Comparution devant le Comité permanent de l’environnement et du développement durable – 4 décembre 2024
Note de scénario
Comparution en personne
Date : Le mercredi 4 décembre 2024
Heure : 16 h 30 à 18 h 30
Lieu : À confirmer
Arrivée : 15 minutes avant le début de la rencontre
Description de l'événement
Le sous-ministre d'Environnement et Changement climatique Canada, Jean-François Tremblay, a été invité à comparaître devant le Comité permanent de l'environnement et du développement durable (ENVI) en compagnie du sous-ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique (ISDE) pour parler du Fonds d'accélération pour la carboneutralité.
À 16 h 30, le sous-ministre d'ISDE prononcera une déclaration d'ouverture de cinq minutes. Le sous-ministre d'ECCC ne prononcera pas de déclaration d'ouverture. Les membres du Comité, commençant par un représentant du Parti conservateur du Canada (PCC), commenceront la période de questions immédiatement après.
Après la première heure de discussion, le Comité poursuivra la réunion à huis clos (c'est-à-dire non publique). Toute discussion pendant cette période doit être limitée aux personnes présentes. Personne ne doit discuter d'un aspect quelconque des délibérations à huis clos une fois la réunion est terminée.
À la table pendant la deuxième heure
Représentants d'ECCC
- Jean-François Tremblay, sous-ministre, Environnement et Changement climatique Canada
- Vince Ngan, sous-ministre adjoint, Direction générale des changements climatiques
- Ramsey Wright, directeur général par intérim, Direction des programmes
Représentants d'ISDE
- Francis Bilodeau, sous-ministre délégué
- Stephanie Tanton, sous-ministre adjointe, Fonds stratégique pour l'innovation
- Milenka Mitrovic, directrice générale par intérim, Direction générale du développement des affaires et des stratégies, Fonds stratégique pour l'innovation (également présidente du Groupe de travail sur les GES)
- Denis Martel, directeur général, Direction générale des réseaux et des partenariats, Fonds stratégique pour l'innovation
- Jean-François Courtois, directeur exécutif, Division du développement des affaires et de l'attraction des investissements, Fonds stratégique pour l'innovation (à titre de président du Comité d'examen des investissements du FSI)
Bureau du CEDD
- Jerry DeMarco, Commissaire à l'environnement et au développement durable
- Autres fonctionnaires à confirmer
Invitation officielle – Adam Borden enverra une invitation officielle à tous les fonctionnaires en s'assurant que toutes les informations pertinentes se trouvent dans leurs agendas respectifs, une fois que tous les détails liés à la comparution sont confirmés.
Chronologie de l'événement
Heure (HNE) 16h30 – 18h30
Ordre du jour du Comité permanent de l'environnement et du développement durable
Francis Scarpaleggia, président d'ENVI, souhaite la bienvenue au commissaire, aux sous-ministres et aux hauts fonctionnaires des ministères.
Le commissaire à l'environnement et au développement durable prononcera probablement une déclaration de cinq minutes, suivie d'une intervention de M. Bilodeau pendant cinq minutes, suivie d'une période de questions, avant de passer à la séance à huis clos vers la mi-parcours.
Premier tour de questions
Le président ouvre la séance de questions en commençant par six minutes avec un membre du Parti conservateur du Canada (PCC), suivi d'un représentant du Parti libéral, du porte-parole du Bloc québécois (BQ) pour ECCC, et enfin du porte-parole du Nouveau Parti démocratique (NPD) pour ECCC.
Deuxième tour de questions et suivants
Parti conservateur : cinq minutes; Parti libéral : cinq minutes; Bloc québécois : deux minutes et demie; Nouveau parti démocratique : deux minutes et demie; Parti conservateur : cinq minutes; Parti libéral : cinq minutes.
Contact logistique d'ECCC : Adam Borden
Agent principal des affaires parlementaires
Unité des affaires parlementaires
Cellulaire : 613-716-7971
Courriel : adam.borden@ec.gc.ca
Initiative Accélérateur net zéro
Q1. Qu’est-ce que l’initiative Accélérateur net zéro?
- Dans le cadre du Fonds stratégique pour l’innovation, l’initiative Accélérateur net zéro (ANZ) fournira un financement pouvant atteindre 8 milliards de dollars à des projets au Canada et est conçue pour équilibrer les réductions d’émissions à court terme des installations opérationnelles existantes avec la transformation industrielle vers la carboneutralité à long terme. Elle soutient le plan climatique renforcé du Canada, dont l’objectif est de réduire les émissions de GES de 40 à 45 % d’ici 2030 et d’atteindre la carboneutralité d’ici 2050.
- L’initiative soutient des projets qui favorisent la décarbonisation des secteurs à fortes émissions, accélèrent la transformation industrielle, et font progresser le développement des technologies propres et le secteur des batteries au Canada.
- L’initiative aide les entreprises canadiennes à saisir de nouveaux débouchés alors que le monde bâtit une économie mondiale plus verte.
Q2. Quel est le rôle d’Environnement et Changement climatique Canada dans cette initiative?
- La lettre de mandat du ministre se lit en partie comme suit « … Soutenir le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie dans la mise en œuvre de l’initiative Accélérateur net zéro, en veillant à ce que les investissements se traduisent par une transition industrielle et des réductions importantes des émissions de gaz à effet de serre à une échelle compatible avec l’atteinte des objectifs climatiques du Canada et transforment de manière significative l’industrie canadienne pour qu’elle agisse comme chef de file et soit compétitive dans un avenir carboneutre… »
- Le ministre de l’Environnement et du Changement climatique appuie le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie dans la mise en œuvre de l’initiative notamment en fournissant des conseils et des perspectives dans le contexte des investissements stratégiques pour soutenir les plans climatiques du Canada.
