véloce et la chevêche des terriers. La FCF a appuyé dernièrement la réintroduction du putois d’Amérique dans le parc national des Prairies.
Voici les activités courantes et les produits de la FCF :
- la communication d’information en ligne comme les vidéos « La faune de l’arrière-pays », les fiches d’information et les pages de profil « Animal en vedette »;
- l’évaluation et certification de propriétés locales dans le cadre de programmes de conservation des habitats sauvages (ex. le programme de certification Habitat arrière-cour);
- la formation de moniteurs du programme Éducation-Nature;
- la prestation d’une aide financière aux étudiants, chercheurs et écoles qui entreprennent des projets de conservation de l’habitat;
- la tenue d’activités annuelles comme la « Semaine nationale de la faune »;
- la publication d’affiches, de bulletins, de calendriers et de périodiques;
- l’encouragement du gouvernement et de l’industrie à tenir compte de l’avenir des espèces sauvages lors de l’adoption de lois et de leurs activités courantes.
Fondation David Suzuki
Président-directeur général : Peter Robinson, 604-732-4228, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information] probinson@davidsuzuki.org
Profil de l’organisation :
Cofondée en 1990 par David Suzuki et Tara Cullis, la Fondation David Suzuki est une fondation caritative sans but lucratif et non partisane incorporée au Canada et aux États-Unis qui étudie les effets de l’activité humaine sur l’environnement, et qui cherche plus particulièrement à trouver des solutions. Ayant pour mission de protéger la diversité de la nature et la qualité de vie, la Fondation travaille à l’atteinte de ses objectifs en menant d’importants projets (the Nature Challenge), des activités d’éducation (ex. publication de guides pour les consommateurs) et des travaux de recherche, en rédigeant des publications et en défendant les valeurs de protection de l’environnement.
La Fondation exerce ses activités avec l’aide de 50 employés qui travaillent dans cinq grands secteurs :
- Les changements climatiques – La Fondation vise à informer le public, le gouvernement et les dirigeants d’entreprise au sujet de la science et des effets du changement climatique et elle fait la promotion de solutions pratiques pour les secteurs public et privé.
- Les océans – La Fondation estime que la santé des océans d’aujourd’hui est notre avenir et elle informe le public au sujet des pêches durables, du profil écologique de la côte nord du Pacifique, de la planification des ressources marines, des lois et règlements visant à protéger les services de maintien de l’écosystème et d’autres enjeux liés à l’environnement marin.
- L’eau douce – La Fondation reconnaît que l’eau joue un rôle important dans la vie quotidienne des êtres humains et des animaux et elle fournit un habitat à de nombreuses plantes. Elle travaille à la protection des écosystèmes hydriques naturels, stratégie clé pour maintenir la disponibilité de l’eau et protéger la biodiversité au Canada.
- Les espèces sauvages et l’habitat – La Fondation mène des activités de planification de la conservation et de protection des espèces en péril, des forêts et des régions boisées destinées à protéger la nature.
- La protection de la santé humaine – La Fondation reconnaît le lien étroit entre la santé humaine et l’environnement et s’intéresse donc aux enjeux de la qualité de l’air, des aliments et des pesticides, des substances toxiques et de l’eau.
Canards Illimités Canada
Président-directeur-général : Greg Siekaniec, 800-665-3825 [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisation :
Fondée en 1938, Canards Illimités Canada (CIC) est une organisation nationale privée sans but lucratif qui mène des efforts de conservation de l’habitat de la sauvagine depuis plus de 70 ans. CIC a pour vision de créer pour la sauvagine d’Amérique du Nord une mosaïque de milieux humides et habitats connexes naturels, rétablis et bien gérés.
CIC travaille à la conservation des milieux humides selon quatre grandes méthodes :
- la conservation et la restauration des habitats des milieux humides de qualité;
- la recherche scientifique par le biais de son organisation de recherche satellite, l’Institut de recherche sur les terres humides et la sauvagine;
- la promotion de l’élaboration de politiques publiques;
- les programmes d’éducation en matière de protection de l’environnement.
Reconnaissant la nature transfrontalière des espèces migratoires, des sources d’eau et des habitats naturels, CIC participe à titre de partenaire au Plan nord-américain de gestion de la sauvagine (PNAGS). Ce programme international de conservation a pour objectif de ramener les populations de sauvagine aux niveaux moyens observés dans les années 1970. L’ensemble des activités de planification, de conception et de gestion du PNAGS sont menées dans le cadre de coentreprises de protection de l’habitat au Canada et aux États-Unis. Cet accord international réunit des gouvernements fédéraux et provinciaux, des gouvernements d’États et des administrations municipales, des organisations non gouvernementales, des entreprises privées et des citoyens dans des projets de conservation des terres humides de différentes régions d’Amérique du Nord.
Ecojustice
Directeur général : Devon Page, 604-685-5618, poste 233, dpage@ecojustice.ca
Profil de l’organisation :
Ecojustice (anciennement le Sierra Legal Defence Fund) est la plus importante organisation juridique sans but lucratif vouée à la protection de l’environnement. Créée en 1990, cette organisation vise à aider les citoyens à dénoncer les auteurs d’infractions et à tenir les gouvernements responsables, tout en créant des précédents à fort retentissement en matière de qualité de l’eau, d’aires naturelles, de collectivités saines et de solutions au changement climatique planétaire. Ecojustice compte parmi ses effectifs plus d’une douzaine d’avocats et de scientifiques à Vancouver, Toronto, Ottawa et Calgary.
Ecojustice mène les activités suivantes pour atteindre ses objectifs de protection de l’environnement :
- l’avancement de poursuites contre les gouvernements qui ne respectent pas les lois sur l’environnement;
- la défense des droits et la fourniture d’avis sur l’élaboration de mesures législatives efficaces;
- la prestation de conseils stratégiques;
- la préparation d’analyses et d’études scientifiques.
