Espèces exotiques envahissantes au Canada

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Les végétaux, les animaux et les microorganismes qui se sont introduits dans des écosystèmes à l’extérieur de leur aire d’indigénat sont appelés « espèces exotiques ». Lorsque l’introduction et la propagation de ces espèces exotiques représentent une menace pour leur nouvel environnement, l’économie ou la société (y compris la santé humaine), elles sont considérées comme envahissantes. Les espèces exotiques envahissantes peuvent nuire à l’environnement et à l’économie, aux cours d’eau, à l’approvisionnement alimentaire et aux ressources naturelles.

Aux fins du présent indicateur, une espèce est considérée comme « établie » lorsqu’il existe une population reproductrice de cette espèce au Canada et que les mesures de son éradication ont été abandonnées. De plus, une espèce est considérée comme « réglementée » uniquement si elle fait l’objet de mesures réglementaires de portée fédérale.Note de bas de page 1

Le présent indicateur fait état du nombre d’espèces exotiques envahissantes réglementées par le gouvernement fédéral qui se sont établies au Canada depuis 2012.

Résultats

Aperçu des résultats

  • De 2012 a 2023,
    • cinq (5) nouvelles espèces exotiques envahissantes réglementées par le gouvernement fédéral se sont établies : la mouche européenne des cerises, la pyrale du buis, la microstégie en osier, la tordeuse méditerranéenne de l’œillet et l’agent du flétrissement du chêne;
    • une (1) nouvelle espèce exotique envahissante non réglementée par le gouvernement fédéral s’est établie : le charançon du fraisier.

Espèces exotiques envahissantes nouvellement établies connues au Canada, par année de détection, de 2012 à 2023

Espèces exotiques envahissantes nouvellement établies connues au Canada, par année de détection, de 2012 à 2023 (voir le tableau ci-dessous pour la description longue)
Tableau de données pour la description longue
Espèces exotiques envahissantes nouvellement établies connues au Canada, par année de détection, de 2012 à 2023
Année Espèces exotiques envahissantes Réglementée par le gouvernement fédéral
2016 Mouche européenne des cerises
(Rhagoletis cerasi)
Oui
2018 Pyrale du buis
(Cydalima perspectalis)
Oui
2019 Microstégie en osier
(Microstegium vimineum)
Oui
2020 Charançon des fleurs du fraisier
(Anthonomus rubi)
Non
2021 Tordeuse méditerranéenne de l'œillet
(Cacoecimorpha pronubana Hubner)
Oui
2023 Agent du flétrissement du chêne
(Bretziella fagacearum)
Oui

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Comment cet indicateur est calculé

Remarque : La liste n’inclut pas les espèces exotiques envahissantes qui étaient établies au Canada avant 2012. Une espèce est considérée comme « établie » lorsqu’elle compte une population reproductrice au Canada et que les mesures d’éradication ont été abandonnées.
Sources : Agence canadienne d’inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada et Pêches et Océans Canada (2024).

La mouche européenne des cerises (Rhagoletis cerasi) est originaire d’Europe et de certaines régions de l’Asie. Les larves de cet insecte se nourrit de la pulpe des fruits du cerisier et des chèvrefeuilles, ce qui entraîne la pourriture des fruits infectés. En l’absence de mesures de lutte, la mouche européenne des cerises peut causer des pertes allant jusqu’à 100 % de la récolte.

La pyrale du buis (Cydalima perspectalis), originaire d’Asie, s’attaque aux buis. Il n’existe aucune espèce indigène de buis au Canada, mais il est cultivé et vendu dans les milieux urbains comme plantes ornementales. Les plantes infestées perdent leurs feuilles et deviennent recouvertes de toiles tissées par les larves, ce qui leur donne un aspect endommagé.

La microstégie en osier (Microstegium vimineum), originaire d’Asie, est une graminée annuelle qui se propage facilement dans les forêts et les milieux humides. Elle a une croissance rapide et peut ainsi facilement supplanter les plantes indigènes. Elle peut donc entrainer une perte d’habitat pour les espèces indigènes et une altération de la composition chimique du sol (en anglais seulement).

