CANVax, établir la confiance en l’immunisation

RMTC

Volume 46–5, le 7 mai 2020 : Surveillance de l’infection nosocomiale

Série

Acceptation de la vaccination : comment instaurer et préserver la confiance dans la vaccination

Chandni Sondagar1, Ruotian Xu1, Noni E MacDonald2, Eve Dubé3

Affiliations

1 Association canadienne de santé publique, Ottawa, ON

2 Département de pédiatrie, Université Dalhousie, Centre de soins de santé IWK, Halifax, NS

3 Institut national de santé publique du Québec, Québec, QC

Correspondance

rxu@cpha.ca

Citation proposée

Sondagar C, Xu R, MacDonald NE, Dubé E. Acceptation de la vaccination : comment instaurer et préserver la confiance dans la vaccination. Relevé des maladies transmissibles au Canada 2020;46(5):175–80. https://doi.org/10.14745/ccdr.v46i05a09f

Mots-clés : vaccination, acceptation de la vaccination, résilience, confiance, stratégies fondées sur des données probantes

Résumé

Au Canada, plus de 80 % des parents choisissent de faire vacciner leurs enfants. Bien que cela puisse sembler positif, ce taux de vaccination figure parmi les plus faibles du monde occidental, et reste inférieur au taux de couverture vaccinale nécessaire (95 %) pour prévenir les éclosions de maladies évitables par la vaccination comme la rougeole. D’après une enquête nationale récente sur la vaccination, environ 50 % des parents se disent préoccupés par les effets secondaires possibles des vaccins, 25 % croient qu’un vaccin peut provoquer la maladie qu’il est censé prévenir, et 13 % pensent que les médecines alternatives pourraient éliminer la nécessité de recourir à la vaccination. De plus, l’hésitation à la vaccination, que l’on définit par les facteurs déterminants que sont la confiance, la complaisance et la commodité, est en augmentation. Pour aborder les facteurs que sont la complaisance et la confiance et qui sous-tendent l’hésitation à la vaccination, cet article présente quatre pratiques exemplaires visant à renforcer la confiance dans la vaccination et à en favoriser l’acceptation. La première pratique consiste à comprendre les préoccupations. Cela se fait, à l’échelle de la population, au moyen de la recherche et, au niveau individuel, avec des techniques d’entrevues motivationnelles. La seconde consiste à répondre à ces préoccupations en présentant de manière efficace les données scientifiques. Cela se fait, à l’échelle de la population, en communiquant les résultats de la recherche et, au niveau individuel, en appliquant ces résultats aux préoccupations, aux valeurs et aux principes de la personne. La troisième consiste à présenter la vaccination comme une norme sociale dans les documents pédagogiques et dans les conversations. Enfin, la quatrième pratique consiste à accroître la résilience en anticipant (à l’échelle de la population et pour les professionnels de la santé) la gestion des évènements susceptibles de saper la confiance et d’accentuer les préoccupations à l’égard de la vaccination, comme l’ajout d’un nouveau vaccin au calendrier de vaccination systématique ou l’apparition d’un effet indésirable inattendu. Instaurer et préserver la confiance du public dans la vaccination est un processus qui prend du temps. Les professionnels de la santé doivent garder en tête que même si la confiance constitue un élément central de l’acceptation de la vaccination, ce n’est pas le seul élément : la commodité et l’accès aux services peuvent également influer sur le recours à la vaccination. Le renforcement de la confiance n’est que l’une des composantes du processus visant à améliorer l’acceptation de la vaccination. Cet article entend décrire les stratégies qui permettront d’instaurer et de renforcer la confiance.

Introduction

Au Canada, plus de 80 % des parents acceptent de faire vacciner leurs nourrissons et leurs enfantsNote de bas de page 1. Bien que cela puisse sembler positif, ce taux de vaccination figure parmi les plus faibles du monde occidentalNote de bas de page 2. Comme l’expérience l’a récemment montré aux États-Unis, ce taux est insuffisant pour protéger les collectivités contre les maladies évitables par la vaccination comme la rougeole, pour laquelle un taux de couverture vaccinale de 95 % est nécessaireNote de bas de page 3.

