Archivée Conférence sur la maladie de Lyme 2016 : 3e séance en petits groupes – éducation et sensibilisation/prochaines étapes

Conférence pour élaborer un cadre fédéral relatif à la maladie de Lyme

Du 15 au 17 mai 2016 au Centre de conférences du gouvernement du Canada, situé au 111, promenade Sussex, Ottawa (Ontario)

Troisième jour de la conférence - Le mardi 17 mai 2016 , salle Freiman/Guigues

Enregistrements audio

Ce fichier audio réalisé en direct n'existe qu'en version anglaise. La transcription qui en a été faite est disponible en français.

Transcription

Kathleen : [00:00:00]...personne à inclure dans notre cadre de travail, d'accord? C'est notre rôle ce matin. Nous avons pensé, tout comme Dan, que nous devrions diviser la séance en deux parties. D'abord, nous devons toujours nous questionner sur nos objectifs. Ensuite, nous pourrons discuter de la façon de les atteindre. Ça vous va? Alors, je sais que nous avons discuté un peu de nos objectifs hier, donc nous pourrions simplement nous baser sur ces idées aujourd'hui, mais nous allons devoir être très clairs.

Donc, la première partie portera sur les objectifs que l'on souhaite atteindre. Et si... Vous savez, Alain a employé le mot « vision ». Dan a dit : « À quoi ressemblera le succès, si nous y arrivons? » Alors, comment voyez-vous la situation dans, peu importe, un an, trois ans, cinq ans? C'est vous qui déterminez mentalement le délai que vous voulez. Donc, ce qui se passera demain!

Voix de femme : (Inaudible) ce que nous faisons maintenant et ce sur quoi nous commençons à travailler?

Kathleen : Exactement, et c'est... donc, dans nos stratégies, nous allons devoir penser à court terme : nous pourrions faire ceci demain et pour changer les choses, cela pourrait demander un peu plus de temps, et nous savons que cela aussi prendra plus de temps, mais hé! cela aidera nos enfants et les générations futures. Donc, nous allons devoir penser à tout cela lorsque nous en serons rendus aux stratégies.

Pour l'instant, la première étape est de savoir quels sont nos objectifs. Par exemple, à quoi ressemblerait la réussite? Par exemple, si quelqu'un venait, disons, de l'Australie, pour voir comment nous gérons la situation au Canada et qu'il se disait : « Wow, vous avez vraiment trouvé la parfaite solution! » Alors, qu'est-ce qui le ferait réagir de cette façon? Voici en quoi consiste la première question, d'accord?

Je suggère que l'on fasse un remue-méninges sur cette question. Les preneurs de notes sont à l'œuvre au fond de la salle. Et puis, quand nous serons rendus à la deuxième partie, nous pourrons nous asseoir, tous les trois, et pendant que vous vous penchez sur la prochaine étape à entreprendre, nous ferons un résumé que nous passerons en revue encore une fois avec vous. Oui, un instant, je vous passe le microphone.

Voix de femme : [00:02:02]

Je pense que la première étape serait d'adopter un projet de loi pour protéger les médecins, parce qu'en disposant de cette protection, ils seront alors ouverts et réceptifs lorsqu'il sera question de la maladie de Lyme. Ils ne pourront pas dire : « oh non, la maladie de Lyme n'existe pas dans le secteur. » Donc, je pense que ce serait une première étape primordiale, et puis l'éducation suivra, avec l'appui du système de santé.

Kathleen : [00:02:37]

Alors (inaudible). Donc, alors, l'un des aspects - je crois que c'est une façon de le présenter; nous parlerons ensuite de la façon d'y parvenir - l'un des aspects est que nous voulons que les médecins aient du pouvoir. Ils n'ont pas peur de prescrire le nécessaire, n'est-ce pas? Il n'y a aucune crainte de leur côté. C'est l'un des éléments de notre vision. Nous aimerions que les médecins aient le pouvoir de faire librement ce qui est nécessaire, n'est-ce pas?

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : [00:03:06]

D'accord. Je pense que nous pourrions travailler beaucoup plus rapidement. Ça prend du temps, passer une loi. Donc, je crois que si nous faisions simplement pression sur les collèges de médecins et chirurgiens de chaque province, et que nous les éduquions sur la question, ils laisseraient les médecins tranquilles. De mon point de vue de pharmacien, j'aimerais qu'il y ait des pinces à tiques dans chaque maison, voiture et chalet, et je veux que les Affaires étrangères parlent des tiques dans leurs renseignements sur les voyages. Les gens voyagent partout dans le monde. Les tiques sont partout, et nous ne savons pas si elles sont porteuses d'autres maladies. Nous avons donc besoin d'un site Web, d'un site Web éducatif. Les Affaires étrangères devront joindre le mouvement en ne diffusant pas seulement des avertissements sur le paludisme, mais aussi sur les tiques. Et des pinces dans chaque foyer, des pinces à tiques dans chaque foyer, et les instructions qui les accompagnent. Toutes les pharmacies, par exemple CVS Pharmacy, aux États-Unis vendent des pinces à tiques, toutes les pharmacies devraient en vendre ici aussi.

Kathleen : [00:03:56]

Donc, c'est un autre élément de notre vision, et nous avions dit que nous allions parler des objectifs à court, moyen et long terme, n'est-ce pas? Discutons de tous ces éléments. L'un des éléments de notre vision est que les gens aient accès rapidement et facilement aux outils et à l'information dont ils ont besoin, et ce, où qu'ils se trouvent. Donc, c'est un autre élément qui fait partie de notre vision.

D'accord. Oui, allez-y.

Voix de femme : [00:04:18]

Je crois que l'une des façons les plus rapides de lutter contre la circulation de renseignements erronés et d'informer les médecins serait de publier les résultats du cadre de travail dans une publication comme le Journal de l'Association médicale canadienne.

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : Parce que tout le monde le reçoit dans sa boîte aux lettres. Donc, ce serait une façon très rapide d'atteindre la population en disant : « Ceci est l'information la plus à jour sur la maladie de Lyme au Canada ».

Voix de femme : Et les pharmaciens, et les infirmiers et les ambulanciers.

Voix de femme : Tous ces gens.

Voix de femme : Voilà.

Kathleen : Donc je vais vous demander, des gens parlent déjà de méthodes et de tactiques, donc nous allons simplement les prendre en note au fur et à mesure.

D'accord.

Voix de femme : [00:04:55]

Nous avons besoin des médias. De la SRC. De CTV. Ils doivent faire parvenir l'information, pas seulement aux médecins, comme vous dites, mais aussi au public, à tout le monde. Tout le monde doit savoir, cette semaine. Cette semaine, j'aimerais dire ce soir, au téléjournal de 18 h, d'accord?

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : Il doit y avoir une annonce qui dit que si vous êtes atteint de la maladie de Lyme, vous allez finir par recevoir de l'aide et qu'il n'est plus nécessaire de se rendre aux États-Unis. Parce que vous savez quoi? Nous essayons de passer le message à tout le monde. Ça doit se faire aujourd'hui.

Kathleen : D'accord, je crois que nous devrions noter ceci comme un élément que nous désirons : que les gens n'aient plus besoin d'aller aux états-Unis. Ils peuvent rester ici.

Voix de femme : [00:05:46]

Pour faire suite à ce qui a été dit sur les médias. J'en ai parlé l'autre jour, et on m'a fait cette remarque : « Tu prêches des convertis ici, ma chère. » J'ai écrit un article dans Surrey Now. Pour que les médias fassent le suivi, continuent à publier des articles, il faut montrer notre intérêt envers le sujet. Donc, lorsque vous savez que quelqu'un a écrit un article, lorsque vous allez sur Internet et que vous cliquez sur « Lyme » et que vous voyez qu'un reporter a publié un reportage, commentez. Ne publiez pas de commentaires sur le page Web de votre ami, comme mes amis ont fait sur Facebook. Le reporter ne les voit pas. Vous devez aller voir les articles et les commenter, pour qu'ils puissent dire : « Wow, les gens veulent voir ça! Continuons à écrire! »

Voix de femme : Oui.

Kathleen : Oui, c'est un excellent point.

Voix de femme : Sur Surrey Now, il y a un article en ce moment : allez le commenter.

Kathleen : D'accord, faites-le aujourd'hui.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : [00:06:34]

Je crois que ce dont nous avons réellement besoin dans l'immédiat, c'est du soutien aux patients. Nous avons besoin de soins à domicile, de reconnaissance, et nous ne voulons plus nous faire abaisser parce que nous avons l'air en forme, alors que nous ne le sommes pas. Merci.

Kathleen : Mm-hum! Absolument. Alors, d'autres éléments que vous aimeriez voir réussir? Je vais revenir à l'avant de la salle.

Voix de femme : [00:06:55]

Nous avons un besoin immédiat dans nos écoles, pour nos enfants. Des camps de jour. Nos enfants doivent savoir à quoi ressemble une tique.

Voix de femme : Et comment les retirer.

Voix de femme : Et comment les retirer, et quoi faire dans l'immédiat. C'est le groupe le plus à risque, et qui les défend? S'ils sont malades, qui les protégera? Mes petits-enfants, vos enfants.

Qui veut cela? Qui est le suivant?

Kathleen : Monsieur ici.

Voix d'homme : Non, ça va.

Kathleen : Oh, d'accord.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Vous ne serez peut-être pas d'accord avec cela. D'accord, allez-y.

Voix de femme : [00:07:40]

Je commente de mon point de vue de médecin de famille, d'urgentologue, donc je pense que dans l'immédiat, en ce qui concerne la formation de notre corps de métier, nous devons d'abord nous assurer que, dans le cas d'une piqûre de tique aiguë, la tique est retirée adéquatement, la piqûre est soignée adéquatement, puisqu'il s'agit d'une intervention primaire.

Et, j'imagine que la deuxième partie de ma vision est qu'il faudrait que la plupart des médecins de famille soient suffisamment renseignés sur la maladie de Lyme pour savoir vers qui diriger le patient s'ils ne savent pas quoi faire eux-mêmes. La partie suivante serait qu'il y ait un groupe plus limité de médecins de famille qui possède une connaissance approfondie de la maladie et qui peut procéder au traitement Et puis, ce qui est peut-être plus difficilement réalisable, nous avons besoin d'un groupe de spécialistes qui sait comment traiter la maladie et qui peut gérer les cas les plus difficiles, les plus résistants, que même les médecins de famille formés à la maladie ne peuvent traiter.

J'imagine qu'il y a tout l'aspect éthique entourant le respect des patients et l'adoption d'une attitude sans mépris devant une maladie complexe. Bon nombre d'entre nous ne comprennent pas comment toutes ces différentes manifestations peuvent provenir de la même maladie. Nous devons être formés.

Kathleen : Merci. Laissez-moi vous passer le microphone, ensuite je veux donner l'occasion de parler à nos collègues sur la plateforme virtuelle.

Voix de femme : [00:09:12]

Je parlais tout à l'heure des éducateurs qui travaillent en plein air. Donc, si l'on commence par les municipalités, il y a tous les éducateurs qui travaillent en plein air, tous les paysagistes, tous les... quand je vais à Sudbury et que je participe au festival d'horticulture, qui se déroule habituellement à cette période-ci de l'année, tous les employés du Ministère qui sont envoyés dans les champs viennent me voir, et ils se retirent des tiques. J'étais à la formation de la ILADS à Banff. À l'Hydro, il y a deux ans, 100 patients s'étaient fait piquer par des tiques, et le médecin ne savait pas quoi faire. Nous avons un réel problème du fait que l'information ne provient pas d'initiatives populaires, et que nous devons commencer par les gouvernements, les éducateurs qui travaillent à l'extérieur, les YMCA et YWCA, les compagnies hydroélectriques. Ça doit...

Voix de femme : Les militaires.

Voix de femme : L'information doit circuler.

Voix de femme : Les militaires, ils rampent dans les champs, dans la boue.

Voix de femme : Oui, mais ils peuvent obtenir de la perméthrine, mais nous non.

Voix de femme : C'est vrai, ils y ont accès.

Voix de femme : Ils ont accès aux canettes jaunes de perméthrine, et nous le savons seulement parce que nous en avons vu une et nous ne pouvons pas en obtenir. Donc, la perméthrine doit être rendue disponible.

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : Il existe un produit biologique, Mosquito Net [sic ], qui est connu aux États-Unis parce qu'il élimine les tiques, que l'on peut vaporiser dans sa cour arrière. C'est entièrement fait d'ail. Mais au Canada, je travaille encore avec cette entreprise pour faire approuver leur document pour que leur produit soit vendu. On peut se procurer du Mosquito Net à Toronto. C'est 49 $ pour 3,79 L (1 gal). Je n'essaie pas de promouvoir le produit, je n'ai aucune part dans l'entreprise. C'est juste que mon groupe, mon groupe de soutien, en avait besoin, et je travaille en tant qu'éducateur, en plein air. J'ai travaillé auprès de jeunes dans les camps de jour, qui marchent à quatre pattes à travers Red Hill, les aires de conservation. Dans les aires de conversation, ils n'ont aucune idée d'où aller chercher de l'information sur la maladie de Lyme. Aucune.

Voix de femme : Mm-hum, aucun panneau affiché.

Voix de femme : Aucun panneau. D'accord?

Kathleen : Désolée, je veux simplement donner l'occasion à ceux qui nous suivent à distance de parler. Madame la téléphoniste, est-ce quelqu'un souhaite... nous déterminons les résultats que nous aimerions obtenir. Quelqu'un souhaite contribuer à la discussion?

Téléphoniste : Merci. Veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires. Encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires. Nous ferons une courte pause pendant que les participants s'inscrivent sur la liste. Il n'y a aucune question et aucun commentaire sur les lignes téléphoniques pour l'instant.

Voix de femme : [00:11:18]

Merci beaucoup. J'avais juste une question par rapport à ce que les autres dames ont dit à propos des outils éducatifs. Est-ce qu'il y a un endroit où vous iriez en ce moment pour chercher de l'information? Je veux dire, est-ce que vous connaissez le meilleur...

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : D'accord, information ou diffusion limitée?

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : D'accord.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Oh, je suis désolée, je monopolise le microphone.

Voix d'homme : On ne vous entend pas au téléphone.

Kathleen : (Inaudible), nous devons l'utiliser si quelqu'un parmi nos auditeurs ne comprend pas l'anglais.

Voix de femme : D'accord. Donc ma question, ou ma demande, serait qu'il y ait un endroit où trouver de l'information, une source d'information fiable, et de rassembler toute cette information. Parce que j'ai entendu des gens dire « oh, nous avons de l'information pour les enfants en Colombie-Britannique », et je n'en ai jamais réentendu parler. C'est la première fois que j'entends quelque chose sur l'Ontario également, donc je ne crois pas qu'on puisse faire de regroupement.

Kathleen : Oui, donc un seul endroit. Crédible, voilà.

Voix de femme : Nous avons un endroit, et nous avons besoin d'un site qui présente des faits, par exemple.

Kathleen : Oui, des renseignements à jour, crédibles. D'accord, oui, madame? Les résultats auxquels vous aimeriez parvenir.

Voix de femme : [00:12:35]

Merci. J'ai deux commentaires. D'abord, je pense que je suis d'accord avec ma collègue médecin de famille sur le fait que nous devons être sensibilisés à la maladie, mais je crois que tous les médecins devraient être en mesure de reconnaître et de traiter une infection aiguë, et nous devons nous améliorer de ce côté. Des problèmes plus complexes se rapportent aux gens qui ont des problèmes à long terme associés à la maladie de Lyme, mais je crois que tout le monde devrait être capable d'intervenir en cas de piqûre de tique, de reconnaître et de traiter un cas aigu de la maladie, point.

J'aimerais également suggérer que nous... j'aime l'idée d'un carrefour d'information. En Colombie-Britannique, nous avons créé une vidéo pour les enfants qui s'intitule « Tick Talk », que nous avons évaluée, puis présentée dans les camps de jour. Nous avons remarqué que les comportements et les connaissances des enfants avaient changé, et qu'il en était de même pour leurs familles. Ils en parlent à leur famille à la maison. Donc, nous aimerions que quelque chose du genre soit accessible partout au pays, et je crois qu'un carrefour d'information qui disposerait de ce genre de ressources serait très utile.

