Vivre en français à Labrador City-Wabush

L’initiative des communautés francophones accueillantes représente 14 régions qui ont été sélectionnées pour accueillir et soutenir les nouveaux arrivants d’expression française pour que ceux-ci se sentent les bienvenus dans leur nouvelle communauté. Découvrez la communauté de Labrador City–Wabush et les divers services offerts dans cette région.

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Transcription : “Vivre en français à Labrador City-Wabush"

Durée : 2:50 minutes

Une douce musique commence en crescendo. Sur fond blanc, un texte apparaît : « Des communautés francophones accueillantes favorisent l’intégration en français des nouveaux arrivants. »

On voit une image aérienne de la ville de Wabush. On coupe sur un plan d’un homme sur le dessus d’une montagne qui prend en photo la ville de Labrador City. On enchaîne avec une image aérienne de Labrador City. Sur cette image, une carte de la province de Terre-Neuve-et-Labrador apparaît ainsi qu’un texte :

« Labrador City-Wabush
Terre-Neuve-et-Labrador
Environ 10 % de la population de Labrador City-Wabush parle français. »

On aperçoit une rue d’un quartier résidentiel. Puis, on enchaîne avec des images de Lise qui marche sur un terrain de golf. On l’aperçoit ensuite qui se tient debout devant le lac Wabush. Elle regarde directement la caméra. Un texte apparaît sur cette image :

« Lise Boucher
Présidente
Association francophone du Labrador »

Lise Boucher : À l’hôpital, moi, je fais l’interprétation pour les personnes qui ne parlent pas anglais.

On voit ensuite une image aérienne d’une forêt de conifères. On coupe sur des images du lac Wabush. On poursuit avec des images de la chute Crystal. On enchaîne avec des images de Lise qui joue au golf.

Lise Boucher : C’est tranquille, ici. On a accès à tout très rapidement. Pourquoi les gens restent? C’est la pêche, la chasse, c’est le ski alpin. La piste est à 10 minutes d’ici, le golf est à 10 minutes d’ici.

On coupe sur une image aérienne du golf. Sur cette image, un texte apparaît :

« Il existe environ 250 entreprises à Labrador City-Wabush. »

On coupe sur une image aérienne d’un quartier résidentiel de la ville. On y voit plusieurs petites maisons. On coupe sur plusieurs photographies accrochées au mur. On peut y voir plusieurs membres de l’Association francophone des dernières années. On enchaîne avec une scène où Lise prend un café avec d’autres personnes. Puis, on voit Lise debout dans les bureaux de l’Association qui s’adresse directement à la caméra.

Lise Boucher : L’Association, c’est très important. Premièrement, c’est pour garder notre langue, pour garder notre culture, la partager aux autres, aussi. Puis d’être capables de se rassembler avec des gens qui pensent un peu comme nous.

On enchaîne avec une image aérienne de l’école. On aperçoit ensuite Chloé qui lit un livre à un jeune dans une salle de classe. On l’aperçoit ensuite devant l’école. Elle regarde directement la caméra en souriant. Un texte apparaît sur cette image :

« Chloé Tinkler
Directrice
École l’ENVOL »

Chloé Tinkler : C’est important que les francophones qui viennent ici puissent instruire leurs enfants dans une école française langue première.

On poursuit avec une scène où des jeunes s’amusent dans la cour d’école. On en voit qui se balancent alors que d’autres jouent au basketball. On coupe sur une image aérienne de l’école avec les drapeaux du Canada, du Labrador et de la francophonie en avant-plan. Un texte apparaît sur cette image :

« L’école l’ENVOL offre le programme de français langue première, de la maternelle à la 12e année. »

On aperçoit Chloé à nouveau dans la salle de classe avec des jeunes. On voit d’autres élèves qui effectuent des exercices d’apprentissage du français en équipe. On voit ensuite Chloé qui s’adresse directement à la caméra dans une salle de classe.

Chloé Tinkler : Ici, à l’école, on s’assure que les élèves peuvent vivre pleinement leur culture identitaire. On veut qu’ils soient fiers de qui ils sont. C’est un avantage d’envoyer ton enfant à l’école francophone en milieu minoritaire, car à la fin de leur scolarité, ils ont la meilleure chance d’être complètement bilingues.

On coupe sur un plan d’ensemble de l’école. Un autobus scolaire passe devant. Ensuite, on voit Chloé qui parle au téléphone dans son bureau. Puis, elle travaille sur son ordinateur.

Chloé Tinkler : Pour moi, ça a été un élément génial. J’ai pu avoir un poste de direction très jeune dans ma carrière parce que j’étais autant francophone que je suis anglophone.

On poursuit sur un plan d’ensemble du bâtiment qui abrite les bureaux de l’Association francophone du Labrador. Célian marche devant. On l’aperçoit ensuite qui se tient debout devant le bâtiment. Il regarde la caméra en souriant. Un texte apparaît sur cette image :

« Célian Lézer
Bénévole originaire de France
Association francophone du Labrador »

On enchaîne sur une image aérienne de la ville de Labrador City. On coupe sur des gens qui font de la moto dans un petit chemin de terre non loin de la ville. Puis, on aperçoit une tour d’eau sur laquelle on peut lire : « Labrador City ». On coupe sur une scène où on aperçoit Célian qui travaille à son bureau. Ensuite, on enchaîne avec une scène à l’école pendant les célébrations dans le cadre de la Journée de la francophonie. Un groupe de jeunes chantent alors que plusieurs autres personnes les observent et applaudissent.

Célian Lézer : Moi, je ne suis pas forcément quelqu’un des grandes villes, et j’aime beaucoup la nature. Quand j’ai vu cette ville plantée dans cette petite cuvette de montagnes, de lacs, je suis vraiment tombé en amour avec ça. En plus, on arrive ici, les gens se parlent dans la rue, les gens prennent le temps, les gens se croisent au magasin, ils discutent. Il y a vraiment une proximité, même entre inconnus, où les gens sont ouverts, les gens sont très accueillants. Si on a besoin d’aide, on n’a qu’à demander, et ça m’a vraiment surpris.

On enchaîne avec une image aérienne de plusieurs petites maisons. Un texte apparaît sur cette image :

« Labrador City-Wabush compte environ 9 000 habitants. »

On aperçoit Célian qui s’adresse directement à la caméra dans un bureau. Puis, on aperçoit des jeunes devant l’école qui brandissent de petits drapeaux francophones du Labrador. On aperçoit ensuite d’autres jeunes qui effectuent la levée de drapeau.

Célian Lézer : Il y a tout ce qu’il faut, ici. Et, mine de rien, c’est une ville que je trouve extrêmement active. Il y a tout le temps des événements, il y a tout le temps des choses qui se passent. On peut trouver tout ce dont on a besoin ici, et trouver aussi beaucoup d’enrichissement personnel.

On coupe sur une image de l'hôtel de ville avec plusieurs drapeaux sur un mât. Un texte apparait sur cette image :

« Renseignez-vous sur les services en français :
francotnl.ca. »

La musique s’arrête. Sur un fond blanc, on voit apparaitre la signature du ministère soit un petit drapeau du Canada avec le texte : « Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, et Immigration Refugees and Citizenship Canada ». On voit la signature du gouvernement du Canada : le drapeau du Canada qui flotte sur un fond blanc.

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