Conseil consultatif du ministre : Composition
Membres
Le Conseil consultatif du ministre fournit au ministre de l’Environnement et du Changement climatique des conseils non partisans sur des questions liées à la mise en œuvre de la Loi sur l’évaluation d’impact.
Les membres du Conseil proviennent de divers milieux et possèdent des expériences variées dans des domaines comme l’industrie, le milieu universitaire et la recherche, la gouvernance, les organismes environnementaux sans but lucratif et les connaissances et les droits autochtones. Le Conseil comprend des représentants de toutes les régions du pays et des deux langues officielles et favorise l’équilibre des genres.
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Lesley Griffiths (présidente)
Lesley Griffiths, maintenant à la retraite, était planificatrice environnementale et communautaire. Pendant plus de 30 ans, elle a été codirectrice chez Griffiths Muecke, société de conseils qui offrait ses services dans les domaines liés aux processus de consultation et d’établissement de consensus, d’évaluation des impacts environnementaux, de gestion des ressources et de développement communautaire. Lesley possède une vaste expérience dans les secteurs de la planification côtière et extracôtière, de la participation et de la mobilisation d’intervenants, du développement des ressources, de la gestion des déchets, de la gestion des bassins hydrographiques, de la planification du tourisme et des loisirs et du développement communautaire.
Lesley a élaboré et mis en œuvre des stratégies d’information et de consultation pour la planification sociocommunautaire, le développement économique communautaire, le développement des ressources et divers types de planification de la gestion des déchets. Elle a également été directrice administrative à East Coast Environmental Law.
Elle possède une grande expérience au sein des groupes d’évaluation environnementale. Elle a d’abord été membre de la commission d’examen conjoint pour l’examen des installations de traitement des eaux usées du port de Halifax sous la gouverne de l’Agence d’évaluation d’impact du Canada (AEIC). Par la suite, elle a présidé la commission fédérale-provinciale d’évaluation environnementale conjointe qui a examiné le projet de mine et d’usine de la baie Voisey dans le nord du Labrador, le projet d’assainissement des étangs bitumineux de Sydney au Cap-Breton ainsi que le projet de mine de métaux du groupe des platineux et de cuivre de Marathon. Elle a de plus coprésidé la commission du projet de centrale hydroélectrique dans la partie inférieure du fleuve Churchill. Plus récemment, elle a présidé la commission responsable du processus d’examen conjoint pour le projet de pôle logistique de Milton, en Ontario. Lesley a aussi été le leader des processus pour l’évaluation environnementale stratégique des centrales marémotrices de Fundy et coprésidé le groupe de travail du ministre de l’Environnement de la Nouvelle-Écosse sur la salubrité de l’air, qui a produit la première stratégie en matière de gestion de qualité de l’air de la province.
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Pierre Baril
Pierre Baril est ingénieur et agronome diplômé de l’Université Laval. Il possède une maîtrise et un doctorat en génie de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, en Suisse. Il a passé les vingt dernières années au sein du gouvernement du Québec, successivement comme vice-président du Centre de recherche industrielle du Québec, sous-ministre adjoint aux politiques du ministère de l’Environnement, directeur général d’Ouranos et président du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). Dernièrement, il a dirigé une équipe dédiée à la modernisation de la réglementation environnementale. Il a auparavant œuvré dans le domaine du génie-conseil. Il a été membre des conseils d’administration de nombreuses associations non gouvernementales, y compris Nature Québec, Réseau Environnement, le Réseau International des Organismes de Bassin et l’Office International de l’Eau. Il est travailleur autonome et son expertise porte notamment sur les politiques environnementales, la gestion de l’eau et les changements climatiques. Il est membre des conseils d’administration du Marine Environnemental Observation, Prediction and Response Network (MEOPAR) et de l’Institut du Nouveau Monde.
