Méthode d’essai biologique servant à mesurer la survie de collemboles exposés à des contaminants dans le sol : remerciements
Remerciements
La première édition de la présente méthode d’essai biologique, publiée en septembre 2007, a été rédigée par J.A. Miller [Miller Environmental Sciences Inc., King City (ON)], G.L. Stephenson [AquaTerra Environmental Ltd., Orton (ON)] et K. Becker-van Slooten (Laboratoire de chimie environnementale et d’écotoxicologie, ENAC-ISTE, École polytechnique fédérale de Lausanne, Lausanne, Suisse). Nos remerciements les plus sincères s’adressent à D.J. McLeay [McLeay Environmental Ltd., Victoria (BC)], pour sa contribution à l’organisation et à la structure du rapport ainsi qu’au contenu rédactionnel de la plupart des sections. Nous remercions également J.I. Princz [Laboratoire de toxicologie des sols (LTS), Section de l’évaluation biologique et normalisation, Environnement Canada, Ottawa (ON)] pour son apport à de nombreuses sections du document. Nous exprimons notre reconnaissance à J.B. Sprague [Sprague Associates Ltd., Salt Spring Island (BC)] qui, lors de la préparation de la première édition, a contribué aux définitions apparaissant dans la section « Terminologie » et fourni des conseils en matière de statistique, de même qu’à B.A. Zajdlik [Zajdlik & Associates, Rockwood (ON)] pour ses avis et suggestions relatifs aux analyses de régression.
R.P. Scroggins [Section de l’évaluation biologique et normalisation, Environnement Canada, Ottawa (ON)] a agi comme responsable scientifique de la première édition de la méthode, en plus d’apporter une aide technique et d’orienter les travaux. Les études qui ont permis d’appliquer la présente méthode d’essai biologique à Orthonychiurus folsomi sont l’œuvre de M. Whelly [Stantec Consulting Ltd., autrefois ESG International Inc., Guelph (ON)] et de G.L. Stephenson. Cette dernière a dirigé d’autres études, tandis que N.C. Feisthauer et ses collègues de Stantec Consulting Ltd. (autrefois ESG International Inc.) en ont assumé la gestion et l’exécution. De nombreux étudiants prédiplômés et diplômés (Université de Guelph) ont participé aux travaux de laboratoire. K. Becker-van Slooten et J. Tarradellas (École polytechnique fédérale de Lausanne) ont dirigé les études qui ont permis d’appliquer la présente méthode à Folsomia candida et à F. fimetaria, tandis que S. Campiche (École polytechnique fédérale de Lausanne) en a assumé la gestion et l’exécution, avec l’aide de C. Stämpfli (École polytechnique fédérale de Lausanne) dans le cas de F. fimetaria. Nous souhaitons remercier P.H. Krogh (Institut national de recherche sur l’environnement du Danemark, Silkeborg, Danemark), qui a compilé les données sur la performance de F. fimetaria et qui a formulé des suggestions concernant la méthode. Pour leur part, R. Pandey [Guelph Chemical Laboratories Ltd., Guelph (ON)] et V. Marsielle-Kerslake (Services analytiques, Université de Guelph) ont apporté leur concours aux méthodes d’analyse physicochimique.
Les essais interlaboratoires ayant permis de valider la première édition de la méthode d’essai biologique décrite dans le présent document ont été coordonnés par J.I. Princz et réalisés par les laboratoires suivants : Centre des sciences de l’environnement de l’Atlantique, Environnement Canada [Moncton (NB)]; LTS, Centre des sciences et technologies environnementales, Environnement Canada [Ottawa (ON)]; Institut de recherche en biotechnologie, Conseil national de recherches Canada [Montréal (QC)]; Golder Associates [autrefois EVS Consultants, North Vancouver (BC)]; HydroQual Laboratories Ltd. [Calgary (AB)]; Stantec Consulting Ltd. [Guelph (ON)]; Pollutech EnviroQuatics Ltd. [Point Edward (ON)]; Cantest Laboratories [Vancouver (BC)]. Les noms des membres du personnel de ces laboratoires apparaissent dans le rapport technique portant sur ces études (EC, 2007b).
