Page 7 : Rapport sur l'utilisation des antimicrobiens chez les humains – 2014 - Annexe A

Annexe A

Méthodes de collecte et d'analyse des données

Données relatives aux diagnostics médicaux

L'Index canadien des maladies et traitements, établi tous les trimestres, fournit de l'information sur les formes de maladies rencontrées dans les cabinets médicaux (spécialistes et omnipraticiens, y compris ceux ayant un cabinet à l'hôpital) et les types de traitements prescrits. Ces données sont présentées dans trois régions géographiques du Canada : l'Ouest (Colombie-Britannique, Alberta, Saskatchewan et Manitoba), le Centre (Québec et Ontario), et l'Est (Nouveau-Brunswick, Terre-Neuve-et-Labrador, Nouvelle-Écosse et Île-du-Prince-Édouard). L'échantillon de médecins est représentatif de toutes les principales spécialités exercées au Canada.

Les données sont recueillies au moyen d'un échantillonnage à deux degrés, le premier par région et le second, par spécialiste. Les données de 652 médecins étaient disponibles en 2014 et des méthodes de projection ont été utilisées pour extrapoler ces données par rapport à l'univers constitué d'environ 57 218 médecins au Canada. L'écart-type associé à l'extrapolation de l'ensemble des diagnostics est estimé à 1,6 %. Les données relatives aux ordonnances ou des recommandations des médecins sont extraites de la base de données d'IMS Health Canada Inc.

Durant quatre trimestres consécutifs, chaque médecin du groupe de l'Index canadien des maladies et traitements tient à jour un journal dans lequel il consigne des renseignements détaillés sur toutes les consultations de patients menées durant une période de 48 heures choisie au hasard dans le courant du trimestre. Ces renseignements comprennent l'âge et le sexe des patients, la raison de la consultation, le diagnostic, le nom du ou des traitements recommandés ou envisagés (notamment, médicaments, orientations, apports de changements d'ordre environnemental, comportemental ou alimentaire, etc.), les effets thérapeutiques recherchés et la présence de thérapies concomitantes. Si un patient vient consulter un médecin pour plusieurs pathologies, le médecin doit remplir une feuille pour chaque pathologie. Si une personne consulte le même médecin plusieurs fois pour la même pathologie, chaque consultation est consignée séparément. Les données de l'Index canadien des maladies et traitements ont été utilisées pour déterminer le diagnostic le plus courant, selon le système de classification internationale des maladies (révision 9, CIM-9) et associées aux médicaments antimicrobiens mentionnés par les médecins de l'échantillon.

Le nombre total de recommandations d'antimicrobiens et le nombre de diagnostics par 10 000 habitants pour une année, une région ou un âge donnés ont été obtenus en les divisant par la taille de la population en milliers durant cette année, dans cette région et dans ce groupe d'âge (tableau A.1 et tableau A.2).

Certaines limites et restrictions caractéristiques devraient être prises en compte pour évaluer les données de l'ensemble de données de l'Index canadien des maladies et traitements :

  • Les médicaments indiqués sont ceux prescrits ou recommandés par les médecins et ne représentent pas les ordonnances effectivement exécutées par les pharmaciens ni les produits consommés par les patients, puisque l'information sur l'observance des traitements n'était pas disponible.
  • Bien que les diagnostics soient indiqués pour chaque consultation, ils ne sont pas nécessairement présentés lors de la consultation en question, les diagnostics précédents étant consignés pour les affections chroniques.
  • Étant donné que les médecins ont reçu une directive de ne fournir qu'une page par diagnostic, il n'est pas possible de déterminer si d'autres comorbidités ont eu une influence sur la décision à l'égard du traitement.
  • Les données ne comprennent pas les consultations d'infirmiers de premier recours.
  • Le nombre de consultations ne se traduit pas par le nombre de patients (plusieurs consultations ainsi que plusieurs diagnostics par patient sont possibles).
  • Les recommandations de médicaments ne sont pas nécessairement liées à une ordonnance, des échantillons pouvant être offerts par le professionnel de la santé. De même, les patients peuvent choisir de ne pas remplir une ordonnance.
  • Les médecins consignent également les médicaments antérieurement prescrits dont la prise est à continuer pour un diagnostic donné, ce qui ne donne pas nécessairement lieu à l'exécution d'une ordonnance.
  • Certains traitements médicamenteux et certains diagnostics sont sous-représentés en raison de l'automédication (p. ex. achat de produits en vente libre).
  • Les erreurs d'échantillonnage peuvent nuire à la fiabilité des données; la prudence s'impose donc lors de l'interprétation des données relatives à des catégories de maladies reposant sur un échantillon de petite taille.

