ARCHIVÉ - Annexe 1 Dossier d'analyse
Le dossier d’analyse de l’initiative ActNowBC tirait sa force de conviction en grande partie d’une diapositive « massue » reproduite ci-après. Cette diapositive montrait que sans nouvelles interventions pour promouvoir la santé et prévenir les maladies, (c.-à-d. en maintenant le statu quo), en 2017, le ministère de la Santé de la C.-B. allait avoir besoin de 71,3 % du budget total du gouvernement, tandis que cette proportion n’était que de 41,6 % en 2005-2006. La projection budgétaire était fondée sur trois hypothèses :
- Le budget du ministère de la Santé allait continuer d’augmenter à un taux annuel d’environ 8 %, taux bien supérieur au taux de croissance annuelle du produit intérieur brut moyen (PIB) de 3 %.
- Le budget du deuxième ministère en importance, le ministère de l’Éducation, allait augmenter au même rythme que le taux de croissance annuelle du PIB, représentant bon an mal an environ 27 % de l’ensemble des dépenses du gouvernement.
- Les niveaux d’imposition allaient rester constants.

Figure 2 - Équivalent texte
La figure ci-dessus montre la diapositive utilisée par les fonctionnaires de la santé publique pour présenter les arguments économiques démontrant la nécessité de l’initiative ActNowBC. Cette diapositive montrait que sans nouvelles interventions pour promouvoir la santé et prévenir les maladies, c’est-à-dire en maintenant le statu quo, en 2007, le ministère de la Santé de la C.-B. allait avoir besoin de 71,3 % du budget total du gouvernement, tandis que cette proportion n’était que de 41,6 % en 2005-2006. La projection budgétaire était fondée sur trois hypothèses :
- Le budget du ministère de la Santé allait continuer d’augmenter à un taux annuel d’environ 8 %, taux bien supérieur au taux de croissance annuelle du produit intérieur brut moyen (PIB) de 3 %.
- 2. Le budget du deuxième ministère en importance, le ministère de l’Éducation, allait augmenter au même rythme que le taux de croissance annuelle du PIB, représentant bon an mal an environ 27 % de l’ensemble des dépenses du gouvernement.
- 3. Les niveaux d’imposition allaient rester constants.
Sur la base de ces trois hypothèses, la figure montre que les autres dépenses (autres que pour le Ministère de la santé et le Ministère de l’éducation) tombent à zéro en 2017-2018.
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