Kathleen : D'accord, vous ici, et puis je prendrai des gens à l'avant de la salle : un, deux, trois.

Voix de femme : [00:13:42]

D'accord. Je m'éloigne de vos recommandations, docteur, mais j'aimerais savoir quelle est la façon adéquate de retirer une tique actuellement, parce que la semaine dernière en Alberta, on disait : « Coupez la tête, elle sortira plus tard », et c'était tout. À l'hôpital de Cochrane en Alberta, l'infirmière disait : « On nous a appris ça hier. C'est comme ça que l'on retire les tiques, maintenant. La tête sortira plus tard. Ne vous inquiétez pas. »

Kathleen : D'accord, alors...

Voix de femme : Et ils ont utilisé de la vaseline pour essayer de la sortir, donc deux « à ne pas faire » bien connus.

Kathleen : Est-ce que quelqu'un ici connaît la réponse à cette question?

Voix de femme : [00:14:21]

Ma source est... est-ce que je peux dire son nom? Dr M., pour ceux qui le connaissent. Je ne sais pas si je suis censé en dire plus que ça. Mais j'ai participé à quelques-uns de ses séminaires, et il recommande, ceux parmi vous qui font partie du personnel médical connaissent peut-être cette expression, la méthode de la cloque. Pour ceux qui ne la connaissent pas, ils prennent une solution saline qu'ils injectent directement sous la tique. Si vous essayez de retirer une tique, elle panique. Ça peut l'inciter à cracher, à vomir, à régurgiter, à éjecter de la matière fécale, tout ce que vous voulez. En injectant cette solution saline sous la tique, ils peuvent, après avoir retiré la tique, faire sortir la solution en pressant pour faire sortir tous les dépôts. C'est la seule méthode recommandée par le Dr M.

Voix de femme : Pour les médecins, oui.

Voix de femme : Oui, qui doit être réalisée par les médecins.

Kathleen : Pour les médecins, pour les médecins.

Voix de femme : Pour le reste, il dit de s'approcher le plus possible de la peau, mais il dit qu'il est impossible de retirer la tique sans laisser derrière au moins une petite pointe.

Kathleen : D'accord. Et vous savez quoi? Je ne veux vraiment pas que cette question nous empêche d'accomplir notre tâche, donc souhaitez-vous émettre un commentaire à ce sujet? Je vous demanderai d'être brève.

Voix de femme : [00:15:35]

Bien, désolée, ma suggestion serait un site du gouvernement canadien comportant de l'information normalisée qui serait entièrement valide, et des liens vers de l'information propre aux différentes provinces, parce que toutes les provinces ont des tiques différentes, mais une partie de l'information qui les concerne se recoupe.

Voix de femme : Voilà.

Voix de femme : Oui, nous allons tous au même endroit.

Kathleen : D'accord. Donc, laissez-moi interroger ceux qui avaient la main levée, et je sais que vous aviez la main levée il y a longtemps. (Inaudible).

Voix de femme : [00:15:58]

D'accord, merci. Je suis médecin naturopathe, et pour ajouter aux commentaires de madame, juste ici, je crois que tous les médecins devraient avoir le droit de délivrer des ordonnances. Mes collègues britanno-colombiens, les médecins naturopathes de la Colombie-Britannique - j'ai obtenu mon diplôme à Vancouver - avaient le droit de délivrer des ordonnances par le passé. Maintenant, je pratique en Ontario et je n'ai pas le droit de le faire. Je vois tous ces patients qui ont tombés dans les craques du système. Les patients atteints de la maladie de Lyme consultent des médecins naturopathes, parce qu'ils ne peuvent obtenir de l'aide nulle part ailleurs, et je suis très prête à délivrer des ordonnances, mais je n'ai pas le droit. Heureusement, des médecins le font pour moi, mais ce serait tellement facile, tellement rapide et tellement plus rentable si j'avais le droit de délivrer des ordonnances ici en Ontario, et si les médecins naturopathes pouvaient obtenir ce droit.

Je voulais également ajouter un commentaire sur les médias. Si nous voyons des médias... Hier, mon mari m'a envoyé un article du Journal Chronicle [sic] qui disait, à la cinquième ligne à partir de la fin : « Les tiques sont inoffensives, mais peuvent devenir une nuisance. »

Voix de femme : Oh!

Voix de femme : C'est une blague?

Voix de femme : Je vais vous l'envoyer.

Voix de femme : D'où est-ce que ça venait?

Voix de femme : Du Chronicle Journal. Donc, lorsque nous avons entendu cela, mon mari a répondu tout de suite et a dit... donc les médias ne reçoivent pas les bonnes informations.

Voix de femme : C'est dans quelle région?

Voix de femme : Chronicle Journal, aux États-Unis. Donc, je crois vraiment que tous les médecins du Canada devraient avoir accès à l'information, les médecins naturopathes inclus. J'ai presque fini. Il y a eu... les médecins naturopathes ont traité des patients aux antibiotiques pendant des années sans problème. Maintenant, c'est tout ce que je souhaite.

Kathleen : D'accord, c'est bien. Je vais bientôt jeter un œil du côté des gens qui participent virtuellement à la discussion. Vous ici, et puis j'irai de votre côté, Matt.

Voix de femme : [00:17:42]

J'ai eu l'occasion de discuter avec le Dr Moore par la suite, étant donné que nous habitons le même quartier, et nous avons eu l'idée de mettre sur pied quelque chose de très similaire à ce que vous suggériez : un groupe de spécialistes à multiples facettes ou multiples je-ne-sais-quoi, et j'ai mentionné le besoin qu'un naturopathe travaille avec un neurologue qui travaille avec... parce que, comme je lui ai expliqué...

Voix de femme : (Inaudible) les médecins naturopathes... désolée de vous interrompre.

Voix de femme : Le microphone.

Voix de femme : Les naturopathes peuvent s'inscrire à un cours de fin de semaine (inaudible).

Voix de femme : Oh, d'accord, d'accord.

Voix de femme : (Inaudible) employez « médecins naturopathes ».

Voix de femme : D'accord, assurez-vous d'inclure les médecins naturopathes là-dedans.

Voix de femme : Vous devez les inclure.

Voix de femme : Mais ça devait être quelqu'un d'autre que, dans mon cas, je ne peux pas être suivie par un infectiologue. En fait, je viens de recevoir un message texte d'un infectiologue d'Ottawa qui voulait me donner un rendez-vous parce que je ne trouve pas de médecin à Kingston. Donc, nous devons avoir d'autres options que les ***** d'infectiologues.

Kathleen : D'accord, un instant. Donc, il y a quelques personnes qui attendent depuis longtemps, et puis je vais aller jeter un œil du côté du Web.

Voix de femme : [00:18:58]

Beaucoup de ces idées sont excellentes en vue d'apporter un changement, et je crois qu'il faudra quand même du temps avant que les choses changent du côté de l'éducation, donc peut-être que nous devrions lancer des idées sur ce qui a la plus forte incidence, la façon la plus rapide de joindre le public. Je crois que ce sont les publicités télévisées, parce que ce n'est pas tout le monde qui visite les sites Web. Ce ne sont pas les médecins qui lisent l'information qui leur est envoyée. Je suis certaine qu'ils sont bombardés de toute sorte de choses et ne trouvent pas le temps de les lire rapidement. Donc, pour des résultats immédiats, nous pourrions créer une publicité télévisée diffusée par le gouvernement canadien, comme ils le font pour d'autres choses, en tant que méthode la plus rapide de joindre tout le monde, pour commencer à accroître la sensibilisation.

Voix de femme : (Inaudible) canadien.

Voix de femme : Canadien, oui.

Voix de femme : « Canadien », c'est le mot clé.

Kathleen : [00:19:39]

« Canadien », c'est le mot clé. D'accord, laissez-moi juste vérifier du côté de WebEx, tout le monde. Téléphoniste, voulez-vous vérifier si quelqu'un souhaite parler?

Téléphoniste : Certainement. Merci. Veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires.

Kathleen : Et, madame la téléphoniste, savez-vous si des gens participent à la discussion à distance?

Téléphoniste : Oui, il y a des gens qui nous suivent à distance.

Kathleen : Ah oui? D'accord.

Téléphoniste : Et maintenant, il y a des gens en file qui souhaitent poser des questions. Notre première question nous vient d'Helen Gagnon. Allez-y, s'il vous plaît. Votre ligne est maintenant ouverte.

Helen : [00:20:12]

Bonjour, merci. J'aimerais simplement faire deux commentaires. J'espérais que les médecins sachent qu'ils doivent envoyer la tique dès qu'ils la retirent pour qu'on puisse produire des rapports.

Kathleen : D'accord.

Helen : Et j'espérais qu'il puisse y avoir des renseignements fiables sur les tiques dans les sentiers de randonnée pédestre et dans les parcs, et que ces renseignements soient aussi diffusés dans les écoles primaires et secondaires, et dans les universités. Merci.

Kathleen : D'accord, merci. Est-ce que quelqu'un d'autre sur WebEx souhaite émettre un commentaire?

Téléphoniste : Merci. Oui, nous avons un autre commentaire de la part de Barbara Herb [sic]. Allez-y, s'il vous plaît.

Barbara : [00:20:49]

Bonjour. Ça se prononce Erb. La personne juste avant moi a parlé d'envoyer les tiques pour qu'elles soient testées. J'habite immédiatement au nord de l'endroit où le Dr Kieran Moore pratique, et c'est dans le comté de Lanark. Et dans notre comté, le service de santé n'effectue pas de tests avec les tiques. Je pense que je demande quel genre de rôle peuvent jouer les bureaux de santé publique dans tout cela, parce qu'ils effectuent en fait des tests de dépistage de la maladie de Lyme que d'autres laboratoires ne font pas. C'est pour cela que ça prend autant de temps, et je crois qu'ils devraient par conséquent jouer un rôle, également, en ce qui a trait à l'éducation.

Kathleen : Bien sûr.

Barbara : Je ne sais plus si ça vient du provincial ou du fédéral, mais peu importe, ça devrait venir de l'un ou l'autre de ces paliers, ou les normes nationales devraient donner le ton aux autorités locales responsables de l'éducation.

Kathleen : D'accord. Merci, Barbara. Je reviendrai vous voir sur WebEx dans un instant. À votre tour, monsieur.

Voix d'homme : [00:21:52]

Bonjour. Je travaille pour Hydro One, qui est un important employeur en Ontario. Moi-même atteint de la maladie de Lyme, j'ai discuté avec les autres employés d'Hydro One. Je n'ai pas le droit de dépasser les limites permises par le gouvernement ontarien dans ma présentation, ou je ne suis pas censé le faire, ou la direction va me le reprocher. Donc, si je mentionne la durée de l'attachement, le fait que le traitement n'est pas tout à fait adéquat, ils me le reprochent et, parfois, me font taire. C'est donc un problème ici, en Ontario, et nous n'avons pas le droit de parler de la maladie de Lyme en dehors des lignes directrices qu'ils ont établies. Voilà, c'est un problème ici en Ontario.

Voix de femme : (Inaudible).

Voix d'homme : Parce que le gouvernement ontarien a établi ces lignes directrices, comme M. Moore, Dr Moore, a dit hier, et il est interdit de déborder de ces lignes directrices avec nos propos. Nous ne sommes pas censés en parler.

Kathleen : Donc, en ce qui concerne, encore une fois, les éléments de notre vision, nous aimerions que ce soit la situation inverse qui se produise alors. Nous aimerions qu'il y ait des lignes directrices reconnues à l'échelle du pays pour qu'il n'y ait plus de situations du genre qui se produisent tout d'un coup. C'est exact?

D'accord, je voulais simplement vérifier. Je sais que certains d'entre nous sont plus extravertis que d'autres, et je voulais m'assurer que les introvertis parmi nous aient également l'occasion de parler, donc je voulais d'abord interroger ceux que nous n'avons pas entendus. Je vous reviendrai par la suite. D'accord.

Voix de femme : [00:23:17]

Par rapport aux médias et à l'information qu'ils transmettent, dès que nous avons un cadre de travail, nous voulons qu'ils en fassent partie, parce que nous ne voulons plus qu'ils répandent plus de m****, en gros. Parce que je m'adresse beaucoup aux médias, et nous nous adressons beaucoup aux médias, et nous leur disons tout ça, puis ils se servent de leur pouvoir pour couper des parties de notre discours.

Voix de femme : Voilà. C'est vrai.

Voix de femme : Et puis ils disent que ce n'est pas un problème. Donc nous, quelqu'un au sein de ce cadre de travail doit s'impliquer pour gérer l'information qui sera diffusée, au bout du compte.

Kathleen : Oui, absolument. D'accord, nous allons prendre quelques autres commentaires, puis je suggère que nous changions de sujet. Encore une fois, je vais commencer par ceux qui n'ont pas encore parlé, puis je vous reviendrai.

Voix d'homme : [00:24:05]

Donc, en fait, je souhaitais faire un commentaire sur la publicité. Par exemple, je me souviens d'une publicité sur les hippos des familles qui était diffusée il y a peut-être dix ans.

Kathleen : Les hippos des familles?

Voix d'homme : Je ne sais pas si quelqu'un d'autre s'en souvient, mais les hippos des familles, ça ne représente rien. Il s'agit juste de poser des questions aux enfants à la télévision. Ça ne prend pas tellement de temps pour diffuser ce message à travers le pays, et ça ne représente pas grand-chose. Mais le problème est de compter sur les sources qui diffusent les nouvelles et la SRC pour créer un article crédible, que les gens croiront. Je crois que ce n'est pas la bonne méthode à adopter. Il faut que des gens éduqués qui connaissent la maladie de Lyme créent leur propre publicité, et pour cela, par contre, il faut du financement, et je pense que c'est un gros obstacle. Et, je veux dire, je suis resté assis ici pendant deux jours à entendre à quel point les méthodes de dépistage en deux temps ne sont pas crédibles, et à quel point tout est imparfait, puis j'ai entendu Christina parler du CDC, et le défendre, et parler de tout cela comme étant des faits, et ça, c'est un énorme problème. Si nous devons commencer par quelque chose, commençons par ce qui ne va pas. Et ce qui ne va pas, ce sont nos méthodes de traitement.

Kathleen : D'accord, très bien. Je prendrai ces quelques dernières mains levées, puis je vais suggérer qu'on change de sujet. Je ne sais plus quelle main était levée en premier. Ce sera à vous dans un instant.

Voix de femme : [00:25:17]

Mon intervention sera très courte. J'aurais voulu dire cela avant, mais on a répondu à ma question. Je pense que l'une des choses que j'aimerais vraiment voir changer, et je comprends que mon médecin ne dispose que de quelque chose comme 15 minutes par patient. C'est impossible que mon médecin ait le temps de m'aider dans ce laps de temps. Je n'ai même pas assez de temps pour lui expliquer ce qui ne va pas. Mon premier rendez-vous, quand on m'a diagnostiquée chez un naturopathe, a duré 1 heure 58 minutes. De ce que j'en sais, je pourrais avoir tort, mais mon médecin ne peut pas facturer un rendez-vous de deux heures. Ça doit changer.

Kathleen : D'accord. Encore une fois, nous allons bientôt changer de sujet.

Voix de femme : [00:25:53]

D'accord, je vais y aller très rapidement. Quelque chose a été dit dans la salle principale à propos de l'éducation, et lorsque j'y ai repensé, je me suis dit qu'il faudrait, je crois, avant de faire des suggestions sur la façon d'éduquer les gens, il faudrait que nous soyons absolument certains des faits que nous souhaitons diffuser. Au lieu de dire « nous avons raison », nous devons avoir des lignes directrices à respecter, des lignes directrices sur les faits que nous pouvons transmettre ».

Voix de femme : Au Canada.

