Bulletin trimestriel des impacts liés au climat et aperçu saisonnier pour la région du golfe du Maine : septembre 2016

Région du golfe du Maine, Septembre 2016

Événements météorologiques importants survenus dans le golfe du Maine - de juin à août 2016

Cet été, certaines parties de la région ont reçu des précipitations très inférieures à la normale. À cinq endroits en Nouvelle-Écosse, le mois de juin dernier se classe au deuxième rang parmi les mois les plus secs observés depuis le début de la collecte de données météorologiques. Boston, au Massachusetts, et trois endroits situés dans le Sud-Ouest de la Nouvelle-Écosse, dont Yarmouth, ont enregistré leurs étés les plus secs jamais répertoriés. Le manque de pluie a contribué à la sécheresse qui a sévi dans la région. Pour plus de détails à ce sujet, voir la section sur les impacts.

De nombreux orages violents se sont produits dans la région cet été.

Carte des phénomènes importants (voir description longue ci-dessous)
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Carte de la région du golfe du Maine, qui comprend la partie est du Massachusetts, le New Hampshire, le Maine, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard et les régions maritimes avoisinantes, présentant les événements les plus marquants de l’été de 2016 (juin, juillet et août).

Voici les principaux points :

  • Au cours de l’été, des orages ont été accompagnés de vents destructeurs et de crues soudaines.
  • En Nouvelle-Angleterre, les températures observées en août étaient de beaucoup supérieures à la normale.
  • Cet été, la sécheresse s’est intensifiée dans certaines parties de la région. Pour en savoir plus, voir la section sur les impacts.

Des avertissements ont été diffusés au Nouveau-Brunswick durant l’importante vague de chaleur qui a sévi du 11 au 16 juillet. Les températures mesurées dépassaient les 30 °C (86 °F). Toutefois, en tenant compte de l’humidité, elles étaient ressenties comme des températures entre 35 et 40 °C (95 à 104 °F). Boston, au Massachusetts, a connu en juillet douze jours de températures dépassant les 32 °C (90 °F), et Concord, au New Hampshire, a enregistré plus de dix journées aussi chaudes, soit six de plus que la moyenne pour ces deux localités.

Boston a connu son mois d’août le plus chaud jamais mesuré, tandis que pour plusieurs autres sites de la Nouvelle-Angleterre, ce mois d’août se classe parmi les cinq plus chauds depuis le début de la collecte de données. Pour plusieurs autres sites aussi, l’été 2016 a aussi compté parmi les cinq plus chauds jamais répertoriés.

Vue d’ensemble du climat régional - de juin à août 2016

Température

Écart par rapport à la normale
Carte des écarts de température (voir description longue ci-dessous)
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Carte des écarts de température par rapport à la normale pour la région du golfe du Maine, calculés sous forme de moyennes pour juin, juillet et août 2016. Sur la moitié est des Maritimes, on a observé des températures près des normales. Les tons de rose correspondent à des températures supérieures à la normale en Nouvelle-Angleterre, dans certaines parties du Nouveau-Brunswick, et dans la moitié ouest de la Nouvelle-Écosse. Dans ces zones, les températures ont été jusqu’à 2 °C au-dessus de la normale, sauf au Massachusetts, où elles ont été jusqu’à 3 °C au-dessus de la normale.

Les températures estivales (moyenne des mois de juin, de juillet et d’août) ont généralement oscillé entre des températures presque normales et des températures de 2 °C (4 °F) supérieures à la normale. Le Massachusetts, le Sud du New Hampshire et certaines parties du Maine ont été les endroits les plus chauds. Dans la majeure partie de la région, les températures moyennes en juin ont affiché un écart de 1 °C (2 °F) ou moins par rapport à la normale. En juillet, au Nouveau-Brunswick et à l’Île-du-Prince-Édouard, les températures moyennes ne se sont généralement pas écartées de plus de 1 °C (2 °F) de la normale, mais en Nouvelle-Écosse et dans les trois États, les températures ont été près de la normale ou jusqu’à 2 °C (4 °F) au-dessus de la normale. En août, les températures moyennes ont été près de la normale ou jusqu’à 3 °C (5 °F) au-dessus de la normale. L’Est du Massachusetts a été la région la plus chaude. Cet État a en fait connu son mois d’août le plus chaud jamais enregistré selon les relevés.