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Carl Braun
Carl Braun est autochtone et porte un profond respect aux valeurs traditionnelles et aux leçons tirées de la terre. Depuis trente ans, il met son savoir autochtone et ses compétences dans le domaine de la gestion des ressources naturelles et des sciences de l’environnement à la disposition des Premières Nations et des gouvernements. En tant que technologue dans les secteurs de la pêche, de la faune et de la sylviculture, il a participé à de nombreux projets sur le terrain à titre de chef de projet et d’agent de liaison. En tant que conseiller indépendant, il a fourni des services consultatifs sur le plan technique et à divers ministères. En tant que directeur général, il a dirigé les processus relatifs aux droits fonciers issus de traités pour le compte de 21 Premières Nations du Manitoba, en collaboration avec les gouvernements fédéral et provincial. En tant qu’analyste principal des mines et minéraux, il a également travaillé pour le compte des Anishinabek de l’Ontario, prenant en charge les processus de consultation dans le cadre du processus de modernisation de la Loi sur les mines de l’Ontario. Carl possède également une vaste expérience gouvernementale en tant qu’analyste des politiques principal pour le ministère de la Conservation et du Climat du Manitoba, où il a travaillé plus particulièrement sur l’obligation de consulter en prodiguant des conseils interministériels, ainsi que sur des processus de consultation précis à l’échelle ministérielle et communautaire. Actuellement, Carl a rejoint le bureau des relations gouvernementales et industrielles de la Première Nation crie Mikisew en tant que directeur général des relations gouvernementales. Il gère l’engagement général et les principaux dossiers de consultation officielle avec les gouvernements fédéral et provincial dans la région des sables bitumineux de l’Alberta. Sa connaissance approfondie des politiques et des lois fédérales et provinciales lui permet de travailler de manière efficace en collaboration avec les gouvernements fédéral et provincial et dans le contexte des projets et des demandes des promoteurs de l’industrie ainsi que de l’examen et de la création de politiques et de lois. L’expérience de Carl dans le territoire de la Première Nation crie Mikisew et dans la région des sables bitumineux lui permet de bien comprendre les processus d’évaluation d’impacts fédérale, y compris les méthodes officielles de consultation et d’accommodement et l’évaluation des impacts potentiels sur les droits.
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Elizabeth Copland
Elizabeth Copland a récemment pris sa retraite en tant que coroner en chef adjointe pour le Nunavut, au sein du ministère de la Justice, où elle a également été la première coroner en chef inuk du Nunavut et la première femme élue maire d’Arviat, au Nunavut.
Sa passion a toujours été de servir les Inuits du Nunavut, de veiller à la protection de leurs terres, de leurs riches ressources et de leur culture. Elle l’a fait tout en étant, pendant de nombreuses années, présidente de la Commission du Nunavut chargée de l’examen des répercussions, juge de paix et présidente de Kivalliq Land & Sea Resources, une société qu’elle a créée pour développer et commercialiser de nouvelles ressources renouvelables, ainsi que la culture inuite dans le monde entier.
Elizabeth a grandi dans la communauté traditionnelle inuite d’Arviat, au Nunavut. Après avoir terminé sa 12e année, ou GED 12, elle a travaillé dans les secteurs de l’éducation, des transports et du développement social. Récemment, Elizabeth a été nommée pour un mandat de trois ans à l’Office des eaux du Nunavut. Elle vit actuellement à Winnipeg. -
Johanne Gélinas
Johann Gélinas est conseillère stratégique chez Ernst & Young, spécialisée dans la mise en place de processus environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) pragmatiques, stratégiques et pertinents. Elle est membre du conseil d’administration de Fondaction, un fonds qui investit dans la croissance socialement responsable et durable, ainsi qu’Aequo, qui s’occupe de la mobilisation des actionnaires pour les investisseurs sur les questions d’ESG. Johanne est également présidente du conseil d’administration d’AquaVerti, une entreprise en démarrage spécialisée dans l’agriculture urbaine carboneutre.