Voix de femme : Au Canada, oui, merci. Parce qu'il nous faut d'abord les fondations. Parce que sans fondations, nous ne pouvons rien construire. J'ai eu une discussion l'autre soir avec quelqu'un qui disait qu'elle ne pouvait pas soigner son enfant, parce que c'était contre la loi. Et j'ai répondu : « Vraiment? »

Elle a dit : « Oui, ils pourraient m'enlever mon enfant. »

J'ai répondu : « Il faut que ça change. » Vous comprenez? Nous devons noter ces choses pour qu'ensuite on puisse dire : « D'accord, si telle est la situation, nous pouvons maintenant commencer à travailler avec vous. »

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Une brève remarque, la SRC m'a téléphoné ce matin. J'étais en dehors de la salle, dans le corridor. Ils ont fait une entrevue. Je pensais qu'ils allaient me poser des questions sur la conférence. C'était quelqu'un de Montréal. Je pensais qu'ils allaient me demander de parler de la conférence, sauf qu'ils voulaient que je témoigne de mon expérience personnelle. J'ai quand même glissé un mot sur la conférence, et ce sera diffusé à midi, aujourd'hui. C'est pourquoi elle voulait me parler. Ce sera très intéressant, parce que Sally est restée à côté de moi et a entendu tout ce que j'ai dit, et elle va m'en envoyer une copie une fois que ça aura été diffusé. Nous serons alors en mesure de comparer ce que j'ai dit avec ce qu'elle dit. Ça va être intéressant.

Kathleen : Toujours très intéressant. D'accord. Donc un dernier commentaire, et nous changeons de sujet.

Voix de femme : [00:27:36]

J'aimerais que le Canada prenne les devants. Le problème ne concerne pas que le Canada. Il s'agit d'un problème mondial. Prenons les devants, récoltons les fonds, faisons les recherches et faisons du Canada un vrai chef de file.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : (Inaudible) et ils vont être heureux.

Kathleen : Oui, exactement. D'accord. Téléphoniste, pouvons-nous vérifier si quelqu'un sur WebEx veut faire un commentaire?

Téléphoniste : Certainement, merci. Encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires. Nous avons une question ou un commentaire qui nous vient de Bruce Luft. Allez-y, s'il vous plaît. Votre ligne est maintenant ouverte.

Kathleen : Allez-y. Bruce?

Judy : [00:28:15]

Je ne suis pas Bruce. Oh, bonjour. Je m'appelle Judy Hodge. Je suis la vétérinaire du réseau « One Health » pour la province du Manitoba. Une chose dont j'aimerais qu'on parle davantage est l'idée de combiner les messages éducatifs. Donc, au Manitoba, la rage est encore un important problème, nous sommes également aux prises avec le virus du Nil occidental et des choses du genre, donc lorsque nous parlons d'afficher des renseignements à l'entrée des sentiers et dans les écoles, je pense que c'est une excellente idée, mais je me demande si quelqu'un a déjà fait l'expérience de combiner des messages de façon à ce qu'ils demeurent compréhensibles, vous comprenez? Je ne veux pas que des renseignements se perdent dans le processus, donc je me demandais simplement si quelqu'un avait de l'expérience dans le domaine ou (inaudible).

Kathleen : Donc des façons de jumeler les messages avant de les diffuser?

Judy : Oui, en avoir le plus possible pour chaque dollar investi dans les communications, disons.

Kathleen : D'accord.

Judy : Ouais.

Kathleen : Je vais... vous savez quoi? La prochaine étape de notre discussion sera de parler des méthodes à employer, donc nous pourrions laisser cette question en suspens.

Judy : Oh, bien sûr.

Kathleen : Parce que je pense que nous devrons analyser la question pour les différents publics dont nous allons discuter.

Judy : D'accord, excellent. Merci.

Kathleen : [00:29:21]

Merci beaucoup. Permettez-moi simplement de vous dire. J'ai pris quelques notes, puisque j'essaie de dresser le portrait de ce que nous voudrions obtenir en premier, d'accord? Puisque vous avez beaucoup parlé de tactiques, ce que nous allons aborder encore une fois. Laissez-moi juste, très rapidement, vous nommer les éléments que j'ai notés en ce qui concerne le tableau que j'aimerais que nous dressions au sujet de l'éducation et de la sensibilisation, d'accord? Et vous me dites si j'ai oublié quelque chose d'important.

Donc, j'ai une source d'information crédible pour le Canada, crédible pour l'ensemble du pays. Les médecins ne sont pas limités à leur traitement. Ils peuvent vous traiter de la façon dont vous avez besoin et ils ont le temps, ils ont le temps de le faire. L'un des derniers commentaires que j'ai entendus, le Canada est désormais un chef de file mondial dans ce domaine. Les gens n'ont plus besoin de se rendre aux États-Unis. La question reçoit une couverture médiatique adéquate, et les médias sont bien renseignés, ce qu'ils disent est bien-fondé. Un soutien constant aux patients, avec éthique et respect. Le droit de délivrer des ordonnances aux naturopathes.

Voix de femme : Et aux pharmaciens.

Voix de femme : Aux médecins naturopathes.

Kathleen : Et aux pharmaciens. Aux médecins naturopathes. Merci de me corriger, encore une fois.

Voix de femme : Et aux pharmaciens.

Voix de femme : Qu'en est-il des IV?

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Oui, ça devrait en faire partie.

Kathleen : Pardon, qu'est qu'un I...

Voix de femme : Une intraveineuse. Avoir le droit d'administrer des médicaments par voie intraveineuse.

Kathleen : Oh, d'accord, et les IV. D'accord. Donc encore une fois, le dernier message que nous avons entendu, que les messages soient combinés stratégiquement lorsque approprié. Les enfants sont pleinement éduqués. Les enfants connaissent tout sur le sujet. Les médecins savent quoi faire. C'est l'une des premières choses dont nous avons parlé. Ils savent quoi faire et où aller chercher des renseignements fiables. Il n'y a aucun doute là-dessus. Des renseignements et des outils facilement et rapidement accessibles à tous. Des équipes multidisciplinaires travaillent actuellement là-dessus. Des gens de différents groupes discutent entre eux.

Donc, encore une fois, ce ne sont pas les moyens pour parvenir à nos objectifs, mais des éléments que nous aimerions voir se mettre en place. Y a-t-il autre chose que nous devrions ajouter à la liste?

Voix de femme : [00:31:27]

Deux choses. Premièrement, une petite correction, vous avez dit une source fiable...

Kathleen : Une source d'information.

Voix de femme : Voilà, donc je pense que ce seraient plutôt des renseignements factuels. Vous désirez une source fiable; nous voulons des renseignements factuels.

Kathleen : Oh, oui. Des renseignements factuels.

Voix de femme : Voilà. Et puis, deuxièmement, j'ai entendu la dame à l'avant parler de technologie, d'accès à la technologie, parce qu'au Canada, nous ne disposons pas de certaines des technologies existantes pour la prévention. Voilà.

Kathleen : Souhaitez-vous nous en dire davantage sur la technologie (inaudible)?

Voix de femme : Eh bien, vous parliez de...

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Un instant, je dois vous passer le microphone.

Voix de femme : [00:31:59]

Santé Canada dit, sur son site Web je crois, que la pyréthrine est l'insecticide qui devrait être utilisé contre les tiques, mais le produit n'est pas disponible au Canada. Donc, nous devons avoir accès à quelque chose qui aiderait nos travailleurs, nos sportifs de plein air. Tout enfant qui pratique un sport extérieur est à risque de contracter la maladie de Lyme, et nous n'éduquons aucun de ces groupes, sur le plan récréatif.

Kathleen : Donc c'est... Ce que vous avez dit, ce mot, je ne le connais pas.

Voix de femme : Elle parle de... oh?

Voix de femme : C'est de la perméthrine.

Kathleen : Oh, d'accord.

Voix de femme : Perméthrine. Désolée, je n'arrive jamais à le dire. Je bafouille chaque fois. De la perméthrine.

Kathleen : Je croyais que vous parliez de technologie.

Voix de femme : En fait, elle...

Voix de femme : Le DEET, c'est une technologie.

Kathleen : Oh!

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Ce sont des mesures, des ressources préventives, voilà.

Kathleen : D'accord, donc je n'essaierai même pas d'écrire ce mot, mais je vais vérifier l'orthographe avant de faire quoi que ce soit.

Voix de femme : Oui, je ne le vois pas, donc je ne peux pas (inaudible).

Kathleen : D'accord, quelques autres commentaires avant que nous changions de sujet.

Voix d'homme : [00:32:47]

On peut actuellement acheter de la perméthrine sur amazon.com.

Voix de femme : Est-ce qu'ils livrent au Canada?

Voix d'homme : Oui, ils livrent au Canada.

Voix de femme : D'accord, c'est bon à savoir.

Voix d'homme : Ça va? Mais…

[Les participants parlent en même temps.]

Voix d'homme : C'est aussi que... je vais donner...

Kathleen : D'accord. Il y a quelques personnes qui souhaitent vraiment parler, alors je vais vous passer le micro dans un instant.

Voix de femme : [00:33:07]

Oui. D'accord, alors la perméthrine est vendue aux États-Unis pour usage personnel, pour être appliquée sur les vêtements. L'un des problèmes que nous avons rencontrés avec Santé Canada, c'est qu'ils fournissent des renseignements comme quoi il est possible de l'utiliser. Maintenant, je n'étais pas certaine pour la maladie de Lyme, mais je suis certaine qu'ils disent qu'on peut l'utiliser pour prévenir le Zika, mais elle n'est pas reconnue ici. Donc, ce que je demande, c'est de trouver un mécanisme pour demander à Santé Canada de chercher de nouvelles technologies, ou des technologies actuelles reconnues aux États-Unis, parce que...

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : D'accord. Donc, et les autres technologies que vous disiez vouloir essayer d'apporter au Canada, c'est...

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Vous devez toujours passer le microphone si vous voulez que quelqu'un prenne la parole.

Voix de femme : [00:33:53]

Je suis allergique au microphone. Mosquito Net, qui est... je viens juste de découvrir cette entreprise, parce que l'un des membres de leur famille est atteint de la maladie de Lyme, et cette entreprise est présente au Canada, à Toronto, depuis 12 ans. Aux États-Unis, on dit que le produit tue les tiques. Ils l'utilisent en équitation, et c'est un autre domaine où il faut informer les gens, tout le domaine de l'équitation. Mais on peut l'utiliser, il suffit de prendre le Mosquito Net concentré et de le diluer avec, disons, deux tiers d'eau et de le vaporiser dans sa cour. On peut en vaporiser sur ses vêtements. On peut en vaporiser sur son animal domestique. Et vous savez, c'est sans danger. Mais au Canada ils ne peuvent pas... nous rencontrons des difficultés. Je les aide à essayer de faire approuver leurs papiers, pour qu'ils puissent dire la même chose de leur produit qu'aux états-Unis. Donc, nous avons plus de difficultés avec notre...

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : Oui. Tenez, je ne peux plus rester assise, donc...

Voix de femme : Allez le chercher, allez le chercher.

Voix de femme : [00:34:43]

D'accord, donc la difficulté est dans l'efficacité. Au Canada, les tests d'efficacité sont beaucoup plus onéreux qu'aux États-Unis, et on doit réaliser tellement d'essais. Et donc, lorsque vous voulez dire que ça tue la maladie de Lyme, vous devez en faire la preuve 9 fois sur 10, n'est-ce pas? Donc c'est... pardon?

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : Pardon. Les tiques sur les vêtements, lorsque vous faisiez une allégation, par contre, sur un article traité pour cela. Donc, j'aimerais que l'on demande à avoir accès aux technologies qui sont actuellement accessibles dans d'autres territoires de compétence, et que... parce que nous avons... Il y a plusieurs années, je travaillais pour les agriculteurs et nous avons vécu le même genre de situation où la technologie n'était pas accessible à un plus petit marché. Et donc si vous en faites la demande, j'imagine que des mesures seraient prises à Santé Canada pour tenter de remédier à la situation.

Kathleen : D'accord. Nous allons bientôt devoir changer de sujet. Ça fait environ 17 fois que je le dis jusqu'à présent, mais allez-y, (inaudible).

Voix de femme : [00:35:35]

Je voulais simplement émettre un commentaire à propos de la perméthrine. Nous venons d'en commander. On peut en acheter sur amazon.ca. J'en ai suffisamment pour fabriquer 340,69 L (90 gal) de vaporisateur pour ma famille, ma cour, ma ferme. Pas pour les chats, ça va les tuer. À moins que vous n'aimiez pas les chats.

Voix de femme : Et pour les chiens?

Voix de femme : On peut en acheter sur HorseLoverZ et sur EasyPet Canada. Vous pouvez aussi en commander sur des sites consacrés aux animaux d'élevage.

Voix de femme : Pouvez-vous répéter le nom de ces deux entreprises?

Voix de femme : Je n'ai pas de chat. Est-ce que ça convient aux chiens?

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : D'accord.

Voix de femme : Vous pouvez l'utiliser sur vos animaux d'élevage, sur vos animaux domestiques, mais pas sur les chats, et sur vos vêtements, mais pas sur votre peau. Votre équipement de camping, n'importe quoi. Et les sites Web sont HorseLoverZ et EasyPet Canada. J'en ai à la maison et j'ai plusieurs bouteilles de vaporisateur mélangées que j'ai déjà utilisées.

Kathleen : Donc, si je me tiens près de vous, je suis probablement protégée?

Voix de femme : Eh bien, non, pas aujourd'hui. Je n'ai pas...

Voix de femme : Non, tenez-vous près de Linda.

Voix de femme : Tenez-vous près de Linda, elle le sait!

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : D'accord, d'accord, allez-y.

Voix de femme : [00:36:41]

Désolée, je voulais simplement ajouter le fait que les vêtements de tout le personnel militaire est couvert de perméthrine, qui est utilisée par le gouvernement canadien. J'aimerais moi-même pouvoir utiliser ce produit.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Leurs habits de combat, pas leur uniforme de cérémonie. Pas leur uniforme de cérémonie.

Kathleen : Donc nous allons bientôt devoir discuter des recommandations, de toutes les mesures recommandées, d'accord? Mais laissez-moi faire ceci. D'abord, je sens que je devrais demander à la téléphoniste s'il n'y a pas quelqu'un qui attend patiemment son tour depuis tout ce temps.

Téléphoniste : Merci. Encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires. Il n'y a pas de questions ou commentaires inscrits à l'heure actuelle.

Kathleen : [00:37:31]

Merci. D'accord, alors voici ce que je suggère. Vous vous souvenez des nombreux groupes dont nous avons discuté, n'est-ce pas? Les enfants, les médecins, etc. On ne peut adopter la même approche pour ces groupes en ce qui a trait à l'éducation et à la sensibilisation. Donc, ce que je suggère, juste avant la pause... quand vous avez mentionné un public cible, il les a tous pris en note. Donc, je suggère que nous regardions cela, que nous décidions comment nous souhaitons diviser les catégories. Ensuite, après la pause, nous prendrons un peu de temps pour dire : « D'accord, avec ce groupe particulier, quels objectifs souhaitons-nous atteindre? Comment pouvons-nous rejoindre ces groupes? Qui sont les personnes qui exercent une influence sur ces groupes? Comment pourrions-nous atteindre cela? » Donc pouvons-nous faire ça avant de prendre la pause? D'accord, merci.

Il y a donc le public. Le public. Considérons donc le public comme, disons, la masse. Vous savez, ces messages diffusés à tout le Canada. Ça pourrait être un élément. Il y a les patients. Vous m'arrêtez s'il y a des groupes dont vous ne souhaitez pas parler ou dont vous ne voulez pas que nous nous occupions. Les médias. Nous avons parlé des médias, n'est-ce pas? Ces gens qui diffusent les messages. Les enfants. Maintenant, vous désirez peut-être créer un sous-groupe.

Voix de femme : (Inaudible).

Kathleen : Oui, d'accord. Bon, nous devrions d'abord les identifier. Certains d'entre eux sont... Qu'est que le JMAC?

Voix de femme : Le Journal de l'Association médicale canadienne. Le journal (inaudible).

Kathleen : Oh, alors c'est une certaine façon de rejoindre le public. Oui, d'accord. Les parlementaires.

Voix de femme : (Inaudible).

Kathleen : Probablement. Eh bien, c'est à vous de décider. Donc, les professionnels de la santé, nous allons les placer juste ici. Et encore une fois, vous savez, vous pouvez décider : est-ce les professionnels de la santé... est-ce que ça va si nous nous adressons à eux en tant que groupe ou voulez-vous... Avec l'heure qu'il va nous rester, nous ne pourrons pas y aller autant en profondeur. Les vétérinaires?