Q3. Que fait le ministère de l’Environnement et du Changement climatique dans le cadre du Fonds Accélérateur net zéro administré par l’ISDE?
- Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) soutient Innovation, Sciences et Développement économique Canada (ISDE) dans la mise en œuvre de l’initiative Accélérateur net zéro du Fonds stratégique pour l’innovation en fournissant des conseils et une optique dans le contexte des investissements stratégiques pour soutenir les plans climatiques du Canada.
- L’ECCC est engagé dans l’initiative Accélérateur net zéro à différents niveaux, allant du soutien ministériel à l’évaluation des réductions de GES et aux examens de diligence raisonnable des demandes. Il s’agit notamment de :
- Coprésider le groupe de travail interministériel sur les gaz à effet de serre aux côtés d’ISDE pour évaluer les réductions d’émissions.
- Participer au comité d’examen des investissements des directeurs généraux où le ministère fournit des conseils au sujet des contributions aux projets dans le cadre de l’initiative ANZ. Les projets retenus font ensuite l’objet d’examens en matière de diligence raisonnable et d’approbations.
- Participer au comité interministériel des politiques et des programmes des sous-ministres associés du Fonds stratégique pour l’innovation, où le ministère fournit des conseils sur la mise en œuvre stratégique de l’initiative ANZ ainsi que sur la sélection de projets.
- Le ministre de l’Environnement et du Changement climatique fournit des lettres de consentement aux projets de l’ANZ du Fonds stratégique pour l’innovation qui sollicitent un investissement de plus de 50 millions de dollars de l’ANZ.
- ECCC a prodigué des conseils sur les exigences au sujet de la production de rapports en fonction des ententes de contribution, et ne participe pas à la négociation des modalités finales avec les demandeurs retenus. Les ententes de contribution sont négociées et gérées par les fonctionnaires d’ISDE et les demandeurs.
Q4. Pouvez-vous donner un exemple des types d’investissements qui sont réalisés?
- En juillet 2021, le premier ministre a annoncé un investissement important.
- Algoma Steel Inc. recevra jusqu’à 200 millions de dollars de l’initiative Accélérateur net zéro pour moderniser ses opérations et réduire progressivement ses procédés de fabrication de l’acier à partir du charbon à son aciérie de Sault Ste. Marie, en Ontario.
- Ce financement permettra à l’entreprise d’acheter de l’équipement à la fine pointe de la technologie qui facilitera sa transition vers la production d’acier dans un four à arc électrique. Il s’agit d’un procédé électrique qui devrait permettre de réduire les émissions de GES de plus de 3 millions de tonnes par année d’ici 2030, ce qui contribuera grandement à atteindre les cibles climatiques du Canada.
- En juillet 2021, le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie a annoncé un investissement de 25 millions de dollars dans Svante Inc. afin qu’elle développe et commercialise sa nouvelle technologie de capture du carbone à faible coût. Cette dernière permettrait de réduire considérablement l’émission dans l’atmosphère de CO2 par les installations industrielles, comme les usines de production de ciment et d’hydrogène bleu. Cette technologie innovatrice de capture à la source du carbone généré par des activités industrielles procédera au captage du CO2, à sa concentration et à sa séquestration sécuritaire ou son utilisation industrielle. Svante Inc. planifie de fabriquer des systèmes pouvant capturer jusqu’à 2 000 tonnes de CO2 par jour, selon l’application. Cette technologie est l’un des outils qui aideront à atteindre l’objectif de carboneutralité du Canada d’ici 2050, particulièrement pour les industries à fortes émissions qui poursuivent la production de biens utilisés quotidiennement par la population canadienne.
- En novembre 2022, le gouvernement du Canada a annoncé que dix projets dans le cadre de l’appel à l’action visant les secteurs à fortes émissions avaient été retenus pour passer à l’étape du processus d’examen en matière de diligence raisonnable. Ces entreprises ont été considérées comme des entreprises dynamiques prometteuses qui réduiront considérablement les émissions à des installations existantes et contribueront à la décarbonisation de leur secteur industriel, y compris la production d’électricité et d’hydrogène, ainsi que la production de fer pour l’industrie sidérurgique.
- Les entreprises sont les suivantes :
- Capital Power CorporationNote de bas de page 1
- ENMAX (Shepard Energy Centre)
- Federated Co-operatives Limited (FCL)
- Strathcona Resources Ltd.
- Lafarge Canada Inc.
- ArcelorMittal Mining Canada G.P.
- Suncor ATCO Heartland Hydrogen Hub
- Alberta Power (2000) Ltd. (Heartland Generation)
- Stelco Inc.
- Dow Chemical Canada ULCNote de bas de page 2
Q5. Quels sont les projets pour lesquels notre ministre a fourni des lettres de consentement dans le cadre de l’initiative Accélérateur net zéro?
- Notre ministre a fourni des lettres de consentement pour 24 projets dans le cadre de l’initiative Accélérateur net zéro.
- La plupart de ces projets n’ont pas été annoncés publiquement; je ne peux donc pas en discuter ici, mais voici quelques exemples de projets qui ont été annoncés :
- Ultium CAM
- Pratt & Whitney Canada
- E-One Moli Energy Limited
- Umicore Canada
- Rio Tinto Fer et Titane Inc.
- Vale Canada Limited
- PowerCo
Q6. Quels genres de projets le ECCC approuve-t-il dans le cadre de l’ANZ?
- ECCC n’approuve pas de projets. ECCC fournit des examens techniques des projets, donne des conseils quant aux estimations de réductions de GES, et relève les préoccupations environnementales.
- Les projets soumis à l’examen d’ECCC comprennent ceux de plusieurs secteurs industriels pour lesquels le ministère dispose d’une expertise réglementaire et technique, tels que la production de produits chimiques, le traitement des minéraux et des métaux, l’acier et le ciment, la pâte à papier et les biocarburants.