La tordeuse méditerranéenne de l’œillet (Cacoecimorpha pronubana Hubner) est un papillon nocturne originaire d’Afrique du Nord. Elle s’attaque à plus de 160 espèces, dont des espèces fruitières comme le fraisier, la vigne, le poirier, les arbres fruitiers à noyaux (comme le cerisier et le prunier), ainsi que des espèces à fleurs ornementales, comme le rosier. L’infestation réduit la productivité et la valeur commerciale des plantes touchées (en anglais seulement).

Le flétrissement du chêne est une maladie qui affecte les chênes, causée par le champignon Bretziella fagacearum. L’infestation cause la mort des arbres, ce qui peut entraîner une perte de biodiversité dans les zones touchées ainsi qu’une perte de revenus pour le secteur forestier.Note de bas de page 2

Situation des espèces exotiques envahissantes au Canada

Des centaines d’espèces exotiques sont présentes au Canada, dont certaines sont bien connues et font partie de l’écosystème canadien depuis de nombreuses décennies.Note de bas de page 3 Leur présence ne constitue pas toujours un risque. Toutefois, lorsque ces espèces représentent une menace pour la santé humaine, l’économie ou l’environnement dans le milieu où elles sont introduites, elles sont considérées comme envahissantes. Ces espèces incluent des mauvaises herbes communes, comme le chardon des champs (en anglais seulement), des oiseaux comme l’étourneau sansonnet (en anglais seulement), des virus tel que le virus du Nil occidental,Note de bas de page 4 ainsi que des insectes nuisibles qui causent des dommages aux cultures et aux forêts, comme la tordeuse orientale du pêcher et l’agrile du frêne.

En 2023, 255 espèces de plantes nuisibles envahissantes et 4 espèces de carpes asiatiques (carpe à grosse tête, carpe noire, carpe de roseau et carpe argentée) étaient réglementées par le gouvernement fédéral afin de prévenir leur établissement ou de limiter leur propagation au Canada. Ces chiffres ne représentent pas un dénombrement exhaustif de toutes les espèces exotiques envahissantes connues au Canada; par exemple, certaines espèces exotiques envahissantes sont réglementées à l’échelle régionale, et les espèces indigènes qui sont envahissantes en dehors de leur aire d’indigénat naturelle sont exclues. De plus amples renseignements à ce sujet sont présentés dans la section Mises en garde et limites.

Mesures prises pour la réglementation des espèces exotiques envahissantes

Le commerce et les déplacements accentuent le risque d’introduction d’espèces envahissantes au Canada. Certains règlements fédéraux doivent être conçus pour limiter l’introduction ou la propagation de ces espèces. Les mesures réglementaires peuvent être axées sur :

  • les espèces représentant un risque élevé, comme la carpe asiatique ou le fulgore tacheté;
  • les espèces non indigènes potentiellement envahissantes pour lesquelles il peut être nécessaire d’imposer une réglementation;
  • les voies d’introduction à risque élevé, comme l’eau de ballast des navires et les produits végétaux et animaux importés.

Il est impossible de contrer certaines voies d’introduction, quel que soit le niveau de risque qui leur est associé; par exemple, les animaux peuvent traverser les frontières par voie terrestre ou aérienne.

La réglementation des espèces envahissantes et potentiellement envahissantes vise à prévenir leur introduction et leur établissement, ou à empêcher leur propagation au Canada. Pour ce faire, il est nécessaire de déployer des plans, des cadres et des stratégies d’intervention ou de gestion. Ces divers outils proposent des mesures telles que des exigences d’importation, y compris des interdictions, l’inspection des marchandises avant leur expédition ou l’application de mesures de lutte antiparasitaire avant d’autoriser l’entrée des marchandises au Canada.