Plus de cinquante organisations et associations de protection de l’environnement figurent parmi les clients auxquels Ecojustice a fourni des services dans le passé. Les dernières affaires d’Ecojustice impliquant le gouvernement fédéral portaient sur le rétablissement d’espèces en péril et la protection de l’habitat, les collisions d’oiseaux migrateurs avec des immeubles, le rôle de la participation du public dans les évaluations environnementales et la responsabilité en matière de changements climatiques.
Association canadienne du droit de l’environnement
Directrice générale et avocate : Theresa McClenaghan, 416-960-2284, poste 219, theresa@cela.ca
Profil de l’organisation :
L’Association canadienne du droit de l’environnement (ACDE) est une organisation d’intérêt public sans but lucratif créée en 1970 qui a pour mandat d’utiliser les lois existantes pour protéger l’environnement et pour défendre des réformes du droit de l’environnement. L’ACDE réalise également des projets d’information et de réforme du droit financés par des fonds gouvernementaux et des fondations privées.
L’ACDE fournit entre autres des services juridiques en droit de l’environnement, y compris la représentation devant diverses cours et tribunaux et de l’aide aux citoyens qui se représentent eux-mêmes, des conseils sommaires, des campagnes de réforme du droit et des services de vulgarisation juridique.
En plus de fournir des services juridiques à des citoyens et des groupes communautaires sans but lucratif, l’ACDE mène des activités stratégiques visant à contribuer à l’élaboration des lois et règlements en matière de protection de l’environnement :
- Accès à la justice de l’environnement – L’ACDE travaille à faire entendre la voix des citoyens au gouvernement et dans les cours par exemple en documentant les effets sur les collectivités de la déréglementation dans le secteur de l’environnement ou en demandant qu’on mette fin aux poursuites destinées à réduire au silence l’opposition aux pollueurs ou aux projets de développement mal planifiés.
- Durabilité des ressources hydriques – L’ACDE est active dans des dossiers allant de la protection des Grands Lacs à l’intensification des efforts de conservation de l’eau. L’Association collabore avec des partenaires du bassin des Grands Lacs afin d’encourager la participation du public à l’examen de l’Accord sur la qualité de l’eau dans les Grands Lacs.
- Pollution et santé – L’ACDE soulève des préoccupations au sujet des dangers de la pollution atmosphérique et de produits chimiques à utilisation strictement réglementée, mais toujours présents qui continuent d’entraîner des expositions nocives, comme le plomb, les ignifugeants bromés et les pesticides interdits.
- Énergies vertes – L’ACDE collabore avec de nombreuses autres organisations pour démontrer que les énergies vertes peuvent répondre à nos besoins de façon rentable et respectueuse de l’environnement et pour garantir un accès équitable pour tous aux énergies propres.
- Planification et durabilité – L’ACDE travaille depuis longtemps au renforcement de tous les éléments du système de planification, de la gestion de projets d’aménagement selon le principe de la croissance urbaine intelligente à la protection des secteurs d’alimentation en eau.
- Accords internationaux – L’ACDE défend l’intégrité et la force du droit de l’environnement canadien dans le contexte des accords régionaux, bilatéraux et multilatéraux.
Environmental Defence Canada
Directeur général : Tim Gray, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profile de l’organisation :
Environmental Defence Canada est une organisation sans but lucratif qui travaille à la protection de l’environnement et de la santé humaine en menant des projets de recherche et des activités d’éducation et en lançant au besoin des poursuites en justice. L’organisation a pour objectif d’inspirer le changement au gouvernement, dans les entreprises et au sein de la population pour créer une vie saine, écologique et prospère pour tous.
Voici les principaux secteurs d’activité d’Environmental Defence Canada :
- Les substances toxiques
- Interdiction des produits chimiques nocifs – Environmental Defence Canada a dirigé une campagne pour interdire la présence du bisphénol A dans les biberons en plastique et s’attache actuellement à l’interdiction de tous les contenants pour aliments et boissons contenant cette substance. De plus, l’organisation informe les Canadiens au sujet des toxines dans les produits de soins personnels et les articles ménagers.
- Le climat et l’énergie
- Changements climatiques – Environmental Defence Canada fait la promotion de la transition des carburants fossiles aux énergies propres, de l’arrêt de la croissance du secteur des sables bitumineux et de l’interdiction de la création de nouveaux pipelines.
- Écologisation de l’électricité – Environmental Defence a travaillé à l’adoption de la Loi sur l’énergie verte en Ontario.
- L’écologisation de l’économie
- Environmental Defence Canada s’est associée avec les Métallurgistes unis afin d’appuyer la création d’emplois dans l’économie des énergies propres.
- Environmental Defence, en partenariat avec Holcim Canada, a lancé la norme volontaire Socially and Environmentally Responsible Aggregates, qui vise à placer la barre plus haut pour l’industrie des granulats en accordant une certification aux entreprises qui acceptent de se conformer à de nouveaux paramètres établis de façon graduelle.
- Les terres et les eaux
- Protection des espaces verts – Environmental Defence Canada a contribué à la création d’une ceinture verte de 1,8 millions d’acres (0,73 million d’hectares) en Ontario.
- Nettoyage des plages – Environmental Defence Canada collabore avec les collectivités de diverses régions du pays pour améliorer la gestion et la qualité de l’environnement des plages et ports de plaisance.
- Protection du lac Simcoe – Environmental Defence a contribué à l’adoption de la Loi sur la protection du lac Simcoe et du Plan de protection du lac Simcoe. Elle poursuit ses activités d’information au sujet de la qualité de l’eau auprès des résidents.