Présidente-directrice générale de Transition Énergie Québec de 2017 à 2021, aujourd’hui le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles, Johanne a été nommée pour créer une société d’État afin de mettre en œuvre la politique énergétique du Québec visant à soutenir, stimuler et promouvoir la transition, l’innovation et l’efficacité énergétiques, et à assurer une gouvernance intégrée. En 2015, Johanne a présidé le groupe d’experts mis en place par le ministre de l’Environnement et du Changement climatique qui a formulé des recommandations sur le processus fédéral d’évaluation environnementale.
Auparavant, Johanne était associée chez Raymond Chabot Grant Thornton et aidait les organisations à gérer les questions de gouvernance, de développement socio-économique et de protection de l’environnement. Avant d’occuper cette fonction, elle a dirigé l’équipe du développement durable chez Deloitte et a procédé à des évaluations de la gestion des risques. En tant que commissaire à l’environnement et au développement durable au Bureau du vérificateur général du Canada, Johanne était responsable de la surveillance des sociétés d’État et des ministères fédéraux et a réalisé plus de 60 vérifications de rendement pour tous les secteurs du gouvernement.
Johanne est administratrice agréée certifiée et titulaire d’un baccalauréat en géographie et d’une maîtrise en sciences de l’environnement de l’Université du Québec à Montréal.
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Jocelyn Gosselin
Jocelyn Gosselin est une Métisse qui entretient des liens ancestraux avec la rivière Rouge. Depuis la fin de ses études postsecondaires, Jocelyn a élu domicile dans la région des sables bitumineux de l’Alberta, avant de revenir récemment à ses racines dans le nord-ouest de l’Ontario. Elle possède une connaissance et une expérience approfondies du programme de surveillance Canada-Alberta des sables bitumineux et de la consultation sur les évaluations d’impact. Elle sert sa nation en offrant ses services consultatifs pour soutenir les initiatives des communautés, et elle est active au sein de divers comités multilatéraux en tant que représentante métisse nommée par sa nation. Elle est titulaire d’un baccalauréat ès sciences en gestion de l’environnement de l’Université Royal Roads et d’un diplôme en environnement sur le terrain et en laboratoire du Niagara College. Jocelyn s’intéresse à l’équilibre entre le savoir traditionnel et la science moderne, et fournit des conseils politiques et techniques aux gouvernements autochtones et occidentaux. Jocelyn pratique la récolte traditionnelle, ce qui renforce son lien avec la communauté et la terre.
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Pierre Gratton
Pierre Gratton a été nommé président et chef de la direction de l’Association minière du Canada (AMC) le 1er juin 2011. Établie à Ottawa, l’Association minière du Canada est l’organisme national qui représente l’industrie minière canadienne. Ses membres sont présents dans les secteurs de l’exploration minérale, de l’exploitation minière, de la fonte, de l’affinage et de la fabrication de produits semi-finis.
Avant sa nomination à l’AMC, Pierre a passé trois ans à la tête de l’Association minière de la Colombie-Britannique. De 1999 à 2008, il a été vice-président du développement durable et des affaires publiques de l’Association minière du Canada. Il a joué un rôle déterminant dans l’élaboration et la mise en œuvre de l’initiative Vers le développement minier durable, programme phare de l’AMC qui est de plus en plus reconnu et adopté à l’échelle internationale.
En 2005 -2006, Pierre a été reconnu comme éminent conférencier par l’Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole.
Il occupe aussi le poste de premier vice-président de la Interamerican Mining Society (SIM – Sociedad Interamericana de Mineria), de président du Temple de la renommée du secteur minier canadien et celui de coprésident du Comité sur les matières premières du Comité consultatif économique sur l’Initiative Mines vertes. De plus, il a été administrateur du Prix Inspiration arctique et siège au conseil d’administration de l’orchestre de chambre Thirteen Strings d’Ottawa.
Gratton est titulaire d’une maîtrise en science politique et d’un baccalauréat de l’Université McGill.
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Anna Johnston
Anna Johnston, B.A., LLB, est une avocate-conseil à l’interne à West Coast Environmental Law, où elle travaille dans les domaines de l’évaluation d’impact environnemental, des effets cumulatifs et du droit climatique.