La stratégie du Canada sur les espèces exotiques envahissantes vise à préserver la biodiversité indigène du Canada et à protéger les plantes et animaux domestiqués contre les espèces exotiques envahissantes. L’approche hiérarchique de la stratégie accorde la priorité à :

  1. la prévention des nouvelles invasions;
  2. la détection précoce des nouveaux envahisseurs;
  3. l’intervention rapide en présence de nouveaux envahisseurs;
  4. la gestion des espèces exotiques établies ou en propagation (confinement, éradication et lutte).

La meilleure méthode pour prévenir la propagation d’espèces exotiques envahissantes consiste à éviter leur introduction dans de nouveaux environnements. Si cela s’avère impossible, il est essentiel d’effectuer une détection précoce et de déployer rapidement des mesures d’intervention pour prévenir la propagation et l’établissement de ces espèces. Lorsque les mesures sont prises en temps opportun, il est possible de prévenir l’établissement des espèces exotiques envahissantes. Par exemple, le longicorne asiatique (Anoplophora glabripennis), initialement découvert en 2013 à Toronto et à Mississauga, a été considéré comme éradiqué efficacement en 2020, puisqu’il n’a pas été détecté en 5 ans.Note de bas de page 5 Cette espèce est encore réglementée, pour prévenir son introduction et son établissement à l’avenir.

À propos de l'indicateur

À propos de l'indicateur

Ce que mesure l'indicateur

L’indicateur des Espèces exotiques envahissantes au Canada fait état du nombre d’espèces exotiques envahissantes réglementées par le gouvernement fédéral qui se sont établies au Canada depuis 2012. Une espèce est considérée comme « établie » lorsqu’elle compte une population reproductrice au Canada et que les mesures d’éradication ont été abandonnées.

Pourquoi cet indicateur est important

Les espèces exotiques sont des espèces qui ont été introduites à l’extérieur de leur aire de répartition naturelle passée ou présente par l’action humaine.Note de bas de page 6 Les espèces exotiques envahissantes sont des espèces non indigènes qui sont nuisibles et dont l’introduction ou la dispersion menace l’environnement, l’économie ou la société, y compris la santé humaine.Note de bas de page 7 Les bactéries, virus, champignons, plantes aquatiques et terrestres, mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens, poissons et invertébrés (y compris les insectes et mollusques) exotiques peuvent tous devenir des espèces envahissantes.

L’augmentation des échanges internationaux par le biais du commerce et des déplacements fait augmenter le risque d’introduction d’espèces envahissantes. Le nombre de nouvelles espèces envahissantes qui arrivent des pays étrangers et qui s’établissent au Canada est un moyen d’évaluer notre efficacité à réduire le plus possible les dommages potentiels découlant de ces espèces. Le statut de réglementation de ces espèces ainsi que leurs voies d’entrée, dans les cas où celles-ci sont connues, nous renseignent sur les faiblesses qu’il faut pallier en matière de gestion des risques.

Répercussions des espèces exotiques envahissantes

Les espèces exotiques envahissantes peuvent avoir une incidence sur les fonctions écosystémiques dans leur nouvel environnement, ce qui peut avoir des répercussions négatives sur l’écosystème et le bien-être humain et avoir des coûts pour l’économie.

Les espèces exotiques envahissantes sont une menace pour la biodiversité. Dans leur nouvel écosystème, elles deviennent des prédateurs, des espèces concurrentes, des parasites, des agents d’hybridation ou des agents pathogènes pour les plantes et les animaux indigènes et domestiqués. Elles peuvent facilement supplanter les espèces indigènes pour les ressources, en plus de modifier le milieu et le rendre non adapté aux espèces indigènes. Par exemple, le crabe vert (Carcinus maenas) est une espèce exotique envahissante présente dans les milieux marins en Colombie-Britannique, au Québec (fleuve Saint-Laurent) et dans les provinces maritimes. Il limite les ressources pour les autres populations de crustacés et est un prédateur des populations de bivalves indigènes. De plus, il perturbe les herbiers de zostères, qui constituent l’habitat des juvéniles de nombreuses espèces de poissons d’importance, notamment le saumon sauvage. Dans l’ensemble, la présence des espèces exotiques envahissantes peut rendre les espèces indigènes vulnérables à la disparition. En fait, les espèces exotiques envahissantes ont contribué à 60 % des cas de disparition connus à l’échelle mondiale, et elles sont l’unique facteur de disparition dans 16 % des cas répertoriés.Note de bas de page 8