Les études révèlent que de nombreux parents canadiens se disent préoccupés par la vaccination, et que tous les parents ne sont pas convaincus de l’exactitude ou de l’impartialité de la recherche scientifiqueNote de bas de page 4Note de bas de page 5. Dans une enquête réalisée par le Réseau canadien de recherche sur l’immunisation en 2015, 70 % des personnes interrogées estimaient qu’il était de leur devoir, en tant que parents, de remettre en question la vaccination, et 19 % se considéraient comme l’hésitation à la vaccinationNote de bas de page 4. Les sondages menés au Canada montrent qu’une grande partie de la population a une image négative des vaccins, environ 20 % croyant toujours que les vaccins sont liés à l’autismeNote de bas de page 6Note de bas de page 7Note de bas de page 8Note de bas de page 9Note de bas de page 10.

Le recours à la vaccination est devenu un sujet de préoccupation croissant dans le monde à mesure que les éclosions de maladies évitables par la vaccination se multiplient. La rougeole, les oreillons et la coqueluche, des maladies que l’on croyait maîtrisées ou proches de l’éradication dans le monde, sont aujourd’hui en recrudescenceNote de bas de page 3Note de bas de page 11Note de bas de page 12Note de bas de page 13Note de bas de page 14. Malgré les immenses progrès réalisés dans le développement, la sécurité et la disponibilité des vaccins, la réticence face à la vaccination n’est pas rareNote de bas de page 1 et constitue un phénomène en augmentation. En 2019, l’Organisation mondiale de la santéNote de bas de page 15 l’a classée dans la liste des dix principales menaces pour la santé mondiale. Au Canada, l’hésitation à la vaccination est présente chez les personnes qui sont préoccupées par la sécurité de certains vaccins (en particulier les nouveaux vaccins), qui estiment que les vaccins sont destinés à traiter les maladies « bénignes », qui remettent en cause l’utilité de la vaccination et qui ne font pas confiance aux renseignements présentés concernant la vaccinationNote de bas de page 4Note de bas de page 6Note de bas de page 16Note de bas de page 17. Bien que l’acceptation de la vaccination soit l’attitude majoritaireNote de bas de page 1, nous devons chercher à atteindre un taux de vaccination plus élevé afin de prévenir les maladies évitables par la vaccination.

Pour accroître le recours à la vaccination, nous devons cibler les facteurs qui contribuent à accentuer les préoccupations négatives à l’égard de la vaccination et comprendre ce qui favorise l’acceptation de la vaccination ou l’intention de procéder à la vaccinationNote de bas de page 4. Bien qu’il soit tout aussi important de comprendre et d’examiner les obstacles à l’acceptation que sont la commodité ou l’accès aux services, cet article porte essentiellement sur la confiance et la complaisanceNote de bas de page 18. Les fournisseurs de soins de santé et de santé publique sont bien placés pour instaurer la confiance à l’échelle de la population et au niveau individuel.

Cet article décrit quatre pratiques exemplaires destinées à favoriser l’acceptation de la vaccination en instaurant et préservant la confiance dans la vaccination. Il s’agit du quatrième d’une série d’articles produits par le Centre canadien de ressources et d’échange sur les données probantes en vaccination (CANVax), une base de données en ligne destinée à faciliter la planification et la prestation des programmes de vaccination en répertoriant les ressources existantes et les nouvelles ressources créées par une équipe pluridisciplinaire de professionnelsNote de bas de page 19. Cet article s’appuie sur les trois articles précédents de la série Brèves du CANVaxNote de bas de page 20Note de bas de page 21Note de bas de page 22 et explique comment le renforcement de la résilience, l’élaboration d’une stratégie de communication et l’utilisation de la technique d’entrevue motivationnelle peuvent favoriser l’acceptation de la vaccination.

