Vivre en français à Iqaluit

L’initiative des communautés francophones accueillantes représente 14 régions qui ont été sélectionnées pour accueillir et soutenir les nouveaux arrivants d’expression française pour que ceux-ci se sentent les bienvenus dans leur nouvelle communauté. Découvrez la communauté d’Iqaluit et les divers services offerts dans cette région.

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Transcription : « Vivre en français à Iqaluit »

Durée : 3:29 minutes

Une douce musique commence en crescendo. Sur fond blanc, un texte apparaît : « Des communautés francophones accueillantes favorisent l’intégration en français des nouveaux arrivants. »

On voit une image aérienne de la ville d’Iqaluit. On coupe sur un plan d’ensemble de petite maison sur une colline. Le soleil se lève à l’horizon. Puis, on revient sur une autre image aérienne de la ville. Une carte du Nunavut apparaît sur cette image ainsi que le texte suivant:

« Iqaluit
Nunavut
Plus de 15 % de la population parle français. »

On coupe sur un plan d’ensemble de plusieurs maisons colorées. On voit ensuite un homme qui marche dans la toundra. On l’aperçoit qui regarde à l’horizon. Puis, debout, il regarde la caméra. Un texte apparaît sur cette image :

« Christian Ouaka
Directeur
Association des francophones du Nunavut »

Christian Ouaka : Quand je suis arrivé au Canada, j’avais toujours eu envie de découvrir le nord du Canada. Je me suis tout de suite plu ici, à Iqaluit.

On poursuit avec une scène de Christian et un collègue qui discutent en rigolant dans le bureau de Christian. Puis, de retour à Christian qui marche dans la toundra. On aperçoit ensuite Christian, assis dans une petite salle qui s’adresse directement à la caméra.

Christian Ouaka : L’Association des francophones du Nunavut est l’organisme porte-parole de la francophonie au territoire. La vision de l’organisme, c’est vraiment d’établir une francophonie qui est forte. Dans un lieu qu’on ne connaît pas vraiment, lorsqu’on arrive, il y a toujours cette petite crainte-là de ne pas pouvoir se faire comprendre, de ne pas pouvoir accéder à certains services. Mais la vie en français au territoire est assez dynamique.

On aperçoit une femme qui rédige un journal en français. Puis on enchaine sur une femme qui, dans un studio, anime une émission de radio. On coupe sur une image de Christian qui discute avec le chef de police de la ville.

Christian Ouaka : Il existe plusieurs services en français qui sont offerts à la communauté, qui permettent de répondre aux besoins des francophones.

Puis, on voit une image d’une affiche où il est inscrit : « Hôpital général Qikiqtani. » On coupe sur une vue d’ensemble de l’hôpital. Un texte apparaît sur cette image :

« Le Réseau de santé en français au Nunavut offre un service de traduction afin d’obtenir des soins en français. »

On enchaîne sur une image aérienne de la ville d’Iqaluit. Puis, on aperçoit un bateau arrimé au large. On poursuit sur des images d’une femme qui marche dans la toundra. On coupe sur une image aérienne de la toundra avec le soleil qui se couche au loin. La femme regarde directement la caméra. Un texte apparaît sur cette image :

« Charlotte Lapôtre
Coordonnatrice
Carrefour Nunavut »

Charlotte Lapôtre : Pour les personnes qui aiment l’aventure, qui aiment explorer, il y a énormément à faire, énormément d’opportunités, énormément de places à découvrir.

On coupe sur un plan d’ensemble du centre-ville d’Iqaluit. Puis, une image de Charlotte qui arrive au bureau de Carrefour Nunavut. On l’aperçoit qui travaille à son bureau. Sur celui-ci, une petite affiche où on peut lire : « Services disponibles en français. » On enchaîne sur une image de Charlotte et Christian qui animent une activité de réseautage dans le gymnase de l’école. On aperçoit une Inuite qui effectue une danse traditionnelle. Par la suite, on l’aperçoit qui discute avec d’autres participants de l’activité. On coupe sur une image de Charlotte qui s’adresse directement à la caméra.