Précipitations

Pourcentage de la normale
Carte des précipitations (voir description longue ci-dessous)
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Carte des précipitations totales pour la région du golfe du Maine montrant les précipitations totales comme pourcentage des précipitations normales durant l’été 2016, et dont la moyenne est établie pour les mois de juin, juillet et août. Les tons de brun de la carte révèlent que la majeure partie de la région a reçu moins de pluie que d’habitude. La pluie tombée dans l’Est du Massachusetts et le Sud-Ouest de la Nouvelle-Écosse correspondait à 25 à 50% de la normale. D’autres parties de la Nouvelle Angleterre, du Sud du Nouveau-Brunswick, de la partie continentale de la Nouvelle-Écosse et de l’Île-du-Prince-Édouard ont eu droit à 50 à 90% des précipitations normales. Les tons vert pâle à vert moyen sur le Nord et le centre du Nouveau-Brunswick ainsi que sur le Nord-Est du Maine montrent que ces régions ont reçu plus de pluie que la normale (de 110 à 150% de la normale).

Les précipitations estivales (accumulations de juin à août) ont varié de 25% par rapport à la normale dans l’Est du Massachusetts et le Sud-Ouest de la Nouvelle-Écosse à 150% de la normale dans le Nord-Est du Maine. Les précipitations en juin ont varié de moins de 25% de la normale à près de la normale dans la majeure partie de la région. Toutefois, les précipitations au Nouveau Brunswick ont varié de 75% de la normale dans les régions du Sud-Ouest à plus de 200% dans les régions du Nord-Est. D’une manière générale, les précipitations en juillet ont varié de 25% de la normale à près de la normale à l’Île du Prince-Édouard, au Nouveau-Brunswick, au New Hampshire et au Massachusetts. Au Maine et en Nouvelle Écosse, les précipitations ont été variables, oscillant généralement entre 50 et 150% de la normale. Les précipitations en août ont varié de 25% de la normale dans certaines régions de la Nouvelle-Écosse et du Sud-Est du Massachusetts à 175% de la normale dans certaines régions du centre du Nouveau-Brunswick et du Nord du Maine.

 

Les normales des températures et des précipitations sont fondées sur les données recueillies entre 1981 et 2010. Données sur les précipitations océaniques et canadiennes : Analyse des précipitations au Canada. Données sur les précipitations aux États-Unis : Données interpolées des stations.

Température à la surface de la mer

Écart par rapport à la normale
Carte des écarts de températures de la surface de la mer (voir description longue ci-dessous)
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Carte des écarts de température de la surface de la mer par rapport à la normale pendant l’été (moyenne de juin, juillet et août) dans la région du golfe du Maine, qui couvre la baie de Fundy, le golfe du Maine et les eaux situées au sud de la Nouvelle-Écosse. Les tons de rose jusqu’au rouge sur près de la totalité des zones montrent que les eaux de surface ont été plus chaudes que la normale. Les anomalies les plus considérables ont été observées au-dessus des bassins plus profonds, notamment dans la partie ouest du golfe du Maine et sur la plate-forme néo-écossaise, avec des eaux de surface 1,5 °C plus chaudes que la normale.

Les anomalies de température estivale à la surface de la mer se sont caractérisées par un temps plus doux que la moyenne saisonnière à long terme dans toute la région du golfe du Maine. Ces températures élevées ont été les plus marquées (supérieures à 1,5 °C ou 3 °F) au-dessus des bassins profonds, notamment dans la partie ouest du golfe du Maine et sur la plate-forme néo-écossaise, et les plus faibles (inférieures à 1,0 °C ou 2 °F) dans les régions côtières moins profondes et dans la baie de Fundy. Cette chaleur sévissant à la grandeur de la région est le prolongement de celle observée à l’automne, à l’hiver et au printemps de la période 2015-2016. Les températures élevées des océans ont probablement contribué à la mortalité élevée des poussins de macareux sur l’île Machias Seal, qui abrite la plus importante colonie de macareux moines du golfe du Maine.

