Archivée Aperçu des résultats - Évaluation des activités de l’ASPC liées aux maladies entériques d’origine alimentaire et hydrique 2012-2017

Introduction

Résultats de l’évaluation

Recommandations et réponses

  1. L’ASPC devrait mettre à jour son plan sur la mise en œuvre du séquençage du génome complet afin qu’il tienne compte des contraintes de capacité vécues par l’ASPC et les provinces dans la phase initiale de la transition.

    Réponse : En s’appuyant sur la Feuille de route de mise en œuvre de la génomique de PulseNet Canada, l’ASPC évaluera les lacunes majeures en matière de capacité qui nuisent à l’adoption du séquençage du génome. Elle examinera les options en matière de ressources et de mobilisation stratégique des partenaires pour combler les lacunes cernées.

  2. Améliorer l’accès en amont à des données de surveillance et s’assurer que le contenu des produits d’information en amont correspond aux besoins des intervenants.

    Réponse : L’ASPC examinera les possibilités (comme les pratiques des autres ministères fédéraux) d’amélioration des méthodes permettant d’atteindre le public cible pour échanger des renseignements, comme des ouvrages scientifiques et les constatations pertinentes des programmes de surveillance et d’intervention en cas d’éclosion. L’Agence mettra en œuvre une nouvelle stratégie d’application des connaissances qui comprend des produits d’information destinés aux intervenants et aux Canadiens. Elle élaborera aussi un cadre de surveillance de l’efficacité de la stratégie.

  3. Surveiller l’efficacité du nouveau processus coordonné de communications de l’ACIA et de l’ASPC pour les enquêtes sur les éclosions.

    Réponse : Dans le cadre des leçons tirées, l’ASPC révisera la procédure opérationnelle normalisée (PON) pour le compte rendu suivant une éclosion du Comité de coordination de l'enquête sur l'éclosion (CCEE) partenaire afin d’inclure des questions sur la cohérence et l’efficacité des messages coordonnés.

  4. Étudier la façon dont l’ASPC pourrait aider à la diffusion des messages aux Canadiens sur la prévention des maladies d’origine alimentaire et hydrique.

    Réponse : L’ASPC précisera son rôle et sa contribution à l’approche du portefeuille à l’égard de la gestion des messages sur la salubrité des aliments afin de prévenir les maladies humaines provoquées par des agents pathogènes d’origine alimentaire. L’ASPC préparera également un inventaire et une stratégie d’ensemble des activités de mobilisation à l’échelle de l’ASPC, en collaboration avec Santé Canada et l’ACIA afin de cerner les lacunes et les possibilités d’accroître la sensibilisation.

Au sujet de l’évaluation

Cette évaluation portait sur le rendement des activités de l’ASPC liées aux maladies entériques d’origine alimentaire et hydrique. L'évaluation comprenait un examen de documents, d'articles de revues universitaires, de données financières et de programmes, ainsi que des entrevues avec le personnel et les intervenants de l'ASPC.

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