Comprendre les préoccupations

Concernant les programmes de santé publique menés au niveau de la collectivité, la recherche est le meilleur moyen de comprendre les préoccupations les plus courantes et l’hésitation à la vaccination. La recherche a permis de mettre en lumière les préoccupations, mais également la manière dont les médias sociaux pouvaient amplifier ces préoccupations et, par là même, contribuer à l’hésitation à la vaccination. Une étude menée en 2014 a par exemple montré que 40 % des mères hésitaient à faire vacciner leurs enfants, celles-ci invoquant le plus souvent des préoccupations liées à la sécurité comme 1) la crainte que l’enfant subisse des effets indésirables et 2) la crainte que l’administration concomitante de plusieurs vaccins puisse affaiblir le système immunitaire de l’enfantNote de bas de page 16. Dans la dernière Enquête nationale sur la couverture vaccinale des enfants de 2017Note de bas de page 1, 52 % des parents et tuteurs se disaient préoccupés par les effets secondaires possibles des vaccins, et 25 % pensaient qu’un vaccin pouvait provoquer la maladie qu’il était censé prévenir. En outre, un petit nombre de parents et tuteurs (13 %) pensait que les approches complémentaires et parallèles comme l’homéopathie ou les traitements chiropratiques pouvaient éliminer la nécessité de recourir à la vaccination.

La recherche a également permis de mettre en lumière les facteurs à l’origine de l’hésitation à la vaccination. Au cours des dix dernières années, l’évolution des médias sociaux et des technologies de communication en ligne a favorisé la diffusion rapide et à grande échelle de l’information auprès d’un public très large, contribuant à établir des liens entre les personnes et les collectivités, et ce, bien au-delà de leurs régions respectivesNote de bas de page 23Note de bas de page 24. Par ailleurs, il a été démontré que les préoccupations négatives étaient généralement mémorisées plus facilementNote de bas de page 25 et qu’elles avaient tendance à se diffuser plus loin et plus rapidement que les commentaires positifsNote de bas de page 26. Ces facteurs ont renforcé l’hésitation à la vaccinationNote de bas de page 27.

Bien que cette recherche permette d’anticiper un grand nombre de préoccupations possibles, il est important de cerner les préoccupations propres à chaque individu. L’entrevue motivationnelle est une technique utile et centrée sur le client, qui consiste à étudier les préoccupations possibles des patients et des parents à l’égard de la vaccinationNote de bas de page 22Note de bas de page 28Note de bas de page 29. Dans ce type d’entrevue, l’accent est mis sur la nécessité de « travailler » avec le patient et le parent plutôt que de transmettre de l’information de façon unidirectionnelle. Les techniques utilisées en vertu de cette approche sont notamment 1) les questions ouvertes (« Quelles sont vos préoccupations? »), 2) l’affirmation (« Je comprends vos préoccupations »), 3) l’écoute réflexive (« Vos préoccupations sont… »), et 4) la récapitulation (« Pour résumer… »)Note de bas de page 18.

Répondre efficacement aux préoccupations

Concernant les programmes de santé publique menés au niveau de la collectivité, la recherche en communication a permis de cerner quatre pratiques exemplairesNote de bas de page 21. Tout d’abord, un message qui préconise fortement le recours à la vaccination peut s’avérer contreproductif et peut, paradoxalement, accentuer l’hésitation à l’égard de son acceptationNote de bas de page 30. Ensuite, mieux vaut ne pas communiquer trop de données, car l’interlocuteur cesse d’y porter attention. Garder à l’esprit que « c’est avec les faits qu’on raconte, mais avec l’histoire qu’on vend ». Troisièmement, le fait de souligner le consensus scientifique existant sur les bienfaits, la sécurité et l’importance de la vaccination peut atténuer les préoccupationsNote de bas de page 31. Par exemple, les professionnels de la santé peuvent décrire les effets secondaires du vaccin contre le VPH, tout en précisant qu’ils sont très rares et que, de ce fait, le vaccin est sûr à 99,9 %. Il est important de présenter ce fait sous un angle positif (99,9 % de sécurité contre < 0,1 % d’effets secondaires), car les points négatifs sont entendus et mémorisés de manière disproportionnéeNote de bas de page 32. Le message doit être adapté aux populations clés de la collectivité de manière à ce qu’il concorde avec leurs valeurs fondamentalesNote de bas de page 18. Par exemple, s’agissant d’aborder les bienfaits du vaccin contre le VPH avec des personnes membres de certains groupes religieux, il vaut sans doute mieux souligner le fait que le vaccin contre le VPH protège contre certains cancers. Il a été démontré que ces récits personnalisés pouvaient amener une personne à changer de point de vue à l’égard de la vaccinationNote de bas de page 33Note de bas de page 34. Enfin, l’évaluation de la documentation d’information en vue de cerner les points à améliorer est une composante essentielle de n’importe quel programme de communicationNote de bas de page 18. Il est important de mettre à l’essai les messages auprès de la population ciblée pour veiller à ce qu’ils produisent les effets escomptés.