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : D'accord, alors ici ce sont les agences de santé publique fédérales, provinciales et régionales, donc il s'agit essentiellement des gouvernements, n'est-ce pas?

Voix de femme : En fait, c'est une partie du gouvernement.

Kathleen : Une partie du gouvernement, oui. Vous voyez, ça commence à être un peu détaillé, comme l'Hydro, l'armée. Je ne sais pas si nous pouvons nous permettre d'aller autant dans les détails. Je veux dire, vous pouvez les inclure dans vos discussions.

Voix de femme : [00:39:56]

Je pense qu'il y a des sous-groupes de (inaudible).

Kathleen : Pouvez-vous lui donner un microphone? Pourriez-vous simplement lui donner un microphone? Oui, donc il y a des sous-groupes, c'est ça?

Voix de femme : Oui, il y a des sous-groupes. Donc à l'intérieur du message que nous voulons passer, je crois qu'il y a les jeunes dans les écoles. Nous avons, vous savez, les professionnels de la santé.

Kathleen : Oui.

Voix de femme : Nous avons le gouvernement fédéral, plus précisément la santé publique, puis nous avons l'autocollant que vous avez. Donc sous la santé publique, vous pouvez dresser une liste de tous ces sous-groupes, pour que nous ayons trois ou quatre points avec une description et que quand tout ça ira au personnel censé de travailler...

Kathleen : D'accord.

Voix de femme :... qu'ils voient clairement que les médecins naturopathes ont besoin de ça. Donc voilà, vous avez un but et un objectif avec un énoncé global.

Kathleen : D'accord?

Voix de femme : D'accord.

Kathleen : En fait, pourriez-vous donner un coup de main, peut-être, pour faire circuler le microphone?

Voix d'homme : Oui.

Kathleen : Vous m'aideriez beaucoup.

Voix de femme : Vous n'avez pas 16 microphones?

Voix de femme : [00:40:43]

Utilisez vos groupes de défense d'intérêts avec de très bons renseignements pour aider à faire circuler l'information.

Kathleen : D'accord, donc est-ce que les groupes de défense d'intérêts représentent un autre public?

Voix de femme : Nous ne l'avons même pas encore écrit, mais je crois que nous sommes le premier...

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : Ce ne sont pas des groupes. Ce sont des partenaires qui contribuent (inaudible) éducateurs.

Kathleen : Vous voyez, c'est exactement ça. Ils sont probablement... quand on parle de la façon de communiquer avec ces groupes, vous allez probablement tous parler des défense d'intérêts comme ayant un...

Voix de femme : Oui, d'accord.

Kathleen : Ce sont, disons, les gens à qui nous voulons livrer le message, n'est-ce pas?

Voix de femme : Oui.

Kathleen : Donc, jusqu'à présent, nous avons les groups suivants, le grand public, les patients, les parlementaires, les enfants, les professionnels de la santé, la santé publique, les vétérinaires et les médias.

Voix de femme : Pouvons-nous mettre les vétérinaires avec les professionnels de la santé?

Voix de femme : Voilà.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Oui, voilà.

Kathleen : [00:41:35]

D'accord. Est-ce qu'il nous manque des groupes importants? Je sais qu'il y a beaucoup de sous-groupes. En fait, je vais aussi vous demander, quand vous travaillerez - parce que nous allons en quelque sorte nous diviser, sinon nous n'arriverons pas à tout faire - par exemple, ceux d'entre vous qui vont travailler sur ceci, les professionnels de la santé, vous allez penser à, vous savez... Mais est-ce qu'il manque un groupe, ici?

Voix de femme : Les sports de plein air, tout ce qui est récréatif.

Kathleen : Loisirs? Alors nous devrions les mettre... d'accord, dans les loisirs?

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Ça pourrait aller dans la catégorie des enfants.

Voix de femme : Ou des autres adeptes du plein air.

Kathleen : Les adeptes du plein air?

Voix de femme : Les populations à risque élevé.

Voix de femme : [00:42:15]

Désolée, je pense que « plein air » devrait être sa propre catégorie. Ensuite, vous avez ses sous-catégories : travailleurs en plein air, sportifs de plein air, ce genre de choses.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Mais, (inaudible) plein air.

Kathleen : Oui, et rappelez-vous que si un groupe est trop vaste, vos activités de rayonnement ne seront pas efficaces, n'est-ce pas? Nous ne serons pas en mesure d'en parler. Donc tout ceci est, à tout le moins, adapté. Oui?

Voix de femme : [00:42:37]

Qu'en est-il de la transmission sexuelle?

Voix de femme : Voilà.

Kathleen : Alors, je crois que c'est plus une question du message. Ça pourrait être pertinent pour tout le monde, n'est-ce pas? Ça concerne le contenu du message, alors que pour l'instant, nous essayons simplement de déterminer les principaux groupes cibles, les gens à qui nous devons parler.

Voix de femme : [00:42:57]

Bon, sous les adeptes du plein air, nous devons ajouter les jardiniers.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Beaucoup de jardiniers se font piquer.

Kathleen : Alors nous allons l'écrire. Et, encore une fois, je vais vous laisser nommer les sous-groupes, d'accord? Alors...

Voix de femme : Les propriétaires d'animaux de compagnie ne sont pas là.

Kathleen : Les propriétaires d'animaux de compagnie? Alors, peut-être que nous devrions penser aux propriétaires d'animaux de compagnie, ou peut-être les placer avec les vétérinaires, alors, et le groupe qui réfléchit à ces personnes pourrait se dire : « Oui, mais il y a aussi les gens qui possèdent les... »

Voix de femme : Lorsque j'ai parlé des jardiniers, je parlais des gens qui travaillent dans leurs propres jardins, pas des professionnels.

Kathleen : Oui, oui, absolument.

Voix de femme : Et des jardiniers (inaudible).

Kathleen : Et les paysagistes, oui.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : D'accord, parce que j'ai abordé un jardinier et je lui ai demandé (inaudible).

Kathleen : D'accord. Combien en avons-nous?

Voix de femme : Et il m'a répondu : « C'est quoi, une tique? » Et c'est quelqu'un qui travaille dans le jardin de tout le monde.

Voix de femme : Wow.

Kathleen : [00:43:44]

Sept, huit? D'accord. Je vais proposer que nous ne trouvions pas trop de catégories, parce que nous sommes en nombre limité ici, dans la salle. Nous en avons huit pour l'instant, je crois. Est-ce que c'est suffisant, pour commencer?

Voix de femme : Oui.

Kathleen : Et si nous pensons à quelqu'un d'autre, nous l'ajouterons, mais pour l'instant, au moins, nous en avons quelques-uns. D'accord, alors après la pause, nous allons réfléchir à chacun d'entre eux, ça marche? Et je vais vous demander de vous séparer, parce que nous n'arriverons jamais à tous les passer consécutivement. Que diriez-vous d'une pause de 15 minutes, peu importe l'heure que vous avez sur vos montres? Soyez de retour dans quinze minutes. Et pour ceux et celles qui se joignent à nous à distance, j'expliquerai ce que nous faisons, mais vous ne pourrez évidemment pas vous joindre à un groupe. Je vous expliquerai ce que nous faisons, et nous vous demanderons vos idées.

Voix de femme : (Inaudible) pause?

Kathleen : On m'a demandé d'essayer de vous laisser partir à midi. Je sais que Dan a dit qu'il y avait un peu de flexibilité, mais on m'a demandé d'essayer de vous laisser partir à midi, pour qu'on ne... pour que tout le monde ait le temps de... parce que vous êtes une grande foule, non? Alors, essayons d'avoir fini pour midi. Voici donc ce que…

Voix de femme : Oui, sauf qu'il ne s'agit pas d'une question de vie ou de mort.

Kathleen : Non, ce n'est pas une question de vie ou de mort. C'est certain.

Voix de femme : Ce qu'on aborde ici, c'est une question de vie ou de mort.

Kathleen : Ici, il est question de vie ou de mort.

Voix de femme. : Exactement. Exactement. Ce n'est pas si important que nous allions manger ou non.

Kathleen : [00:45:02]

D'accord, c'est entendu. Alors voici ce que nous devrions faire maintenant. Donc ce que nous avons fait... vous allez choisir où vous voulez aller, selon le sujet dont vous voulez parler, et vous n'êtes pas obligés d'aller dans un seul groupe. Vous pouvez vous joindre à différents groupes. Alors, par exemple, vous savez, nous parlions du message qui entoure la transmission sexuelle, n'est-ce pas? Ça pourrait être un sujet pertinent dans plus qu'un groupe, vous comprenez? Alors, peu importe ce qui est important pour vous, allez simplement dans les groupes avec lesquels vous souhaitez discuter, d'accord? Et vous n'avez pas besoin d'y rester tout le temps. Vous pouvez le faire, si vous le souhaitez, mais vous pouvez également circuler, d'accord?

Je vais vous dire les questions de façon générale, et je les ai affichées à côté des tableaux. Et, en passant, si vous avez besoin de plus de papier, nous allons vous en donner plus. Voici les questions que je suggère.

Alors, par exemple, en ce qui a trait à, je ne sais pas, aux enfants dans les écoles. Les enfants dans les écoles. Allons-y avec celle-là, ici. Ma première question est : « Quels devraient être nos objectifs d'éducation et de sensibilisation auprès de ce groupe? » Parce qu'ils ne seront pas les mêmes qu'auprès des médecins, n'est-ce pas? Alors, voilà la première question.

Voix de femme : Ou peut-être que oui!

Kathleen : Ou peut-être que oui. Peut-être que oui.

Voix de femme : Je crois que les enfants seraient capables de changer de place (inaudible).

Kathleen : D'accord. Alors, que cherchons-nous à faire du point de vue de l'éducation et de la sensibilisation auprès des parlementaires, des enfants? Les objectifs seront probablement différents. C'est la première question. Et ne passez pas trop de temps là-dessus. Je veux dire, je crois que vous le savez tous, intuitivement. Et j'ai également suggéré : « Quels devraient être nos messages clés? », parce que les deux vont un peu ensemble, non? Vous savez, il s'agit de nos objectifs et de nos messages clés, d'accord?

Je vais vous demander d'être concis, d'accord? Nous ne sommes pas en train de rédiger pas un plan de communication. Ça prendrait bien plus qu'une heure, n'est-ce pas? Mais ce que nous faisons, c'est mettre de l'avant les choses auxquelles nous devons réfléchir, les personnes qui rédigent tout ça. Première question.

Deuxième question : quelles sont les meilleures façons de les atteindre? Alors, par exemple, les écoles des enfants. Quel serait le médium, ou les médias? Quels sont les moyens de communication? Qui sont les personnes d'influence? Parce que, parfois, c'est là que vous devez porter attention. Avec les médecins... qui influence les médecins, c'est ça?

La troisième question englobe un peu tout. J'ai demandé : « Quels seraient les facteurs cruciaux du succès? » Si nous réussissons à sensibiliser ce public, que devons-nous garder à l'esprit? Qu'est-ce qui sera important? Donc, par exemple, auprès des enfants, on pourrait dire que ce sera adapté à leurs médias. Autrement dit, ils utilisent des écrans, n'est-ce pas? Alors c'est un peu de ça dont il s'agit, ici. La troisième question touche un peu à tout. Vous pouvez mettre tout ce que vous considérez comme important au numéro trois, d'accord?

Quelqu'un avait suggéré qu'il serait intéressant d'avoir quelque chose comme un professionnel, un professionnel de la santé dans chacun des groupes. Je vais vous laisser prendre vous-même les décisions, parce que je veux que vous alliez vers les sujets dont vous voulez discuter. Je ne veux pas vous obliger à aller vers un sujet en particulier, et je veux que vous preniez votre temps dans chaque sujet qui vous intéresse.

Ce que j'espère, toutefois, c'est que nous puissions tous les couvrir. Alors, voici ce que je propose. Dans une minute, je vais dire... oh, et je vais vous apporter des marqueurs, en passant. Dans une minute, je vais vous demander d'aller vers les sujets qui vous intéressent, puis ceux qui se sentent vraiment concernés, comme les patients, « Je veux vraiment dire quelque chose au sujet des patients », allez vers ces groupes. Et puis, pour ceux parmi vous qui se disent « je serais content de participer à n'importe quel sujet », attendez un moment pour voir où il y a des manques et allez dans les groupes où il n'y a personne. Parce que je crois que si nous avons identifié ces groupes, c'est parce que nous croyons qu'ils sont tous importants, n'est-ce pas?

Voix de femme : Oui.

Kathleen : Donc, juste pour que vous le sachiez, je vais vous indiquer où chaque groupe se trouve.

Voix de femme : Nous devrions nous déplacer beaucoup.

Kathleen : Je vous encourage à vous déplacer! Mais certains d'entre vous vont peut-être vraiment vouloir rester avec un seul groupe, et je ne veux pas vous forcer d'une façon ou d'une autre.

Voix de femme : Non, non.

Kathleen : Donc, les parlementaires fédéraux et provinciaux sont ici. Médecins et vétérinaires. Rappelez-vous que vous pouvez ajouter des sous-groupes. Ici, c'est le grand public. Les services de santé publique fédéraux, provinciaux, territoriaux et régionaux. Les patients, les enfants et les écoles. Est-ce que quelqu'un pourrait me lire celui qui est là-bas? Ce (inaudible)?

Voix de femme : Médias.

Kathleen : Les médias?

Voix de femme : Et les fournisseurs de messages.

Voix de femme : Et les loisirs et le plein air.

Kathleen : Les loisirs de plein air, d'accord? Pour ceux qui se joignent à nous par WebEx, malheureusement, il est évidemment impossible de former un groupe à cause de la manière dont nous avons organisé WebEx. Alors ce que je vous encouragerais à faire, c'est de réfléchir à ces trois questions, que je répéterai dans un instant pour vous, les personnes qui se sont jointes à nous par WebEx. Ensuite, quand nous allons revenir en séance plénière, je vais demander à tout le monde de participer, car nous allons faire un rapport de notre travail et tout le monde peut y contribuer, même ceux qui se joignent à nous par WebEx, d'accord?

Permettez-moi de répéter les questions pour ceux qui se sont joints à nous sur WebEx. Première question, pour tous les publics auxquels vous pourriez penser, n'est-ce pas? Alors on pourrait dire que ce sont des parlementaires. Première question : quels devraient être nos objectifs en matière d'éducation et de sensibilisation pour ce groupe, et quels seraient nos messages clés? Deuxième question : quelles sont les meilleures façons d'atteindre ces personnes, de les influencer? Et finalement, troisième question : quels seront les facteurs cruciaux du succès avec ce groupe, ou de n'importe quel autre groupe dont vous voulez parler? D'accord?

Ensuite, lorsque nous reviendrons en plénière, comme je l'ai dit, je vais circuler et vous demander de rapporter les résultats de votre travail, et tout le monde pourra ajouter sa contribution. Donc, même si vous n'êtes pas allés jusqu'aux vétérinaires, vous pouvez quand même participer à la discussion. D'accord?

Alors, avez-vous des questions sur la façon dont nous allons procéder? Voici ce que je suggère. Si nous voulons avoir terminé vers midi, je sais que vous voulez que je sois debout cet après-midi, alors, vous devrez au moins me donner quelques minutes pour manger. Que diriez-vous si nous avions comme objectif d'avoir terminé cette tournée dans environ une demi-heure? Ensuite, nous aurions environ 40 minutes pour nous regrouper, jeter un œil à tout ça, nous mettre d'accord et faire des ajouts. D'accord? Essayons donc. Alors pour ceux qui se joignent à nous sur WebEx, essayez d'être revenus environ 20 minutes après l'heure.

Voix de femme : Est-ce qu'ils pourraient s'abstenir de parler à la téléphoniste pour qu'elle s'occupe de transmettre leurs commentaires?

Kathleen : Je ne sais pas... ce n'est pas organisé de cette manière? Apparemment, non. Mais ils peuvent nous donner leurs idées pendant qu'ils écoutent nos rapports, n'est-ce pas? Et ils peuvent y réfléchir.