- Bien que l’examen des projets soit axé sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, les examens sectoriels d’ECCC permettront de signaler aux responsables d’ISDE tout impact environnemental néfaste qu’un projet proposé pourrait avoir au cours de sa construction ou de son exploitation.
- En outre, ECCC participe à plusieurs organismes consultatifs dans le cadre du FSI ce qui donne au ministère des occasions de fournir des conseils techniques sur les propositions reçues dans le cadre du Fonds.
- Le ministre de l’Environnement et du Changement climatique, sur l’avis d’ECCC, fournit des lettres de consentement à ISDC pour les projets qui exigent l’approbation du Cabinet. Ces lettres signalent le soutien d’ECCC pour qu’ISDC amorce les négociations et puisse conclure les modalités des ententes avec les demandeurs. Ce soutien n’est pas équivalent à l’approbation définitive de projets spécifiques ou d’investissements.
Q7. Comment ECCC surveille-t-il la qualité de son soutien à l’ANZ?
- Le succès d’ECCC dans son soutien à l’ANZ est mesuré par la fourniture en temps utile à ISDE d’examens de projets permettant de prendre en compte les aspects liés aux GES et à l’environnement dans la prise de décision. ECCC évalue les propositions soumises au Fonds en fonction du potentiel de réduction des émissions directes de GES, du respect des normes d’estimation des réductions d’émissions de GES et d’autres préoccupations environnementales.
- ECCC a soumis plus de 150 évaluations à ISDE, en examinant souvent les projets plusieurs fois au fur et à mesure que de nouvelles informations sont disponibles. Le succès d’ECCC est déterminé en veillant à ce qu’ISDE dispose des informations relatives aux réductions estimées de GES et aux préoccupations environnementales dont elle a besoin pour prendre des décisions éclairées sur les recommandations de financement faites au comité d’examen des investissements et aux cadres supérieurs d’ISDE, qui s’alignent sur les objectifs de réduction des émissions de l’ANZ.
- Les efforts d’ECCC ont influencé des décisions telles que le choix des technologies dans lesquelles investir et la nécessité d’exiger des documents de conception plus avancés pour les projets plus importants et plus complexes avant l’exécution des ententes de contribution. ECCC a également validé les estimations de réduction des émissions de gaz à effet de serre fournies par les demandeurs.
Q8. ECCC a-t-il déjà contesté un projet dans le cadre de l’ANZ?
- Oui, ECCC a fait preuve de diligence raisonnable en veillant à ce que les avantages des projets sur le plan des gaz à effet de serre et de l’environnement soient compris avant que les décisions de retenir les projets ne soient prises. Pour les projets dont il est prévu que les avantages en matière de GES et d’environnement devraient être faibles, ECCC s’assure que l’ISDE est conscient des problèmes et qu’il en tient compte lorsqu’il informe les décideurs.
- ECCC a remis en question des projets qui n’entraînaient pas de réductions supplémentaires des GES et qui investissaient dans des technologies non conformes aux ambitions climatiques du Canada, telles que la récupération assistée du pétrole.
- ECCC a contesté des projets qui n’étaient pas suffisamment avancés pour permettre une comptabilisation raisonnable et précise des GES, en demandant au demandeur de fournir des informations plus détaillées afin que le ministère puisse être convaincu que le projet permettra probablement d’atteindre les réductions d’émissions déclarées.
- L’ISDE ne fait pas d’annonces publiques sur les projets rejetés au titre du FIS.
Q9. Quel a été l’impact du fonds sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre au Canada?
- Mes collègues d’ISDE sont les mieux placés pour répondre à cette question.
- Tous les projets financés par le premier pilier de l’ANZ doivent soutenir des réductions directes d’émissions de GES au Canada, soit sur le site du projet, soit en aval de celui-ci. Toutes les demandes au titre du premier pilier, pour les projets qui réduisent les émissions de GES des grands secteurs émetteurs au Canada, fournissent au Fonds des informations détaillées qui permettent de quantifier la réduction des émissions.
- Pour les piliers 2 et 3, les réductions d’émissions de GES proviennent de l’achat et de l’utilisation par d’autres entreprises de technologies fabriquées par le demandeur, telles que les batteries. Dans ces cas, nous prévoyons des avantages sur le plan de GES en aval du projet, car la technologie est utilisée pour remplacer des technologies plus émettrices (par exemple, les véhicules électriques remplacent les véhicules à moteur à combustion). Ces avantages sur le plan de GES en aval sont beaucoup plus complexes à évaluer et dépendent de variables qui peuvent ne pas être connues avant la construction d’un projet. Ces avantages liés aux GES ne sont donc quantifiés que pour les projets où l’utilisation du produit suit directement la production, comme l’utilisation immédiate d’une technologie de capture et de stockage du carbone une fois qu’un producteur l’a fabriquée.
Q10. Le Fonds a-t-il soutenu des projets menés par des Autochtones?
- Les collègues d’ISDE sont mieux placés pour dire si des projets ont été menés à ce jour par des organisations dirigées par des Autochtones ou des Premières Nations. ECCC n’examine pas le type de demandeur dans le cadre de l’évaluation des projets.
Q11. L’ANZ a obtenu des résultats modérés en ce qui concerne la réduction des émissions de gaz à effet de serre par rapport à l’argent investi. Pourquoi?
- Les projets de l’Accélérateur Net Zéro sont évalués en fonction de critères autres que les réductions quantifiables d’émissions de gaz à effet de serre. Au-delà de la décarbonisation des grands émetteurs canadiens, le Fonds a également des exigences fondamentales pour aider les industries établies à passer à l’économie nette zéro, pour aider à développer de nouvelles technologies propres et pour développer un écosystème de batteries au Canada.
