Au sujet de La Feuille d’érable

Au sujet de La Feuille d’érable

Transcription

La feuille d’érable, un symbole de notre pays et une tradition à la défense, est maintenant située sur Canada.ca!

La feuille d’érable – on continue de partager les histoires à propos de l’équipe de la défense du Canada.

La Feuille d’érable se trouve maintenant sur Canada.ca

Les membres de l’Équipe de la Défense nous ont suggéré des façons d’améliorer La Feuille d’érable, et nous les avons écoutés.

Depuis que La Feuille d’érable est devenue une publication numérique en 2017, nous avons suivi les commentaires des lecteurs, étudié les tendances des sites de nouvelles en ligne et examiné les préoccupations concernant l’accessibilité du site. En somme, vous souhaitiez que La Feuille d’érable soit hébergée sur un site plus convivial.

Eh bien, nous avons trouvé ce site!

Avec une fonction de recherche intuitive, une plus grande flexibilité pour la présentation des récits de la Défense et un système de soutien plus stable, Canada.ca est tout indiqué pour permettre à notre revue d’actualités de grandir et de s’épanouir. Regardez notre vidéo qui décrit les principales améliorations apportées à La Feuille d’érable en réponse à vos commentaires.

Nous avons aussi amélioré l’accessibilité du site en réduisant le temps de chargement des pages après avoir réglé les conflits qui survenaient avec le RED.

Si vous êtes un membre de l’Équipe de la Défense et que vous avez une histoire à raconter, nous voulons la publier! Consultez nos Lignes directrices pour la soumission et écrivez‑nous à communications internes pour obtenir de plus amples renseignements.

Qu'est-ce que La Feuille d'érable?

La Feuille d’érable est la source en ligne d’articles sur les Forces armées canadiennes (FAC) et le ministère de la Défense nationale (MDN). Nous y publions des renseignements sur les opérations et les exercices récents, la rémunération et les avantages sociaux, la santé et le bien-être, les nouvelles initiatives, les changements apportés aux politiques qui touchent l’Équipe de la Défense, de même que des articles d’intérêt général portant sur les membres des FAC et les civils qui les appuient.

Publiée à l’origine durant la Deuxième Guerre mondiale pour renseigner et divertir les troupes canadiennes en déploiement outre-mer, La Feuille d’érable s’est constamment adaptée au paysage médiatique changeant. En 2017, nous avons adopté une plateforme exclusivement numérique; le dernier numéro papier du journal est paru en juillet 2017.

La Feuille d’érable a une longue et riche histoire.

On invite les membres de l’Équipe de la Défense à présenter des articles aux fins de considération. Vous pouvez consulter les lignes directrices ici.

Renseignez-vous davantage sur l’histoire de La Feuille d’érable

Les origines de La Feuille d’érable

« C’est le genre de phrase qui mène à l’ouverture d’un ouvrage : c’est comme si c’était hier. Mais, évidemment, puisqu’il y a maintenant plus de 40 ans depuis la fondation du journal de l’Armée canadienne, La Feuille d’érable, ce n’est pas du tout comme si c’était hier.

Puisqu’hier, c’était une journée plaisante, joyeuse, familière et relativement paisible. Et pourtant, le jour où le premier exemplaire de La Feuille d’érable est sorti en chancelant d’une imprimerie abîmée de Naples, en Italie, à savoir le 14 janvier 1944, ce jour-là n’était ni plaisant ni joyeux, il n’était en rien familier et n’était absolument pas paisible. »

Major J. Douglas MacFarlane (1987)

Les membres du personnel de La Feuille d'érable vérifient le journal qui vient de sortir de la presse.

L’histoire de La Feuille d’érable remonte à 1943, lorsque le ministre de la Défense nationale, le colonel James Layton Ralston, a rendu visite à des soldats canadiens en Italie. Il se préoccupait des besoins des troupes, dont les principales priorités à l’époque étaient axées sur la livraison plus rapide du courrier et l’envoi d’un plus grand nombre de nouvelles du pays.