Voix de femme : (Inaudible).

Kathleen : Je n'ai pas participé à l'élaboration de la logistique, alors je vais simplement leur laisser la chance de commenter lorsqu'ils entendront nos idées, d'accord? Allez-y quand vous êtes prêts. Je vais remettre... en fait, est-ce que vous pourriez m'aider à distribuer ces marqueurs à chacun des groupes, s'il vous plaît?

[Pause prolongée]

Kathleen : [01:18:58]

Vous avez environ quatre minutes, puis nous allons conclure.

[01:20:12]

Au cours des deux prochaines minutes, réfléchissez à qui va s'adresser à eux, d'accord? Je vais demander à l'un d'entre vous de tout passer en revue avec nous.

[01:21:24]

D'accord. Je vais demander aux gens de WebEx de s'organiser un peu. Nous allons faire rapport sur notre travail. Et je vais vous demander de vous asseoir et de fermer la porte, s'il vous plaît. Et nous préparons quelques illustrations.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : D'accord. Je sais. Que diriez-vous si je vous passais le microphone en premier, dans ce cas? Alors, laissez-moi simplement vous rappeler ce qui se passera ici cet après-midi, afin que nous ayons tous la même information. Cet après-midi, Dan va donner de cinq à sept minutes à tous les animateurs - et il gère son temps à la seconde près, alors j'essaierai de dire tout ce que nous avons à dire dans ce laps de temps. Alors je vais commencer en parlant de... vous souvenez-vous de la première chose dont nous avons discuté, la vision? Dans ce cas, si nous réussissons, c'est la liste des choses que nous allons accomplir. Je dirai ensuite que nous avons discuté, nous avons parlé en plénière, et je présenterai les faits marquants qui sont ressortis dans chaque plénière, d'accord?

Voici ce que je veux que vous gardiez à l'esprit. Dan va ensuite ouvrir les commentaires à tout le monde. Alors, évidemment, je ne pourrai pas tout dire dans mes cinq à sept minutes, alors ce sera votre occasion d'étayer les propos que je n'aurais pas prononcés adéquatement, ou pas du tout, car mon temps est limité. Vous pourrez aussi parler pour tous vos collègues qui ne peuvent pas faire d'ajout puisqu'ils ne sont pas dans cette salle. Vous aurez ensuite cette même occasion avec les groupes de surveillance et de pratiques exemplaires, d'accord? C'est ainsi que nous procéderons après le dîner. Oui?

Voix de femme : [01:23:23]

Est-ce qu'une copie de toutes les... merci. Est-ce qu'une copie de toutes les choses que nous avons écrites ira à quelqu'un qui pourra tout retranscrire officiellement?

Kathleen : Absolument.

Voix de femme : D'accord, merci.

Kathleen : Oui, une partie du rapport sera consacrée à cela. Nous avons des gens ici qui prennent des notes, ils ne sont ici que pour ça.

[01:23:41]

D'accord, alors voici ce que je propose. Je vais... nous allons commencer par le fond de la pièce. Je vais demander à une personne de bien vouloir nous faire un résumé du contenu, puis je vais tous vous inviter, y compris ceux qui sont sur WebEx, à ajouter vos idées, d'accord? S'il manque quelque chose d'important.

Voix de femme : On m'a choisie pour parler.

Kathleen : On vous a choisie? D'accord.

Voix de femme : [01:24:05]

Merci. Merci beaucoup. Notre tâche concernait les parlementaires fédéraux et provinciaux, et nous avons essayé de rester vraiment concentrés sur la mise en place réussie d'un cadre de travail par Elizabeth May et son projet de loi d'initiative parlementaire. Par contre, il ne s'agit que de la mise en place du cadre de travail et il y a un mécanisme de révision tous les cinq ans.

En nous basant là-dessus, nous voulions voir s'il était possible d'obtenir une recommandation quant à une stratégie pour tout le Canada, s'adressant aux ministres de la Santé. Il s'agirait donc d'une rencontre annuelle des ministres de la Santé de toutes les provinces et de tous les territoires, où ils essaieraient de développer une stratégie pour prévenir la maladie de Lyme et ses co-infections, sensibiliser les gens et effectuer une surveillance. Alors, l'idée est que lors de la rencontre des ministres, tous leurs sous-ministres doivent former des sous-groupes divers, où ils essaieront de développer des stratégies, ce qui faciliterait une coordination à la grandeur du pays.

Ensuite, nous avons eu l'idée de créer une loi, une loi provinciale, qui protégerait les médecins, les médecins cliniciens et les médecins naturopathes. C'est bien ça? D'accord. Ceux qui seraient prêts à traiter la maladie de Lyme, la maladie de Lyme chronique, et ses co-infections, en se basant sur les lignes directrices de l'ILADS. Mon collègue du Nouveau-Brunswick avait vraiment cet aspect à cœur. Tout cela permettrait d'offrir une protection aux médecins qui tentent de prévenir activement, ou d'aider à prévenir, à diagnostiquer et à traiter la maladie. D'accord.

Également, nous pensions qu'afin de garder de la vitesse, nous pourrions faire notre demande au comité de santé du parlement fédéral. Les membres du comité de santé proviennent de tous les partis, et ils peuvent souvent mener des études. Nous irions donc porter cela au comité de santé, en leur demandant de mener une étude sur la maladie de Lyme, la prévention, la sensibilisation et la surveillance, puis de produire un rapport sur le projet de loi C-442, celui d'Elizabeth May, au lieu d'attendre la révision formelle dans cinq ans. Nous utiliserions ce rapport comme mécanisme qui nous aiderait à continuer sur notre élan. Pendant ces études, les gens sont invités à offrir des témoignages, et une demande pour mener l'étude devrait probablement être faite par votre association, mais je suis persuadée que beaucoup de gens dans cette salle seront prêts à participer et à envoyer des lettres de demande.

Nous souhaitons également éduquer les parlementaires par des renseignements factuels qu'ils pourront publier sur des médias sociaux comme Twitter. Puis, nous avions une autre demande pour l'accès aux soins et au traitement et pour l'avant-projet de loi pour la marijuana thérapeutique, qui n'a pas encore été déposée. Voilà ce que nous avons.

Kathleen : D'accord. Commentaires, questions, ajouts? Et c'est parti. Laissez-moi vous ajouter le microphone.

Voix de femme : [01:26:48]

Pardon, je n'étais pas encore rendue à ce tableau. Mais je pense qu'il est très important de lier le financement avec ce qui est en train de se produire. Par exemple, nous sommes en train d'élaborer un cadre de travail fédéral. Je présume que le gouvernement fédéral allouera une somme d'argent considérable aux provinces, de sorte que si, d'une quelconque façon, les subventions sont obtenues, les provinces agiront selon notre cadre de travail fédéral, au lieu de simplement dire : « En fait, nous allons concevoir notre propre programme d'après les lignes directrices de l'IDSA, car nous savons ce que nous faisons ». Nous voulons que les subventions données soient liées à notre cadre de travail.

Kathleen : D'accord, alors nous ajoutons ce commentaire. Des...

Voix de femme : [01:27:25]

Je crois que vous voulez... excusez-moi, peut-on l'ajouter en plus du cadre de travail? Parce que le cadre de travail a déjà été financé, alors je crois que ce que vous voulez, ce sont des subventions supplémentaires, n'est-ce pas?

Voix de femme : Voilà.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : [01:27:35]

Oui. Oui, car peu importe les sommes d'argent données, il y a des transferts fédéraux, alors, s'ils relient n'importe lequel de ces transferts à la sensibilisation à la maladie de Lyme ou à ce qui ressort de tout ce processus, qu'ils fassent sorte que les provinces doivent travailler conjointement avec le cadre de travail fédéral, et non à leur guise.

Voix de femme : Ah, d'accord. D'accord.

Kathleen : [01:27:55]

D'accord, alors laissez-moi vérifier du côté de WebEx. Téléphoniste, pouvez-vous voir si nous avons des commentaires de la part de nos participants virtuels?

Téléphoniste : Certainement. Merci. Veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires. Il n'y a pas de commentaires inscrits à l'heure actuelle.

Kathleen : D'accord, merci beaucoup. Maintenant, je vais simplement souligner les éléments que je vais rapporter, d'accord? Parce que je n'aurai pas beaucoup de temps pour le faire.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Je ne suis juste pas habituée à ce genre d'aide, vous savez? Je veux dire, c'est juste « wow »! D'accord, alors une stratégie à l'échelle du Canada pour les ministres de la Santé canadiens concernant la maladie de Lyme et ses co-infections, la prévention, la sensibilisation et la surveillance. Essentiellement, je veux dire, vous n'avez traité que des gros éléments, donc je crois que ce serait tous ceux-là. À faire... Donc, c'est lorsqu'il y a beaucoup de détails que je ne serai pas en mesure de nommer tous les détails. Maintenant, l'accès aux soins et au traitement, encore une fois, comment faire pour rendre cela compréhensible pour tous? Pouvez-vous...

Voix de femme : [01:28:56]

C'était une demande précise. Nous tentons de trouver un moyen de modifier le projet de loi actuellement proposé pour la marijuana thérapeutique, de sorte qu'il y ait des soins offerts, mais aussi, j'imagine, une indemnisation pour l'achat de marijuana thérapeutique pour les gens atteints de la maladie de Lyme.

Voix de femme : [01:29:14]

(Inaudible) et également éviter que les gens doivent se rendre aux États-Unis pour recevoir des soins.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Donc, d'avoir accès à ces soins.

Kathleen : D'accord, donc je vais peut-être... Grâce aux bons changements et ajouts apportés par mon collègue. D'accord. Vous m'attendez un instant?

Voix de femme : [01:29:35]

Oui, je voulais simplement mentionner que pour la marijuana thérapeutique, nous recevons une ordonnance et nous l'utilisons comme si c'était un antibiotique, disons, mais nous devons tout payer. L'accès est, enfin, tout dépend de votre médecin, ce n'est pas impossible. L'accès n'est pas impossible. C'est que nous payons des centaines de dollars, en plus des taxes, pour notre cannabis, notre cannabis thérapeutique, alors l'accès est lié aux finances.

Voix de femme : Même pas un accès gratuit.

Kathleen : Un accès gratuit.

Voix de femme : Un accès gratuit!

Kathleen : Parfait, écrivons un accès gratuit.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : (Inaudible) identification.

Kathleen : D'accord, nous aimerions... Nous aimerions avoir un numéro d'identification. D'accord.

Voix de femme : Et un reçu pour les impôts.

Kathleen : Et un reçu pour les impôts. Arrivez-vous à tout noter? D'accord. Et encore une fois, tout le monde, je veux dire...

Voix d'homme : Le reçu pour les impôts est déjà dans la liste.

Kathleen : D'accord, tout le monde, attendez un instant. Encore une fois, tout dépendant de la quantité de détails que j'aurai à rapporter, et comme je n'ai que sept minutes pour tout dire, je ne pourrai peut-être pas tout rapporter sur tous ces aspects. Mais encore, Dan ouvrira les commentaires, alors si vous voulez vraiment que quelque chose soit dit, ce sera votre occasion de le dire. D'accord, nous devons maintenant passer au prochain point.

Voix de femme : [01:30:43]

D'accord. Je demande aux ministres de la Santé du provincial et du fédéral de créer une stratégie d'urgence pour ce qui arrivera entre le moment où ce rapport et ce cadre de travail seront créés, et celui où les médecins seront bel et bien formés pour traiter la maladie de Lyme. Nous avons donc besoin d'une stratégie d'urgence. Je propose quelque chose pour les prochaines...

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : Pour quatre semaines, quatre à six semaines. J'en ai discuté avec Elizabeth May et d'autres députés, mais je demande quelque chose de précis. Il s'agit d'un amendement…

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : Non, il s'agit d'un amendement à la Loi sur l'assurance-maladie. C'est notre porte d'entrée. Un amendement à la Loi sur l'assurance-maladie permettrait une indemnisation pour les soins reçus à l'extérieur du pays. À l'heure actuelle, les patients atteints de la maladie de Lyme sont victimes de discrimination. Aucun Canadien n'a réussi à obtenir une indemnisation en dehors du Canada.

Kathleen : Donc, le message que vous voulez que je transmette est...

Voix de femme : La stratégie d'urgence.

Kathleen : Stratégie d'urgence.

Voix de femme : Une modification à la Loi sur l'assurance-maladie, de sorte que les patients puissent obtenir dès maintenant une indemnisation et du financement à l'extérieur du pays.

Voix de femme : Pour les traitements.

Voix de femme : Immédiatement.

Kathleen : Avez-vous bien saisi la formulation? D'accord, d'accord. D'accord, c'est noté. D'accord, nous devons passer à autre chose.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Encore une fois, gardez en tête que vous aurez un droit de parole en plénière, également. D'accord, pourrais-je ravoir l'attention de tout le groupe? Encore une fois, un de vos collègues va prendre la parole. Je vais vous demander d'y aller une conversation à la fois. Allez-y.

Voix de femme : [01:32:05]

D'accord, alors nous avons parlé du médical, du vétérinaire, etc., et je suis sûr que nous avons omis certaines personnes. Le personnel paramédical, les pharmaciens, les infirmières autorisées, les infirmières praticiennes, les acupuncteurs, les nutritionnistes et les praticiens de MTC. Qu'est-ce que c'est?

Voix de femme : Médecine traditionnelle chinoise.

Voix de femme : Médecine traditionnelle chinoise, d'accord. Et les toiletteurs pour chiens, qui forment un groupe de... médecine fonctionnelle? D'accord, mais les toiletteurs pour chiens auxquels nous n'avons pas pensé, et ceux pour les chevaux. Des amateurs de chiens qui...

Voix de femme : Des toiletteurs pour chiens!

Voix de femme : Des toiletteurs pour chiens, oui, d'accord. Donc, en premier lieu, la question était : comment nos objectifs d'éducation et de sensibilisation devraient-ils... quels devraient être nos objectifs d'éducation et de sensibilisation? Le message principal. Donc, comment retirer une tique; comment traiter la piqûre d'une tique; l'aspect visuel de différentes éruptions cutanées, y compris le fait qu'elles n'ont pas toujours l'aspect d'un centre de cible; les symptômes à surveiller; les lignes directrices pour l'utilisation d'antibiotiques après une piqûre; les renseignements mis à jour; le besoin de diriger les patients vers des médecins formés à la maladie de Lyme... beaucoup d'autres éléments ont été délaissés, car aucun spécialiste ne semble formé à la maladie de Lyme actuellement. Alors, des spécialistes, mais nous avons besoin d'une base de données avec tous les médecins formés à la maladie de Lyme, parce que les gens n'arrivent pas à les trouver à l'heure actuelle.

Donc, en deuxième lieu, le meilleur moyen d'entrer en contact avec ces médecins. Une formation médicale continue par des webinaires comme celui-ci, pour les gens de partout au pays qui ne peuvent pas y assister; cette formation devrait être mise à jour régulièrement parce que la situation va changer soudainement avec le réchauffement climatique et les tiques qui migrent plus loin au nord.

Puis les revues, éducatives ou professionnelles, des sommaires plutôt brefs, et des références qu'ils peuvent consulter. Donc, le journal de l'Association médicale canadienne (JAMC) ou la revue des pharmaciens du Canada. Il y a un guide Sanford sur les maladies infectieuses qui est produit chaque année, je crois, ou tous les deux ans, qui est vraiment bien... mais il est fait aux États-Unis. Donc, un cadre de travail mis à jour qui dirait qu'ils doivent réviser leurs lignes directrices selon la National Guidelines Clearinghouse. L'IDSA n'a pas été revu depuis 2006. C'est important que les gens le sachent, parce que sinon, ils utilisent... ils se font dire d'utiliser des lignes directrices qui sont désuètes.