- Par exemple, l’ANZ a investi dans Svante, un producteur canadien de technologie de captage du carbone. L’investissement aidera Svante à développer et à commercialiser sa nouvelle technologie de captage du carbone à faible coût. Bien que le projet ne se traduise pas par des réductions directes d’émissions dans le cadre des activités de Svante, il contribuera à offrir de nouvelles options de décarbonisation à d’autres entreprises au Canada.
- En raison d’investissements comme celui de Svante, nous ne pouvons pas juger le rendement du programme exclusivement sur le coût des réductions d’émissions de GES au cours des cinq prochaines années, jusqu’en 2030. Le gouvernement doit aussi considérer le rôle de l’ANZ dans le soutien de notre transition vers une économie nette zéro.
Membres du Comité permanent
Président
Affiliation politique : Libéral
Circonscription : Lac-Saint-Louis
Province / Territoire : Québec
Langue préférée : Anglais
Francis a fait une priorité personnelle de la protection des eaux douces du Canada. C’est dans ce but qu’il a déposé à la Chambre des communes plusieurs motions et projets de loi liés aux plans et cours d’eau. Sur le plan législatif, il a présenté des projets de loi visant à interdire les exportations d’eau en vrac, à interdire le déversement de déchets miniers toxiques dans les plans d’eau et à améliorer le processus d’élaboration des lignes directrices du Canada sur l’eau potable. Il a également été à l’origine d’une étude approfondie du Comité de l’environnement de la Chambre des communes concernant l’impact des sables bitumineux sur les ressources hydriques du Canada, et il est l’auteur de La dimension cachée : l’eau et les sables bitumineux, le rapport de la députation libérale qui a fait suite à cette étude.
Francis est président du Comité permanent de l’environnement et du développement durable de la Chambre des communes. Depuis qu’il a été élu pour la première fois, il a également siégé aux comités suivants de la Chambre : Sécurité publique et nationale (vice-président), Transports, Patrimoine canadien, et Opérations gouvernementales et précisions budgétaires. Il a également été président du Comité spécial sur la réforme électorale de la Chambre des communes.
Francis a été l’un des membres fondateurs du Comité parlementaire des soins palliatifs et des soins de compassion, formé de députés de tous les partis. À ce titre, il a organisé et présidé des audiences tenues à Montréal à l’automne 2010, au cours desquelles ont été entendus des témoignages qui ont mené au rapport du Comité intitulé Avec dignité et compassion : Soins destinés aux Canadiens vulnérables.
Leader reconnu parmi ses collègues, Francis a longtemps occupé le poste de président élu du Caucus libéral national (2011 à 2021).
Avant d’être élu au Parlement, Francis a occupé pendant plus de dix ans le poste d’attaché politique principal de son prédécesseur, Clifford Lincoln. Il avait auparavant enseigné l’administration des affaires au Collège Dawson de Montréal. Avant de devenir enseignant, il a travaillé plusieurs années dans le secteur privé, notamment à titre d’analyste financier en entreprise.
Francis est titulaire d’un baccalauréat en économie de l’Université McGill et d’un diplôme de maîtrise décerné par l’Université Columbia de New York. Il a également obtenu ultérieurement une maîtrise en administration des affaires, décernée par l’Université Concordia. Francis et sa conjointe Jan sont les parents de deux filles.
Vice-président
Affiliation politique : conservateur
Circonscription : Dauphin-Swan River-Neepawa
Province / territoire : Manitoba
Langue de préférence : Anglais
Dan et sa femme Leigh cultivent des céréales, des oléagineux et des cultures spécialisées près de Justice, au Manitoba. Son expérience agricole comprend également l'élevage de bovins, de moutons et de volailles. Ils ont deux enfants adultes qui vivent à Melfort, en Saskatchewan, et à Winnipeg, au Manitoba.
Depuis 2015, Dan est président de Keystone Agriculture Producers (KAP), après avoir été vice-président pendant quatre ans. Avant cela, Dan a occupé un poste au sein de KAP de 2001 à 2006. Il a été l'un des membres fondateurs du comité des jeunes agriculteurs de KAP et le représentant de l'ouest du Canadian Young Farmers Forum. À l’échelle nationale, Dan a représenté KAP au conseil d'administration de la Fédération canadienne de l'agriculture et a participé à plusieurs journées de plaidoyer sur la Colline du Parlement.
De plus, Dan a servi sa communauté en tant que conseiller scolaire pour la Rolling River School Division, et en tant que membre du conseil d'administration de la Manitoba Sustainable Energy Association, du Assiniboine River Basin Initiative (ARBI). Dan est également l'un des membres fondateurs de l'Elton Energy Co-operative, une initiative provinciale en matière d'énergie renouvelable.
Dan est diplômé du programme d’agriculture de l'Université du Manitoba (1984) et a été honoré par la faculté en 2013 avec un certificat de mérite pour ses contributions dans l'industrie agricole. Il est titulaire d'un certificat en tant que mécanicien de centrales et a travaillé dans l'industrie des engrais pendant 17 ans. Il a également travaillé pour MNP ainsi que pour la Manitoba Farm Mediation Board.
Le 21 octobre 2019, Dan Mazier a été élu député de Dauphin-Swan River-Neepawa et a été réélu le 20 septembre 2021. En octobre 2022, Pierre Poilievre a nommé Dan Mazier à son cabinet fantôme en tant que ministre fantôme du Développement économique et rural de la Connectivité.
