Déclaration de la ministre de l’Emploi, du Développement de la main‑d’œuvre et du Travail, l’honorable Patty Hajdu

Le 19 novembre 2018                    Gatineau (Québec)                     Emploi et Développement social Canada

La ministre de l’Emploi, du Développement de la main‑d’œuvre et du Travail, l’honorable Patty Hajdu, a fait aujourd’hui la déclaration suivante pour inaugurer la Semaine de l’épargne‑études de 2018 au Canada.

« Les jeunes sont au cœur de la prospérité économique future du Canada. C’est pourquoi notre gouvernement veille à ce que les enfants reçoivent le soutien financier dont ils ont besoin pour leurs études postsecondaires.

Cette année, le thème de la Semaine de l’épargne-études est Prendre de bonnes habitudes tôt dans la vie. Économiser plus tôt pour les études d’un enfant facilite la poursuite d’études postsecondaires.

Peu importe quand un REEE est ouvert pour un enfant, le gouvernement du Canada bonifie ces économies, surtout pour les familles à faible revenu. Les familles peuvent bénéficier de milliers de dollars en incitatifs à l’épargne du gouvernement, et tout commence par l’ouverture d’un REEE dédié.

Cette semaine est l’occasion d’amorcer la conversation sur l’épargne pour les études postsecondaires d’un enfant.».

Les faits en bref

• Cette année, la Semaine de l’épargne‑études se déroule du 18 au 24 novembre et vise à encourager l’utilisation des régimes enregistrés d’épargne‑études (REEE) pour économiser le plus tôt possible pour les études postsecondaires d’un enfant, qu’il s’agisse d’études à temps partiel ou à temps plein dans des écoles de métier, dans un programme d’apprenti, au cégep, au collège ou à l’université.
• Grâce aux REEE, l’épargne pour les études s’accumule à l’abri de l’impôt. Il s’agit des seuls comptes d’épargne qui donnent droit aux incitatifs à l’épargne études, notamment :
  • le Bon d’études canadien, qui permet de verser jusqu’à 2 000 $ dans un REEE des enfants admissibles issus de familles à faible revenu nés en 2004 ou plus tard, et ce, jusqu’à l’âge de 15 ans, sans qu’il soit nécessaire de verser des cotisations personnelles;
  • la Subvention canadienne pour l’épargne-études, dans laquelle le gouvernement ajoute un montant qui représente de 20 à 40 % des cotisations personnelles faites au titre du REEE d’un enfant, selon le revenu familial et le montant cotisé.

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