Et, d'accord, maintenant nous arrivons aux éléments cruciaux du succès. Les ordonnances américaines devraient être acceptées. Les médecins devraient simplement les réécrire et les signer, s'ils ne savent pas ce qu'ils font. Mon avis est un peu biaisé dans ce cas-ci. Donc, en gros, la clé du succès serait que tous les médecins sachent traiter les piqûres de tiques ou les symptômes de la maladie de Lyme, et qu'ils avertissent leurs patients au sujet des sécrétions vaginales ou séminales, et de la transmission in utero. Les gens doivent être mis au courant, car beaucoup d'entre nous ne l'étaient pas. Et oui, certains médecins formés aux maladies infectieuses ne sont pas formés à la maladie de Lyme alors, je me dis que peut-être que - surtout dans les régions nordiques où des médecins ne sont pas nécessairement accessibles - peut-être que d'autres professionnels devraient pouvoir prescrire des antibiotiques, donc les naturopathes, les pharmaciens et les infirmières autorisées. Plusieurs groupes de gens pourraient être formés pour prescrire des antibiotiques d'après les lignes directrices des médecins.

Kathleen : [01:35:01]

D'accord, laissez-moi voir si d'autres voudraient commenter ou ajouter quelque chose. Également, madame la téléphoniste, voudriez-vous vérifier si quelqu'un sur WebEx souhaite commenter?

Téléphoniste : Certainement. Merci. Encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires. Il n'y a aucun commentaire inscrit sur les lignes téléphoniques.

Kathleen : Merci. Dans la salle, quelque chose à ajouter? Donc, pendant que vous réfléchissez, encore une fois, je vais seulement... je vais parler du fait qu'il s'agit de tout un groupe d'individus, ici.

Voix de femme : Et que nous en avons probablement oublié.

Kathleen : Et que nous en avons probablement oublié. Je ne ferai pas complètement le tour de la liste, mais je vais donner quelques exemples pour que vous ayez une idée des éléments de base de ce que nous voulons inclure dans le message?

Voix de femme : [01:35:53]

C'est ce que je crois aussi, mais il faut que ce soit un message élaboré par le cadre de travail et dont nous faisons partie. Donc, je ne crois pas que nous devrions tout dire. Il faut seulement que le message soit le bon.

Voix de femme : Message sur les tiques (inaudible).

Voix de femme : Le message sur les tiques que les patients et tous les intervenants détermineront dans le cadre de travail, donc je ne…

Kathleen : D'accord, écrivez seulement les messages sur les tiques, et c'est ce que je vais encercler, oui.

Voix de femme : Je crois qu'on peut y passer rapidement et gagner du temps.

Voix de femme : Oui, non, c'est bien. C'est bon.

Voix de femme : Gagner du temps.

Kathleen : Oui, absolument. Donc, les messages sur les tiques, d'accord. Ensuite, le comment : un webinaire annuel de formation médicale continue, et de la formation dans - je ne donnerai pas d'exemples - mais beaucoup de journaux, de journaux pertinents qui rejoignent les gens. Et il y a un autre message clé ici, qui...

Voix de femme : Peaufiner les lignes directrices du National Guidelines Clearinghouse.

Kathleen : Ici?

Voix de femme : Voilà.

Kathleen : National Guidelines Clearinghouse.

Voix de femme : Et « UpToDate », désolée.

Kathleen : UpToDate, d'accord.

Voix de femme : En fait, « UpToDate » est un site Web.

Kathleen : Un instant, elle a le microphone.

Voix de femme : [01:36:59]

Des lignes directrices dans UpToDate, mais aussi une reconnaissance de la maladie de Lyme chronique, qui n'est pas reconnue par l'IDSA.

Kathleen : La reconnaissance de quoi? Pardon.

Voix de femme : De la maladie de Lyme chronique

Kathleen : Ah, d'accord, d'accord. Donc y compris la maladie chronique, d'accord.

Voix de femme : Alors, c'est pour ça que les patients doivent sortir du Canada, aller aux États-Unis pour obtenir des traitements, parce que la maladie de Lyme chronique n'est pas reconnue, et c'est pourquoi les compagnies d'assurances ne couvrent pas l'invalidité à long terme.

Kathleen : Je vais donc mettre ça dans une bulle surlignée. Allez-y.

Voix de femme : [01:37:31]

Mais ce que nous disons à propos d'« UpToDate » est que c'est le site Web le plus fiable. Tous les étudiants en médecine, et la plupart des médecins que je connais, se tournent vers ce site lorsqu'ils sont dans leur bureau et qu'ils se demandent : « Qu'est-ce que je fais avec une piqûre de tique? Qu'est-ce que je fais avec l'érythème migrant? » Ils se connectent immédiatement sur « UpToDate », qui est un site Web en particulier.

Kathleen : Oh, je n'avais pas compris ça.

Voix de femme : C'est un site Web en particulier, « UpToDate ».

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Et la raison pour laquelle j'aimerais que leur écrire fasse partie du cadre de travail est que plusieurs d'entre nous leur avons déjà écrit, individuellement, en disant que leurs lignes directrices étaient désuètes, mais ils conservent les lignes directrices de 2006 de l'IDSA.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Donc, d'après ce cadre de travail, nous leur écrirons (inaudible).

Kathleen : C'est compris, d'accord. Bien. D'accord. D'accord.

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : (Inaudible) les pharmaciens peuvent y accéder pour vous.

Kathleen : D'accord, alors ce n'est pas gratuit. Les pharmaciens peuvent y accéder.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : La plupart d'entre nous peuvent y accéder gratuitement.

Kathleen : Oh, plusieurs y ont accès gratuitement.

Voix de femme : Les médecins, oui.

Kathleen : Les médecins y ont accès.

Voix de femme : Et tout le monde l'utilise.

Kathleen : Et les médecins qui y ont accès gratuitement l'utilisent bel et bien. D'accord.

Voix de femme : Plusieurs fois par jour.

Kathleen : D'accord, alors je suggère de passer à autre chose. Tout est beau? Alors, qui veut dire quelque chose sur le grand public? Nous venons de parler du grand public. D'accord, prenez ce microphone.

Voix de femme : [01:38:45]

Désolée, nous avions formé deux groupes, donc…

Kathleen : C'est correct.

Voix de femme : Ou deux formes différentes. Donc, essentiellement, la première chose dont nous avons parlé est le public et les Canadiens en général, la sensibilisation à une définition plus large de la maladie de Lyme qui, avec ses co-infections, est la grande imitatrice. Nous assurer que nous soyons tous au courant des signes et symptômes d'une infection, pour pouvoir prévenir le développement de problèmes. Une sensibilisation globale aux risques liés aux piqûres de tiques. Beaucoup de personnes ne semblent pas être au courant, et c'est quelque chose que le public général doit vraiment savoir. Aussi, savoir comment enlever les tiques de façon adéquate. Je sais que nous avons écrit que, dans les endroits prisés par les amateurs de plein air, il serait bien de mettre des trousses CanLyme à la disposition des écoles, des camps de jour... essentiellement, partout où l'on peut penser que les gens font des activités de plein air.

Kathleen : Qu'est-ce qu'une trousse CanLyme?

Voix d'homme : La Fondation canadienne de la maladie de Lyme a produit une petite trousse, avec la fondation G. Magnotta, qui comprend trois outils différents pour le retrait des tiques après une piqûre, même si deux d'entre eux, les « tick twisters », sont controversés. Mais l'autre outil est celui avec les longues pinces et une petite loupe. Les trousses offrent également des petits récipients, avec des étiquettes d'identification, pour conserver les tiques et les envoyer en dépistage. Voilà.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Des lingettes antiseptiques, d'accord. D'accord, ils vont vous les envoyer.

Voix de femme : En passant, c'est moins cher et…

Kathleen : Donc elles sont moins chères en douzaines ou en centaines. D'accord, revenons où nous en étions. D'accord. Continuez.

Voix de femme : Nous avons besoin d'une journée de sensibilisation à la maladie de Lyme, à l'échelle nationale, pour le grand public.

Kathleen : Oh, c'est une bonne idée.

Voix de femme : La Journée nationale de sensibilisation à la maladie de Lyme, comme le 1er mai. Le 1er mai devrait être la Journée de sensibilisation à la maladie de Lyme.

Voix de femme : Ou au moment où les tiques sortent.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Nous devons être conscients des risques que présentent les oiseaux migrateurs et les animaux, la transmission sexuelle et la transmission in utero. Je crois que vous l'aviez déjà noté, aussi. La meilleure façon d'atteindre le public est d'utiliser les médias. Nous parlons alors de la télévision, des journaux, de la radio, d'affiches, de revues, des médias sociaux, de Facebook, de Snapchat, de Twitter, de publicités sur les autobus et les autres services de transport en commun, de panneaux publicitaires, de cours dans les écoles... tout!

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Et en troisième lieu, quels sont les facteurs cruciaux du succès? La sensibilisation en général. Que tout le monde sache ce qui arrive après une piqûre de tique, quoi faire pour l'enlever, et comment recevoir un traitement préventif d'un médecin.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : Et comment savoir si c'est une tique.

Voix de femme : Et comment savoir si c'est une tique, l'identification des tiques. Les enfants doivent vraiment l'apprendre quand ils sont jeunes.

Kathleen : D'accord. Les choses à ajouter, maintenant. Le grand public. Oui, un moment. Je vais vous prêter le...

Voix de femme : [01:41:23]

J'adore l'idée d'une journée de sensibilisation à la maladie de Lyme. Je trouve ça excellent, et je crois que ça rejoint ce que nous disions ici, avec les parlementaires. Vous demandiez ce que les députés pouvaient faire. Si nous avions le soutien de députés pour cette journée, ce serait... alors nous pourrions ajouter ça à la liste.

Voix de femme : Parce qu'ils pourraient en faire la promotion, oui.

Kathleen : [01:41:39]

Bien. D'accord. Y a-t-il autre chose? D'autres commentaires? Je vais seulement... madame la téléphoniste, je vais vous demander, entre-temps, de regarder s'il y a quelqu'un sur WebEx qui aimerait ajouter quelque chose.

Téléphoniste : Certainement. Merci. Encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires. Il n'y a aucun commentaire inscrit sur les lignes téléphoniques pour l'instant.

Kathleen : D'accord, merci. D'accord. Vous savez quoi, je vais probablement juste écrire « multimédia ». Et je ne ferai pas nécessairement le tour de toute la liste.

Voix de femme : (Inaudible).

Kathleen : Exactement. D'accord.

Voix de femme : (Inaudible).

Kathleen : Un instant, je dois vous donner le microphone.

Voix de femme : [01:42:25]

En parlant des médias, connaissez-vous l'extraordinaire initiative de Bell Canada pour aider la cause de la maladie mentale?

Kathleen : Oui.

Voix de femme : Puis on voit des célébrités, vous savez, qui soutiennent la cause. Si nous pouvions obtenir un partenaire principal et... pardon?

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : Oui, ou peut-être Avril Lavigne, une Canadienne.

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : Une porte-parole.

Voix de femme : Une porte-parole, puisque c'est vraiment accrocheur. Vous savez, ça ferait un bon mot-clic, et tout le monde pourrait participer. Et ça rapporte de l'argent.

Voix de femme : Oui, Avril Lavigne.

Kathleen : D'accord, alors nous devrions probablement lui dire, à un certain point, qu'elle...

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Oui, une célébrité porte-parole, vous pouvez l'écrire. D'accord, alors je vais faire ça pendant que vous terminez. D'accord. Encore une fois, permettez-moi de poursuivre, parce que nous n'en sommes pas encore à la moitié. D'accord. Est-ce que quelqu'un peut parler des services de santé publique fédéraux, provinciaux et territoriaux?

Voix de femme : [01:43:18]

Alors, nous voulions nous assurer que lorsque les services de santé publique publieront leurs lignes directrices, ces dernières seront représentatives du cadre de travail, que les services ne publieront pas seulement les lignes directrices de l'IDSA, et qu'ils comprennent que les lignes directrices existantes de l'IDSA sont limitées et désuètes; elles datent de 2006. Les services de santé publique doivent reconnaître que chaque province présente des cas de maladie de Lyme. Les services de santé publique... Voyons voir, un mécanisme qui assurera la diffusion des renseignements aux provinces, à l'échelle régionale, et qui assurera la surveillance et l'évaluation annuelle de la mise en place.

Nous avons parlé d'avoir accès à des spécialistes de services-conseils, par exemple, la ligne RACE, en Colombie-Britannique, qui signifie accès rapide à de l'expertise consultative. Il s'agit d'une ligne téléphonique que nous pouvons appeler si nous voulons des avis en gynécologie, en neurologie, ou autres.

Nous avons besoin d'un code de facturation à l'heure pour ces patients complexes, de sorte que les médecins pourront passer le temps nécessaire avec eux et être payés. Nous avons parlé de payer les médecins pour assister aux séances accréditées d'apprentissage en ligne. Il y a un programme de soutien aux praticiens en Colombie-Britannique qui consiste à payer les médecins pour neuf heures d'apprentissage lorsqu'ils cernent un problème de santé mentale. Ils parlent d'une formation obligatoire sur les concepts de base. Je ne sais pas si on peut obliger un médecin à apprendre quoi que ce soit, mais bien franchement, on peut les inciter avec une rémunération.

Voix de femme : Et de la nourriture gratuite!

Voix de femme : Et de la nourriture, de la bonne nourriture.

Voix de femme : (Inaudible) iront n'importe où pour de la nourriture gratuite.

Voix de femme : Nous avons discuté de l'idée que les services de santé publique pourraient engager des étudiants, l'été, pour éduquer le public. Ce serait un très bon moyen de diffuser l'information.

Voix de femme : Et ils apprennent pendant qu'ils enseignent.

Voix de femme : Ils apprennent et ils peuvent transmettre leur savoir à leurs collègues. S'assurer que les services de santé publique imposent une surveillance et des prélèvements fréquents, et nous avons suggéré des conférences annuelles sur la maladie de Lyme et les infections transmises par les tiques, pour que tout le monde reste au courant des plus récents renseignements. Sensibiliser les services de santé publique à... j'ai écrit « aux lignes directrices de l'IDSA », mais je crois que je dirais plutôt « aux lignes directrices de la National Guidelines Clearinghouse ».

Voix de femme : Voilà.

Voix de femme : Oui. Et une protection pour les médecins qui offrent des traitements. Je ne sais pas si les services de santé publique peuvent garantir ça ou non.

Kathleen : Ça devra probablement aller dans la section des parlementaires, n'est-ce pas?

Voix de femme : Oui, je crois bien.

Voix de femme : (Inaudible) probablement avec nos collèges.

Voix de femme : Oui, d'accord.

Kathleen : D'accord?

Voix de femme : [01:45:52]

Des tests sanguins suite à un diagnostic d'infection transmise par les tiques, afin de s'assurer que tout a bien été éliminé avant que le sang se rende à la banque, avant le don de sang.

Voix de femme : Oh, oui!

[Applaudissements]

Voix de femme : Parce qu'à l'heure actuelle, je suis légalement autorisée à donner du sang au Canada.

Kathleen : Mm-hum!

Voix de femme : C'est très, très alarmant.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : [01:46:17]

C'est pareil pour les dons d'organes.

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : Puisque je suis moi-même donneuse d'organes, et j'ai dû me disputer jusqu'à en devenir bleue, et je n'ai toujours pas été retirée du registre de consentement au don d'organes. Mon mari et ma famille connaissent ma volonté, mais si je devais périr dans un accident de voiture, toute seule, ils donneraient mes organes.

Voix de femme : Ce sont vraiment (inaudible), car il faut l'approbation de la famille.

Voix de femme : D'accord. Même si c'est écrit sur mon permis, et tout? D'accord.

Voix de femme : Oui, votre famille a le dernier mot, alors vous n'avez pas à vous inquiéter.

Voix de femme : Ils n'ont pas voulu me retirer du registre.

Voix de femme : Non.

Voix de femme : Parce que j'ai eu un traitement pendant 30 jours, on m'a dit que j'étais guérie.

Voix de femme : Voilà.

Voix de femme : Je n'avais aucun problème à continuer de faire des dons, mais ils ne voulaient pas me retirer du registre.

Voix de femme : Non.

Kathleen : D'accord. Nous allons nous assurer d'en faire mention.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Oui, c'est énorme.

Kathleen : D'accord, et très rapidement, parce que nous allons manquer de temps.