Charlotte Lapôtre : Au Carrefour Nunavut, nous offrons différents services pour les nouveaux arrivants francophones. On appuie les nouveaux arrivants dans leur recherche d’emploi, et on fait aussi beaucoup d’activités de réseautage. Il y a aussi un gros soutien, en fait, de la part du gouvernement du Nunavut. Il y a beaucoup de programmes pour soutenir les entrepreneurs, beaucoup d’appui et beaucoup de financement. Je pense qu’on a tous besoin de ça dans notre vie, quelque chose qui nous anime et qui nous donne envie d’aller plus loin.

On poursuit sur une image aérienne de la toundra enneigée. Un texte apparaît sur cette image :

« Le Nunavut est le territoire officiel des Inuits au Canada. À l’exception de la ville d’Iqaluit, 85 % de la population est inuite. »

On aperçoit une image aérienne de l’école francophone d’Iqaluit. Puis, on voit une femme qui travaille sur un ordinateur à son bureau. Puis, cette femme se tient debout dans une salle de classe et regarde directement la caméra. Un texte apparaît à l’écran :

« Linda Leclerc
Directrice générale
Commission scolaire francophone du Nunavut »

Linda Leclerc : J’ai toujours trouvé intéressant d’essayer de faire une différence pour offrir des services de qualité aux communautés francophones minoritaires.

Linda marche dans un corridor de l’école. On aperçoit une affiche où il est inscrit : « Ici on parle français. » On aperçoit ensuite une professeur et des enfants dans une classe. Puis, on coupe sur une image de Linda qui s’adresse directement à la caméra. Derrière elle, on peut voit le logo de la commission scolaire francophone du Nunavut.

Linda Leclerc : La Commission scolaire francophone du Nunavut joue un rôle primordial dans la protection de la langue française. Nous sommes également un employeur de choix. Nous avons des emplois extrêmement diversifiés et nous offrons des avantages vraiment très compétitifs, en commençant par les salaires.

On voit ensuite des enfants qui s’amusent sur un lac gelé. Puis, à travers les bâtiments, un avion « Canadian North » qui atterrit. On coupe sur un plan d’ensemble de la ville d’Iqaluit. Ensuite, on voit une image aérienne de la ville. On enchaine sur un plan de Linda qui marche près de l’école. On coupe sur une insertion de l’affiche sur le bâtiment de l’école où on peut y lire : « École des trois-soleil. » On enchaine sur une scène dans une salle de classe où on voit de jeunes enfants qui jouent à des jeux de société. On revient sur l’image de Linda qui s’adresse à la caméra. Puis, une image de la professeure qui rigole avec les jeunes. On coupe ensuite sur une séquence montage de plusieurs plans d’immeubles de la ville.

Linda Leclerc : Nous offrons des billets d’avion en partance d’Ottawa. Il y a également une prime de logement ou un logement subventionné. Dans les classes de l’école des Trois-Soleils, il y a une diversité. Nous avons des familles inuites, des familles qui sont issues de provinces ou territoires canadiens. Nous avons aussi des familles qui sont issues d’outre-mer, donc des francophones de l’extérieur du Canada. On retrouve cette communauté-là autant dans notre personnel que dans nos élèves. Le projet d’agrandissement nous permettra d’offrir une programmation de la maternelle à la douzième année.

On coupe sur un plan d’ensemble de l’Assemblée législative du Nunavut. Un texte apparaît sur cette image :

« Le Nunavut reconnaît trois langues officielles : l’inuktitut, l’anglais et le français. »

On poursuit avec une image d’une peinture sur un mur de béton représentant les peuples autochtones. On coupe sur le drapeau du Nunavut qui s’agite au vent. On enchaîne sur une image aérienne d’une petite route de terre qui traverse la toundra. Un texte apparaît sur cette image :

« L’exploitation minière, les arts et la culture, le tourisme et les industries écologiques soutiennent l’économie locale. »

On coupe sur une image aérienne de la toundra. Un texte apparaît sur cette image :

« Renseignez-vous sur les services en français :
afnunavut.ca »

La musique s’arrête. Sur un fond blanc, on voit apparaître la signature du ministère, soit un petit drapeau du Canada avec le texte : « Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada » et « Immigration, Refugees and Citizenship Canada ». On voit la signature du gouvernement du Canada : le drapeau du Canada qui flotte sur un fond blanc.

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