Journée internationale de la fille

Déclaration

Le 11 octobre 2022 – Ottawa (Ontario) – Affaires mondiales Canada

Le ministre du Développement international et ministre responsable de l’Agence de développement économique du Pacifique Canada, l’honorable Harjit S. Sajjan, a fait aujourd’hui la déclaration suivante :

« Le Canada est fier de se joindre aux célébrations qui ont lieu dans le monde entier en cette Journée internationale de la fille. Le thème de cette année, "Notre temps est venu. Nos droits, notre avenir.", place les filles à l’avant-plan.

« Il est urgent de s’attaquer à la discrimination injuste dont sont victimes les filles, une discrimination qui renforce la pauvreté et les inégalités, limite le potentiel des filles et les empêche de réaliser pleinement leurs droits fondamentaux.

« Nous imaginons un monde où les filles se servent de leur pouvoir, contrôlent leur vie et leur corps, participent aux décisions qui les concernent et contribuent à la prospérité de leur foyer et de leur pays, en plus d’en bénéficier.

« En investissant dans les filles, nous créons des changements radicaux, non seulement pour les filles elles-mêmes, mais aussi pour leurs communautés et leurs pays, y compris pour l’économie de ces derniers.

« Nous devons nous attaquer aux écarts entre les genres en matière d’éducation, des écarts qui sont particulièrement importants dans l’éducation secondaire et postsecondaire. Toutes les filles, et plus particulièrement les filles réfugiées et déplacées, doivent avoir accès à une éducation sécuritaire et de qualité pour s’épanouir pleinement.

« L’éducation des filles procure des avantages qui vont bien au-delà de l’apport initial. Les femmes plus instruites ont tendance à être en meilleure santé, à participer davantage au marché du travail officiel, à gagner plus d’argent, à donner naissance à moins d’enfants, à se marier à un âge plus avancé et à offrir de meilleurs soins de santé et une meilleure éducation à leurs enfants.

« À l’occasion de la séance d’automne de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Canada copilotera une fois de plus, aux côtés de la Zambie, une résolution sur les mariages d’enfants, précoces et forcés. Nous voyons cette résolution comme un élément crucial des efforts en cours pour créer un élan mondial visant à mettre fin aux mariages d’enfants, précoces et forcés d’ici 2030. Les mariages d’enfants mettent fin à l’enfance. Ils influent négativement sur les droits à l’éducation, à la santé et à la protection. Une fille mariée alors qu’elle est encore une enfant risque davantage de ne pas aller à l’école, de ne pas gagner d’argent ou de ne pas être en mesure de contribuer à la vie de sa communauté.

« Le Canada s’est engagé à amplifier la voix des personnes touchées par les décisions prises à l’échelle mondiale, y compris les adolescentes, afin qu’elles participent aux décisions qui ont le plus d’incidence sur leur vie. Elles ont besoin d’outils et de possibilités pour s’épanouir pleinement et contribuer à leur communauté.

« Nous travaillons en étroite collaboration avec nos partenaires internationaux pour réduire les inégalités, relever les défis uniques auxquels sont confrontées les filles et les femmes et veiller à ce que leurs droits soient respectés, notamment en déployant des efforts visant à permettre aux filles de rester à l’école, de demeurer en bonne santé et de décider de leur propre avenir. »

Personnes-ressources

Haley Hodgson
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2022-10-11