Équiterre
Directeur général : Sidney Ribeaux, 514-522-2000
Profil de l’organisation :
Fondée en 1993, Équiterre s’est donné pour mission de bâtir un mouvement de société en faisant la promotion de choix individuels et collectifs qui sont écologiques et socialement responsables. Dans le cadre de ses quatre programmes, l’agriculture écologique, le commerce équitable, les transports durables et l’efficacité énergétique, l’organisation a élaboré des projets qui encouragent les citoyens, les organismes et les gouvernements à prendre des mesures concrètes qui entraîneront un changement positif pour l’environnement et la société.
Équiterre mène des activités de recherche et de défense portant sur des questions de politique environnementale, ciblées au niveau fédéral et dans la province de Québec et s’attachant en grande partie aux politiques en matière de changements climatiques.
Voici les grands secteurs d’activité d’Équiterre :
- Les sables bitumineux – Équiterre s’emploie à bloquer l’exploitation des sables bitumineux. Elle ne soutient pas le projet d’oléoduc d’Énergie Est. Elle a contribué à l’élaboration du projet Oil Sands Reality Check, une source d’information pour les citoyens, les médias, les investisseurs et les décideurs qui permet à ceux-ci de participer à un débat mieux éclairé sur les conséquences de l’exploitation des sables bitumineux.
- L’efficacité énergétique des résidences – Cette campagne a été développer afin de réduire les problèmes environnementaux causés par la consommation excessive d’énergie. Les conseillers d’Équiterre, accrédités par l’Agence de l’efficacité énergétique, font des visites à domicile afin d’évaluer la consommation d’énergie des ménages et de fournir aux résidents des conseils pour les aider à acquérir des habitudes favorisant l’efficacité énergétique.
- Les transports durables – Cette campagne visait à réduire les effets de la pollution produite par les transports, plus particulièrement les émissions de gaz à effet de serre, importante cause des changements climatiques. Équiterre a préparé à cette fin un guide en ligne pour aider les citoyens à adopter le principe de la combinaison de divers moyens de transport comme le covoiturage, le vélo, la marche ou le transport collectif.
- L’horticulture écologique – Équiterre fournit aux résidents du Québec les avantages de l’agriculture et des aliments sans pesticides ni engrais chimiques par le biais d’un réseau d’entreprises agricoles ainsi que des initiatives qui encouragent l’action citoyenne, comme la certification Horti-Éco.
- Le commerce équitable – Le programme de commerce équitable d’Équiterre a été créé pour permettre aux consommateurs d’utiliser leur pouvoir d’achat afin de s’opposer aux iniquités qui existent dans le secteur du commerce international.
Greenpeace Canada
Directrice générale : Joanna Kerr, 416-597-8408, joanna.kerr@greenpeace.org
Profile de l’organisation :
Greenpeace Canada est une organisation non gouvernementale indépendante vouée à la protection de l’environnement. Elle vise à changer les attitudes et les comportements, à protéger et conserver l’environnement et à faire la promotion de la paix par ses activités de recherche, de lobbyisme et de diplomatie discrète tout en générant par ailleurs des conflits non violents à haut retentissement pour rehausser le niveau et la qualité du débat public. L’organisation Greenpeace International a été fondée à Vancouver en 1971, elle est maintenant active dans 40 pays. Au Canada, elle possède des bureaux à Toronto, à Montréal et à Vancouver et son siège se trouve à Amsterdam.
Voici les principaux secteurs d’activité de Greenpeace Canada :
- Le climat et l’énergie – Greenpeace Canada fait la promotion d’une politique fédérale forte s’appliquant à tous les secteurs de façon équitable, qui inclut un prix et un marché du carbone. L’organisation s’est opposée vigoureusement aux mesures privilégiant le secteur pétrolier et elle rejette le principe de l’investissement fédéral dans les projets de captage et de stockage du CO2, favorisant plutôt la conservation et l’efficacité énergétique.
- La protection de l’Arctique – Greenpeace Canada mène une campagne d’opposition au forage en mer dans l’Arctique.
- La conservation des océans – Greenpeace Canada vise à atténuer la pression exercée sur les écosystèmes marins et s’emploie à constituer un réseau de réserves marines où aucune prise ne serait permise. Les campagnes en cours ont entre autres pour objectifs de freiner la surpêche du thon en poussant les grandes marques à modifier leurs pratiques de pêche et les chaînes de supermarché à offrir du thon et des poissons et fruits de mer pêchés selon des pratiques durables.
- La conservation des forêts – Greenpeace Canada exerce des pressions auprès des industries et gouvernements et encourage les consommateurs à protéger la forêt boréale, la forêt pluviale du Grand Ours et la forêt pluviale de l’Indonésie. Greenpeace a participé à la campagne qui a mené à la décision par le gouvernement de la Colombie-Britannique de protéger la moitié de la forêt pluviale du Grand Ours.
Institut international du développement durable
Président et chef de la direction : Scott Vaughan, 204-958-7700, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisme :
L’Institut international du développement durable (IIDD) est un organisme canadien sans but lucratif qui préconise le virage vers le développement durable en effectuant des recherches stratégiques et offrant une tribune pour mobiliser les pouvoirs publics, les milieux d’affaires, les organisations non gouvernementales et d’autres secteurs dans l’élaboration et l’application de politiques sur le développement durable. L’Institut a pour mission de promouvoir le développement humain et la durabilité de l’environnement par des recherches, des communications et des partenariats qui innovent.
L’Institut a des bureaux au Canada, en Suisse et aux États-Unis. Il est actif dans plus de 70 pays.
Les grands champs d’activité d’IIDD sont les suivants :
- Droit et politiques de l’économie – L’IIDD vise à réformer les politiques économiques portant sur les investissements internationaux, les marchés durables et le commerce, la durabilité de l’industrie et les marchés publics afin de promouvoir le développement durable et équitable.