De plus, ces espèces peuvent nuire à notre capacité de profiter de l’environnement local et à notre bien-être. Par exemple, les phragmites envahissants sont des plantes ayant un effet dévastateur pour les milieux humides et les berges autour des Grands Lacs. Leur présence limite l’accès aux berges et aux cours d’eau pour la pratique d’activités récréatives et accentue le risque de feu dans les zones touchées. D’autres espèces exotiques envahissantes peuvent menacer directement le bien-être humain, comme la berce du Caucase (en anglais seulement) et le panais sauvage (en anglais seulement), dont le contact direct avec la sève peut causer de graves affections de la peau.

En plus des dommages que ces espèces causent à l’environnement, les mesures de lutte contre celles-ci et de réduction et d’atténuation de leurs répercussions coûtent des milliards de dollars chaque année. Par exemple, les plantes envahissantes réduisent la productivité du secteur agricole et entraînent une hausse des coûts pour la lutte contre les mauvaises herbes, notamment pour les pesticides et l’élimination manuelle.

Le meilleur moyen d’éviter ces répercussions est de prévenir l’arrivée de ces espèces au Canada. Des mesures pour réduire le risque d’invasion peuvent être prises ici au pays, à nos frontières et même dans d’autres pays. Voir la section Renseignements connexes pour plus de détails.

Initiatives connexes

L’indicateur contribue à mesurer les progrès vers l’atteinte de la cible 6 de la Stratégie pour la nature 2030 du Canada : Espèces exotiques envahissantes. Cette cible est liée à la cible 6 du Cadre mondial de la biodiversité de Kunming à Montréal : « Éliminer, minimiser, réduire et/ou atténuer les impacts des espèces exotiques envahissantes sur la biodiversité et les services écosystémiques en identifiant et en gérant les voies d’introduction des espèces exotiques, en prévenant l’introduction et l’établissement des espèces exotiques envahissantes prioritaires, en réduisant les taux d’introduction et d’établissement d’autres espèces exotiques envahissantes connues ou potentielles d’au moins 50 % d’ici à 2030, en éradiquant ou en contrôlant les espèces exotiques envahissantes, en particulier dans les sites prioritaires, tels que les îles ».

Indicateurs connexes

L'indicateur sur la Situation générale des espèces sauvages donne une indication de l’état général de la biodiversité ainsi qu’un aperçu des espèces non indigènes présentes au Canada.

Sources des données et méthodes

Sources des données et méthodes

Sources des données

Des données provenant de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, de Pêches et Océans Canada et d’Environnement et Changement climatique Canada ont été réunies pour appuyer l’indicateur.

De plus, des données ont été communiquées à ces organismes par d’autres sources travaillant activement à la lutte contre les espèces envahissantes, notamment :

  • Agriculture et Agroalimentaire Canada;
  • Agence des services frontaliers du Canada;
  • Ressources naturelles Canada (Service canadien des forêts);
  • Agence Parcs Canada;
  • Organismes gouvernementaux provinciaux et territoriaux; et
  • Organisations non gouvernementales.

Méthodes

Les organismes et ministères fédéraux peuvent découvrir de nouvelles espèces au Canada dans le cadre de leurs activités régulières ou de recherches d’information publique. Une fois une nouvelle espèce identifiée, les chercheurs du gouvernement déterminent si elle vient de l’extérieur du pays, si elle est susceptible de causer des dommages et si une population s’est établie.

Des données sur les nouvelles espèces exotiques envahissantes et leur origine sont recueillies à partir des sources disponibles. Les espèces non réglementées prises en compte dans l’indicateur sont des espèces exotiques présentes au Canada qui pourraient devenir réglementées à la suite d’un examen. L’indicateur est un simple dénombrement des espèces exotiques envahissantes appartenant à chaque catégorie et établies au Canada depuis 2012.