Source : https://dauphinswanriverneepawa.conservativeeda.ca/about-dan-mazier/
Vice-présidente
Affiliation politique : Bloc Québécois
Circonscription : Repentigny
Province / Territoire : Québec
Langue préférée : Français
Monique Pauzé a su très tôt dans sa vie qu’elle voulait lutter contre les iniquités sociales et défendre les intérêts du Québec, des combats inachevés pour lesquels elle ne baisse pas les bras. Étant jeune, la députée bloquiste a enseigné au primaire pendant 20 ans où elle s’est appliquée à sensibiliser ses élèves à la protection de l’environnement, une cause pour laquelle elle se bat encore aujourd’hui. De 1995 à 2013, Monique Pauzé a acquis une vaste expérience dans le milieu syndical où elle a été coordonnatrice à l’action sociopolitique et présidente du Syndicat de Champlain avant de devenir commissaire pour la Commission spéciale sur le renouveau syndical à la CSQ. En plus de rédiger et présenter le mémoire du syndicat aux États généraux sur l’éducation, fait la formation des délégués sur la nouvelle Loi sur l’Instruction publique, elle a également eu comme mandat de sensibiliser les membres du syndicat sur le néolibéralisme et ses impacts sur l’éducation.
Féministe elle s’est battue pour l’équité salariale et elle a réussi à faire reconnaître le droit des femmes à un salaire égal pour un travail équivalent. Engagée dans le milieu environnemental, elle a été vice-présidente de la Coalition Eau Secours de 2013 à 2015 et plus récemment, elle a participé aux États généraux sur la souveraineté en tant que commissaire au chantier « économie et souveraineté ».
UNE FEMME ENGAGÉE – Pour elle, servir les citoyens de sa circonscription est le prolongement naturel de ses engagements passés. À peine après son arrivée au pouvoir, la députée et ses collègues ont réussi à faire avancer plusieurs dossiers à Ottawa et continueront de le faire tant que le Québec ne sera pas indépendant. Nous pouvons donc conclure qu’aujourd’hui, avec la même ferveur qu’à ses premiers jours de militantisme, la députée Monique Pauzé poursuit les mêmes objectifs et travaille à améliorer le sort de ses concitoyens.
Membres
Affiliation politique : Libéral
Circonscription : Brampton-Centre
Province / Territoire : Ontario
Langue préférée : Anglais
Shafqat Ali est un entrepreneur couronné de succès ainsi qu’un fier mari et père de trois enfants. De ses humbles débuts à son histoire de réussite d’immigration inspirante, il a une compréhension personnelle de ce que cela signifie de lutter, de se battre et de réussir. En tant que représentant libéral de Brampton-Centre, M. Ali est résolu à se faire le porte-parole de notre collectivité à la Chambre des communes et s’efforcera avec diligence de vous assurer un meilleur avenir au Canada.
Shafqat Ali est un leader communautaire passionné qui croit fermement que tous les Canadiens devraient participer activement au processus démocratique, afin d’améliorer leur vie et celle de leurs concitoyens. En outre, M. Ali est animé d’un grand sens du service communautaire, comme il l’a démontré tout au long de ses 13 années de résidence et de bénévolat au sein de notre collectivité en tant que coordinateur et mentor pour la jeunesse. Il a notamment contribué à la création d’un club sportif pour les jeunes, ainsi qu’à l’organisation de festivals et de collectes de fonds pour les hôpitaux locaux, les banques alimentaires et diverses autres organisations communautaires. Monsieur Ali a également mené de nombreuses autres initiatives communautaires, notamment en plaidant avec succès pour l’aménagement d’un terrain de cricket sur le chemin White Clover, à Mississauga.
Aujourd’hui, en sa qualité de représentant libéral de Brampton-Centre, Shafqat Ali s’est engagé à faire entendre votre voix dans la capitale nationale, Ottawa, avec autant de passion, de dévouement et d’énergie. Monsieur Ali estime qu’il est en mesure de bien représenter notre collectivité dans son rôle de député, car il a une expérience personnelle des épreuves inattendues que la vie peut nous réserver. À l’âge de 10 ans, il a perdu tragiquement son père, qui était son mentor, son modèle et son meilleur ami. Sa mère a élevé son fils toute seule, en se heurtant aux difficultés d’être un parent seul. Cela lui a permis de se forger une très épaisse carapace, un haut niveau de résilience, ainsi qu’une passion pour l’apprentissage et l’épanouissement. Shafqat Ali s’est servi de ces atouts pour se perfectionner et mûrir, et pour finalement s’installer au Canada, ce qu’il a fait muni d’une petite valise et d’un très grand rêve : réussir dans ce magnifique pays où les occasions ne manquent pas et où il fait bon vivre en communauté.
Monsieur Ali est conscient des formidables possibilités qu’offre le Canada, mais il est également capable de reconnaître et de comprendre les difficultés qu’éprouvent un immigrant en difficulté, une mère célibataire ou un étudiant universitaire incapable de payer ses frais de scolarité. C’est grâce à ses expériences personnelles, aux épreuves qu’il a surmontées, à son engagement continu au sein de la collectivité et à ses qualités de leader qu’il parviendra à changer les choses au sein de notre collectivité. En tant que député, Shafqat Ali se consacrera entièrement à faire prospérer Brampton-Centre et à assurer un meilleur avenir pour le Canada.
Affiliation politique : Libéral
Circonscription : Pontiac
Province / Territoire : Québec
Langue préférée : Français / Anglais
Fonctionnaire de longue date, 8 fois marathonienne et fiscaliste internationale, Sophie Chatel est née à Montréal. Puis, elle a habité dans différentes régions du Québec avant d’arriver à Pontiac avec sa famille en 2002. Après les élections de septembre 2021, Pontiac a élu Sophie comme première femme à représenter la circonscription.
