Évaluer l’efficacité d’un conseil d’administration

Publié par : Secrétariat du Conseil du Trésor
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Approbation / plus récente mise à jour : juillet 2008
Section C – Fonctionnement d’un conseil d’administration efficace

Sur cette page

Ce document vise à fournir des conseils ou des lignes directrices et se veut un élément à prendre en considération et une ressource documentaire au sujet de l’évaluation de l’efficacité des conseils d’administration des sociétés d’État. Le document ne représente pas une exigence prévue par la loi ou une exigence de la politique en matière des sociétés d’État ni n’établit d’obligations de surveillance de la part du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.

Sommaire : Évaluer l’efficacité d’un conseil d’administration

Les sociétés d’État sont incitées à prendre part à une évaluation régulière de leur conseil d’administration et de ses membres.

Pour assurer la réussite d’une société et pour s’assurer que son conseil d’administration a les capacités et les compétences requises pour produire l’orientation stratégique nécessaire, les conseils d’administration doivent être évalués régulièrement. Un conseil efficace veille à ce que la société réponde à toutes les attentes professionnelles, dont celle de maintenir une relation avec ses ministres responsables, et à ce qu’elle assure une gestion efficace. Une évaluation à intervalles réguliers permet de s’assurer que les normes du conseil d’administration sont maintenues et que la société est capable d’assurer sa viabilité à long terme et sa crédibilité.

Les administrateurs peuvent être évalués en fonction de leurs connaissances, de leurs capacités et de leur engagement à s’acquitter de leurs responsabilités. Ils doivent notamment très bien comprendre les responsabilités qui leur incombent en vertu de toutes les lois pertinentes, les attentes qu’entretient le gouvernement du Canada à leur égard et l’environnement dans lequel évolue la société d’État. De plus, en évaluant les administrateurs, on peut déterminer dans quelle mesure ils se sont acquittés de leurs responsabilités en ce qui a trait à la gérance de la société d’État, s’ils ont agi dans le meilleur intérêt de cette dernière en faisant la promotion des plus hautes normes de gouvernance des sociétés d’État.

Les pratiques exemplaires indiquent que l’efficacité du processus d’évaluation d’un conseil d’administration devrait reposer sur quatre éléments. Premièrement, il faut s’assurer que chaque membre s’est engagé à participer, que tous comprennent et acceptent les avantages potentiels de cette pratique pour eux, à titre individuel et collectif. Deuxièmement, une démarche réfléchie et systématique garantit l’existence d’un calendrier clair et d’une évaluation complète. Troisièmement, des étapes clairement définies et des outils spécifiques sont le gage de la validité de l’information qui en découle de même que de l’efficience et de la précision de l’évaluation. Enfin, le suivi permet de s’assurer que toute lacune cernée est comblée et que les données de l’évaluation sont acheminées aux bons intervenants.

Les évaluations individuelles des administrateurs sont des documents personnels. Par conséquent, l’accès à un rapport d’évaluation individuelle devrait être limité à l’administrateur sur lequel il porte et aux personnes qui ont un besoin légitime de connaître cette information.

La nature du processus d’évaluation du conseil d’administration varie considérablement et les sociétés d’État devraient choisir la méthode qui convient le mieux à ses opérations. L’une de ces méthodes consiste à laisser le président du conseil d’administration choisir le processus d’évaluation avec l’aide des autres membres du conseil. L’utilisation d’un amalgame de processus d’évaluation différents ou la modification régulière de ceux-ci sera susceptible d’indiquer de manière plus complète et exacte comment le conseil fonctionne.

1.0 Introduction

Toutes les sociétés d’État mères ainsi que toutes les filiales en propriété exclusive qui sont requises de faire rapport comme si elles étaient des sociétés d’État mères sont incitées à prendre part à un programme d’évaluation régulière du conseil de la société et de ses membres.

Le présent document expose en bref les processus et les méthodes possibles par lesquels on évalue l’efficacité des conseils d’administration des sociétés d’État et des administrateurs formant ces conseils. On y trouvera également une liste des outils qui peuvent servir à cette évaluation.