- Énergie et changements climatiques – L’IIDD cherche à transformer les systèmes et les politiques qui ont trait à l’énergie afin d’appuyer l’accès universel à des énergies propres à faible apport en carbone. L’IIDD dégage des façons possibles de réduire les émissions, comme la mise sur pied de systèmes propres à énergie renouvelable, et il leur attribue des priorités. L’Institut aide aussi les pays en développement à trouver et à obtenir du financement pour le développement à faible apport en carbone.
- Eau – L’IIDD fait campagne afin de promouvoir des solutions scientifiques pour l’accès universel à l’eau et des écosystèmes en santé. En partenariat avec la Région des lacs expérimentaux (RLE), l’IIDD cherche à éclairer les politiques par la science aquatique. L’IIDD donne aussi des conseils sur la mise en œuvre de stratégies Eau-Énergie-Alimentation (EEA) dans le contexte de l’agriculture et de la mise en valeur des ressources minières en recourant aux consultations d’intervenants, aux indicateurs EEA, à la modélisation des bassins hydrographiques et à la recherche stratégique.
- Résilience – L’IIDD cherche à bâtir et à protéger la résilience des collectivités et des écosystèmes face à des risques sans précédent et à l’incertitude associée aux changements climatiques, aux conflits et aux questions de sécurité alimentaire.
Nature Canada
Directrice générale : Eleanor Fast, 613-562-3447, poste 247, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisme :
Fondé en 1939, Nature Canada est un organisme de conservation sans but lucratif reposant sur ses membres et représente un réseau de 45 000 partisans et de plus de 350 organismes de protection de la nature présents aux échelons local, régional et provincial d’un bout à l’autre du Canada. Nature Canada a pour mission de protéger et de conserver la faune et ses habitats au Canada en mobilisant la participation et intervenant pour le compte de la nature. Sur la scène internationale, Nature Canada est membre de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et le copartenaire canadien de BirdLife International.
Les grands champs d’activité de Nature Canada sont les suivants :
- Conservation des oiseaux – Nature Canada collabore avec des gouvernements, des scientifiques, des ornithologues amateurs et des experts non gouvernementaux pour conserver les espèces à la grandeur de leur parcours naturel au Canada et à l’étranger. L’organisme est membre actif du partenariat mondial BirdLife International.
- Protection des milieux naturels – Nature Canada surveille les plans établis par le secteur public afin de créer des aires protégées et lance des projets qui encouragent l’établissement d’un réseau efficace de parcs et d’aires protégées au Canada.
- Espèces en péril – Nature Canada cherche à casser la tendance à la disparition des espèces et à la dégradation des habitats en informant le public au sujet des espèces en péril et en exerçant des pressions en faveur de lois et de programmes efficaces.
- Coalition du budget vert – Par l’intermédiaire de la Coalition du budget vert, Nature Canada et 13 autres organismes environnementaux présentent une analyse des enjeux les plus pressants sur le plan de la durabilité environnementale au Canada et soumettent au gouvernement fédéral un ensemble annuel regroupé de recommandations au sujet de possibilités fiscales et budgétaires stratégiques.
- Établissement de liens entre les gens et la nature – Nature Canada cherche à favoriser une meilleure compréhension de la nature et le rôle que les Canadiens peuvent jouer en la protégeant au moyen d’initiatives sur la nature urbaine et d’initiatives scientifiques dans la population.
Conservation de la nature Canada
Président et chef de la direction : John Lounds, 416-932-3202, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisme :
Fondé en 1962, Conservation de la nature Canada (CNC) est un organisme national sans but lucratif de conservation des terres voué à protéger directement les zones importantes sur le plan écologique, à acheter et conserver des servitudes, à céder d’autres intérêts légaux dans des terres et à les gérer à long terme. La vision de CNC consiste à protéger des aires biodiversifiées qui présentent une valeur intrinsèque pour en faire profiter les générations futures. Le plan d’action de CNC repose sur la création de partenariats et la conclusion d’ententes créatrices avec des particuliers, entreprises, groupes communautaires, groupes de conservation ou entités gouvernementales qui ont les mêmes objectifs. CNC a aidé à protéger plus de 2,6 millions d’acres (1 million d’hectares) partout au Canada.
Les grands champs d’activité de CNC sont les suivants :
- Programme de conservation des zones naturelles – Conservation de la nature Canada gère le Programme de conservation des zones naturelles du gouvernement du Canada avec la participation Canards Illimités Canada et de fiducies foncières d’un bout à l’autre du pays. Le Programme de conservation des zones naturelles a été lancé avec un investissement initial de 225 millions de dollars en cinq ans. Le programme a été renouvlé pour une autre période de cinq ans en 2014.
Pembina Institute
Directeur général : Ed Whittingham, 403-537-0579, edw@pembina.org
Profil de l’organisme :
Le Pembina Institute est un organisme sans but lucratif et indépendant de recherche et d’éducation en politiques environnementales qui vise à promouvoir des solutions basées sur les énergies propres par la recherche, l’éducation, la consultation et la promotion innovatrices. Fondé en 1985, le Pembina Institute a des bureaux à Vancouver, Yellowknife, Edmonton, Calgary et Toronto. L’organisme imagine un monde où l’on répondrait aux besoins tant immédiats que futurs de manière à protéger les systèmes vivants de la Terre et à garantir que l’air, le sol et l’eau sont propres, à prévenir les changements climatiques et à instaurer une collectivité mondiale sécuritaire et juste.
Les grands champs d’activité du Pembina Institute sont les suivants :
- Solutions énergétiques – Le Pembina Institute se concentre sur les solutions énergétiques dans quatre régions : Alberta, Arctique, Colombie-Britannique et Ontario. En produisant des rapports, des fiches d’information et des communiqués, Pembina cherche à mettre en valeur dans ces régions une production d’électricité plus propre.
- Économie axée sur l’énergie propre – Le Pembina Institute effectue des recherches et produit des publications sur diverses théories économiques vertes, y compris la réforme fiscale écologique, les biens et services écologiques, l’indicateur du progrès réel et le capital naturel.