Les données ne sont disponibles qu'à l'échelle des régions, où les fluctuations sont plus ou moins évidentes et aucune information spécifique sur les provinces individuelles n'a pu être déterminée.

Données relatives aux médicaments délivrés en pharmacie communautaire

Le Canadian CompuScript mesure le nombre d'ordonnances exécutées et la quantité de médicaments délivrés par les pharmacies communautaires au Canada. Les champs de données comprennent le nom du produit (y compris celui de son fabricant), sa présentation et sa teneur, la province concernée, le groupe d'âge, le nombre d'ordonnances délivrées, le nombre d'unités du produit délivré et les montants en dollars dépensés par mois, pour chaque année.

La base d'échantillonnage (ou « univers ») de cet ensemble de données en 2014 comprenait 5 984 pharmacies, ce qui couvrait environ 64 % de toutes les pharmacies de détail dans les provinces canadiennes. IMS Health Canada Inc. a recours à une méthode d'extrapolation qui utilise des données géospatiales pour calculer des facteurs de projection qui s'appliquent à tous les magasins non participants. L'extrapolation est effectuée selon le nombre de magasins dans la région concernée, la distance entre ceux-ci et la taille du magasin. Le facteur de projection a été utilisé pour extrapoler le nombre d'ordonnances et d'unités délivrées dans les pharmacies de l'échantillon, au nombre de pharmacies de l'« univers » (9 406 pharmacies).

Les données de CompuScript comprennent les ordonnances délivrées par l'entremise du Programme des services de santé non assurés dans toutes les provinces. Toutefois, ces données ne comprennent pas toute l'information sur les ordonnances pour le Yukon, les Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut en raison du faible niveau d'ordonnances de ces régions et des tendances de prescription qui sont différentes de celles du reste du pays. Pour combler cet écart, les données relatives aux médicaments délivrés ont été obtenues du Programme des services de santé non assurés de la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits de Santé Canada. Ce programme couvre les demandes de prestations d'une gamme précise de médicaments et d'autres coûts médicaux connexes aux populations des Premières nations et Inuits admissibles. Les renseignements sur les médicaments délivrés fournis par le programme pour les territoires ont été fusionnés avec l'ensemble des données de CompuScript. Les données ont été évaluées ensemble, puis nettoyées pour garantir l'uniformité d'enregistrement et de comparabilité de produits entre les sources de données et les produits disponibles pour la vente au Canada (par l'intermédiaire de la base de données sur les produits pharmaceutiques de Santé CanadaFootnote e ).

Les antimicrobiens pour administration parentérale ont été inclus à partir de 2010. Ces données n'ont pas pu être ajoutées pour les années 2002 à 2009. Par conséquent, lorsque l'on compare les données de 2010 à 2014 aux années précédentes, il convient de supposer que les données de 2002 à 2009 sont une légère sous-représentation du volume total délivré. Par conséquent, toute diminution observée en comparaison aux données de 2002 à 2009 devrait être plus faible que la situation réelle et, à l'inverse, les augmentations devraient être légèrement exagérées.

Les doses thérapeutiques quotidiennes (DTQ) ont été déterminées selon le Centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la Santé pour la méthodologie sur l'établissement des statistiques concernant les produits médicamenteux. Lorsqu'elles étaient disponibles, des doses thérapeutiques quotidiennes temporaires (qui ne sont pas encore approuvées, mais qui sont affichées sur le site Web de l'Organisation mondiale de la Santé) ont été utilisées. Pour l'éthylsuccinate d'érythromycine, tous les comprimés ont été classés en tant que comprimés d'éthylsuccinate d'érythromycine (2 g) et toutes les formes autres que les comprimés ont été classées en tant qu'érythromycine (1 g). La dose thérapeutique quotidienne établie pour les sulfamides et les associations de sulfamides avec d'autres antimicrobiens sauf triméthoprime) [2 g] a été utilisée pour le pédiazole administré par voie orale. Pour la pénicilline G administrée par voie orale, la dose thérapeutique quotidienne de la benzilpénicilline par voie parentérale (3,6 g) a été utilisée. Lorsqu'une dose thérapeutique quotidienne n'était pas disponible pour les deux voies d'administration, la dose thérapeutique quotidienne disponible était utilisée (p. ex. pour la benzylpénicilline, la kanamycine). Il convient de faire attention lors de l'interprétation des tendances pour les médicaments dont la dose thérapeutique quotidienne utilisée pour les calculs est plus faible que celles prescrites (p. ex. la dose thérapeutique quotidienne attribuée à la doxycycline par l'Organisation mondiale de la Santé est de 0,1 g, alors qu'en pratique 0,2 g sont prescrits). Dans ces cas, il semble que l'antimicrobien a été prescrit pour une durée plus longue par rapport aux autres antimicrobiens dont la dose thérapeutique quotidienne correspond à celle prescrite.

