Vivre en français à Hamilton
L’initiative des communautés francophones accueillantes représente 14 régions qui ont été sélectionnées pour accueillir et soutenir les nouveaux arrivants d’expression française pour que ceux-ci se sentent les bienvenus dans leur nouvelle communauté. Découvrez la communauté d’Hamilton et les divers services offerts dans cette région.
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Transcription : « Vivre en français à Hamilton »
Durée : 3:11 minutes
Une douce musique commence en crescendo. Sur fond blanc, un texte apparaît : « Des communautés francophones accueillantes favorisent l’intégration en français des nouveaux arrivants. »
On aperçoit plusieurs canards qui pataugent sur le lac Ontario. On enchaine sur une vue aérienne de la ville de Hamilton. Sur cette image, une carte de l’Ontario apparaît avec le texte :
« Hamilton
Ontario
Plus de 5 % de la population parle français. »
On voit une fontaine avec plusieurs gratte-ciel derrière. Puis, un autobus de ville qui circule sur une des rues du centre-ville. Ensuite, on aperçoit l’hôtel de ville où l’on peut voir le mot « Hamilton ». Puis, on voit un homme qui marche et qui entre dans un immeuble de bureaux. On l’aperçoit alors debout avec le bâtiment derrière. Il regarde directement la caméra. Un texte apparaît sur cette image :
« Alain Dobi
Directeur
Réseau en immigration francophone du Centre-Sud-Ouest de l’Ontario »
On enchaine sur une image d’une école vue de l’extérieur. On peut lire « Pavillon de la jeunesse » sur le bâtiment. On poursuit avec une image de Alain qui travaille sur son ordinateur à son bureau.
Alain Dobi : Les raisons qui pourraient convaincre un nouvel arrivant et sa famille à s’établir à Hamilton, c’est qu’il y a une grande communauté francophone. Avec un ensemble de services en français, dont notamment des écoles, un collège communautaire, divers services d’établissement, en plus du fait, également, que la ville dispose de beaucoup d’opportunités et de potentiel d’employabilité.
On aperçoit ensuite un gratte-ciel en construction. Sur cette image un texte apparaît :
« La région du Grand Hamilton constitue la troisième économie urbaine en Ontario. »
On voit une image aérienne de la gare de train commerciale avec la ville de Hamilton en arrière-plan. On aperçoit une séquence de montage du train qui quitte la gare en direction de Toronto. On enchaîne sur 2 plans d’ensemble d’immeubles du centre-ville de Hamilton. On coupe vers une image d’un homme dans un bureau qui donne une formation en ligne à l’aide d’une tablette. On poursuit sur une image d’un autre homme qui suit la formation devant son ordinateur. Il prend des notes dans un cahier et pose une question. Ensuite, on retourne à l’homme qui donne la formation.
Alain Dobi : Alors, puisqu’il y a plusieurs opportunités d’affaires, c’est ce qui nous a justement amenés à mettre en place le programme Entrepreneuriat Hamilton, qui comporte actuellement deux programmes. Le premier programme, c’est le programme de préincubation qui, lui, s’adresse à des candidats qui ont des idées de projets. Donc, c’est de passer du stade d’idée à l’action. Et l’Élan F2, c’est celui qui s’adresse à ceux qui sont un peu plus avancés, et qui permet de les accompagner dans la matérialisation de leur idée de projet, tout simplement.
On enchaîne sur une image aérienne du centre-ville de Hamilton. Puis, on coupe vers une image de la marina et d’un cygne qui patauge dans l’eau. On poursuit sur une image d’une femme qui marche au centre-ville. Puis, une image d’un immeuble du centre-ville. On poursuit avec une image d’un homme qui travaille sur un ordinateur à son bureau. Ensuite, il regarde la caméra en souriant. Un texte apparaît sur cette image :
« Bonaventure Otshudi
Directeur
Services aux nouveaux arrivants »
On enchaîne sur une scène d’une infirmière qui effectue une prise de sang. Puis, une scène dans un cabinet de dentiste. L’hygiéniste dentaire donne des soins à une patiente. Un sous-texte apparaît à l’écran tout au long de cette scène : « Il s’agit d’une simulation. Aucun traitement dentaire n’a été fourni. » On aperçoit ensuite Bonaventure qui se tient debout dans une salle de réunion et qui s’adresse directement à la caméra.