Au niveau individuel, les fournisseurs de soins de santé de première ligne restent la source la plus fiable de renseignements sur la vaccination. Ainsi, une fois la confiance instaurée, les recommandations des fournisseurs aboutissent souvent à l’acceptation de la vaccination et au recours à celle-ciNote de bas de page 6Note de bas de page 35. Pour instaurer la confiance, les fournisseurs de soins de santé doivent recueillir les préoccupations des personnes, en prendre note et y répondre. Ils doivent présenter l’information de manière constructive et rassurante, tout en veillant à ce qu’elle soit simple, claire et facile à comprendreNote de bas de page 36. Le jargon doit être évité. Par exemple, l’expression « immunité de groupe » peut paraître rebutante pour certaines personnes. « Immunité collective » pourrait être employée à la place. L’utilisation de récits peut aider à clarifier le message. Relater une expérience où l’on a été amené à traiter un enfant atteint d’une maladie évitable par la vaccination peut parfois donner un poids supplémentaire au message.

Il faut savoir que la majorité des parents acceptent la vaccination systématique, car ils veulent protéger leurs enfantsNote de bas de page 1. Souvent, une fois l’information communiquée, un simple petit encouragement destiné à souligner la protection conférée par la vaccination suffit pour aboutir à son acceptation.

Présenter la vaccination comme une norme sociale

Les normes sociales sont de puissants catalyseurs du comportement humainNote de bas de page 37 et la recherche a démontré que le fait de présenter la vaccination comme une norme sociale pouvait susciter et renforcer le soutien à son égard. Il faut cependant savoir que le respect des normes sociales peut également aller dans le sens contraire. Une étude a montré que les parents qui refusaient de faire vacciner leurs enfants avaient déclaré qu’une grande partie de leur cercle social était opposé à la vaccination, et que le parti pris de ce cercle social prédisait les décisions des parents mieux que les caractéristiques des parents eux-mêmesNote de bas de page 38. C’est pourquoi les travailleurs de la santé doivent soutenir et valoriser les parents, les patients et les collectivités qui décident d’accepter la vaccination : ils doivent mettre en avant le fait qu’accepter la vaccination permet de protéger non seulement la personne, mais également la collectivité dans son ensemble. Ces éléments peuvent favoriser l’acceptation, encourager le soutien en faveur de la vaccination et accroître la résilience face à la rhétorique anti-vaccinationNote de bas de page 33.

Sur la question de la vaccination en tant que norme, la recherche a montré que, du point de vue individuel, le fait de présenter la vaccination de manière présomptive favorisait son acceptation mieux que si elle était présentée de manière participativeNote de bas de page 39. Une approche présomptive pourrait être formulée de la manière suivante : « Sarah doit recevoir ses vaccins systématiques aujourd’hui. » À l’opposé, l’approche participative pourrait être formulée ainsi : « Que souhaitez-vous faire aujourd’hui en ce qui concerne les vaccins de Sarah? »

Accroître la résilience par l’anticipation

Pour obtenir le soutien du public en faveur de la vaccination, il est nécessaire d’encourager la confiance non seulement dans la vaccination, mais également dans le système de santé en général et dans les programmes de vaccination en particulierNote de bas de page 18. Les évènements susceptibles de saper la confiance et d’accentuer les préoccupations à l’égard de la vaccinationNote de bas de page 40Note de bas de page 41Note de bas de page 42 sont notamment les suivants :

  • Ajout d’un nouveau vaccin donnant lieu à une augmentation du nombre de vaccins recommandés
  • Apparition d’un nouvel effet secondaire associé à un vaccin en particulier
  • Manque de cohérence dans les recommandations en matière de vaccination (par exemple, d’une province à l’autre)