- Sables bitumineux et gaz naturel – Le Pembina Institute s’oppose à l’exploitation des sables bitumineux de l’Ouest canadien et a diffusé des publications et des commentaires qui visent à exposer les répercussions environnementales des grands projets de mise en valeur du pétrole. L’organisme évalue aussi les effets possibles de l’exploitation de liquides de gaz naturel, des solutions visant à atténuer ces répercussions et des interventions gouvernementales qui entraîneraient la mise en œuvre de ces solutions en Colombie-Britannique.
- Efficience énergétique dans le bâtiment et le transport – Le Pembina Institute lance tout un éventail d’activités liées à l’efficience énergétique en Alberta, ce qui inclut des services de conseil aux municipalités et aux entreprises, ainsi que des activités de promotion de l’efficience énergétique et de rayonnement comme membre et rouage critique de l’Alberta Energy Efficiency Alliance. Le travail de l’Institut sur l’efficience énergétique dans les transports pivote sur l’évaluation des répercussions de politiques et d’outils financiers différents qui visent à promouvoir des solutions factuelles solides afin d’améliorer les réseaux de transport et les plans d’aménagement urbain de l’Ontario.
Fondation The Pollution Probe Foundation
Chef de la direction : Bob Oliver, 416-926-1907, boliver@pollutionprobe.org
Profil de l’organisme :
Pollution Probe est un organisme environnemental de bienfaisance qui cherche à définir les problèmes environnementaux par la recherche, à promouvoir la compréhension par l’éducation et à faire adopter des solutions pratiques par la représentation. Pollution Probe se concentre sur la création de partenariats, la mise à contribution d’entités du secteur public, des entreprises privées et d’autres organismes sans but lucratif afin de trouver des solutions axées sur l’air et l’eau propres.
Le travail de Pollution Probe pivote sur quatre compétences fondamentales :
- Recherche – Pollution Probe entreprend des études du marché portant sur des stratégies d’adoption de véhicules électriques, ainsi que des recherches sur les technologies de production d’énergie à partir de déchets.
- Éducation – Pollution Probe a créé et héberge la bourse Energy Exchange, plateforme d’engagement social visant à accroître la littératie en énergie dans la population canadienne.
- Engagement – Pollution Probe favorise le dialogue entre des experts des milieux universitaires, de l’industrie, du secteur public et du secteur sans but lucratif dans de grands dossiers comme les technologies émergentes dans le domaine des véhicules lourds.
- Politique – Pollution Probe préconise des politiques sur la réduction des émissions provenant des combustibles fossiles et sur la réduction des déchets.
Fondation Sierra Club Canada
Directeur du programme : John Bennett, 613-291-6888, jb@sierraclub.ca
Profil de l’organisme :
Sierra Club Canada est une organisation non gouvernementale basée sur ses membres qui vise à responsabiliser la population afin de protéger une planète en santé et sécuritaire, de la remettre en état et d’en bénéficier. Actif depuis 1963, Sierra Club Canada a établi son bureau national à Ottawa en 1989. L’organisme compte cinq chapitres actifs au Canada : Colombie-Britannique, Prairies, Ontario, Québec et l’Atlantique. Sierra Club Canada compte quelque 10 000 membres, des partisans et de jeunes membres affiliés d’un bout à l’autre du Canada.
L’organisme a pour mission de responsabiliser la population afin qu’elle protège une planète en santé et sécuritaire, la remette en état et en bénéficie. Le travail de Sierra Club Canada vise avant tout cinq grandes menaces :
- la disparition d’espèces animales et végétales;
- la détérioration des océans et de l’atmosphère de la planète;
- la présence toujours croissante de produits chimiques toxiques dans tous les êtres vivants;
- la destruction de la nature sauvage qui reste;
- la croissance démographique et la surconsommation qui explosent.
Les grands domaines de travail de Sierra Club Canada sont les suivants :
- Changements climatiques – Sierra Club Canada s’oppose au forage et à la mise en valeur de nouveaux puits de pétrole et de gaz, à l’énergie nucléaire et à la fracturation.
- Eau des Grands Lacs – Sierra Club Canada cherche à contrer les changements climatiques, les espèces envahissantes et la pollution causée par l’agriculture et le ruissellement dans les Grands Lacs;
- Abeilles – Sierra Club Canada préconise l’interdiction des produits antiparasitaires aux néonicotinoïdes.
- Réduction des déchets – Sierra Club Canada préconise des politiques qui limitent les déchets industriels et naturels.
- Conservation du golfe du Saint-Laurent – Sierra Club Canada dirige une campagne de sensibilisation du public sur la protection des espèces du golfe du Saint-Laurent, y compris le rorqual bleu.
- Évaluations environnementales – Sierra Club Canada cherche à resserrer les évaluations environnementales et à faire annuler les modifications apportées à la Loi canadienne sur la protection de l’environnement, à la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale et à la Loi sur les pêches.
Fonds mondial pour la nature (Canada)
Président et chef de la direction : David Miller, 416-489-8800, dmiller@wwfcanada.org
Profil de l’organisme :
Le Fonds mondial pour la nature (Canada) (FMN-Canada), fondé en 1967, est une organisation non gouvernementale et non partisane de conservation active sur la scène nationale. FMN-Canada compte plus de 170 000 partisans et les 100 membres et plus de son personnel sont répartis dans sept bureaux d’un bout à l’autre du Canada. À titre de membre du Réseau international FMN, FMN-Canada contribue à la mission de l’organisme qui est d’enrayer la dégradation de l’environnement naturel de la planète et de bâtir un avenir où l’être humain vit en harmonie avec la nature en :
- conservant la diversité biologique du monde;
- veillant à ce que l’utilisation des ressources renouvelables soit durable;
- préconisant la réduction de la pollution et du gaspillage.