2.0 Données de base

On désigne par le terme « évaluation » toute méthode servant à juger le rendement d’individus, de groupes ou d’organisations. Une organisation peut y recourir pour diverses raisons, y compris à des fins de perfectionnement ou pour établir la rémunération d’employés individuels.

Un programme régulier d’évaluation bien géréVoir la note en bas de page 1 contribue à la qualité de la gouvernance d’une société d’État, car il permet d’établir dans quels domaines des améliorations sont nécessaires et peut par conséquent servir d’outil de perfectionnement pour son conseil d’administration. Répétée régulièrement, cette pratique garantit que le conseil dans son ensemble et que chacun de ses administrateurs examinent régulièrement les structures et procédures existantes, vérifient l’efficacité des pratiques afin de déterminer celles qu’il convient de conserver et procurent des occasions de discuter des domaines d’amélioration continue.

Dans le rapport Examen du cadre de gouvernance des sociétés d’État du Canada -- Répondre aux attentes des Canadiennes et des Canadiens, la douzième mesure expose les aspirations des sociétés d’État fédérales à se doter d’une procédure régulier d’évaluation pour leur conseil d’administration et chacun de leurs administrateurs :

Mesure no 12 du rapport Examen du cadre de gouvernance des sociétés d’État du Canada - Répondre aux attentes des Canadiennes et des Canadiens, laquelle stipule que :

Mesure no 12 : Conformément aux pratiques de bonne gouvernance, le gouvernement demandera aux conseils d’administration de procéder régulièrement à une évaluation de leur efficacité et de la contribution des différents administrateurs, évaluation devant constituer un outil d’autoperfectionnement. Les résultats de l’évaluation de l’ensemble du conseil seront communiqués par son président au ministre de tutelle à titre d’information.

3.0 Caractéristiques des conseils d’administration efficaces

Les administrateurs et les conseils efficaces possèdent les caractéristiques suivantes :

Composition du conseil d’administration :

  • Le conseil est formé d’administrateurs possédant les connaissances, les compétences et la motivation nécessaires à l’exercice de leurs responsabilités.

Connaissances :

  • La société et ses activités, ses plans stratégiques et ses opérations;
  • Structures et procédures générales du gouvernement du Canada;
  • Responsabilités découlant de la loi, en particulier la Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)Voir la note en bas de page 2 et la loi constitutive de leur société d’État;
  • Attentes du gouvernement;
  • Pratiques exemplaires qui ont trait à l’organisation et à la régie des conseils d’administration;
  • Code de déontologie de la société d’État et Loi sur les conflits d’intérêts; et
  • Problèmes et enjeux propres à la société d’État, ses opérations, sa clientèle, son marché, l’opinion publique à son égard, sa concurrence.

Responsabilités :

  • Respecter les lois applicables, la partie X de la Loi sur la gestion des finances publiques et les règlements afférents, la charte de la société d’État, les règlements de la société ainsi que toute directive donnée à celle-ciVoir la note en bas de page 3;
  • S’il y a lieu, observer la loi habilitante de la société d’État ou toute autre loi particulière qui s’applique de façon pertinente à la société
  • Se tenir au courant des objectifs du gouvernement ayant trait aux sociétés d’État et des répercussions de ces objectifs sur la société;
  • Préserver l’indépendance du conseil d’administration;
  • S’assurer une formation adéquate;
  • Observer une éthique stricte en matière d’intégrité et de probité;
  • Agir avec intégrité dans toutes ses activités auprès de la société ou au nom de celle-ci, ce qui comprend l’obligation de déclarer tout conflit d’intérêts;
  • Rendre compte au ministre de tutelle de la gérance de la société; et
  • Appuyer des rapports efficaces avec le ministre de tutelle et son ministère du portefeuille.

Conduite :

  • Agir avec intégrité et bonne foi, au mieux des intérêts de la société;
  • Agir avec le soin, la diligence et la compétence dont ferait preuve, en pareilles circonstances, une personne prudente; et
  • Exiger l’excellence en matière de gouvernance et respecter le code de déontologie dans la mesure du possible.