La quantité totale d'ingrédients actifs a été obtenue en multipliant le nombre d'unités (réelles ou corrigées) par le dosage du produit, en grammes. Dans le cas des combinaisons d'antimicrobiens, le nombre total d'ingrédients actifs a été obtenu en faisant la somme des ingrédients actifs de chacun des antimicrobiens combinés. Cependant, la quantité d'ingrédients actifs utilisée dans le calcul du nombre total de doses thérapeutiques quotidiennes, dans le cas des combinaisons d'antimicrobiens, ne comprenait que les molécules dont les doses thérapeutiques quotidiennes étaient dérivées. Par exemple, dans le cas des antimicrobiens contenant du triméthoprime-sulfaméthoxazole, seul le nombre total de grammes de sulfaméthoxazole a servi au calcul du nombre de doses thérapeutiques quotidiennes.

Le nombre total de doses thérapeutiques quotidiennes par 1 000 habitants-jour pour une année donnée était obtenu en additionnant toutes les doses thérapeutiques quotidiennes de chaque antimicrobien pour l'année. Ce nombre était ensuite divisé par la taille de la population (en milliers) pour l'année en question,soit par la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits ou Statistique Canada, le résultat étant ensuite divisé par le nombre de jours de l'année (365 ou 366). Le nombre total d'ordonnances et le coût total par 1 000 habitants ont été obtenus en divisant le nombre total d'ordonnances ou le coût total par la taille de la population en milliers pour chaque année. Le coût a ensuite été ajusté en fonction de l'inflation au moyen de la feuille de calcul de l'inflation de la Banque du CanadaFootnote f . Les données sur la population provenaient d'estimations postcensitaires préliminaires et actualisées fondées sur les résultats du recensement de 2011.

Les limites et restrictions caractéristiques de l'ensemble de données du Canadian CompuScript comprennent entre autres :

  • Le CompuScript ne comprend que des produits portant un numéro d'identification de Santé Canada (numéro d'identification du médicament [DIN], certains numéros de produit naturel [NPN], mais pas tous, et certains numéros d'identification de produit [PIN], mais pas tous).
  • Le DIN des produits étant utilisé pour effectuer le suivi des données sur les produits, lorsque deux produits ont le même DIN, ils sont répertoriés ensemble.
  • Les dispensaires d'hôpital ne sont pas inclus.
  • Le Yukon, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut ne sont pas inclus en raison du très faible niveau d'ordonnances de ces régions et des tendances de prescription qui sont différentes de celles du reste du pays.
  • Les changements apportés aux bases de données ne portent que sur les 72 derniers mois et au-delà de cinq ans, les ensembles de données sont considérés comme fermés, car aucune mise à jour n'est possible.

Les limites et restrictions caractéristiques qui doivent être prises en compte avec les données du programme territorial de services de santé non assurés comprennent ce qui suit :

  • Les données présentées ne comprennent que les populations couvertes par le Programme des services de santé non assurés. Par conséquent, ces données ne reflètent pas l'ensemble de la population des territoires et il convient de faire attention lors de leur interprétation en lien avec les provinces.
  • Les données sur les antibiotiques délivrés par les postes de soins infirmiers à la clientèle du Programme des services de santé non assurés ne sont pas incluses.
  • Les pharmacies expédient des produits à l'extérieur de leur province dans le Nord. Par conséquent, ces demandes seraient incluses dans les données de la région du fournisseur et non dans celles des territoires.