Anna a obtenu son diplôme de droit à l’Université de Victoria en 2010, après quoi elle a effectué un stage à l’Institute of Environmental Law and Governance de Nairobi, au Kenya. Par la suite, elle a effectué un stage à Écojustice Canada. Admise au barreau en 2011, Anna a exercé en tant qu’avocate indépendante en droit autochtone et en droit de l’environnement, avant de rejoindre West Coast Environmental Law, en 2013. Elle prépare actuellement une maîtrise en droit à la Schulich School of Law de l’Université Dalhousie, qui porte sur la compétence fédérale en matière d’évaluation environnementale de la prochaine génération.
Anna a représenté des groupes communautaires et autochtones lors d’évaluations environnementales de grands projets énergétiques en Colombie-Britannique et en Alberta, et a prodigué des enseignements et un soutien juridiques en matière d’environnement à des collectivités à l’échelle du Canada. Elle copréside le Caucus de la planification et des évaluations environnementales du Réseau canadien de l’environnement, et elle est une ancienne déléguée du Comité consultatif multilatéral, où elle avait été nommée pour aider le ministre fédéral de l’Environnement et du Changement climatique à examiner et à réviser les processus fédéraux d’évaluation d’impact environnemental au Canada.
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Dr. Diana Lewis
Diana Lewis est une Micmac de la Première Nation Sipekne’katik en Nouvelle-Écosse.
Elle est titulaire d’une maîtrise en gestion des ressources et de l’environnement et d’un doctorat de l’Université Dalhousie, où elle se concentre principalement sur l’utilisation d’indicateurs de santé appropriés qui reflètent les répercussions que subissent les collectivités autochtones lorsqu’elles sont déplacées ou dépossédées de leurs terres et de leur environnement.
Mme Lewis a préparé des mémoires pour des études d’impact environnemental (c.-à-d : Le projet d’exploitation de Bay du Nord, le projet de remise en état de Boat Harbour) et a participé à des présentations devant des comités de réglementation (notamment le projet Muskrat Falls and Maritime Link, et le comité d’examen indépendant de la Nouvelle-Écosse sur la fracturation hydraulique). Mme Lewis a participé à la table ronde sur l’évaluation environnementale stratégique du développement de la production d’énergie marémotrice de la baie de Fundy Elle est actuellement coordinatrice de la section des peuples autochtones de l’Association internationale pour l’évaluation d’impact.
Mme Lewis a travaillé pour des organisations tribales, le gouvernement et le secteur privé. Elle est à l’Université de Guelph ou elle est titulaire de la Chaire de recherche du Canada (niveau II) sur la gouvernance de la santé environnementale des Autochtones dans le département de Géographie, environnement et géomatique.
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Martin Olszynski
Le professeur Martin Olszynski s’est joint à la faculté de droit de l’Université de Calgary en 2013, après plusieurs années au sein de la fonction publique dans les domaines du droit et des politiques en matière d’environnement et de ressources naturelles. De 2007 à 2013, il a été avocat au ministère de la Justice fédéral, pratiquant le droit au sein des services juridiques de Pêches et Océans Canada. Pendant cette période, il a également été détaché à la Direction générale de la politique législative et des affaires réglementaires à Environnement Canada.
Les principaux intérêts de Martin en matière d’enseignement et de recherche portent sur le droit et la politique en matière d’environnement, de ressources naturelles et de la gestion de l’eau. Il a publié des articles dans diverses revues, notamment la University of British Columbia Law Review, la Georgetown Environmental Law Review, l’Osgoode Hall Law Journal et la Revue du Barreau canadien. Il a également témoigné lors d’audiences sur l’environnement devant des commissions de la Chambre des communes et du Sénat.