Voix d'homme : [01:47:01]

Bien sûr. Je crois que les bureaux de santé publique s'efforcent à éduquer les gens sur les maladies transmises sexuellement, mais je ne crois pas qu'ils considèrent la maladie de Lyme comme une possibilité. Et si nous... vous savez, c'est une excellente ressource à exploiter. Par exemple, ma sœur est une infirmière en santé publique et elle parle du sida à longueur de journée. Je lui ai parlé, vous savez, du fait que la maladie de Lyme puisse être transmise sexuellement. Imaginez-vous qu'elle n'en savait rien. Et c'est son métier. Et vous savez, je crois que si nous pouvions en faire une de leurs préoccupations et une des maladies sur leur liste, c'est quelque chose qui pourrait sortir...

Voix de femme : (Inaudible).

Voix d'homme : Oui, oui.

Kathleen : D'accord, encore un commentaire pour l'instant, puis nous allons passer à autre chose.

Voix de femme : [01:47:48]

Certaines infirmières cliniciennes spécialisées pourraient travailler dans la santé publique pour éduquer d'autres infirmières, et même des médecins.

Voix de femme : Et le public.

Voix de femme : Et le public, bien sûr. Mais, je pense qu'il y a de grandes lacunes chez nos professionnels de la santé, et c'est ce que nous devons cibler immédiatement et...

Kathleen : D'accord, c'est bien. Je crois que lorsque nous parlons du problème de la transmission sexuelle, nous devrions montrer cette affiche, n'est-ce pas?

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : D'accord, et rapidement, car je dois passer à autre chose.

Voix d'homme : [01:48:27]

Pardon, simplement pour faire un petit ajout à ce sujet, je crois que la possibilité de transmettre la maladie à un enfant à naître est un message très puissant. C'est pour ça que le Zika a pris tant d'importance. « Qu'est-ce qui arrivera aux bébés? Qu'est-ce qui arrivera aux bébés? »

Kathleen : C'est bien.

Voix de femme : La recherche.

Voix d'homme : Et la recherche qui confirme que ça se produit.

Kathleen : Peut-être que nous devrions alors ajouter ça à « médias » quand nous y arriverons.

Voix de femme : Voilà.

Voix de femme : Oui.

Kathleen : D'accord, très bien. Passons à l'élément juste ici, c'est-à-dire les patients. Est-ce que quelqu'un peut venir expliquer ce qui se retrouve sur ce tableau?

Voix de femme : (Inaudible) les écritures ici.

Voix de femme : J'ai commencé. J'imagine que je vais (inaudible).

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Prenez votre temps.

Voix de femme : Nous avons quelques difficultés avec le mouvement de groupe. Ça devrait passer, ça aussi.

Kathleen : Oui, en effet. Nous espérons.

Voix de femme : C'est parti?

Kathleen : C'est parti.

Voix de femme : [01:49:19]

D'accord. D'accord, alors notre sujet de discussion est les patients. Et ce dont nous avons réellement besoin est un traitement et du soutien immédiats. Nous avons donc besoin d'organismes qui aideront à comprendre les besoins et les limites des patients. Nous avons besoin d'une aide financière, qui inclurait le RPC, le bien-être social et la protection médicale. L'assurance des soins dentaires.

Voix de femme : Oh!

Voix de femme : Parce que, il faut l'admettre, les patients atteints de la maladie de Lyme ont une dentition horrible. De l'aide par des prescriptions et, juste en dessous, nous avons une diminution de la paperasse. De l'aide par un représentant, de l'aide aux patients pour les rendez-vous avec les médecins, etc. Nous avons écrit de l'aide au transport. Vous savez, si vous avez le cancer, vous pouvez avoir un transport jusqu'à l'hôpital. Oui, d'accord.

Donc, des groupes de soutien. Nous avons besoin de leadership. Et j'imagine qu'ici, c'est « formation ». Pardon. Renseignements pour les médecins. Oh! Des renseignements offerts dans les bureaux des médecins, comme des brochures.

Voix de femme : Oui!

Voix de femme : Parce que vous savez, quand vous vous assoyez dans une salle d'attente, il y a des dépliants, n'est-ce pas? Eh bien, pas ici. En fait, pas au sujet de la maladie de Lyme. Donc c'était bien « formation » ici, pardon. Formation par groupes de soutien. Oui, d'accord. Aussi, dans les pharmacies et chez les vétérinaires, on devrait retrouver ce genre de brochures.

Évaluations de la santé bucco-dentaire des patients. D'accord, j'imagine que c'était compris ici, dans les soins dentaires.

Voix d'homme : (Inaudible) ça dit dans l'ensemble.

Voix de femme : Dans l'ensemble.

Kathleen : D'accord.

Voix de femme : C'est bon. Que puis-je dire? Je suis heureuse que vous ayez la situation en main. Ensuite, un remboursement des frais. On parle ici de rembourser les patients pour des voyages hors du pays, pour les voyages de longue distance... et qu'en est-il de nos suppléments?

Voix de femme : Oui.

Voix de femme : C'est là.

Voix de femme : Je veux dire, oui, oh, c'est probablement ici... oui, ça l'est, juste après. Désolée, je n'étais pas attentive. Les suppléments, les soins complémentaires selon les besoins du traitement, y compris les naturopathes, les chiropraticiens, les intraveineuses, les ostéopathes... et la liste continue encore et encore. Mais rien que vous pourriez imaginer qui nous aiderait, n'est-ce pas?

D'accord, alors le facteur de réussite. L'abolition du fardeau financier des patients. Hourra! Le suivi, la mise en œuvre, des conférences annuelles. Oui, nous avons besoin de tout ça. Et un remboursement des ordonnances provenant des États-Unis. D'accord, puis, vous savez, il a tellement de choses, mais c'est ce que nous avions écrit, alors merci.

Kathleen : [01:51:43]

Excellent. Merci beaucoup d'avoir rapporté tout ceci. Autre chose à ajouter? Aussi, tandis que les gens réfléchissent dans la salle, permettez-moi de m'adresser à la téléphoniste. Pourriez-vous vérifier sur WebEx si quelqu'un aurait quelque chose à ajouter?

Téléphoniste : Merci. Encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 si vous avez un commentaire en ce moment. En effet, nous avons un commentaire venant de Tatiana Guzman. Veuillez m'excuser, le commentaire a été annulé. Alors, encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des questions ou des commentaires.

Kathleen : Autre chose?

Téléphoniste : Il n'y a aucun commentaire inscrit sur les lignes téléphoniques pour l'instant. Je vous prie de m'excuser, Tatiana Guzman s'est remise en ligne. Allez-y, s'il vous plaît. Votre ligne est maintenant ouverte.

Tatiana : [01:52:24]

Bonjour. Pardon. Je voulais mentionner que, lorsque vous parliez de groupes qui font du plein air, d'inclure Scouts Canada et les autres groupes de scouts. Comme, par exemple, les scouts ukrainiens, italiens, polonais. Donc, avoir accès à tous ces leaders et aux jeunes.

Kathleen : Oui, absolument! D'accord, nous allons l'ajouter à notre tableau dans la section des activités et des amateurs de plein air. Merci.

Tatiana : Merci.

Kathleen : Autre chose du côté de WebEx?

Téléphoniste : Merci. Nous avons un autre commentaire de la part de Joanne Rajguru. Allez-y, s'il vous plaît.

Joanne : [01:53:02]

(Inaudible). Est-ce que ces renseignements seront accessibles sur Internet ou sur... un retour sur tout ce qui s'est passé dans les derniers jours, même par courrier électronique?

Kathleen : Est-ce que les renseignements partagés lors de la conférence seront accessibles? Donc oui, alors, tout ceci est enregistré, et les gens auront accès à l'enregistrement complet. Et, bien sûr, nous sommes à la recherche de moyens d'obtenir toutes les présentations pour lesquelles nous avons la permission des auteurs; nous allons toutes vous les envoyer ou les rendre également accessibles. D'accord?

Alors, autre chose à ajouter sur les patients? Oui?

Voix de femme : [01:53:51]

J'aurais juste une dernière question. Je ne sais pas si ça a déjà été mentionné, mais des consultations psychologiques. Je crois que nous avons tous vécu une expérience très traumatisante, et que nous avons besoin de plus de soutien que ce que nous recevons actuellement.

Kathleen : D'accord.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : D'accord, oui, encore quelques brefs commentaires, car nous approchons vraiment de la fin.

Voix de femme : [01:54:12]

Nous pourrions bénéficier de scintigraphies du cerveau, comme la tomographie par émission monophotonique (TEMP), et aussi de neurologues qui en analyseraient les résultats, en fait. L'hôpital Mount Sinai les utilise pour une raison. Ils n'investissent pas des milliers de dollars sur des appareils inutiles. Et les tomographies par émission de positons.

Voix de femme : Où est-ce qu'on pourrait le mettre?

Voix de femme : Je pense qu'il est déjà là.

Kathleen : C'est déjà là? D'accord, allez-y.

Voix de femme : [01:54:32]

Donc, en ce qui concerne les conférences annuelles, je me demande s'il serait bon de demander immédiatement aux services de santé publique ou au gouvernement, peu importe, du financement pour une conférence menée par les patients qui traiterait, vous savez, du diagnostic et du traitement de la maladie de Lyme.

Kathleen : (Inaudible) suggestion. Conférence menée par les patients, axée sur les patients. D'accord, un, deux, trois.

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Je vais laisser... nous allons écrire les deux, et certains d'entre vous vont préférer « menée par les patients », et d'autres « axée sur les patients ». Dernier commentaire avant de passer au prochain tableau.

Voix de femme : [01:55:10]

J'aimerais juste ajouter « sur une base annuelle », pour la conférence.

Kathleen : D'accord, c'est bien. Merci.

Voix de femme : Nous voulons que vous soyez notre modératrice.

Kathleen : Oh, vous êtes trop gentils! Merci. D'accord. Les enfants dans les écoles. Qui peut parler de ce sujet?

[Les participants parlent en même temps.]

Kathleen : Oui!

Voix de femme : [01:55:35]

Premièrement, nous voulons éliminer la contraction de la maladie dès le départ. Éduquons nos enfants et ne l'attrapons pas. Les écoles ont des tableaux blancs électroniques. Il faut utiliser les tableaux blancs électroniques. Chaque école du Canada a un tableau blanc électronique. Il faudrait prévoir un outil, un appareil, que les enseignants pourraient utiliser une journée précise en mai, ou lorsque les tiques sortent, pour éduquer les enfants, partout au Canada.

Un moyen d'atteindre les enfants immédiatement. Adapté à l'âge. Entre cinq et neuf ans, tous les enfants n'apprennent pas de la même façon. Donc, pour un enfant de cinq ans, il s'agirait plutôt d'un dessin animé ou d'une publicité, tandis que pour un enfant de neuf ans il est possible d'aller un peu plus dans les détails, puisque nous ne voulons pas les effrayer.

Une des bonnes façons d'y arriver est de peindre des murales dans les écoles. Des publicités. De jolies publicités à la télévision pour les enfants. Des jeux de rôles. Demandez à un enfant ce qu'il ferait s'il avait une tique sur lui. À qui en parlerait-il? Juste des petites choses, comme ça.

Qui peut leur parler? Qui parle à nos enfants? Les professeurs, les entraîneurs, les orienteurs, les clubs 4-H, les assistants en éducation, les parents, les médecins, les infirmières scolaires, les éducateurs de la petite enfance, les directeurs, les coordonnateurs des activités parascolaires?

Voix de femme : Les secrétaires.

Voix de femme : Et les secrétaires. Les éducateurs de la petite enfance. Nous sommes ceux qui interagissent avec nos enfants chaque jour.

S'appuyer sur la recherche existante. Allez aux États-Unis. C'est là que j'ai trouvé l'idée des murales, au Connecticut. Allez dans les endroits déjà endémiques, et découvrez ce que les gens font pour éduquer leurs enfants. Nous n'avons pas besoin de dépenser beaucoup d'argent. Nous avons qu'à ouvrir Internet.

Chaque école devrait avoir une trousse pour les tiques. Chaque école. Nous avons également parlé d'avoir une journée t-shirts, comme la journée de lutte contre l'intimidation. Donc, peut-être que le 1er mai, si nous obtenons une journée mensuelle de sensibilisation à la maladie de Lyme, nous prendrions des t-shirts et les ferions porter aux enfants. Nous pourrions vendre des t-shirts pour la maladie de Lyme, et l'argent retournerait aux écoles. C'est un excellent moyen pour que l'école gagne de l'argent tout en éduquant les enfants.

Éduquer, enseigner, ne pas effrayer. Nous ne voulons pas que les enfants aient peur de jouer dehors. Nous voulons qu'ils aillent dehors.

Des bulletins d'information envoyés à la maison seraient un bon moyen de faire passer le message aux enfants pour les parents.

Voix de femme : Des bulletins d'information vert lime.

Voix de femme : Des bulletins d'information vert lime? D'accord. Peut-être que... si nous sommes dans une zone endémique, nous pourrions suggérer aux parents de ne pas laisser leurs enfants se promener avec des sandales? Suggérer d'habiller leurs enfants comme s'ils pouvaient attraper la maladie de Lyme, lorsqu'ils jouent dans les parcs. Informer les parents. Vendre des t-shirts, c'est une bonne façon d'informer les parents. Si un enfant est mordu à l'école, le parent doit en être informé. Consultez un professionnel pour la piqûre, avec la lettre. Donc, si un enfant est piqué à l'école, si vous voyez la piqûre, vous envoyez une lettre à la maison disant : « Votre enfant a été en contact avec une tique aujourd'hui. Consultez un professionnel de la santé immédiatement. »

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Non! Je crois... pardon...

Voix de femme : Ou appeler le parent.

Kathleen : D'accord, un instant. Un instant. Vous devez utiliser le microphone.

Voix de femme : [01:58:38]

Pardon. Je crois que ça devrait être immédiat. Ils doivent comprendre à quel point c'est sérieux.

Voix de femme : Voilà.

Voix de femme : Et si les parents ne sont pas disponibles, alors, le directeur adjoint ou le directeur - puisque les enseignants n'ont pas le droit - mais le directeur adjoint ou le directeur peut amener l'enfant immédiatement à l'hôpital.

Voix de femme : Voilà.

Voix de femme : Ou, s'il y en a une.

Kathleen : D'accord, et nous avons un autre commentaire ici. Un instant.

Voix de femme : [01:59:04]

En tant que mère de trois enfants, je me fiche de quelle formation de la formation qu'ont reçue les enseignants; aucun enseignant ne va retirer une tique de mon enfant, car s'ils font une erreur, ils ne... ça doit être fait par une infirmière ou un médecin. Donc, comme vous l'avez dit, ils peuvent appeler le parent. Si vous retirez une tique d'un enfant et que vous ne la retirez pas complètement? Vous allez recevoir une poursuite en plein visage.

Voix de femme : (Inaudible).

Voix de femme : Donc ça ne peut pas être un enseignant. Il faut que ce soit quelqu'un de qualifié. Il n'y a plus d'infirmière dans les écoles, aujourd'hui.

Voix de femme : Non.

Voix de femme : Alors on doit appeler le parent ou amener l'enfant à l'urgence.

Voix de femme : À l'urgence, oui.

Kathleen : D'accord. D'accord. Encore quelques commentaires, ou plutôt un autre commentaire, puis, nous passerons à autre chose.

Voix de femme : [01:59:37]

Je crois que nous devons veiller à ce que les commissions scolaires aient des politiques écrites au sujet des tiques, de la maladie de Lyme et des maladies transmises par les tiques.

Kathleen : Oui.

Voix de femme : Et les ministères de l'Éducation ont un énorme pouvoir pour réellement informer les provinces et les territoires. C'est également quelque chose qui doit se faire.

Kathleen : C'est certainement un outil.

Voix de femme : Oui, c'est bien.

Voix de femme : [01:59:56]

Je n'ai pas pu m'y rendre plus tôt. J'étais occupée avec les trucs législatifs. Je crois que ces idées sont vraiment géniales et, vous savez, je crois qu'il ne manque qu'un partenaire, et c'est l'industrie. Vous savez, nous avons des outils, nous avons des mécanismes, nous avons des médias sociaux et Twitter, ou d'autres entreprises qui peuvent participer activement dans ce processus. Et je pense qu'un des principaux éléments, pour les enfants, c'est les médias sociaux. Vous savez, YouTube est tout simplement...