Le FMN utilise toutes sortes d’outils pour produire ses résultats dans le domaine de la conservation, y compris la recherche sur le terrain, la cartographie scientifique, la promotion de politiques publiques, les solutions axées sur le marché et l’éducation publique. Le FMN a aussi créé l’Heure de la Terre, événement symbolique au cours duquel des gens du monde entier ferment leurs lumières pendant une heure pour montrer qu’ils appuient les interventions contre les changements climatiques.
Les grands domaines d’activité du FMN-Canada sont les suivants :
- L’Arctique – FMN-Canada applique les principes de l’intendance en définissant et conservant les zones qui fourniront un habitat critique à des espèces importantes de l’Arctique et collaborant avec l’industrie pour encourager la mise en œuvre des pratiques exemplaires.
- Action sur les plans du climat et de l’énergie – FMN-Canada cherche des solutions afin de produire de l’énergie de façon durable et d’en consommer moins, et préconise l’utilisation des énergies renouvelables.
- Océans – FMN-Canada dirige le virage vers les produits de la mer durables, la gestion intelligente des océans et des économies des océans durables.
- Eau douce – FMN-Canada fournit des services de surveillance des données d’évaluation de la santé des lacs, des cours d’eau et des rivières du Canada et des menaces qui les visent.
- Espèces en péril – FMN-Canada s’attaque au commerce mondial des espèces en péril et cherche à atténuer les effets des changements climatiques sur les espèces.
Living Oceans Society
Directrice générale : Karen Wristen, 604-696-5044, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisme :
La Living Oceans Society est un organisme sans but lucratif qui préconise des océans gérés pour le bien commun en fonction de politiques à vocation scientifique qui tiennent compte de l’intégralité des écosystèmes.
La mission de la Living Oceans Society consiste à :
- effectuer des recherches scientifiques, sociales et économiques pour s’assurer que ses campagnes reposent sur des faits et que ses solutions s’appuient sur des données scientifiques;
- interpréter des données scientifiques à l’intention de diverses clientèles en produisant des cartes, des rapports et d’autres publications afin que tous les intervenants puissent être informés et participer à la prise de décision;
- échanger avec le secteur public, l’industrie et les personnes qui vivent et travaillent sur la côte afin de créer des solutions viables à des problèmes de conservation;
- promouvoir des politiques publiques saines et la responsabilité sociale des entreprises;
- permettre aux collectivités côtières de protéger les ressources marines dont elles dépendent.
Les grands domaines d’activité de la Living Oceans Society sont les suivants :
- Planification des océans – La Living Oceans Society pratique la planification des océans sur les trois côtes du Canada.
- Pétroliers – La Living Oceans Society cherche à veiller à ce que la côte du Pacific Nord du Canada demeure libre de pétrole à jamais. L’organisme a obtenu le statut d’intervenant dans le cadre des audiences de la Commission d’examen conjoint du projet de pipeline Northern Gateway et dans celui des audiences menées par l’Office national de l’énergie sur le Pipeline de prolongement TransMountain de Kinder Morgan.
- Salmoniculture – La Living Oceans Society coordonne les activités de l’Alliance côtière pour la réforme de l’aquaculture (ACRA), coalition de cinq organismes environnementaux qui cherchent à protéger l’océan contre les répercussions de la salmoniculture à enclos ouvert.
- Produits de la mer durables – La Living Oceans Society est membre de SeaChoice, programme de surveillance des produits de la mer qui évalue la durabilité de produits de la mer disponibles couramment au Canada.
- Acidification des océans – La Living Oceans Society fait campagne en faveur d’une politique climatique efficace, de zones marines protégées et de méthodes de pêche durable.
- Enlèvement des débris marins – La Living Oceans coordonne les efforts déployés par des membres de la collectivité, des entreprises et des administrations locales qui veulent aider à nettoyer les rives du nord de l’île de Vancouver.
Groupe ETC : Groupe d’action sur l’érosion, la technologie et la concentration
Directeur général : Pat Mooney, 613-241-2267, [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information]
Profil de l’organisme :
Le Groupe ETC est un organisme environnemental à vocation technologique qui cherche à s’attaquer aux enjeux socioéconomiques et écologiques entourant les technologies nouvelles qui pourraient avoir une incidence sur les habitants les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. L’organisme étudie l’érosion écologique et la mise au point de technologies nouvelles, et suit des enjeux de la gouvernance mondiale, y compris la concentration des entreprises et le commerce des technologies. Le Groupe ETC agit au niveau politique mondial tout en collaborant de près avec des organismes de la société civile (OSC) partenaires et des mouvements sociaux. L’organisme :
- est voué à la conservation et à la promotion durable de la diversité culturelle et écologique, ainsi que des droits de la personne. À cette fin, le Groupe ETC appuie la mise au point socialement responsable de technologies utiles pour les pauvres et les marginalisés et se penche sur des enjeux de la gouvernance internationale et le pouvoir des entreprises;
- essaie, en partenariat avec d’autres OSC, d’instaurer l’autosuffisance concertée et durable dans les sociétés désavantagées en fournissant de l’information, des analyses de tendances socioéconomiques et technologiques et des solutions de rechange;
- élabore des options stratégiques basées sur la recherche et l’analyse de technologies et l’élaboration d’options liées aux ramifications socioéconomiques des technologies nouvelles;
- concentre ses efforts aux échelons mondial et régional (continental ou infracontinental). Le Groupe ETC appuie les partenariats avec des OSC communautaires, nationaux ou régionaux.
Le Groupe ETC se concentre actuellement sur l’instauration de changements dans six grands domaines thématiques courants : biodiversité (CDB, OSASTT et IPBES), climat et géo-ingénierie, monopoles d’entreprises, développement durable, biologie synthétique et évaluation de technologies.