Données relatives aux achats effectués par les hôpitaux

Le Canadian Drugstore and Hospital Purchases Audit (CDH) mesure la valeur en dollars et le volume unitaire des produits pharmaceutiques et diagnostiques achetés par la presque totalité des pharmacies de détail et des hôpitaux du Canada, à l'exclusion de ceux du Yukon, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut. Les achats par les hôpitaux ont été collectés auprès d'un échantillon représentatif de plus de 677 hôpitaux. Une méthode d'extrapolation utilisant des données géospatiales a été utilisée pour calculer des facteurs de projection applicables à environ 761 hôpitaux représentatifs de l'ensemble des achats canadiens (y compris les magasins non participants). Les données relatives aux achats de médicaments proviennent de la base de données d'IMS Health Canada Inc., qui comprenait également les ventes réalisées par les fabricants et les grossistes. Aux fins du présent rapport, seules les données sur les achats effectués par les hôpitaux ont été incluses dans les analyses, les renseignements pharmaceutiques ayant été présentés à l'aide des données du Canadian CompuScript.

Seuls les renseignements relatifs aux antimicrobiens pour utilisation systémique ont été inclus dans l'analyse. Les doses thérapeutiques quotidiennes (DTQ) ont été déterminées selon le Centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la Santé pour la méthodologie sur l'établissement des statistiques concernant les produits médicamenteux. Pour l'éthylsuccinate d'érythromycine, tous les comprimés ont été classés en tant que comprimés d'éthylsuccinate d'érythromycine (2 g) et toutes les formes autres que les comprimés ont été classées en tant qu'érythromycine (1 g). La dose thérapeutique quotidienne établie pour les sulfamides et les associations de sulfamides avec d'autres antimicrobiens (sauf triméthoprime) [2 g] a été utilisée pour le pédiazole administré par voie orale. Pour la pénicilline G administrée par voie orale, la dose thérapeutique quotidienne de la benzilpénicilline par voie parentérale (3,6 g) a été utilisée. Lorsqu'une dose thérapeutique quotidienne n'était pas disponible pour les deux voies d'administration, la dose thérapeutique quotidienne disponible était utilisée (p. ex. pour la benzylpénicilline, la kanamycine). Il convient de faire attention lors de l'interprétation des tendances pour les médicaments dont la dose thérapeutique quotidienne utilisée pour les calculs est plus faible que celle utilisée (p. ex. la dose thérapeutique quotidienne attribuée à la doxycycline par l'Organisation mondiale de la Santé est de 0,1 g, alors qu'en pratique 0,2 g sont prescrits). Dans ces cas, il semble que l'antimicrobien a été utilisé pour des durées plus longues par rapport aux autres antimicrobiens dont la dose thérapeutique quotidienne correspond à celle prescrite.

La quantité totale d'ingrédients actifs a été obtenue en multipliant le nombre d'unités (réelles ou corrigées) par le dosage du produit, en grammes. Dans le cas des combinaisons d'antimicrobiens, le nombre total d'ingrédients actifs a été obtenu en faisant la somme des ingrédients actifs de chacun des antimicrobiens combinés. Cependant, la quantité d'ingrédients actifs utilisée dans le calcul du nombre total de doses thérapeutiques quotidiennes, dans le cas des combinaisons d'antimicrobiens, ne comprenait que les molécules dont les doses thérapeutiques quotidiennes étaient dérivées. Par exemple, dans le cas des antimicrobiens contenant du triméthoprime-sulfaméthoxazole, seul le nombre total de grammes de sulfaméthoxazole a servi au calcul du nombre de doses thérapeutiques quotidiennes.

Le nombre total de doses thérapeutiques quotidiennes par 1 000 congés d'hôpital pour une année donnée était obtenu en additionnant toutes les doses thérapeutiques quotidiennes de chaque antimicrobien pour l'année. Ce nombre a été ensuite divisé par le nombre total de congés d'hôpital, qui comprennent les décès, les sorties, les transferts et, dans certaines provinces, les chirurgies d'un jourFootnote g . Le coût total associé aux antimicrobiens achetés par les hôpitaux a été rajusté en fonction de l'inflation au moyen de la feuille de calcul de l'inflation de la Banque du CanadaFootnote h . L'utilisation de métronidazole a été ajoutée en 2005.