Bien que l’amélioration du service de courrier soit réalisable, l’envoi de nouvelles du Canada allait constituer un projet de taille. Les propositions initiales, à savoir l’envoi de journaux locaux au front ou l’expédition par avion des nouvelles de la Presse canadienne aux fins d’impression en Italie, ont été jugées difficilement applicables ou lentes. Le moment était donc venu d’établir un journal pour l’Armée canadienne.

Le col Ralston a confié à son secrétaire d’état-major, le lieutenant-colonel Richard « Dick » Malone, la tâche de préparer la publication. Le lieutenant-colonel Malone a accepté, sous réserve de certaines conditions : en premier lieu, le journal devait être publié et distribué au quotidien avec les vivres; en deuxième lieu, le journal devait jouir d’une liberté éditoriale et ne devait être tenu à aucune obligation directe de la chaîne de commandement ou du gouvernement. En retour, il a convenu de ne pas publier d’opinions sur des questions nationales ou des problèmes militaires internes pouvant influer sur le moral.

La Feuille d’érable est née.

Le major J. Douglas MacFarlane, ancien journaliste et rédacteur en chef du Windsor Daily Star et du Toronto Star, a été nommé directeur de rédaction du nouveau journal. Il lui incombait alors de trouver une imprimerie, des fournitures, du personnel et du matériel. Le premier numéro a paru le 14 janvier 1944, à Naples, en Italie, moins de dix jours après que ce dernier avait entamé ses recherches.

Au début février, La Feuille d’érable publiait déjà chaque jour un numéro et en distribuait plus de 10 000 copies par voie terrestre, aérienne et maritime aux troupes canadiennes cantonnées en Méditerranée. Cependant, l’histoire du périodique ne venait que de commencer.

La Feuille d’érable en Méditerranée

Les artilleurs du Régiment royal de l'Artillerie canadienne prennent pause pour lire ensemble un nouveau numéro de La Feuille d'érable. Photo : Bibliothèque et Archives Canada.

Pour constituer le personnel de La Feuille d’érable à Naples, on a recruté des membres de l’Armée qui avaient une expérience en journalisme. Certains militaires se sont portés volontaires, comme le sergent W. G. « Bing » Coughlin, qui a demandé aux responsables du tout nouveau journal s’ils avaient besoin d’un bédéiste. Les premiers numéros ne renfermaient pas d’illustrations; on ne disposait pas du zinc nécessaire à la fabrication de gravures. Ainsi, jusqu’à ce que l’Armée puisse fournir le matériel nécessaire, le personnel du journal approchait les directeurs de funérailles de la région pour réquisitionner des plaques de zinc provenant de l’intérieur des cercueils.

En outre, d’autres difficultés sont survenues : des rats ont rongé les fournitures, des bombes ont causé des pannes de courant, des officiers italiens ont utilisé comme abri antiaérien la salle des impressions, et les Allemands, s’étant récemment retraités, ont tenté de paralyser les presses en volant les « E » des caractères mobiles utilisés pour l’impression du journal. Néanmoins, La Feuille d’érable était imprimée au quotidien, peu importe les moyens requis. Il n’était pas rare de voir la distribution du journal effectuée à l’aide d’une mule.

Après que Rome est tombé aux mains des Alliés le 4 juin 1944, l’équipe du journal était prête à déménager. Un groupe précurseur du personnel s’est précipité à la ville pour trouver un nouvel emplacement. L’équipe s’est installée à la pensione Jaccarino, située directement en face du cercle des journalistes étrangers de Rome, et là, elle a été confrontée à beaucoup moins de problèmes. Le personnel travaillait jusqu’en soirée à remplir les pages du numéro du lendemain matin de lettres, d’histoires et de bandes dessinées. Le matériel provenait d’agences de presse, de syndicats de la presse canadienne et de dépêches de correspondants de guerre. Par ailleurs, des journalistes se rendaient régulièrement au front, à tour de rôle, pour rédiger des articles sur les efforts de guerre.

