Résumé des mises à jour

Résumé
Numéro Section Résumé des mises à jour de la version 2005 PG/7
1 1. Introduction Applicable à la surveillance des émissions de SO2, des NOx et de CO2 des grandes sources de combustion, qui peuvent être étendues à d’autres contaminants et sources ponctuelles.
2 2. Résumé des spécifications et des procédures Les spécifications et les procédures sont présentées de manière détaillée, ainsi que dans des tableaux récapitulatifs qui peuvent servir de référence rapide aux personnes familiarisées avec le sujet (par exemple, les tableaux 3, 6 et 7).
3 3.1.1 Emplacement du point d’injection des gaz d’étalonnage Tous les SSCE installés après 2025 doivent être en mesure de réaliser les essais quotidiens de dérive de l’étalonnage et les essais trimestriels de linéarité en utilisant des gaz d’étalonnage en écoulement comme référence.
4 3.2.1 Plage d’utilisation La règle de la pleine échelle (PE) initialement proposée, basée sur la mesure de la plupart des SSCE dans une plage comprise entre 20 % et 80 % de la PE (conformément au règlement CFR, titre 40, partie 75 des É.-U.), a été abandonnée en raison des commentaires défavorables des parties prenantes. Dans cette version mise à jour, c’est l’autorité de réglementation compétente qui approuve les PE des SSCE afin qu’ils soient adaptés à l’objectif de surveillance et au schéma d’émission de la source. D’une manière générale, la PE des analyseurs doit englober tous les niveaux de concentration des gaz de cheminée attendus.
5 3.2.2 Effets d’interférence et 3.2.3 Dérives de la réponse dues à la température Le fabricant de l’analyseur doit certifier que la somme des effets d’interférence des gaz de combustion est ≤ 4,0 % de la PE, et attester que certaines spécifications liées à la dérive de la réponse à la température ont bien été respectées.
6 3.2.4 Convertisseurs de NOx Si l’analyseur de NOx s’appuie sur le convertisseur de NO2, alors l’efficacité doit être vérifiée 2 fois par année, conformément aux procédures définies.
7 3.2.5 SSCE à spectromètre IRTF extractif Un spectromètre IRTF extractif peut être utilisé dans un SSCE pour surveiller les concentrations de NOx, de SO2, de CO et de CO2 des gaz d’échappement d’une source de combustion, à condition que le spectromètre IRTF réponde aux spécifications applicables relatives aux analyseurs du présent document, notamment en ce qui concerne les essais d’AQ/CQ quotidiens, trimestriels, semestriels ou annuels requis.
8 3.4 Spécifications applicables au SCGD Définit l’amélioration des capacités en matière de compilation des rapports mensuels du SSCE et de vérification annuelle par un examinateur indépendant. Le SCGD doit archiver les données horaires mensuelles et annuelles, notamment en ce qui concerne la disponibilité, les essais d’homologation, la VBG, la VER, les FCES et la substitution de valeurs aux données manquantes.
9 3.4.1 Substitution de valeurs aux données manquantes Présente des exemples de solutions de substitution de valeurs aux données manquantes. Les spécifications doivent être décrites dans le plan d’assurance de la qualité (PAQ) et être acceptées par l’autorité de réglementation compétente.
10 3.5 Systèmes à temps partagé Après 2025, les nouveaux SSCE à temps partagé seront limités à 2 sources adjacentes.
11 3.6 Procédures d’essai pour la vérification du respect des spécifications de conception Le rejet des effets d’interférence des analyseurs et la réponse due à la température doivent être contrôlés par le fabricant du SSCE et le certificat de conformité doit être archivé dans le manuel du PAQ.
12 4.2 Représentativité Les méthodes 2G (sondes bidimensionnelles) ou 2F (sondes tridimensionnelles) de l’EPA peuvent être utilisées comme méthodes de référence pour mesurer le débit lors de l’homologation et comme une VER lorsqu’un écoulement de type cyclonique ne peut être corrigé d’une autre manière.
13 Tableau 3, page 16 La note de la section 5.3.4.6 du PG7 de 2005 qui autorise (pour les concentrations de gaz ≤ 250 ppm) la substitution de la moyenne de la MR par la PE dans le calcul de l’ER a été supprimée. L’ER alternative de ± 8 ppm pour les NOx a été maintenue. L’erreur systématique est limitée à une valeur ≤ 5,0 % de la PE (ou limites alternatives) pour tous les contaminants, diluants et débits.
14 5.3.2, et 5.3.3 Procédures relatives aux essais de dérive de l’étalonnage et de linéarité Les descriptions des procédures relatives à essai de dérive de l’étalonnage (7 jours, 2 concentrations vérifiées par jour) ont été séparées des procédures de vérification de linéarité des bouteilles de gaz (3 cycles, 3 concentrations par cycle). Ces 2 essais peuvent être effectués pendant la période d’essai démontrant que le SSCE est opérationnel (PEO).
15 5.3.6 Calculs applicables à la mesure de l’erreur systématique Une erreur systématique ≤± 5,0 % de la PE est acceptable, avec des limites alternatives de la source de faible concentration. En cas d’erreur systématique dans un ensemble de mesures du SSCE, et si la moyenne des mesures par la MR est ≥ 30 % de la PE, alors les mesures ultérieures doivent être corrigées par un facteur de correction de l’erreur systématique (FCES) qui compense l’erreur systématique. Dans le cas contraire, aucun FCES ne doit être appliqué.
16 6.3.1.6 Cas particulier de vérification trimestrielle de l’analyseur Suppression de la référence à l’ancienne méthode SPE 1/RM/15 visant à effectuer des vérifications trimestrielles particulières des SSCE installés avant 2025 et ne pouvant pas être étalonnés au moyen de gaz en écoulement. Remplacement par une VER abrégée au moyen d’un analyseur portatif conforme aux spécifications de la MR, notamment l’étalonnage des gaz de catégorie « Protocol ». Une ER ≤ 15 % pour les polluants et les diluants est également acceptable, tout comme 1,0 % d’écart en valeur absolue pour l’O2 et le CO2.
17 6.4.2 Exemptions de vérification semestrielle du rendement