Madame Chatel a fréquenté la faculté de droit de l’Université de Montréal de 1991 à 1994 et a obtenu une maîtrise en fiscalité de l’Université de Sherbrooke en 1997. En plus d’être diplômée du barreau, Mme Chatel est devenue comptable professionnelle agréée (CPA) en 2000. Après avoir travaillé comme fiscaliste pour plusieurs cabinets comptables et cabinets d’avocats à travers le Québec, elle s’est jointe à la Direction des décisions anticipées de l’Agence du revenu du Canada en 2002. En s’installant dans le quartier de Limbour à Gatineau, Mme Chatel a également découvert la beauté naturelle et la diversité culturelle de sa circonscription. Passionnée de randonnée, de course, de ski et de cyclisme, elle a conquis tous les sentiers du parc de la Gatineau – été comme hiver, tandis que les camps scouts l’ont amenée de Low à Otter Lake, en passant par Fort-Coulonge et Sheenboro. Au sein du mouvement scout, Mme Chatel a développé une passion pour le conte, en écrivant des légendes fantastiques qui donneraient encore la chair de poule à de jeunes louveteaux devenus adultes.
Dans le monde des adultes au sein de la fonction publique, Sophie Chatel a alterné entre des postes de plus en plus élevés à la Direction générale de la politique législative et à la Direction des appels, avant un long mandat au sein du ministère des Finances où elle a occupé le poste de négociatrice principale des conventions fiscales. En 2017, Mme Chatel rejoint l’Organisation de coopération et de développement économiques (l’OCDE) à Paris où elle dirige l’unité Conventions fiscales et dirige un groupe de travail composé de 136 pays. Elle a collaboré avec des délégués internationaux, des universitaires de renom, des économistes et des experts fiscaux de diverses organisations internationales, notamment l’Organisation des Nations Unies (ONU), l’OCDE, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), ainsi qu’avec les directeurs de fiscalité des plus grandes entreprises multinationales. L’un des défis épineux de l’ère 2017 à 2021 fut d’adapter le cadre international de taxation aux géants du Web!
En mai 2021, Sophie Chatel est brièvement revenue au ministère des Finances pour diriger la rédaction de la Loi canadienne sur la taxation des services numériques. Le 9 août 2021, Mme Chatel a quitté la fonction publique pour se présenter comme candidate libérale aux élections fédérales dans sa circonscription. Bien que Mme Chatel ait laissé de nombreux collègues et amis derrière elle, elle s’est sentie interpellée par le défi de notre génération : les changements climatiques.
En se retroussant les manches pour représenter les différentes communautés de Pontiac, Mme Chatel mettra en pratique les devises du mouvement scout et de l’OCDE : « toujours prêt! » et « des politiques meilleures pour une vie meilleure ».
Affiliation politique : NDP
Circonscription : Victoria
Province / Territoire : Colombie-Britannique
Preferred Language : Anglais
Laurel Collins est députée de Victoria depuis 2019. Elle est porte-parole du NPD pour Environnement et Changement climatique Canada, ainsi que porte-parole adjointe pour le ministère de la Famille, des Enfants et du Développement social.
Laurel est reconnue comme une championne du climat à la Chambre des communes et s’est battue pour promouvoir des mesures audacieuses pour lutter contre les changements climatiques et pour la création d’emplois de qualité dans une économie à faibles émissions de carbone. Elle milite également pour une approche axée sur la santé concernant la crise des drogues toxiques, pour les droits des peuples autochtones et pour trouver des mesures concrètes pour faire face à la crise de logements abordables à Victoria.
En tant que conseillère municipale de Victoria, elle a mené avec succès des initiatives pour accélérer la mise en œuvre du Climate Leadership Plan de la ville, pour renforcer les politiques en matière de logements abordables et pour la protection de la forêt urbaine. Avant d’entrer en politique, Laurel a cofondé Divest Victoria, une organisation promouvant l’investissement responsable, pour laquelle elle a reçu le Victoria Communicty Leadership award dans la catégorie développement durable et communautaire. En tant que professeure à l’Université de Victoria, elle a donné des cours sur l’étude de la justice sociale, la sociologie politique, les inégalités sociales et la sociologie du genre.
Laurel a consacré sa vie à défendre la justice sociale et environnementale et s’engage à poursuivre ce travail afin de garantir une planète viable pour les générations futures. Elle vit à Victoria avec son partenaire James et leur fille Alora.
Affiliation politique : Conservateur
Circonscription : Louis-Saint-Laurent
Province / Territoire : Français
Langue préférée : French
Né à Québec en 1964, fils de Guy Deltell, représentant, et de Paule Ponzelli, secrétaire de direction d'études.
Étudia à l'École primaire Saint-Léger à Loretteville de 1970 à 1976 et à l'École secondaire Mont Saint-Sacrement de 1976 à 1981. Suivit un cours d'annonceur au Collège des annonceurs radio télévision en 1982. Obtint un diplôme d'études collégiales en sciences humaines du Cégep de Sainte-Foy en 1984 et étudia en histoire à l'Université Laval jusqu'en 1989. Suivit un cours d'annonceur à l'École de radio et de télévision ProMédia en 1986. Titulaire d'un brevet de pilote d'avion ultraléger depuis 2005.
Journaliste aux réseaux de télévision TQS, SRC et TVA de 1989 à 2008. Fut également chroniqueur à différentes stations de radio ainsi que conférencier de 2003 à 2008. Animateur et chargé de projet à l'Assemblée nationale du Québec en 1988 et en 1989, puis à l'automne 2008.
Fut animateur scout en 1984 et fondateur de la Société d'histoire de Château-d'Eau-Loretteville en 1985. Président de la Tribune de la presse à l'Assemblée nationale du Québec en 2007.