Ses grands enjeux sont les suivants :
- Renforcer la diversité – Le Groupe ETC cherche à renforcer la diversité par la biodiversité, les droits des agriculteurs, les semences et la diversité génétique.
- Veille technologique – Le Groupe ETC suit attentivement les technologies liées au climat, à la génomique, à la nanotechnologie, à la biologie synthétique et à d’autres domaines.
- Surveillance du pouvoir – Le Groupe ETC préconise la surveillance des monopoles d’entreprises, de la gouvernance internationale et des brevets.
Conseil canadien des aires écologiques
Président : David MacKinnon, 902-424-2027, mackinds@gov.ns.ca
Profil de l’organisme :
Le Conseil canadien des aires écologiques (CCAE) cherche à aider les Canadiens à établir et gérer un réseau intégré d’aires protégées qui représentent la diversité naturelle de l’écologie terrestre et aquatique du Canada et à leur faciliter la tâche à cet égard.
Le CCAE fournit des services à ses organismes membres, à la population canadienne et à la collectivité internationale en :
- réalisant divers projets qui font avancer sa mission;
- organisant des tribunes de discussion;
- utilisant des organes de communication pour informer et éduquer la collectivité des aires protégées en général et la population au sujet de tout un éventail d’enjeux liés aux aires protégées.
Le travail du CCAE porte notamment sur la représentation des écosystèmes terrestres, un cadre national pour les aires protégées, des stratégies d’analyse des écarts, des aires marines de conservation et la gestion des données.
Le CCAE se réunit régulièrement dans diverses administrations canadiennes pour discuter d’enjeux communs et aborder des réalisations et des enjeux régionaux en particulier. Le CCAE réunit divers points de vue régionaux afin de dégager un tableau d’ensemble écologique cohérent pertinent pour toutes les administrations.
Au sein d’organisations et d’organismes membres, le CCAE sollicite l’apport d’un vaste éventail de stratèges et de praticiens de la conservation. Le CCAE fournit donc un réseau de communication aux fonctionnaires chargés des aires protégées au Canada et une tribune à l’écoute pour l’élaboration de politique, la mise au point et le transfert de technologies et le perfectionnement professionnel.
Le portefeuille international du CCAE est pertinent pour les efforts déployés par le Canada aux échelons régional et national en lien avec ses obligations internationales comme celles que contient la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique. Sur la scène internationale, le CCAE collabore avec des organismes comme la Commission nord-américaine de coopération environnementale, les gouvernements du Zimbabwe et du Mexique, la Commission mondiale des aires protégées, l’Union mondiale pour la nature et le Centre mondial de surveillance de la conservation.
Éco Héros
Directeur général : Peter Kendall, 905-417-3447
Profil de l’organisme :
Éco Héros est un organisme canadien de conservation axé sur les enfants et voué à éduquer les enfants et les membres de leur famille au sujet de la biodiversité, ainsi qu’à les responsabiliser pour qu’ils participent directement à la protection des animaux et de leurs habitats. Les programmes de l’organisme Éco héros comprennent un programme d’approche scolaire et de visites en classe, des spectacles communautaires, une présence à la télévision nationale et « Restaurer la nature », initiative qui donne aux enfants un moyen concret de faire une différence. Ces programmes cherchent à inspirer les enfants du Canada à intervenir pour aider à protéger les animaux et leurs habitats.
La campagne Restaurer la nature est une initiative nationale d’éducation et de financement qui enseigne aux enfants l’importance de protéger les animaux en préservant leurs habitats naturels et leur permet de contribuer à des projets de conservation visant à assurer la survie de quatre espèces indigènes par année. Les projets de conservation en cours en 2014-2015 visent à avant tout à protéger le loup de l’Est, le renard véloce, le petit-duc des montagnes et le goglu des prés.
Le programme d’approche et d’éducation de l’organisme Éco Héros vise à aider les élèves à comprendre les effets de l’activité humaine sur la planète et les espèces qui l’habitent. L’organisme offre un catalogue en ligne de ressources scientifiques à l’intention des éducateurs pour les aider à organiser des activités et des plans de leçons liés au cursus. Ces ressources d’éducation visent à mobiliser les élèves et à faciliter l’établissement d’un lien avec la faune à la fois en classe et à l’extérieur.
En 2014, les Éco-Héros ont reçu 3 millions de dollars sur trois ans afin de leur permettre d’élargir leurs programmes de conservation axés sur la famille.
NatureServe Canada
Directeur général : Patrick Henry, 613-986-1535, phenry@natureserve.ca
Profil de l’organisme :
NatureServe Canada est un organisme de bienfaisance enregistré qui fait fonction de réseau de centres de données de conservation (CDC) provinciaux et territoriaux chargé d’élaborer, de gérer et de distribuer de l’information qui fait autorité et joue un rôle crucial dans la conservation de la biodiversité du Canada. Des organismes fédéraux et provinciaux, l’industrie privée, des chercheurs et des organismes de conservation utilisent beaucoup les données détenues par NatureServe Canada afin d’améliorer la gestion, l’utilisation et la conservation des ressources biologiques au Canada. NatureServe Canada représente aussi les CDC canadiens auprès de NatureServe, le réseau international plus étendu de centres semblables que l’on retrouve partout dans l’hémisphère occidental.
NatureServe a pour mission d’être le fournisseur d’information accessible, à jour, fiable et qui fait autorité sur la répartition et l’abondance de la diversité biologique du Canada. L’organisme vise à améliorer la prise de décision sur les ressources naturelles et à servir le public en sensibilisant davantage les Canadiens au patrimoine naturel national.