Olszynski est titulaire d’un baccalauréat ès sciences en biologie et d’un baccalauréat en droit (LL.B.), obtenus tous deux à l’Université de la Saskatchewan, ainsi que d’une maîtrise en droit (LL.M.) (spécialisée en droit environnemental) de l’Université de la Californie à Berkeley. Il poursuit actuellement des études de doctorat en gestion des ressources à l’Institute for Resources, Environment and Sustainability de l’Université de la Colombie-Britannique. Après ses études de droit, Martin a été stagiaire du Denis Pelletier de la Cour d’appel fédérale (2006).
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Channa S. Perera
Cadre expérimenté, Channa jouit de plus de 20 ans d’expérience dans l’analyse des politiques, la défense des intérêts des gouvernements, l’élaboration et la mise en œuvre de programmes, la mobilisation des intervenants et la stratégie générale, y compris la planification et la mise en œuvre de stratégies et d’activités.
Il est actuellement vice-président des affaires réglementaires et autochtones à Électricité Canada (anciennement l’Association canadienne de l’électricité). Il est responsable de la surveillance stratégique des questions politiques liées à la chaîne de valeur de l’électricité, y compris les questions réglementaires. À ce titre, Channa dirige également plusieurs autres comités sectoriels, notamment ceux des ressources humaines, de la diversité et de l’inclusion, et des relations avec les populations autochtones. Avant d’assumer cette fonction, il a occupé d’autres postes à responsabilités au sein d’Électricité Canada, notamment celui de vice-président de l’élaboration des politiques et de directeur de la production, du développement durable et des affaires autochtones.
Channa fait également partie de plusieurs autres groupes consultatifs externes, dont le Groupe consultatif canadien sur l’environnement (GCCE) dans le cadre de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne.
Channa est titulaire d’une licence (BA) en sciences politiques/études juridiques et d’une maîtrise (MA) en sciences politiques de l’Université Carleton (Ottawa, Ontario) et d’un mini-MBA de l’Institut exécutif de l’université McGill (Montréal, Québec).
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Somia Sadiq
Originaire du Pendjab et du Cachemire postcoloniaux, Somia Sadiq possède une expérience en sciences de l’environnement, en gestion des ressources naturelles, en négociations, en lutte contre le terrorisme et en lutte/prévention de l’extrémisme violent.
Somia est la fondatrice de Narratives Inc, une société-conseils établie à Winnipeg qui se consacre à l’évaluation de l’impact, la transformation des conflits et la planification territoriale. Elle a également fondé Kahanee, une association sans but lucratif qui se consacre à la diffusion d’histoires et à la promotion de la paix.
Elle s’est engagée à décoloniser les façons de penser, de savoir et d’être. Elle développe de multiples systèmes de connaissances et outils pour résoudre les conflits de manière créative en adoptant une approche qui compte des traumatismes pour les communautés et les praticiens, en repoussant les limites de la recherche et de l’analyse. Somia a facilité la création d’un modèle d’évaluation d’impact global qui rassemble harmonieusement de nombreux systèmes de connaissances. En outre, elle a développé le modèle de transformation des conflits basé sur l’identité pour soutenir les efforts de consolidation de la paix, de guérison et de transformation entre les groupes.
Somia est planificatrice professionnelle agréée par l’Institut canadien des urbanistes, professionnelle de l’environnement d’Eco Canada, associée au Réseau canadien de recherche sur le terrorisme, la sécurité et la société, et membre de l’Institute of Security and Global Affairs de La Haye.
Elle est régulièrement invitée à apporter sa contribution et des conseils en matière d’évaluation d’impact, de prévention des conflits et de mobilisation, et à donner des conférences sur des sujets tels que le consentement libre, préalable et éclairé, la création d’organisations qui respectent la différence et les perspectives de carrière dans le secteur de l’environnement.
Avec pour ambition d’inspirer, de stimuler et de faire progresser les jeunes leaders, en particulier ceux issus de populations traditionnellement marginalisées et minoritaires, Somia entend favoriser l’émergence de lieux de travail et de sociétés qui incarnent les principes d’humilité, de respect et de réciprocité.
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