L’essai semestriel peut faire l’objet d’une dispense et n’être réalisé qu’une fois par an si tous les critères listés ci-après ont été respectés, selon les paramètres de surveillance que le SSCE analyse :

  • la disponibilité du système est supérieure à 90 % par an;
  • les essais VBG sont effectués avec des gaz d’essai en écoulement;
  • les 2 évaluations VER précédentes ont été réussies dès la première tentative (au moyen d’une ER ≤ 10,0 % ou de la limite alternative);
  • les sources qui fonctionnent moins de 1 500 heures par an sont dispensées des évaluations semestrielles (dans ces sources, la VER doit être effectuée tous les 2 ans).
18 Tableau 6, page 34, Résumé des évaluations quotidiennes et trimestrielles du rendement Suppression de la limite de dérive quotidienne redondante pour les dispositifs de mesure de l’humidité d’O2 sec et humide (mais limite de dérive maintenue pour les analyseurs d’O2 et de CO2). Les limites de la vérification de linéarité des bouteilles de gaz sont calculées par rapport à la PE pour le SO2, les NOx et le CO, alors que pour l’O2 et le CO2 elles sont ≤± 0,5 % d’O2 ou de CO2 respectivement. « VBG alternative » pour les SSCE ne pouvant déjà installés qui pas effectuer de VBG avec des gaz en écoulement.
19 6.5.2 Inspection indépendante Définition de la portée de l’inspection annuelle par un examinateur indépendant du programme d’AQ/CQ des SSCE, basée sur l’examen du PAQ et des données du SCGD : heures de données de qualité vérifiée, heures en période de fonctionnement inacceptable, heures remplacées, en plus des résultats des vérifications trimestrielles, semestrielles ou annuelles du rendement (VBG, vérification des débits et VER). Discussion des problèmes de non-conformité, des mesures correctives à prendre en cas de fonctionnement inacceptable et des recommandations pour améliorer le rendement du SSCE.
20 Tableau 7, page 44, Résumé des vérifications semestrielles ou annuelles du rendement La limite alternative d’erreur de l’ER pour le SO2 est réglée à ± 15 ppm de SO2 et la valeur correspondante pour les NOx a été maintenue à ± 8 ppm. L’erreur systématique est limitée à ≤± 5,0 % de la PE pour les contaminants, les diluants, la température et le débit. Une limite d’erreur alternative pour la température et la teneur en humidité des gaz de cheminée a été ajoutée. Les spécifications de l’ER pour le calcul des émissions massiques ont été supprimées, en raison de la redondance et de la divergence potentielle avec les spécifications de mesure du SSCE.
21 Section 7. Détermination des émissions de dioxyde de carbone Cette section fournit une estimation du CO2 dans les gaz d'échappement de combustion en surveillant le niveau d'O2 ou le niveau de CO2 des gaz d'échappement sur une base humide et sèche.
22 Glossaire, page 42 Nouvelle définition pour les unités répondant à une consommation de pointe : unité de combustion exploitée ≤ 1 500 heures au cours d’une année civile. Diverses dispenses relatives aux unités répondant à une consommation de pointe sont incluses dans les sections 5.1.1, 5.1.3, 6.3.1, 6.3.3, et 6.5.1
23 Annexe A, Calcul des émissions par les facteurs F de combustion Applicable aux SSCE des sources de combustion pour lesquels le résultat doit être exprimé en émissions par rapport au flux calorifique (sans débitmètre). La mise à jour de l’annexe A développe le précédent tableau relatif aux facteurs F, corrige une erreur dans une équation (valeurs Kx) et recommande des solutions pour les périodes de transition entre des concentrations d’O2 extrêmement élevées et des concentrations de CO2 très faibles.
24 Annexe B Détermination des débits massiques d’émission Des modifications mineures ont été apportées à cette annexe, à l’exception de l’ajout d’équations linéaires pour calculer la teneur en humidité des gaz de cheminée à partir de la concentration d’O2 mesurée à l’état humide (pour le gaz naturel, le pétrole et le charbon) et de la teneur en humidité mensuelle moyenne de l’air dans les capitales provinciales canadiennes, qui, combinées, peuvent donner des teneurs en humidité acceptables des gaz de cheminée.
25 Annexe C Exemples de calculs de l’exactitude relative et de l’erreur systématique Des exemples de calculs de l’exactitude relative, de l’erreur systématique et du FCES pour le SO2, les NOx, le débit des gaz de cheminée, l’O2, le CO2, la teneur en humidité et la température des gaz de cheminée, ont été inclus avec les fonctions correspondantes de la feuille de calcul et les spécifications du PG/7 applicables. En outre, un exemple de l’essai de Grubbs visant à éliminer les valeurs aberrantes de la VER est présenté.

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