La recherche a démontré l’utilité, pour les professionnels de la santé publique, de prévoir une approche de communication spécifique à chacune de ces situations de manière à pouvoir apporter une réponse rapide et constructive pour dissiper les préoccupations le plus tôt possible. Concernant les programmes menés au niveau de la collectivité, il y a trois aspects essentiels à prendre en compteNote de bas de page 33. D’abord, les stratégies de communication doivent être adaptées aux différentes collectivités et s’appuyer sur les canaux d’information existants. Cela passe notamment par l’envoi de communications de santé publique aux professionnels de la santé de première ligne afin qu’ils soient tenus informés des changements qui interviennent. Ensuite, l’instauration de la confiance dans la vaccination doit se faire par la transparence. Par exemple, dans l’éventualité d’une crainte liée à un vaccin, comme un nouvel effet indésirable suivant la vaccination, un rappel de vaccin, des articles de presse ou des rumeurs sur un vaccin, il est essentiel de faire preuve de transparence sur le sujet afin de préserver l’acceptation de la vaccination et le recours à celle-ci. Les travailleurs de la santé doivent présenter les faits, expliquer la manière dont les vaccins sont surveillés pour en garantir la sécurité et l’efficacité, et décrire les moyens mis en œuvre pour réduire le risque au minimum. Enfin, que ce soit à l’échelle de la collectivité ou au niveau individuel, les personnes qui acceptent la vaccination et demandent l’accès aux vaccins doivent être reconnues et valorisées en présentant leur démarche comme une norme sociale.

Conclusion

Les quatre pratiques exemplaires destinées à renforcer l’acceptation de la vaccination consistent à 1) comprendre les préoccupations à l’égard de la vaccination, 2) répondre efficacement à ces préoccupations, 3) présenter la vaccination comme une norme sociale conférant une protection aux personnes et aux collectivités, et 4) accroître la résilience en anticipant la gestion des évènements susceptibles de saper la confiance dans la vaccination. Instaurer et préserver la confiance du public dans la vaccination face à la rhétorique anti-vaccination, tant dans la sphère publique que dans la sphère privée, est un processus qui prendra du temps. Outre l’instauration de la confiance, les fournisseurs de soins de santé doivent garder à l’esprit que la commodité et l’accès sont également des facteurs de l’acceptation de la vaccination qui devront être pris en compte pour accroître le recours à la vaccination. Les fournisseurs de soins de santé qui interviennent à l’échelle de la collectivité et au niveau individuel ont beaucoup à faire pour favoriser la confiance dans la vaccination, dans le système de santé et dans les programmes de vaccination.

Déclaration des auteurs

  • C. S. — Rédaction de la version préliminaire, révision et édition
  • R. X. — Rédaction, révision et édition
  • N. E. M. — Rédaction, révision et édition
  • E. D. — Rédaction, révision et édition

Conflit d’intérêts

C. Sondagar était agente principale de projets dans le cadre du projet du Centre canadien de ressources et d’échange sur les données probantes en vaccination (CANVax) à l’Association canadienne de santé publique au moment où cet article a été rédigé.

R. Xu est agente de projets dans le cadre du projet du CANVax à l’Association canadienne de santé publique.

N. E. MacDonald a bénéficié de subventions de l’Agence de la santé publique du Canada, de l’Organisation mondiale de la santé, de la Nova Scotia Health Research Foundation, des Instituts de recherche en santé du Canada, du Réseau canadien de recherche sur l’immunisation et du Conseil de recherches en sciences humaines. Elle est membre de l’équipe CANVax.

E. Dubé a bénéficié de subventions de l’Agence de la santé publique du Canada, du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, du Fonds de recherche du Québec – Santé, des Instituts de recherche en santé du Canada, du Réseau canadien de recherche sur l’immunisation et du Conseil de recherches en sciences humaines. Elle est membre de l’équipe CANVax.

Remerciements

La production des brèves du Centre canadien de ressources et d’échange sur les données probantes en vaccination (CANVax) a été rendue possible grâce au financement de l’Agence de la santé publique du Canada. Merci aux nombreux auteurs, aux partenaires en vaccination et aux réviseurs pour leur contribution au CANVax.

Financement

La production des brèves du Centre canadien de ressources et d’échange sur les données probantes en vaccination bénéficie du soutien du Fonds de partenariat d’immunisation de l’Agence de la santé publique du Canada.

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