 

Anomalies de température à la surface de la mer fondées sur les données de la période de 1985 à 2014. Anomalies moyennes de température à la surface de la mer tirées des données du radiomètre perfectionné à très haute résolution de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Source : School of Marine Sciences (École des sciences marines) de l’Université du Maine et NERACOOS.

Impacts régionaux - de juin à août 2016

Carte des sécheresses (voir description longue ci-dessous)
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Carte montrant l’intensité de la sécheresse sur la région du golfe du Maine. La légende indique cinq niveaux d’intensité de sécheresse, allant de la classification « sécheresse anormale » à la classification « sécheresse modérée, grave, extrême et exceptionnelle (D0 à D4) ». Les tons de jaune et beige sur l’Ouest et le centre de la Nouvelle-Écosse, le Sud du Nouveau-Brunswick, l’Île du Prince Édouard, le Sud du Maine et la majeure partie du New Hampshire montrent des conditions allant de la classification « sécheresse anormale » à la classification « sécheresse modérée ». Les zones colorées en brun sur le Sud-Ouest de la Nouvelle-Écosse montrent une sécheresse grave. Les couleurs brun et rouge sur le Sud du Maine, sur le Sud-Est du New Hampshire et sur le Massachusetts correspondent à des sécheresses graves ou extrêmes. Deux types d’impacts de la sécheresse sont indiqués sur la carte, marqués par un « S » (impacts à court terme, généralement moins de 6 mois, p. ex. sur l’agriculture, les prairies) et par un « L » (impacts à long terme, généralement plus de 6 mois, p. ex. sur l’hydrologie, l’écologie). Un « S » sur le Sud-Ouest de la Nouvelle-Écosse indique des impacts à court terme. Un « SL » sur la région de la Nouvelle-Angleterre frappée par une sécheresse extrême correspond à la présence d’impacts à court et à long terme.

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Rangée du haut, de gauche à droite :

  • US Department of Agriculture
  • National Drought Mitigation Center
  • Comisión Nacional del Agua (Mexican National Commission of Water)

Rangée du bas, de gauche à droite :

  • Department of Commerce, USA
  • NOAA: National Oceanic and Atmospheric Administration, US Department of Commerce
  • Agriculture et Agroalimentaire Canada
  • Environnement et Changement climatiques Canada

La carte de surveillance de la sécheresse en Amérique du Nord révèle pour le mois d’août des sécheresses modérées ou extrêmes dans différentes parties de la Nouvelle Angleterre, de la Nouvelle Écosse et de l’Île du Prince Édouard.

Un bombardier d’eau largue sa cargaison d’eau sur un incendie de forêt à proximité du lac Seven Mile, dans le comté d’Annapolis en Nouvelle-Écosse (début du mois d’août).

Impacts régionaux - de juin à août 2016

La Nouvelle-Angleterre a connu une période anormalement sèche au début de l’été, mais la saison s’est terminée par une sécheresse modérée, grave et extrême dans certaines régions. Il s’agissait de la première fois que le Massachusetts et le New Hampshire connaissaient des conditions de sécheresse extrême depuis au moins l’an 2000, année à laquelle on a commencé à faire le suivi de la sécheresse au moyen de l’U.S. Drought Monitor. Certaines parties de l’Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.-É.) et de la Nouvelle-Écosse ont également connu des conditions extrêmement sèches. Plusieurs cours d’eau en Nouvelle-Angleterre ont enregistré de bas niveaux d’écoulement record ou quasi record. Les niveaux d’eau souterraine et de réservoir étaient aussi inférieurs à la normale, certains puits se trouvant à sec. Vers la fin de juillet, certains propriétaires néo-écossais devaient payer des camions d’eau pour remplir leurs réseaux d’alimentation en eau. En date du 29 août, le réservoir de Scituate au Massachusetts n’était rempli qu’à 21% de sa capacité. En raison des pénuries d’eau, plus de 290 réseaux d’alimentation en eau au New Hampshire et au Massachusetts ont été assujettis à des restrictions au début de septembre. Selon certains rapports, les bas niveaux d’eau ont entraîné la mort de nombreux poissons dans quelques rivières; on y indiquait par ailleurs que cette situation pourrait avoir des effets sur l’écologie des rivières pendant plusieurs années.