Les outils employés pour évaluer l’efficacité du conseil d’administration dans son ensemble et de chacun des administrateurs devraient permettre de déterminer dans quelle mesure ceux-ci manifestent les caractéristiques ci-dessus.

En outre, les processus d’évaluation du conseil d’administration offrent la possibilité de mesurer la satisfaction du conseil au sujet de son fonctionnement (comme le nombre de réunions, les discussions, la qualité du matériel, la présence, les interactions avec la haute direction, etc.).

4.0 Éléments essentiels au bon fonctionnement d’un conseil d’administration

La meilleure pratique pour évaluer l’efficacité d’un conseil d’administration et de ses administrateurs repose sur quatre éléments essentiels :

Motivation des administrateurs individuels

Une bonne évaluation prend du temps, et les administrateurs sont des gens occupés. Pour que l’évaluation soit plus qu’un bête ensemble de cases à cocher sur un formulaire, il est important de pouvoir compter sur la participation active et objective des administrateurs du début à la fin. Pour le président, la meilleure façon de faire consiste à convier ceux-ci à une table ronde avant d’amorcer l’évaluation, afin de garantir que tous comprennent et acceptent les avantages potentiels de cette pratique pour eux, à titre individuel et collectif.

Une démarche réfléchie et systématique

Pour faire de l’évaluation un outil d’amélioration du conseil, un processus d’évaluation doit faire l’objet d’une planification soignée. Les évaluateurs devraient établir un calendrier d’évaluation et veiller à bien informer les participants des étapes les concernant. Le processus d’évaluation peut également fournir une occasion aux membres du conseil de faire part de leur degré de satisfaction à l’égard du fonctionnement du conseil (notamment en ce qui concerne le nombre d’assemblées, l’équipement utilisé, la présence, les communications et les interactions avec la haute direction).

Voici quelques dimensions d’évaluation à considérer au moment de planifier l’évaluation de l’efficacité d’un conseil d’administration : Évaluation interne ou externe? Fondée sur des mesures qualitatives ou quantitatives? Évaluation par des pairs ou autoévaluation. Des outils d’évaluation peuvent être utilisés isolément ou ensemble afin que l’évaluation soit plus complète et de plus grande portée.

De nombreuses organisations du secteur privé ont recours à un comité d’évaluation qui se voit confier le mandat de planifier et de mettre en œuvre le processus d’évaluation. Un tel comité a notamment pour fonction de veiller à ce que les administrateurs comprennent le processus et y souscrivent, à ce que celui-ci soit réfléchi et mené de manière systématique, sans qu’aucune étape ne soit sautée, à ce que l’anonymat des administrateurs soit préservé lors de la compilation des résultats des évaluations par les pairs et, enfin, à ce que l’on donne suite à l’évaluation, y compris à ce que l’on améliore ce qui doit l’être.

En raison de la taille limitée des conseils de nombreuses sociétés d’État, le recours à un comité constitué de membres du conseil pour diriger le processus d’évaluation pourrait poser des problèmes de confidentialité. En l’absence d’une planification soignée, des membres du comité pourraient entrer en contact avec des données d’évaluation qui s’adressent expressément à certains administrateurs. Il serait possible d’éviter les problèmes de confidentialité en établissant des mécanismes qui permettent de compiler et de diffuser anonymement les résultats des évaluations effectuées par des pairs et des résultats individuels. Le président du conseil est souvent chargé de compiler les résultats des pairs et les résultats individuels et de les diffuser à chacun des membres du conseil. De plus, les sociétés d’État pourraient également avoir recours à un consultant de l’extérieur pour la compilation des résultats individuels et des résultats obtenus des pairs, ou à un sondage en ligne qui prévoit la présentation anonyme de matériel d’évaluation

Des étapes clairement définies et des outils spécifiques

Il faudra choisir et concevoir avec soin les outils d’évaluation, car la validité de l’information recueillie pour évaluer et améliorer l’efficacité du conseil d’administration en dépendra. Ces outils pourraient mettre en lumière les points forts et les lacunes du conseil d’administration et de ses membres, sans que le processus ne devienne laborieux.