Membre du Parti progressiste-conservateur du Canada (PPCC) en 1981. Président de l'association du PPCC dans la circonscription de Charlesbourg en 1982. Candidat défait aux élections municipales de 1985 à Loretteville. Adjoint législatif à la Chambre des communes en 1986 et en 1987. Élu député de l'Action démocratique du Québec dans Chauveau en 2008. Chef du deuxième groupe d'opposition du 19 novembre 2009 au 14 février 2012. Réélu sous la bannière de la Coalition Avenir Québec en 2012 et en 2014. Leader parlementaire du deuxième groupe d'opposition du 11 septembre 2012 au 5 mars 2014. Vice-président de la Commission de l'administration publique du 2 juin 2014 au 7 avril 2015, date de sa démission en tant que député.
Élu député du Parti conservateur du Canada dans Louis-Saint-Laurent en 2015. Réélu en 2019 et en 2021.
Reçut quatre prix Can-Pro soulignant l'excellence en télévision privée au Canada.
Source : https://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/deltell-gerard-17/biographie.html
Affiliation politique : Conservateur
Circonscription : Regina-Wascana
Province / Territoire : Saskatchewan
Langue préférée : Anglais
Michael Kram est le député conservateur de la circonscription de Regina—Wascana, un poste qu’il occupe depuis l’élection générale du 21 octobre 2019. Monsieur Kram siège au Comité des transports, de l’infrastructure et des collectivités de la Chambre des communes.
Il est né et a grandi à Regina, en Saskatchewan. Ses parents sont tous deux des enseignants à la retraite et ses grands-parents étaient des agriculteurs. Il est diplômé de l’école secondaire Dr Martin LeBoldus à Regina.
Michael Kram est titulaire d’un baccalauréat ès sciences avec une spécialisation en informatique et d’un baccalauréat ès arts avec spécialisation en économie. Il a obtenu ses deux diplômes à l’Université de Regina. Il a également étudié l’économie à l’Université Carleton d’Ottawa.
Avant d’être élu au Parlement, M. Kram a travaillé dans le secteur de la technologie de l’information. Il a travaillé dans le secteur privé à Calgary à la fin des années 1990 et pour le ministère de la Défense nationale à Ottawa au début des années 2000. Monsieur Kram a travaillé pendant de nombreuses années à titre de programmeur-analyste au sein d’une firme de consultation en technologie de l’information de Regina. Pendant cette période, il a élaboré des solutions logicielles pour des entités du secteur privé et du gouvernement.
Michael Kram a grandi et réside toujours dans le sud de Regina. Il est un participant actif de l’église St-Martin de Porres à Whitmore Park depuis de nombreuses années. Dans ses temps libres, il aime courir ainsi que regarder des films et le football.
Affiliation politique : Conservateur
Circonscription : Portage-Lisgar
Province / Territoire : Manitoba
Langue préférée : Anglais
Branden Leslie a été élu député de Portage—Lisgar, pour la première fois, le 19 juin 2023.
Il a consacré toute sa carrière à défendre les valeurs des régions rurales du Manitoba. Il a été conseiller au sein du gouvernement de Stephen Harper sur des questions clés liées, entre autres, au renforcement de la lutte contre la criminalité, à la protection des droits des propriétaires d’armes à feu et à la défense de nos agriculteurs. Il a défendu la cause des producteurs de céréales et a été un leader dans la lutte contre la taxe sur le carbone.
Branden sait comment défendre notre mode de vie rural parce qu’il l’a lui-même vécu. Il a grandi sur la ferme familiale, située au sud de Portage. Il a fréquenté le Portage Collegiate Institute et continue de vivre dans cette région aujourd’hui.
La priorité de Branden, en tant que député, est de protéger notre mode de vie rural. Il continuera de lutter contre la taxe sur le carbone, de défendre les agriculteurs et de protéger les droits des propriétaires d’armes respectueux de la loi.
Pendant ses temps libres, Branden cultive sa passion pour le sport. Qu’il regarde les Terriers de Portage, arbitre des matchs de hockey junior ou chausse ses patins pour participer à une partie de hockey amicale, il y a de fortes chances que vous le trouviez dans une patinoire. Il est également un fervent golfeur.
Branden et sa femme Cailey sont les fiers parents de leur fille, Maeve.
En tant que député, Branden se bat pour chaque communauté de Portage—Lisgar avec la passion et l’énergie que vous méritez.
Affiliation politique : Libéral
Circonscription : Guelf
Province / Territoire : Ontario
Langue préférée : Anglais / Français
En octobre 2015, Lloyd a été élu au Parlement en tant que candidat du Parti libéral du Canada pour Guelph, en Ontario. Lloyd a depuis été membre du Comité permanent de l'industrie, des sciences et de la technologie, membre du Comité permanent de l'agriculture et de l'agroalimentaire, vice-président du Comité permanent des comptes publics et membre du Comité permanent de l'environnement et du développement durable.
En plus de ses rôles au sein de comités, Lloyd a été président du Caucus parlementaire de la recherche en santé, il a présidé le Caucus de l'innovation, coprésidé le Caucus de l'automobile et a agi comme secrétaire du Caucus de l'Ontario. Il a également été un membre actif du caucus de l'innovation sociale, du caucus de la santé mentale ainsi que de plusieurs groupes parlementaires intergouvernementaux avec des pays comme l'Inde, l'Italie et des organisations comme l'OTAN.
Lloyd s'attache à collaborer localement à des priorités telles que l'environnement, le logement, la santé mentale, la réconciliation avec les Autochtones, l'apprentissage précoce, la garde d'enfants, l'entrepreneuriat et le développement économique.
Lloyd est au service de Guelph depuis 30 ans au sein d'organismes communautaires, dont 7 ans en tant que président de la Chambre de commerce de Guelph. Il a suivi une carrière réussie en tant que technologue en génie mécanique, travaillant dans le secteur manufacturier, allant de la création de sa propre entreprise à la collaboration avec des entreprises de tout le Canada pour améliorer leur productivité et leur compétitivité grâce à l'amélioration des processus d'automatisation et à l'innovation.