Bonaventure Otshudi : Nous avons des médecins de famille, des infirmières et des services dentaires. N’oubliez pas que nous sommes une minorité en Ontario, dans cette région de Hamilton, et il est très important pour les francophones d’avoir les services en français, parce qu’ils vont les avoir dans leur langue maternelle. Les clients sont confiants de voir un médecin et de leur parler en français. C’est très important.
On retourne ensuite à la scène dans le bureau de Bonaventure. Il discute maintenant au téléphone avec une collègue. On enchaine avec une image d’un immeuble. Un texte apparaît à l’écran :
« La ville de Hamilton a aussi une clinique juridique communautaire qui offre un accompagnement en français. »
On voit une image aérienne de la marina de Hamilton. Puis, on poursuit avec une image d’un homme qui marche dans le centre-ville de Hamilton. On coupe sur une image du même homme qui se tient maintenant devant les chutes Niagara. Un texte apparaît à l’écran :
« Jean-Jacques Somwe
Expert en santé publique
Croix-Rouge »
On aperçoit une image dans la tour du CN à Toronto puis les chutes Niagara.
Jean-Jacques Somwe : Ce qui a fait que je puisse tomber amoureux de la ville de Hamilton, c’est son emplacement géographique. Vous avez, au nord, la ville de Toronto, et au sud, les chutes Niagara.
On aperçoit ensuite Jean-Jacques qui marche sur la promenade qui longe les chutes Niagara. On le voit ensuite qui observe les chutes. On coupe sur une image du bâtiment de l’hôtel de ville où on peut lire : « city hall ». Ensuite, on voit Jean-Jacques qui est assis sur un banc dans un parc du centre-ville. Il lit un livre.
Jean-Jacques Somwe : En fait, il y a tant d’opportunités, parce que par exemple, je suis bilingue, alors quand je cherche de l’emploi, j’ai plus de chances d’avoir un travail qu’une personne qui ne parle qu’une seule langue.
On enchaine sur une image d’un homme qui court dans un parc. Puis, on aperçoit une école et les modules de jeux de la cour de récréation. Un texte apparaît sur cette image :
« L’éducation en français est offerte du primaire au post-secondaire. »
Jean-Jacques Somwe : Je souhaitais que mes enfants puissent parler la langue française, alors c’est pour cette raison que j’avais choisi la ville de Hamilton. Et j’ose croire qu’avec les deux langues, la langue française et la langue anglaise, ils auront tant d’opportunités pour l’avenir.
On aperçoit une image aérienne du centre-ville de Hamilton. On coupe sur une image de Jean-Jacques qui marche dans le centre-ville. Puis, il s’assoit à une place publique pour observer un groupe de musique qui offre une performance gratuite. La foule applaudit. On enchaine sur une image d’immeuble du centre-ville. Puis, on aperçoit un groupe d’individus qui pagaie dans un bateau dragon sur le lac Ontario. On voit ensuite un voilier qui vogue et le soleil qui se couche à l’horizon. Enfin, on aperçoit une image aérienne de la ville de Hamilton avec le lac Ontario en avant-plan. Un texte apparaît sur cette image :
« Renseignez-vous sur les services en français :
Reseausoutien.org »
La musique s’arrête. Sur un fond blanc, on voit apparaître la signature du ministère, soit un petit drapeau du Canada avec le texte : « Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada » et « Immigration, Refugees and Citizenship Canada ». On voit la signature du gouvernement du Canada : le drapeau du Canada qui flotte sur un fond blanc.