Sara L. Austin

Sara L. Austin
crédit photo : Leigha Graf Photography

En tant que fondatrice et directrice générale de Les enfants d’abord Canada, Sara est à la tête d’un mouvement national visant à faire du Canada le meilleur endroit au monde où les enfants peuvent grandir.

Elle a mené des campagnes très réussies de revendication, de sensibilisation du public et philanthropie qui ont connu un grand succès, et elle a façonné d’importantes politiques publiques qui ont eu un véritable impact sur la vie de millions d’enfants. Elle a notamment mené une campagne de portée mondiale qui a conduit à l’adoption d’un protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l’enfant établissant une procédure de présentation de communications, des Nations Unies. Cette loi révolutionnaire permet aux enfants ou à leurs ambassadeurs de tenir les gouvernements responsables des violations commises à l’encontre des droits des enfants et est actuellement utilisée par Greta Thunberg et 16 de ses pairs dans le cadre d’une plainte contre leurs gouvernements concernant leurs droits à la survie et à un avenir durable.

Sara a participé à la création de la Charte canadienne des enfants – un plan par les enfants, pour les enfants – et du rapport annuel Élever le Canada, qui met en lumière les 10 principales menaces qui pèsent sur l’enfance. Elle a également participé au lancement du Parlement des jeunes Canadien(ne)s.

Sara a été PDG du Sheldon Kennedy Child Advocacy Centre, directrice du bureau de la présidence de Vision mondiale Canada et membre du Conseil consultatif mondial de l’ONU sur la violence contre les enfants.

Sara a été récompensée à deux reprises par le prix « Top 25 Women of Influence » (Les 25 femmes ayant le plus d’influence), et en 2017, elle a été la plus jeune personne à être intronisée dans le « Top 100 Most Powerful Women Hall of Fame » (Panthéon des 100 femmes les plus puissantes).

Sara est titulaire d’un baccalauréat spécialisé en développement international et en études féminines de l’université de Dalhousie et d’une maîtrise avec distinction en droit international des droits de la personne de l’université d’Oxford.

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