C’est ainsi que des cultures comme le maïs et le foin ont été perturbés et que leur croissance a été retardée. Les conditions sèches ont entraîné une diminution de la taille des carottes à l’Île-du-Prince-Édouard et des bleuets en Nouvelle-Écosse. Bon nombre de producteurs ont choisi d’irriguer leurs terres, mais les réserves d’eau étaient faibles ou inexistantes, augmentant ainsi les coûts. Les pâturages desséchés ont obligé certains producteurs à compléter l’alimentation des animaux à partir de foin ou de fourrage d’hiver. Au Massachusetts, les pertes de récoltes enregistrées par les producteurs participant aux programmes de l’Agence des services agricoles du Département de l’agriculture des États-Unis ont dépassé 13 millions de dollars à la fin d’août. Les plus importantes pertes, de plus de 50%, concernaient le foin. Compte tenu des pertes de récoltes attribuables à la sécheresse, les producteurs de huit comtés du New Hampshire et de trois comtés du Massachusetts sont admissibles à une aide du gouvernement fédéral américain.

Le Massachusetts a enregistré un nombre exceptionnellement élevé de feux causé par la  foudre à la fin du mois de juillet. La teneur en humidité de la végétation morte avait atteint un creux historique, ce qui veut dire que des incendies pouvaient s’amorcer aisément et se propager rapidement. Aussi, ces incendies atteignaient des couches plus profondes du sol et s’éteignaient plus lentement que d’habitude. Les conditions sèches ont aussi contribué à la propagation de la chenille de la spongieuse, qui a détruit le feuillage des arbres du Massachusetts et a augmenté le danger d’incendie. Au début du mois d’août, le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse ont interdit les feux en plein air en raison du risque d’incendie. Pour la première fois en 15 ans, la Nouvelle-Écosse a aussi interdit les activités dans les zones boisées des parcs et terrains provinciaux. L’interdiction a été maintenue pendant deux semaines environ. En date du 9 août, des équipes d’incendie combattaient neuf incendies dans la province, et dans certaines régions, des alertes sur la qualité de l’air ont été données. Certaines forêts pourraient mettre des siècles à se rétablir. À la mi-août, la Nouvelle-Écosse avait dépensé plus de trois fois du budget qu’elle consacre à la lutte contre les incendies. Au Nouveau-Brunswick, on a recensé, de janvier jusqu’au début du mois de septembre, 268 incendies, comparativement à 223 incendies en moyenne à ce jour.

Aperçu régional - automne 2016

ENSO

Même si les températures à la surface de la mer étaient généralement inférieures à la moyenne dans la région équatoriale de l’océan Pacifique durant le mois d’août, on a observé des conditions El Niño-oscillation australe (ENSO) neutres. Selon le Climate Prediction Center de la NOAA, la probabilité que le condition ENSO neutre se poursuivent durant l’automne et l’hiver 2016-2017 est de 55 à 60%. La probabilité que La Niña se développe a diminué, pour passer à environ 35 à 40%.

Graphique des prévisions probabilistes d’ENSO (voir description longue ci-dessous)
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Le graphique présente les prévisions probabilistes officielles d’El Niño-oscillation australe (ENSO) diffusées au début de septembre par le Climate Prediction Center (CPC) et l’International Research Institute (IRI) for Climate and Society des États-Unis. Les graphiques à barres présentent les probabilités (à intervalles de trois mois) pour chaque élément ENSO (El Niño, conditions neutres et La Niña) [barres rouges, vertes et bleues, respectivement]. Les intervalles vont de la fin de l’été ou début de l’automne (août à octobre) 2016 au printemps suivant (avril à juin) 2017.

Les probabilités climatologiques sont décrites par des graphiques linéaires (portant les couleurs correspondantes) pour les trois éléments.