Pendant ce temps, le lieutenant-colonel Dick Malone avait établi des journaux complémentaires à Caen, en France, de même qu’à Londres, pour servir le front occidental. À la suite de l’association des forces italiennes et occidentales au printemps 1945, les journaux de Rome et de Caen ont été fusionnés pour créer la publication de Bruxelles. C’est La Feuille d’érable de Bruxelles qui allait continuer à renseigner et à inspirer les troupes canadiennes jusqu’à la fin de la guerre et au-delà.

La Feuille d’érable au front occidental

Le lieutenant-colonel Dick Malone (à gauche) aide à ériger le signe au bureau de rédaction de La Feuille d'érable à Caen, en juillet 1944. Photo : Bibliothèque et Archives Canada.

La deuxième édition de La Feuille d’érable a été mise sur pied en juillet 1944, à peine quelques mois après le Débarquement en Normandie et le début de la libération de la France. La ville de Caen, où l’édition occidentale avait initialement été établie, était toujours la cible de tirs d’obus actifs au moment où les activités journalistiques avaient été entamées; le personnel du journal devait constamment se mettre à l’abri sous les tables de travail.

Par ailleurs, l’impression de La Feuille d’érable de Caen était soumise à d’autres problèmes. L’imprimerie comme telle étant rudimentaire, les mécanismes d’impression présentaient constamment des obstacles. Des sections du journal étaient imprimées à l’envers, des images étaient mal imprimées et finissaient par ressembler à des taches noires indéchiffrables, et souvent, des pièces de la presse fonctionnaient mal ou pas du tout. Néanmoins, pendant trois mois, les imprimeurs de La Feuille d’érable n’ont pas abandonné durant la période reconnue de tous comme étant la pire traversée par le journal durant la guerre.

L’avancée au front occidental a permis au journal de s’installer à Bruxelles en septembre, cette année-là. C’est avec soulagement que le personnel de La Feuille d’érable a adopté l’imprimerie ultramoderne du journal Le Soir; les nouvelles ressources ont permis d’accroître l’efficacité du processus d’impression. Même si les conditions à Naples et à Rome n’étaient pas aussi déplorables qu’à Caen, le personnel de l’édition méditerranéenne était heureux d’exploiter l’imprimerie belge, après la réunion des forces italiennes et occidentales et la fusion des éditions, en mars 1945.

C’est l’édition de Bruxelles qui a annoncé en un seul mot la fin de la guerre en Europe : le mot « KAPUT » avait été imprimé en grosses lettres à la une. En outre, elle a proclamé la fin de la guerre dans le Pacifique en publiant à la une « C’est fini! ». Cependant, l’histoire de La Feuille d’érable, quant à elle, ne prenait pas encore fin.

La Feuille d’érable à Londres

L'Unité de film et de photographie de l'Armée canadienne tournant un film sur la production de l'édition de Londres de La Feuille d'érable, le 7 juin 1945

La troisième édition de La Feuille d’érable a été établie à Londres en juillet 1945, afin de servir les soldats canadiens qui traversaient constamment la ville après la fin de la guerre en Europe.

Dès le début, la publication du journal de Londres a été beaucoup plus aisée que celle des autres éditions de La Feuille d’érable. Des agences de presse, telles Reuters, la British United Press, la Press Association et la Presse canadienne, assuraient la correction d’épreuves, et le journal pouvait choisir parmi des photographies de classe mondiale d’une variété d’organismes ou de sources de l’Armée, de la Marine et de la Force aérienne du Canada. Par ailleurs, il employait des rédacteurs au Canada, en Europe et à la base d’entraînement à Aldershot, en Angleterre.

Des clavistes civils du London Evening Standard s’occupaient de l’impression, à l’aide d’équipement à la fine pointe de la technologie. Le Standard veillait aussi à la distribution quotidienne du journal. Et, bien que l’on reconnaisse le désespoir des civils anglais travaillant pour La Feuille d’érable à l’égard des normes différentes en matière de mise en page, de correction d’épreuves et d’épellation, la relation professionnelle avec ces derniers était amicale.

