L’utilisation du morinom (deadname)

C’est un bon plan.

Reconnaître la violence : Reconnaître qu’il s’agit d’un acte de violence – tant pour la personne survivante/victime que de la part de ton ami qui nie le sérieux de la situation – est une étape importante. Ça aide les autres à comprendre la gravité des gestes posés, et ça réduit le risque de récidive.

Voici d’autres bonnes options.

Chercher du soutien : Orienter la personne survivante/victime vers des lignes d’assistance téléphonique spécifiques à son expérience peut l’aider à se sentir vue et entendue, surtout si elle éprouve un sentiment d’isolement. Tu peux aussi lui fournir des ressources additionnelles pour un soutien plus approfondi.

Passer à l’action : Toute action doit être décidée par la personne survivante/victime, mais tu peux la soutenir en lui donnant de l’information sur les mesures qu’elle pourrait prendre et en étant là pour l’aider à aller de l’avant si elle décide d’agir.

C’est un bon plan.

Chercher du soutien : Orienter la personne survivante/victime vers des lignes d’assistance téléphonique spécifiques à son expérience peut l’aider à se sentir vue et entendue, surtout si elle éprouve un sentiment d’isolement. Tu peux aussi lui fournir des ressources additionnelles pour un soutien plus approfondi.

Voici d’autres bonnes options.

Reconnaître la violence : Reconnaître qu’il s’agit d’un acte de violence – tant pour la personne survivante/victime que de la part de ton ami qui nie le sérieux de la situation – est une étape importante. Ça aide les autres à comprendre la gravité des gestes posés, et ça réduit le risque de récidive.

Passer à l’action : Toute action doit être décidée par la personne survivante/victime, mais tu peux la soutenir en lui donnant de l’information sur les mesures qu’elle pourrait prendre et en étant là pour l’aider à aller de l’avant si elle décide d’agir.

C’est un bon plan.

Passer à l’action : Toute action doit être décidée par la personne survivante/victime, mais tu peux la soutenir en lui donnant de l’information sur les mesures qu’elle pourrait prendre et en étant là pour l’aider à aller de l’avant si elle décide d’agir.

Voici d’autres bonnes options.

Reconnaître la violence : EReconnaître qu’il s’agit d’un acte de violence – tant pour la personne survivante/victime que de la part de ton ami qui nie le sérieux de la situation – est une étape importante. Ça aide les autres à comprendre la gravité des gestes posés, et ça réduit le risque de récidive.

Chercher du soutien : Orienter la personne survivante/victime vers des lignes d’assistance téléphonique spécifiques à son expérience peut l’aider à se sentir vue et entendue, surtout si elle éprouve un sentiment d’isolement. Tu peux aussi lui fournir des ressources additionnelles pour un soutien plus approfondi.