Les limites et restrictions caractéristiques de l'ensemble de données du Canadian Drugstore and Hospital Purchases Audit (CDH) à prendre en compte comprennent entre autres :

  • Les données sont des estimations et non des données de recensement.
  • Le suivi des marchés de créneaux spécialisés est limité (en raison du faible volume et de la répartition unique de ces marchés).
  • Un petit nombre de produits ont pu être exclus pour des raisons de confidentialité (s'ils sont vendus dans un seul point de vente).
  • Certaines données ont pu être exclues pour refléter les tendances réelles du marché (p. ex. transactions relatives à l'accumulation de stocks en vue d'une épidémie potentielle).
  • Les ventes directes de tel ou tel fabricant peuvent être manquantes, entraînant la sous-estimation des achats d'un produit (plus forte incidence pour les achats effectués par les hôpitaux que pour ceux effectués par les pharmacies).
  • Les provinces de l'Île-du-Prince-Édouard et de Terre-Neuve-et-Labrador ont été regroupées en raison du faible volume d'achats de chaque province.
  • Les changements apportés aux bases de données ne portent que sur les 72 derniers mois et au-delà de cinq ans, les ensembles de données sont considérés comme fermés, car aucune mise à jour n'est possible.
  • Le nombre de jours-patients ou de lits d'hôpital n'était pas disponible pour ces données; les données concernant la population générale ont été utilisées pour produire les taux d'achat.

Toutes les données ont été analysées au moyen du logiciel SAS v. 9.3 (SAS Institute Inc., Cary, Caroline du Nord, É.-U.) et de Microsoft Excel 2010 (Microsoft Corp., Redmond, Washington, É.-U.).

Classification des antimicrobiens

Tableau A.1 – Classification des antimicrobiens utilisés au Canada.
Groupe thérapeutique Antimicrobiens
Aminoglucosides Amikacine
Gentamicine
Streptomycine
Tobramycine
Amphénicols Chloramphénicol
Pénicillines sensibles et résistantes aux β-lactamases Cloxacilline
Flucloxacilline
Pénicilline G
Pénicilline V
Carbapénèmes Ertapénème
Imipénème et cilastatine
Méropénème
Céphalosporines de première génération Céfadroxil
Céfazoline
Céfalexine
Céphalosporines de quatrième génération Céfépime
Antibactérien glycopeptide Vancomycine
Dévirés de l'imidazole Kétoconazole
Métronidazole
Macrocyclique Fidaxomicine
Macrolides, lincosamides et streptogramines Azithromycine
Clarithromycine
Clindamycine
Érythromycine
Lincomycine
Spiramycine
Dérivés du nitrofurane Nitrofurantoïne
Autres antibactériens Bacitracine
Daptomycine
Fosfomycine
Mandélate de méthénamine
Oxazolidinone Linézolide
Pénicillines à large spectre Amoxicilline
Amoxicilline et inhibiteur enzymatique
Ampicilline
Pipéracilline
Pipéracilline et tazobactam
Ticarcilline et acide clavulanique
Polymyxines Colistine
Antibactériens quinolones Ciprofloxacine
Lévofloxacine
Moxifloxacine
Norfloxacine
Ofloxacine
Céphalosporines de deuxième génération Céfaclor
Céfoxitine
Cefprozil
Céfuroxime
Antibactérien stéroïdien Acide fusidique
Streptomycine Streptomycine
Sulfonamides Sulfadiazine
Sulfaméthoxazole
Sulfaméthoxazole et triméthoprime
Sulfasalazine
Tétracyclines Doxycycline
Minocycline
Tétracycline
Tigécycline
Céphalosporines de troisième génération Céfixime
Céfotaxime
Ceftazidime
Ceftriaxone
Triméthoprime Triméthoprime

Tailles des populations utilisées pour l'analyse de tous les ensembles de données

Tableau A.2 – Valeurs des populations pour les groupes d'âge, par province en 2014.
Province Population (en milliers)
0-14 15-59 60+
Colombie-Britannique 677.7 2867.6 1086.0
Alberta 752.5 2690.8 678.4
Saskatchewan 213.0 686.1 226.3
Manitoba 239.1 782.9 260.0
Ontario 2190.3 8540.6 2947.8
Québec 1267.5 5008.2 1939.0
Nouveau-Brunswick 109.9 451.6 192.4
Nouvelle-Écosse 132.8 570.4 239.5
Île-du-Prince-Édouard   23.2 86.7 36.4
Terre-Neuve-et-Labrador 75.9 317.0 134.0
Territoires (couverts par le Programme des services de santé non assurés) 17.8 42.3 6.0
Canada 5699.8 22044.2 7745.9

Références

Détails de la page

Date de modification :