Le personnel de La Feuille d’érable était majoritairement constitué d’hommes. La soldat Dorothy Sage, de l’édition de Londres, était l’une des trois seules femmes à apporter régulièrement des contributions au journal. Embauchée comme commis/dactylographe, elle s’est bientôt retrouvée à repriser des bas, à faire du café, à cuisiner, à nettoyer, de même qu’à fournir des alibis pour certains membres du personnel lorsqu’entraient des appels de femmes à la recherche de ces derniers. Néanmoins, elle a trouvé le travail saisissant et l’atmosphère intéressante. De plus, elle a rédigé une rubrique relatant ses expériences dans l’un des derniers numéros de l’édition de Londres.

En février 1946, lorsque la grande partie des membres de l’Armée canadienne rentrait au bercail, La Feuille d’érable de Londres a cessé ses activités. Seule l’édition européenne demeurait pour continuer de servir les troupes toujours en déploiement à l’étranger.

Chroniques et couverture de La Feuille d’érable du temps de la guerre

Artilleurs du 12e régiment d’artillerie de campagne, du Régiment royal de l'Artillerie canadienne, avec le numéro victoire de la Feuille d'érable à Aurich, en Allemagne, le 20 mai 1945. Photo : Bibliothèque et Archives Canada.

La Feuille d’érable a toujours eu pour objet de renseigner et de divertir les troupes de l’Armée canadienne. À cette fin, elle a publié un certain nombre de chroniques régulières, dont le ton pouvait parfois être sérieux aussi bien qu’amusant, tout en tenant compte des préoccupations des militaires.

De toute évidence, la pierre angulaire de la couverture de La Feuille d’érable était les nouvelles relatives au Canada et aux premières lignes canadiennes. Les nouvelles du pays visaient à maintenir le rapport des troupes avec le Canada, tandis que les nouvelles portant sur la ligne de front, outre fournir aux soldats un aperçu de la vue d’ensemble, permettaient de remonter le moral de ces derniers. Ceux qui lisaient fréquemment le périodique attendaient impatiemment de voir une référence à leur unité en texte imprimé, et il n’était pas rare pour eux de harceler le personnel pour connaître la date de publication d’un article promis. Comme on pouvait s’y attendre, cela posait problème pour les responsables de la censure qui essayaient souvent de supprimer les références à des unités précises, à leurs positions ou à leurs réalisations, des faits qui constituaient la substance de ces articles.

Dès mai 1944, La Feuille d’érable a décidé de consacrer une rubrique à la poésie, où étaient présentés les couplets de soldats. Le périodique recevait un si grand nombre de poèmes que la tâche de les trier rapidement est devenue une punition pour le personnel de la salle de rédaction. Par ailleurs, le journal publiait une chronique rédactionnelle de questions et réponses traitant des problèmes de l’après-guerre. Cette chronique s’est avérée tellement populaire que le journal s’est mis à solliciter l’opinion des hommes dans les tranchées relativement à diverses questions connexes, entre autres : l’utilité de l’entraînement de l’Armée dans la vie civile, les organisations pour les vétérans et la dépense du paiement de gratification. Le journal a publié les réponses de ces derniers dans une série de six semaines débutant en octobre 1944. En mars 1945, celle-ci a été remplacée par une tribune libre, qui permettait pour la première fois aux soldats de poser leurs propres questions qui seraient publiées.

Le chef du service photographique, Les Callan, faisait des esquisses et rédigeait de courts profils sur les soldats canadiens qui donnaient le dernier coup vers l’Allemagne; des bédéistes illustraient les articles et créaient des bandes dessinées comme This Army, Herbie et Monty and Johnny, qui paraissaient aux côtés de bandes dessinées sous licence populaires, par exemple Li’l Abner, Our Boarding House et Blondie. Des photos de pin up se trouvaient régulièrement dans les pages du journal. Bien qu’il s’agisse d’une pratique commune à l’époque, celle-ci serait considérée aujourd’hui comme étant entièrement inappropriée. Le journal tenait aussi un concours de beauté pour bébés et il sollicitait des photos de pères fiers de l’Armée (et les rendaient soigneusement après la sélection des lauréats).