Différents types d’outils peuvent être utilisés; chacun a ses avantages et ses inconvénients (voir l’annexe B). Vu la variété des sociétés d’État, il pourra être nécessaire d’adapter les outils pour qu’ils remplissent bien leur fonction, c’est-à-dire évaluer adéquatement l’efficacité des administrateurs et du conseil d’administration dans son ensemble.

Les listes de contrôle et les tours de table sont généralement un bon point de départ, car ils permettent aux membres de passer en revue les structures et les responsabilités générales du conseil d’administration ainsi que leur rôle à l’intérieur de celui-ci. On les fait généralement suivre d’une autoévaluation et d’une évaluation par les pairs, lesquelles ont l’avantage d’offrir une multitude de points de vue et une portée d’évaluation plus vaste.

On trouvera à l’annexe C une liste des outils pouvant servir à évaluer les conseils d’administration et leurs administrateurs.

Suivi

Idéalement, le plan d’évaluation inclura un suivi, c’est-à-dire une procédure bien définie visant à garantir une évaluation continue du rendement plans. Le suivi devrait à tout le moins prévoir la réutilisation des outils pour vérifier si les lacunes cernées ont été comblées.

Un élément clé du suivi est de faire en sorte que chacun reçoive l’information pertinente. Par exemple, les évaluations par les pairs soumises de façon anonyme au comité d’évaluation, au président du conseil ou à un consultant externe, pourront être amalgamées de manière à produire un rapport individualisé pour chaque administrateur, auquel on remettra une copie. Le président du conseil et/ou le comité d’évaluation pourra alors conserver une copie de chaque rapport individuel, qui servira à planifier le perfectionnement des administrateurs. Le président veillera à communiquer les résultats de l’évaluation du conseil dans son ensemble au ministre de tutelle de la société.

5.0 Accès aux évaluations individuelles des administrateurs

Les évaluations individuelles des administrateurs sont considérées comme étant confidentielles. Par conséquent, l’accès aux rapports d’évaluation individuelle devrait se limiter aux administrateurs sur lesquels ils portent et aux personnes qui ont un besoin légitime de connaître cette information conformément à des dispositions de la Loi sur la protection des renseignements personnels.

Annexe A – Approches d’évaluation possibles

Voici de nombreuses approches possibles pourra considérer une société d’État qui planifie une évaluation et décide des outils à employer pour évaluer l’efficacité d’un conseil d’administration et de chacun de ses membres :

Approches d’évaluation possibles
Dimension Avantages Inconvénients

Évaluation externe

Évaluation de la qualité du rendement d’une organisation (ou de ses membres individuels) exécutée par des spécialistes indépendants de l’organisation évaluée

Évaluation plus objective

Expérience et outils plus raffinés

Moins bonne connaissance de la société d’État et de son conseil d’administration

Plus coûteuse

Évaluation interne

Évaluation de la qualité du rendement d’une organisation (ou de ses membres individuels) exécutée par des personnes faisant partie de l’organisation évaluée

Connaissance de la société d’État et de son conseil d’administration

Moins coûteuse qu’une évaluation faisant appel à un évaluateur externe

Expérience généralement limitée en évaluation

Peut être moins objective qu’une évaluation externe

Évaluation qualitativeVoir la note en bas de page 4

Analyse qui repose sur l’interprétation subjective de mesures qui ne se chiffrent ou ne se quantifient pas. Les mesures qualitatives servent généralement à recueillir des données sous forme narrative.

Peut livrer une information plus riche, plus poussée

Prend plus de temps

Résultats plus difficiles à compiler

Évaluation quantitative

Évaluation reposant sur les chiffres ou les statistiques plutôt que sur l’analyse de mesures subjectives des comportements. On fait généralement appel à l’évaluation quantitative pour obtenir des données sous forme numérique

Rapide

Résultats faciles à compiler

Questions normalisées

Information moins poussée

Possibilité que les questions ne saisissent pas toutes les données importantes

Autoévaluation

Processus consistant à examiner de manière critique la qualité de son propre rendement et son propre travail d’une manière réfléchie afin de cerner les points forts et les lacunes.