Les barres indiquent que les conditions neutre ou de la Niña sont les plus probables en début de période (près de 50%). La probabilité de condition neutre est plus élevée que celle d’El Niño ou de La Niña pour toute la période et se situe autour de 55%. La probabilité de La Niña diminue lentement à 30% environ d’ici la fin de l’hiver (de février à avril) et à 20% environ d’ici la fin de la période. La probabilité d’El Niño est très faible à l’automne. Elle s’élève à 5% environ durant les mois d’hiver, à 15% au printemps, puis à 20% à la fin de cette période.

Les lignes montrent que selon la climatologie, la probabilité la plus faible de conditions neutres correspond aux mois d’hiver, s’élevant alors à 30%, et la probabilité la plus élevée est atteinte à la fin du printemps et durant les mois d’été, s’élevant alors entre 55 à 60%. À la fin du printemps et durant les mois d’été, les probabilités climatologiques d’El Niño ou de La Nina sont plus faibles que pour les conditions neutres, à 20% environ. À l’automne, elles dépassent 30% et atteignent environ 35% en hiver.

Températures et précipitations

Pour le mois de septembre jusqu’au mois de novembre, le Climate Prediction Center de la NOAA et Environnement et Changement climatique Canada prévoient une probabilité accrue de températures supérieures à la normale pour la région du golfe du Maine. Les deux groupes prévoient des probabilités égales de précipitations au-dessous, près ou au-dessus de la normale dans la région pour la période de septembre à novembre.

Saison des ouragans de l’Atlantique

Au début du mois de septembre, les restes de l’ouragan Hermine ont longé la côte Est des États-Unis et se sont arrêtés au sud de la Nouvelle-Angleterre, où ils se sont dispersés peu à peu. La tempête était accompagnée de vents soufflant par rafales et de hautes vagues, mais les précipitations étaient généralement inférieures à 25 mm (1 po) de pluie dans l’Est du Massachusetts. Des chutes de branches et de fils électriques ont été observées, et certaines plages ont subi une légère érosion. Au 1er septembre, on avait recensé dans le bassin Atlantique huit systèmes tropicaux baptisés, dont trois ouragans, entre autres un ouragan majeur. En moyenne, il n’y a que cinq tempêtes baptisées, dont deux ouragans à la fin du mois d’août. Généralement, le premier ouragan majeur de l’année survient vers le 4 septembre.

L’aperçu à jour de la saison des ouragans de la NOAA du 11 août fait état d’une probabilité de 70% d’observer de 12 à 17 tempêtes baptisées, dont de cinq à huit devenant des ouragans, et deux à quatre se transformant en ouragan majeur. Ces nombres sont légèrement plus élevés que ceux indiqués dans l’aperçu initial de mai.

Sécheresse

Selon l’aperçu des sécheresses des États-Unis extrait du Climate Prediction Center de la NOAA et publié le 15 septembre 2016, les conditions de sécheresse de 2016 persisteront en Nouvelle-Angleterre du 15 septembre au 31 décembre. Même si l’apparition et l’intensification d’une sécheresse sont moins susceptibles de se produire à l’automne, la persistance a été prévue en raison de l’aperçu des précipitations qui annonçait des probabilités égales.

Carte d’aperçu des sécheresses aux États-Unis (description longue ci-dessous)
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Carte montrant l’aperçu de la sécheresse sur la partie des États-Unis située dans la région du golfe du Maine. La légende montre quatre possibilités, allant de la persistance de la sécheresse jusqu’à la probabilité de développement d’une sécheresse, en passant par la persistance et l’atténuation de la sécheresse et la disparition probable de la sécheresse. Les zones teintées de brun sur le Massachusetts, le Sud du New Hampshire et le Sud et la côte du Maine correspondent à la persistance de la sécheresse.

Partenaires de la région du golfe du Maine

Personnes-ressources

NOAA :
Ellen Mecray
Samantha Borisoff

Environnement et Changement climatique Canada :
1-800-668-6767 (au Canada seulement)
819-997-2800 (des frais interurbains s'appliqueront)

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