Lorsque la guerre a pris fin, le journal s’est intéressé à la réadaptation des troupes à la vie civile à leur retour au pays, plutôt qu’aux reportages sur les activités des soldats canadiens. Outre la fournir des renseignements logistiques, La Feuille d’érable publiait aussi des articles sur la mode civile pour satisfaire aux besoins des soldats qui cherchaient à profiter pleinement de leur solde. Le journal allait continuer à publier des numéros tant qu’il y aurait une présence importante de l’Armée canadienne en Europe; il n’a publié son dernier numéro qu’en mai 1946.

La Feuille d’érable durant l’après-guerre

Le sergent H. Lester du « South Saskatchewan Regiment » lisant La Feuille d'érable à Oldenburg, en Allemagne, en mai 1945.

À la fin de la guerre, La Feuille d’érable n’a pas cessé immédiatement ses activités; tant qu’il y avait toujours des troupes canadiennes à l’étranger, le journal allait remplir sa mission axée sur le divertissement et l’information. L’édition de Londres ayant été établie pour servir les soldats de passage au pays, le personnel de l’édition de Bruxelles a fait ses valises et a mis le cap sur l’est pour s’établir à Amsterdam.

Bien que La Feuille d’érable n’y soit restée que de septembre à novembre, ces trois mois ont été mouvementés. À Amsterdam, le major Doug MacFarlane, directeur de rédaction de La Feuille d’érable, avait pris connaissance d’une rumeur : les rangs des unités qui rentraient au bercail auraient été formés de conscrits, plutôt que de gradés et d’hommes de troupe en service depuis longtemps. Une enquête a confirmé la rumeur. La Feuille d’érable, journal des troupes, a publié immédiatement un éditorial en première page.

La chaîne de commandement n’était pas impressionnée; le major MacFarlane a été convoqué à une rencontre avec le commandant de l’Armée, le lieutenant-général Guy Simonds. Avant de quitter la rencontre, le major MacFarlane a remis un deuxième éditorial qui allait paraître le lendemain, à la une, et portait la manchette suivante : « … Et puis » [traduction]. L’éditorial a été publié, et le major MacFarlane a été démis subséquemment de ses fonctions. Le personnel a menacé de faire la grève; cependant, l’idée qu’une telle action serait considérée comme un acte d’insubordination a suffi pour les en arrêter.

En novembre 1945, La Feuille d’érable a déménagé à Delmenhorst, en Allemagne. Même si les conducteurs de presse de la ville étaient amicaux et n’éprouvaient aucun ressentiment, la presse comme telle avait dû être bricolée à l’aide de ressources limitées. Par conséquent, le personnel a dû affronter de nombreux problèmes, entre autres des ennuis électriques et mécaniques, ainsi que d’autres ennuis relatifs aux pièces et aux fournitures. Par ailleurs, les caricatures étaient souvent dessinées au verso d’affiches non réclamées de la SS.

Outre les journalistes masculins, deux femmes ont apporté une contribution importante à La Feuille d’érable de Delmenhorst, à savoir la sergent Ruth Carmichael, rédactrice du Service féminin de l’Armée canadienne, et Hilde Weber, qui s’est occupée des chroniques « Ce monde » et « En Allemagne » [traduction].

Le dernier numéro a été publié en mai 1946. À l’exception d’un seul numéro de réconciliation paru en 1969, l’époque de La Feuille d’érable s’était achevée. Ce n’est qu’en 1998 que l’on a procédé à la relance du journal et que le périodique d’aujourd’hui a vu le jour. Publiée à l’origine en format papier, La Feuille d’érable est maintenant passée à l’ère numérique. Les membres de l’Équipe de la Défense, de même que l’ensemble de la population canadienne, peuvent accéder en tout temps au site Web adapté aux téléphones cellulaires, peu importe où ils se trouvent.


Cet article a été rédigé à partir de l’ouvrage de Barry D. Rowland et J. Douglas MacFarlane, The Maple Leaf Forever, Natural Heritage/Natural History Inc. (1987).

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