Laisse les administrateurs revoir leurs responsabilités, rôles, mandat et rendement individuels et collectifs

Une seule perspective

Subjectivité

Évaluation par ses pairs

Processus par lequel des personnes commentent le succès ou le rendement quantitatif et qualitatif de personnes occupant une position similaire à la leur (c.-à-d., collègues qui s’évaluent les uns les autres).

Possibilité d’évaluer ses pairs

Points de vue multiples

Malaise à juger les autres

Les plus récents membres du conseil peuvent manquer d’information sur les pairs et leurs rôles.

Annexe B - Comparaison des outils d’évaluation possibles

Comparaison des outils d’évaluation possibles
Outils Avantages Inconvénients
Listes de vérification
  • Bon point de départ, les listes donnent une vue d’ensemble
  • Rapide et peu coûteuse
  • Peut être autoadministrée
  • Évaluation de l’ensemble du conseil ou de chaque administrateur
  • Ne permet pas une évaluation approfondie

Questionnaires normalisés

Oui/Non

Échelonnement (échelle prédéterminée)

  • Questions normalisées qui facilitent la compilation des résultats
  • Outils d’évaluation par les pairs ou d’autoévaluation
  • Évaluation de l’ensemble du conseil ou de chaque administrateur
  • Relativement rapide et peu coûteux
  • Évite le stress des entrevues face-à-face
  • Questions normalisées
  • Possibilité que les questions ne saisissent pas toutes les données importantes
  • Aucune possibilité d’élaborer
Questionnaire à réponses courtes et longues
  • Évaluation de l’ensemble du conseil ou de chaque administrateur
  • Outil d’évaluation par les pairs ou d’autoévaluation
  • Évite le stress des entrevues face-à-face.
  • Ouvre la porte à des réponses plus franches.
  • Résultats plus difficiles à compiler
  • Plus long
  • Nécessité de faire appel à un comité ou à un consultant pour compiler les réponses

Entrevues

Non structurées : (discussion avec le président du conseil ou le comité d’évaluation)

Formelle : (entrevue avec un consultant ou le comité d’évaluation)

  • Possibilité de générer des réponses plus riches, vu la possibilité de relancer le répondant et de lui demander des éclaircissements
  • Possibilité d’élaborer les réponses
  • Évaluation de l’ensemble du conseil ou de chaque administrateur
  • Outils d’évaluation par les pairs ou d’autoévaluation
  • Possibilité de compiler les réponses, puis de les communiquer aux administrateurs de façon anonyme
  • Malaise à juger les autres
  • Réponses susceptibles d’être moins franches
  • Plus long
  • Résultats plus difficiles à compiler
  • Résultats dépendant de l’expérience de l’intervieweur
Tour de table/Tour de table ou séance de travail
  • Produisent souvent des réponses plus riches; possibilité de poser des questions, de demander des clarifications et de faire du remue-méninges
  • Comme il s’agit d’une activité collective, responsabilise davantage les administrateurs à donner suite
  • Nécessité de faire appel à un comité ou à consultant pour compiler les résultats
Comités d’évaluation
  • Connaissance de la société d’État et de son conseil d’administration
  • Comme il s’agit d’une activité interne, responsabilise davantage les administrateurs à donner suite
  • Évaluation de l’ensemble du conseil ou de chaque administrateur
  • Possibilité que les membres du comité n’aient pas d’expérience en évaluation
  • Questions de discrétion sur l’évaluation par les pairs.

Annexe C – Ressources externes disponibles

Références générales sur l’efficacité du conseil d’administration

Listes de vérification

  • Agency Self-Assessment Tool. Source : ministère des Finances de la Colombie-Britannique.
  • A Board Evaluation -- Quick Assessment. Source : Abaris Consulting Inc.
  • Board Effectiveness Checklist. Source : site Web Boardroom Metrics.
  • Governance Information Check-Up. Source : Governance Information : Strategies for Success, Fondation canadienne pour la vérification intégrée, 1996.
  • Governance information Environmental Assessment. Source : Governance Information : Strategies for Success, Fondation canadienne pour la vérification intégrée, 1996.

Questionnaires

Tours de table et séances de travail

  • Board Evaluation : Facilitated Work Session. Source : site Web Boardroom Metrics.

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