Dans les cas où un groupe d’espèces est réglementé en tant qu’unité, l’unité est considérée comme formant une seule espèce réglementée aux fins de l’indicateur.

Mises en garde et limites

L’indicateur comprend les espèces qui ont été découvertes et sont considérées comme établies depuis l’année de référence. Les espèces qui se sont établies au Canada avant 2012 ne sont donc pas incluses. L’indicateur n’inclut pas les espèces qui sont indigènes dans une région du Canada, mais envahissante dans une autre, même si ces espèces sont réglementées par le gouvernement fédéral. En outre, l’expansion de l’aire de répartition d’espèces indigènes aux États-Unis ne devrait normalement pas être considérée comme une invasion.

Les espèces nouvellement détectées peuvent faire l’objet de mesures d’éradication. Celles-ci sont présumées établies seulement si les mesures ont échoué et que les efforts ont été abandonnés. Ces espèces sont donc exclues de l’indicateur.

Certaines espèces sont plus difficiles à détecter et à identifier que d’autres, et des lacunes dans les données peuvent exister. Les microorganismes ne sont généralement pas détectés à moins d’être des agents de maladie.

En général, il n’y pas de recherches actives de terrain visant à détecter de nouvelles espèces exotiques envahissantes, bien que des activités de surveillance soient menées dans le cas de certaines espèces. Par exemple, une surveillance est exercée à l’égard des espèces qui sont réglementées par le gouvernement fédéral mais qui ne sont pas présentes au Canada, pour prévenir leur introduction. Des espèces peuvent être réglementées par le gouvernement fédéral avant leur introduction si les analyses concluent qu’elles peuvent devenir envahissantes.

Les espèces ici considérées comme réglementées incluent uniquement celles visées par la réglementation fédérale et ayant un statut de réglementation fédérale. La terminologie peut varier d’un règlement fédéral à l’autre, ainsi qu’entre ces règlements et le présent indicateur. Par exemple, la mise en œuvre de la Loi sur la protection des végétaux se fonde fortement sur les processus, les concepts et les directives établis par la Convention internationale pour la protection des végétaux, y compris les normes utilisées pour la détermination de la situation d’un organisme nuisible (PDF; 1,89 ko).

Les espèces exotiques envahissantes peuvent également toucher la santé humaine, mais celle-ci est déjà largement abordée dans des programmes sur la santé humaine existants et n’est pas incluse dans la portée de la Stratégie sur les espèces exotiques envahissantes du Canada ni dans le présent indicateur.

Les espèces exotiques peuvent être présentes sans devenir envahissantes, et ça peut nécessiter beaucoup de temps avant de reconnaitre qu’une espèce est envahissante.

La comparaison avec d’autres sources de données doit être faite avec prudence. Plus précisément, les dénombrements peuvent ne pas correspondre à ceux d’autres sources parce que les espèces apparentées peuvent être réglementées en tant que groupe, certains membres d’un groupe se sont établis alors que d’autres ne le sont pas, ou parce que certaines espèces sont réglementées par plus d’un texte de loi.

Ressources

Ressources

Références

Agence canadienne d’inspection des aliments (2024) Liste des organismes nuisibles réglementés par le Canada. Consulté le 5 juin 2024.

Environnement et Changement climatique Canada (2004) Stratégie sur les espèces exotiques envahissantes. Consulté le 5 juin 2024.

Pêches et Océans Canada (2021) Identifier une espèce aquatique envahissante. Consulté le 5 juin 2024.

Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (2023) Thematic Assessment Report on Invasive Alien Species and their Control (en anglais seulement). Consulté le 2 octobre 2024.

Invasive Species Centre (2024) Meet the Species (en anglais seulement). Consulté le 5 juin 2024.

Renseignements connexes

Plan d’action canadien de lutte contre les espèces aquatiques envahissantes

À propos des espèces aquatiques envahissantes

La Convention sur la diversité biologique

Espèces envahissantes

Invasive Species Centre (en anglais seulement)

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Prendre soin de la terre : Parcs Canada s’affaire à contrer les espèces exotiques envahissantes

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