Lloyd est heureux en ménage avec Barb, son amour de lycée, depuis 1978. Ensemble, ils ont trois filles et quatre petits-enfants.
Affiliation politique : Libéral
Circonscription : Aurora—Oak Ridges—Richmond Hill
Province / Territoire : Ontario
Langue préférée : Anglais
Je suis née dans la région de York, où j'ai des racines profondes. Je vis actuellement à Aurora avec mon mari, Peter Roy. Ensemble, nous avons élevé six enfants et avons la joie d'avoir deux petites-filles.
J'ai grandi dans une famille qui vit toujours dans la région de York. Celle-ci a exercé et continue d’exercer dans la fonction publique. Des membres de ma famille sont impliqués, en tant que dirigeants et en tant que membres, dans de nombreux organismes de bienfaisance et à but non lucratif. Cet héritage m'a inspirée à devenir une députée dynamique, efficace et passionnée, prête à consacrer ma vie à votre service ainsi qu’à celui de nos communautés. En tant que députée, je défendrai avec vigueur vos intérêts à Ottawa, travaillant avec détermination au Parlement pour veiller à ce que les priorités d’Aurora—Oak Ridges—Richmond Hill soient entendues et prises en compte dès maintenant et pour les générations futures.
Je possède l’expérience nécessaire pour être une députée efficace pour Aurora—Oak Ridges—Richmond Hill. Mon parcours académique rigoureux et complet m’a bien préparée pour mes fonctions. Après avoir obtenu un diplôme en commerce à l’Université de Toronto, j’ai poursuivi mes études à l’Université Harvard où j’ai obtenu une maîtrise en politiques publiques avec une spécialisation en finance internationale et en développement. J’ai également suivi des cours au MIT de Sloan School of Business, à la Harvard Business School et à la Fletcher School of Law and Diplomacy.
Ma passion pour les politiques publiques et le monde des affaires m’a conduite à un poste à la Banque mondiale, où j’ai travaillé en analyse politique ainsi qu’au sein du Conseil du Trésor. De retour au Canada, j’ai rejoint la société d’experts-conseils en gestion internationale, McKinsey and Company, bureau situé à Toronto, où j’ai travaillé pour de grandes entreprises canadiennes de tous les secteurs de l’économie. Par la suite, je suis devenue vice-présidente exécutive de l’entreprise énergétique de la famille de mon mari.
Mon engagement envers la communauté va au-delà de la politique. Je suis fière d’avoir mis sur pied un organisme sans but lucratif qui s’est concentré à trouver des solutions pratiques pour soutenir les petites entreprises dans les pays en développement. Je soutiens activement de nombreux organismes de bienfaisance dans la région de York, notamment CHATS, Habitat for Humanity, Aurora Black History Association, CMHA, Inn from the Cold, Salaam Foundation, Heart and Stroke, Voices of Joy - a local choir for people of all abilities - York Regional Environmental Alliance, Oak Ridges Morraine Conservation, Community Living, et the Salaam Foundation. Les occasions de servir nos communautés et d’aider nos voisins sont infinies. Je vous encourage à trouver votre propre créneau.
Source : https://www.leahtaylorroymp.ca/about
Affiliation politique : Libéral
Circonscription : Milton
Province / Territoire : Ontario
Langue préférée : Anglais
Secrétaire parlementaire du ministre de l’Environnement et du Changement climatique
Adam van Koeverden a été élu pour la première fois député de Milton en 2019.
M. van Koeverden a précédemment exercé les fonctions de secrétaire parlementaire du ministre de la Santé et secrétaire parlementaire de la ministre des Sports et de secrétaire parlementaire de la ministre de la Diversité et de l’Inclusion et de la Jeunesse et du ministre du Patrimoine canadien (Sport).
M. van Koeverden est un leader communautaire dévoué et l’un des athlètes les plus accomplis du Canada. Il a représenté le Canada à quatre Jeux olympiques d’été, remportant une médaille d’or, deux médailles d’argent et une médaille de bronze. Il a été porte-drapeau du Canada à Athènes et à Beijing, et il a remporté en 2004 le trophée Lou Marsh, remis au meilleur athlète canadien.
Canadien de première génération, M. van Koeverden a grandi dans la Chautauqua Co-op à Oakville avec son frère cadet et sa mère. Il s’est joint au Burloak Canoe Club lorsqu’il était adolescent et est rapidement devenu l’un des meilleurs athlètes du Canada. En plus d’être un champion canadien, un champion olympique et un champion du monde, il a fait beaucoup de bénévolat pour des organisations comme Right to Play, WaterAid, Olympiques spéciaux Canada et la Fondation David Suzuki. M. van Koeverden défend fermement avec son père la cause de Parkinson Canada.
Avant de se lancer en politique, M. van Koeverden a travaillé comme conseiller en gestion chez Deloitte et comme diffuseur, rédacteur et producteur pour CBC Sports. Il a également été président de la Commission des athlètes olympiques canadiens et a été membre du groupe de travail du gouvernement du Canada sur l’équité des genres dans le sport. Dans le cadre de ces fonctions, il a promu la sécurité dans le sport et a lutté contre la violence fondée sur le sexe. Éminent conférencier, il s’est adressé à des dizaines de milliers d’étudiants dans des écoles de la région de Halton et de partout au Canada.
M. van Koeverden a obtenu un baccalauréat ès sciences en kinésiologie (avec distinction) de l’Université McMaster. Il habite à Milton avec Cairo, son chien.
Source : https://www.pm.gc.ca/en/parliamentary-secretaries/adam-van-koeverden
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