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Oui, absolument. YouTube est très populaire chez les enfants de neuf ans. Donc, voilà.

Kathleen : Donc, utiliser les médias sur lesquels ils sont actifs. Permettez-moi de demander à la téléphoniste si quelqu'un souhaite ajouter quelque chose sur WebEx.

Téléphoniste : Merci. Encore une fois, veuillez appuyer sur l'étoile, puis le 1 à l'instant si vous avez des commentaires. Il n'y a pas de commentaires inscrits à l'heure actuelle.

Kathleen : D'accord. Il y a un commentaire ici. Merci, madame la téléphoniste.

Voix de femme : [02:00:49]

Le plan de cours pour les enfants à l'école, comme les enseignants d'éducation physique qui sont responsables du volet « santé ». Ça devrait être inclus.

Kathleen : Dans leur plan de cours, d'accord. Et puis (inaudible). D'accord, c'est bon? Il nous en reste deux autres à faire. Ici, j'ai les médias. D'accord, alors qui va parler des médias? Est-ce que quelqu'un pourrait simplement nous résumer la situation?

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Si vous voulez.

Voix de femme : D'accord.

Kathleen : Je crois que c'est à vous.

Voix de femme : J'imagine que c'est à moi.

Kathleen : Allez-y.

Voix de femme : D'accord, si je pouvais... oh, j'ai besoin de mes lunettes.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : [02:01:30]

Bon. Alors, quand nous avons parlé des médias et des diffuseurs de messages, nous avons dit vouloir, en premier lieu, que les renseignements soient justes, selon ce que nous savons aujourd'hui. Nous voulons que les faits soient dans le message, peu importe la façon dont nous l'envoyons dans les médias. Nous voulons nous assurer que les patients participent à la création de ce message avant qu'il ne soit envoyé. Aucune information trompeuse. Bon, je sais que nous ne disposons pas de tous les faits et que certaines choses sont spéculatives, mais notre message doit comporter les renseignements que nous savons justes. Des choses comme le fait qu'il y a bel et bien des tiques ici, au Canada, et à l'extérieur, que ça représente un problème. Il existe une variété de symptômes, et nous devons dresser une liste des principaux symptômes et le fait que la maladie de Lyme est, vous savez, la grande imitatrice, comme on l'a mentionné. Beaucoup de ces choses ont déjà été dites, mais je vais récapituler rapidement ce que nous avons :

aiguë contre chronique; l'érythème migrant et les symptômes similaires à ceux de la grippe; les signes et symptômes à surveiller, sans se limiter aux symptômes qui peuvent être développés à long terme, donc, les choses à surveiller dès maintenant chez vos enfants et ainsi de suite;

le diagnostic clinique; un message clair et convaincant comme quoi les analyses sanguines et ce genre de choses ne sont pas la seule et unique condition; des photos des tiques, évidemment. Et j'aime dire... je n'aime pas utiliser le terme « maladie de Lyme ». Je préfère « maladie transmise par les tiques », car on regarde l'ensemble de la problématique, et pas seulement la maladie de Lyme.

Voix de femme : Et (inaudible) des tiques.

Voix de femme : Oui, donc ça devrait être présenté comme des maladies infectieuses, vous savez, transmises par les tiques. Que le risque est présent toute l'année, comme nous l'avons mentionné. Retrait adéquat de la tique. Et encore une fois, comme on l'a mentionné, il y a une certaine controverse à ce sujet. Alors, comment allons-nous faire pour diffuser ce message pour autant que nous en savons aujourd'hui?...et le mettre à jour, si de nouveaux renseignements font surface? Vérifier la présence de tiques. Faire de la prévention. Parler, dans le message, du port de bas blancs, de vêtements pâles, ce genre de chose.

Je n'arrive pas à lire ça. Si vous étiez piqué, allez... Ah, si vous êtes piqué, allez consulter un médecin. Encore une fois, n'attendez pas l'apparition de symptômes. Encore une fois, je suis d'accord avec... étant dans le domaine des... je travaille pour le gouvernement fédéral, et nous avons... j'ai fait partie des coordonnateurs de santé et de sécurité au travail pour notre bureau. Ne prenez pas de risques. Appelez une ambulance. Où que vous soyez, si vous êtes à l'école, ce service devrait être payé, de sorte que les gens puissent recevoir de l'aide professionnelle immédiate.

Bon, je comprends que les professionnels de la santé doivent être informés de la façon de faire. C'est une étape, vous savez? Mais lorsque ça se produit, tout doit être effectué correctement et l'argent doit être investi pour qu'ils y arrivent.

D'accord, maintenant en ce qui concerne la deuxième partie, le meilleur moyen de les atteindre, nous avons dit, encore, l'utilisation des médias et d'annonces publicitaires. Les médias sociaux représentent évidemment un outil puissant auprès des jeunes, en particulier, mais ces médias sont également utilisés par les gens de tous âges, maintenant. La radio, les bulletins de nouvelles. Nous voulons un plan marketing accrocheur, quelque chose qui attire l'attention, car comme nous en avons parlé, beaucoup de gens n'y porteront pas attention jusqu'à ce qu'un de leurs proches - ou eux-mêmes - attrape la maladie de Lyme. Autrement, ils vont simplement changer de poste ou éteindre leur appareil. Encore une fois, il s'agit de ramener le tout à quelqu'un de connu, comme Avril Lavigne, par exemple; quelqu'un dont l'infection est déjà connue du public et qui jouit d'une certaine célébrité pour livrer le message dans une publicité télévisée, par exemple. Ou un slogan accrocheur, encore pour les enfants, dans lequel on incorporerait certaines des autres choses que nous disons ici.

Des efforts concentrés sur une campagne annuelle, en début de printemps. Nous avons parlé... quelqu'un a écrit, encore une fois, le sujet de la transmission sexuelle. Je sais que les preuves ne sont pas encore toutes... mais j'y crois fermement. Alors, je suis passionné par le fait que les gens ne devraient pas aller - vous savez, même si nous n'avons pas les réponses exactes - qu'ils ne devraient pas sortir et répandre ça!

Donc, troisièmement, je crois que ça fait le tour. Un plan marketing. Oh, nous avons parlé de la peur. Je suis d'accord sur le fait de ne pas vouloir effrayer les enfants, de vouloir que les gens aillent jouer dehors ou partent en randonnée. Avec le virus Zika, c'est à cause de la peur que le public a porté attention. Donc, si personne ne porte attention, vous savez, nous avons parlé du fait qu'il puisse y avoir... il doit y avoir un peu de peur, par exemple : « Saviez-vous que ceci pourrait vous arriver? Voici ce que vous pourriez attraper si vous ne prenez pas ce problème au sérieux. » Il faudra donc trouver l'équilibre parfait entre les deux.

Puis, pour la troisième partie, quels seraient les facteurs de succès essentiels? Nous avons parlé de regarder les tendances chez les personnes qui partagent le message. Les gens, vous savez, nous pourrons voir que les personnes sont au courant, car ils vont partager le message de plus en plus sur les médias sociaux, ils vont le partager à leurs bureaux. Et, encore une fois, la surveillance pourra se faire de diverses façons.

Tous les médias le font. Vous souvenez-vous de ce dont nous parlions ici?

Kathleen : Que ce serait un signe de succès, c'est bien ça?

Voix de femme : Comme... oui. Oh, oui. Absolument. Oui, de trouver... désolé, mon cerveau. Alors, oui, de voir que les choses, vous savez, que les choses vont de l'avant et qu'une campagne verra le jour. Je veux dire, ça fait partie du succès, et on commence à le voir.

Une autre chose, quelqu'un a mentionné l'industrie. En fait, je pense que nous devrions avoir des commanditaires du secteur privé qui sont... vous savez, de nombreuses grandes industries ne sélectionnent que quelques causes auxquelles ils vont participer. Et le message officiel, quand il sera diffusé, nous voulons qu'il provienne d'un site officiel, et que les gens puissent alors aller visiter les sites Web. Par exemple, disons que c'est lors d'une émission de télévision, les gens peuvent alors aller sur les sites Web pour s'assurer d'avoir les renseignements les plus à jour, en comparaison d'une variété de renseignements erronés qui circulent. Donc, voilà.

Kathleen : [02:07:22]

D'accord. Alors, vous savez, c'était cinq minutes... vous avez pris cinq minutes.

Voix de femme : Est-ce que j'ai trop parlé? Pardon.

Kathleen : Non, non.

Voix de femme : D'accord.

Kathleen : Par contre, ce que je veux dire est que je n'aurai pas le temps de passer à travers tout ça, d'accord?

Voix de femme : D'accord.

Kathleen : Je veux simplement vous avertir.

Voix de femme : Et beaucoup de choses ont été répétées. Alors, pardon.

Kathleen : Oui. D'accord, et ici, il ne s'agissait pas de transmission à...

Voix de femme : In utero.

Kathleen : In utero. In utero, merci. Nous allons donc ajouter cette transmission aux bébés.

Voix de femme : (Inaudible).

Kathleen : Oh, est-ce que c'est déjà là, quelque part?

[Les participants parlent en même temps.]

Voix d'homme : C'est sur le (inaudible).

Kathleen : D'accord. Oh, c'est sur l'autre? D'accord.

Voix de femme : (Inaudible).

Kathleen : Oh, pardon, vous avez besoin d'un microphone. Je suis désolée.

Voix de femme : Pardon, désolée.

Voix de femme : [02:07:57]

Je sais que certaines personnes se retrouvent avec des canes, en fauteuils roulants ou même morts, et je crois que ça doit être partagé avec le public. C'est grave. Ce que je veux dire, c'est que les médecins voient des patients mourir de ça. Il faut prendre la situation au sérieux.

Kathleen : D'accord, encore quelques messages.

Voix de femme : [02:08:13]

Je veux simplement ajouter quelque chose, car je sais que beaucoup croient qu'Avril ferait une bonne ambassadrice, mais je crois que ça serait plutôt à votre désavantage. Premièrement, nous lui avons déjà demandé de vous représenter, et elle a dit non. Deuxièmement, je crois que vous auriez plus d'influence en montrant quelqu'un en fauteuil roulant, un cercueil, une vraie personne atteinte de la maladie de Lyme, qui la ramène chez elle. Et vous montrez un bébé mort-né parce que sa mère a contracté la maladie ou qu'elle a eu un partenaire sexuel. Je crois donc que votre message dans les médias devrait être très prudent.

Kathleen : D'accord, et...

Voix de femme : Alors j'enlèverais Avril de votre liste.

Kathleen : Et nous n'allons pas choisir quelqu'un dès maintenant, d'accord? Nous n'allons pas choisir quelqu'un.

Voix de femme : Ce n'est que du remue-méninges.

Voix de femme : Je sais, mais je veux que vous le sachiez, parce que nous avons essayé (inaudible).

Voix de femme : [02:08:47]

Je suis d'accord, car la seule chose : les gens qui ne savaient rien sur la maladie de Lyme, qui ne s'en souciaient pas, qui savaient seulement que cela me concernait, ou peu importe, quand ils ont su qu'Avril Lavigne avait la maladie de Lyme? « Wow! Arlene, as-tu entendu ça? » Oui, alors, ces gens sont... Ils viennent et ils repartent. Ils volent au gré du vent (inaudible).

Kathleen : D'accord, un dernier commentaire avant d'entendre le dernier groupe.

Voix de femme : [02:09:11]

Je trouve que le processus dans lequel nous évoluons ici est magnifique. Je dirais que mes inquiétudes sont sur le long terme, et nous n'avons pas vraiment parlé du long terme. Alors, comment savoir? Y a-t-il un processus? Existe-t-il un comité? Y a-t-il quelque chose en place pour que nos idées soient vérifiées, examinées en vue d'une approbation, concrétisées, évaluées? Comment pouvons-nous savoir que les médias fonctionnent? Comment pouvons-nous savoir que la mentalité des gens change? Alors, je crois que nous devons encourager des évaluations constantes; au départ, au milieu, constamment.

Kathleen : (Inaudible) car ça va même au-delà de ce thème. C'est pour les trois thèmes, n'est-ce pas?

Voix de femme : Oui.

Kathleen : D'accord. Allons-y maintenant avec le dernier point : les loisirs à l'extérieur. Quelqu'un peut-il nous résumer rapidement ce point?

Voix de femme : [02:09:58]

D'accord, donc il s'agit d'un groupe à risque élevé. Essentiellement, nous voulons être au courant du risque que représentent les tiques, exactement comme ce que nous avions de l'autre côté. Des affiches, des parcs, des sentiers. Éduquer et former des entraîneurs. Tout le monde devrait être formé pour retirer des tiques. C'est très, très, très important. Je veux dire, oui, nous voulons que les médecins le fassent et tout, mais si vous êtes dans un camp d'été et que vous n'avez pas accès un accès immédiat à un hôpital, il pourrait être utile d'avoir des trousses pour tiques dans tous ces camps, et que tous les responsables soient capables de s'en servir.

Les terrains de golf, les terrains de jeux. Nous avons noté les trousses CanLyme, évidemment. Celles à 15 $. Les camps d'été. Des publicités dans les magazines de plein air, de chasse, de camping, de randonnée pédestre et de véhicules récréatifs. Des publicités dans les boutiques Running Room. Dans les livres de parcs et loisirs. Dans les magasins de plein air. Dans les magasins d'équipement d'arpentage, car les arpenteurs, évidemment, c'est le métier que faisait mon père, et ils sont extrêmement à risque.

Et de quoi tout cela aura l'air une fois que nous aurons réussi? Essentiellement, une prise de conscience générale au sein de cette communauté, parce qu'ils représentent vraiment un groupe à risque élevé. éduquer et sensibiliser les groupes à risque élevé. Et...

Voix de femme : Les emplacements.

Voix de femme : Les emplacements, oui. Encore une fois, je crois que nous revenons un peu aux médias. C'est à eux de veiller à ce que les renseignements soient disséminés dans toute la population.

Kathleen : D'accord, alors je vais vous permettre de continuer la discussion aussi longtemps que vous le voudrez après 12 h 15, mais je vais devoir y aller si je veux avoir le temps de préparer cela et de manger une bouchée rapidement.

Voix de femme : [02:11:34]

Je crois qu'en Colombie-Britannique, WorkSafeBC est responsable de la sécurité des personnes qui travaillent à l'extérieur. Ça pourrait être bien d'obtenir leur participation, aussi.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Bonne idée.

Voix de femme : Quel est le nom, déjà?

Voix de femme : WorkSafeBC. Je ne suis pas certaine si c'est national ou non.

Kathleen : D'accord. Bon appétit, les amis! On se revoit à 13 h. Oh, je suis désolée. Tout le monde, nous en avions une dernière. Il y avait un autre commentaire, et j'ai oublié. Allez-y.

Voix de femme : [02:11:57]

Je voulais simplement fournir un argument contre l'utilisation de pyréthroïde, tous ces insecticides. J'ai fait beaucoup de recherche sur les effets des pesticides sur la santé. Ce sont des substances toxiques qui influencent le neurodéveloppement, ce qui veut dire que si les femmes enceintes y sont exposées, leurs enfants pourraient présenter des problèmes d'apprentissage. Ils présentent aussi un risque pour les jeunes enfants. Donc, pour les jeunes enfants et les femmes enceintes, je ne les recommanderais pas, et je ne les utiliserais jamais chez moi.

Voix de femme : Oh, non, non.

Voix de femme : [02:12:26]

Dites, tout le monde, comme nous partons tous, nous avons discuté avec les animateurs. Nous essayons d'organiser une photo de groupe dans la salle principale à la fin de tout ça. Et nous sommes au mois de mai, ce qui veut dire que c'est le temps du défi « Croque ta lime ». Quelqu'un est parti chercher des limes et nous allons profiter de cette occasion pour faire une énorme séance photo pour « Croque ta lime », d'accord? Assurez-vous d'y être.

[Les participants parlent en même temps.]

Voix de femme : Quand?

Voix de femme : À la fin, dans la grande salle, la salle principale.

Voix de femme : Et nous terminons à 15 h?

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2025-07-14