Nous remercions les membres suivants du Comité consultatif scientifique d’Environnement Canada, qui étaient responsables de l’examen des versions initiale et finale de la première édition du rapport et qui ont formulé de nombreuses observations judicieuses : S. Hopkin (Université de Reading, Reading, Royaume-Uni); P.H. Krogh (Institut national de recherche sur l’environnement du Danemark); R. Kuperman (U.S. Army Edgewood Chemical Biological Center, Edgewood, MD, États-Unis);
J. McCann [Université de Waterloo, Waterloo (ON)]; L. Posthuma (Institut national de la santé publique et de l’environnement, Bilthoven, Pays-Bas); J.I. Princz (LTS); F. Riepert (BBA, Berlin, Allemagne); J. Römbke (ECT Oekotoxikologie GmbH, Flörsheim, Allemagne); J. Scott-Fordsmand (Institut national de recherche sur l’environnement du Danemark); E. Smit (Institut national de la santé publique et de l’environnement); J.P. Sousa (Département de zoologie, Université de Coimbra, Coimbra, Portugal). On trouvera à l’annexe D les coordonnées de chaque membre du Comité consultatif scientifique. Nous sommes reconnaissants du soutien et de l’apport reçus du Groupe intergouvernemental sur les essais écotoxicologiques (v. annexe C).
Outre les membres du Comité consultatif scientifique qui ont examiné la première édition du rapport, les personnes suivantes ont revu les versions initiale ou définitive de cette première édition et fourni des commentaires précieux : S. Campiche (École polytechnique fédérale de Lausanne); E. Canaria (Golder Associates Ltd.); N. Feisthauer (Stantec Consulting Ltd.); S. Goudey (HydroQual Laboratories Ltd.); O’Halloran (Landcare Research, Lincoln, Nouvelle-Zélande); S. Hendry et H. Lemieux (LTS); D. McLeay (McLeay Environmental Ltd.); C. Phillips (U.S. Army, RDECOM, MD, États-Unis); L. Regier (HydroQual Laboratories Ltd.); M. Schaefer (Zentrum für Umweltforschung und Umwelttechnologie, Université de Brême, Brême, Allemagne); C. Stämpfli (École polytechnique fédérale de Lausanne); C.A.M. van Gestel (Institut des sciences écologiques, Université Vrije, Amsterdam, Pays-Bas).
Nous sommes particulièrement reconnaissants à l’endroit de Steve Hopkin, dont le décès soudain est survenu en septembre 2006. Chargé d’enseignement en zoologie à l’Université Reading, M. Hopkin était aussi adjoint scientifique en entomologie au Natural History Museum de Londres. Avec plus de 70 études publiées et de nombreux livres, M. Hopkin avait un intérêt marqué pour la nature, en particulier pour les collemboles. Ce passionné de la nature est aussi devenu célèbre comme photographe accompli de l’histoire naturelle. Son apport à l’étude des collemboles est inestimable et sa perte est toujours ressentie dans toute la communauté scientifique. Nous sommes redevables à M. Hopkin d’avoir revu la première édition de la présente méthode à titre de membre de notre Comité consultatif scientifique et de nous avoir permis de reproduire les illustrations de collemboles incluses dans deux de ses publications.
La présente édition (la deuxième) a été préparée par J.A. Miller (Miller Environmental Sciences Inc.), avec l’aide et les conseils de C. Fraser (LTS) et R.P. Scroggins. Les études connexes à la mise au point de la méthode d’essai biologique décrite dans le présent document pour Proisotoma minuta ont été menées par le LTS et dirigées par J.I. Princz et C. Fraser. Nous remercions les personnes suivantes de leur participation à ces études : H. Lemieux, M. Malette, E. Ritchie et R. Hennessy. Nous remercions également de leur aide les stagiaires coop suivants : K. Ades, E. Bowely, M. Cotu, S. Barrett, F. Syer, S. Howe, E. Gravely et N. Maya. Merci à L. Taylor [gestionnaire, Unité de l’élaboration et de l’application des méthodes, Section de l’évaluation biologique et normalisation, Environnement Canada, Ottawa (ON)], qui a agi à titre de responsable scientifique, et à R.P. Scroggins, qui a orienté la préparation du présent rapport. La Section de l’évaluation biologique et normalisation remercie J. Nelson [EcoDynamics Consulting Inc., Prince Albert (SK)], qui a aidé le personnel du LTS à identifier et à échantillonner la plupart des sols de référence et des sols contaminés de la forêt boréale, de même que J. Battigelli (Stantec Consulting Ltd.) pour son aide dans l’identification taxinomique des espèces expérimentales candidates. Enfin, nous sommes très reconnaissants du soutien financier indéfectible obtenu du Programme de recherche et de développement énergétiques, soutien qui a permis de réviser la présente méthode d’essai.
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