Les activités clés de l’organisme consistent notamment à :
- établir des normes scientifiques sur l’inventaire biologique et la gestion des données relatives à la biodiversité, créer des bases de données complètes et à jour sur les espèces et les collectivités écologiques préoccupantes sur le plan de la conservation;
- concevoir des systèmes avancés de gestion des données sur la biodiversité en partenariat avec des chefs de file des technologies de l’information;
- mettre de l’information sur la biodiversité à la disposition du public grâce à nos sites Web, à nos publications et aux services personnalisés que nous offrons aux clients et aux partenaires;
- fournir des produits d’information et des services de conservation afin de guider la prise de décision sur les ressources naturelles.
Habitat faunique Canada
Directeur général : Cameron Mack, 613-722-2090, poste 224, cmack@whc.org
Profil de l’organisme :
Habitat faunique Canada (HFC) vise à conserver, rétablir et améliorer l’habitat de la faune au Canada. Nous finançons des projets de conservation de l’habitat, préconisons des interventions en matière de conservation et la coordination entre des groupes qui s’intéressent à la conservation.
Chaque année depuis 1985, une toile d’un artiste de la faune du Canada est choisie comme timbre sur la conservation des habitats fauniques du Canada. La grande majorité des timbres est achetée par des chasseurs qui veulent valider leur permis de chasse aux oiseaux migrateurs considérés comme gibier. Le produit de ces ventes sert en grande partie à financer le programme de subventions de HFC. Des particuliers et des collectionneurs achètent aussi des timbres et des reproductions afin de réunir des fonds pour la conservation des habitats fauniques.
Reconnaissant que les ventes du timbre sur la conservation des habitats fauniques du Canada aux chasseurs de sauvagine constituent la principale source de financement du programme de subventions, dans le contexte du budget disponible, HFC appuiera principalement :
- des projets portant sur des activités prioritaires dans le cadre du Plan nord-américain de gestion de la sauvagine;
- des projets portant sur les habitants régionaux et locaux d’importance pour d’autres oiseaux migrateurs considérés comme gibier;
- des projets du Newfoundland and Labrador Murre Conservation Fund.
Outre les revenus tirés des timbres et des reproductions sur la conservation de l’habitat, HFC obtient du financement supplémentaire de tout un éventail de partenaires du secteur public et de l’industrie afin d’entreprendre des activités et des projets précis.
Entre 2010 et 2013, HFC a établi un partenariat avec le concours Faites connaissance (auparavant concours Faites connaissance Robert Bateman) pour produire le timbre sur la conservation des habitats fauniques par les jeunes Canadiens. La série compte au total quatre timbres sur la conservation par les jeunes.
Autres organisations non gouvernementales
Fédération canadienne des municipalités
Chef de la direction : Brock Carlton, 613-907-6222, bcarlton@fcm.ca
Profil de l’organisme :
Porte-parole national des administrations municipales, la Fédération canadienne des municipalités (FCM) représente 90 % de la population urbaine du Canada. Créée en 1901, la Fédération regroupe les plus grosses villes du Canada, de petites collectivités urbaines et rurales et 20 associations provinciales et territoriales de municipalités. La FCM défend aujourd’hui les besoins des municipalités et de leur population qui se reflètent dans les politiques et les programmes fédéraux.
La FCM présente le point de vue de collectivités d’envergure et d’entités plus modestes, car les municipalités font partie intégrante de la mise en œuvre de programmes de gestion des déchets et de recyclage qui s’adressent à la population et aux petites entreprises.
La FCM défend les intérêts des municipalités en préconisant une politique solide dans tous les domaines où la compétence fédérale a des répercussions sur des enjeux locaux. Le conseil d’administration de la FCM, constitué de 75 dirigeants municipaux élus de toutes les régions du Canada, établit les priorités stratégiques qui reflètent les préoccupations de toutes les administrations locales. La FCM agit sur les décisions stratégiques grâce aux contacts que ses membres ont avec des partenaires et des intervenants du secteur public, des milieux d’affaires et d’organisations de l’industrie. Ces priorités de l’heure portent notamment sur le prix des maisons et l’endettement des ménages, la sécurité ferroviaire et les infrastructures.
Dans le cadre de ses programmes, la FCM aborde des initiatives écologiques, le logement abordable, les femmes dans le secteur public, la protection climatique et l’établissement de partenariats avec les collectivités des Premières Nations.
La FCM dirige le programme Partenaires pour la protection du climat (PPC), qui donne aux municipalités le pouvoir d’intervenir contre les changements climatiques dans le cadre d’un processus à cinq jalons qui guide les membres dans la création d’inventaires de GES, l’établissement d’objectifs réalistes et atteignables en matière de réduction des GES, l’élaboration de plans d’intervention locaux et la mise en œuvre de plans prévoyant des interventions précises et quantifiables afin de réduire les émissions. Le programme PPC constitue le volet canadien du réseau des villes pour la protection climatique (VPC). Le PPC est un partenariat établi entre la Fédération canadienne des municipalités (FCM) et l’ICLEI.
Association pulmonaire du Canada
Présidente et chef de la direction : Debra Lynkowski, 613-569-6411 [Information expurgée aux termes de la Loi sur l'accès à l'information], dlynkowski@lung.ca
Profil de l’organisme :
L’Association pulmonaire canadienne est une fédération d’organismes de bienfaisance nationaux regroupant dix associations provinciales, un bureau national et deux sociétés professionnelles – la Société canadienne de thoracologie et les Professionnels canadiens de la santé respiratoire. Ensemble, ces entités conjuguent leurs efforts pour aider les six millions de Canadiens et plus qui ont des problèmes respiratoires.
Situé à Ottawa, le bureau national de l’Association pulmonaire canadienne diffuse en ligne de l’information de grande qualité sur la santé pulmonaire, pilote des efforts nationaux de représentation et de sensibilisation et gère un programme national de recherche.
L’Association pulmonaire canadienne préconise la lutte contre la pollution de l’air extérieur causée par les véhicules à moteur, les incendies et les installations industrielles. Elle a lancé des campagnes contre la combustion résidentielle du bois, le smog, les composés organiques volatils (COV) et des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
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