Décider de venir au Canada

Regardez Dawn Edlund, ancienne sous‑ministre adjointe déléguée des Opérations à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et responsable opérationnelle du gouvernement du Canada pour l’Opération visant les réfugiés syriens.

Décider de venir au Canada

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Transcription : « Décider de venir au Canada »

Durée de la vidéo : 2:01

Une musique douce se fait entendre.

Une image apparait et nous voyons des réfugiés qui passent à travers un trou dans une clôture. On peut voir un jeune garçon effrayé en larmes.

Texte apparaissant à l’écran : Initiative de réinstallation des réfugiés syriens – Phase 1

L’image fond au noir, une nouvelle image apparait floue et un texte apparait à l’écran : Décider de venir au Canada

L’image fond au noir et la musique arrête.

Fondu d’une nouvelle image apparait et nous voyons une femme assise devant une série de drapeaux.

Texte apparaissant à l’écran : Dawn Edlund, Ancienne sous-ministre adjointe déléguée des Opérations à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Responsable opérationnelle du gouvernement du Canada pour l’opération visant les réfugiés syriens.

dawn edlund : La plupart des gens ont été forcés de quitter leur foyer. Comme vous le savez, ils... doivent d’abord se déplacer d’un endroit à l’autre à l’intérieur du pays même - donc à l’intérieur de la Syrie, les gens essaient de trouver des endroits sûrs - et c’est typique de tout mouvement migratoire forcé. Ensuite, ils se rendent dans les pays voisins, à proximité, pour avoir la possibilité de rentrer chez eux une fois que les problèmes auront été réglés.

L’image fond à une frontière en Turquie avec des gens qui circulent et qui transportent de gros sacs polochons. L’image coupe à une famille qui marche sur une rue très achalandée. Un père porte son bébé dans ses bras.

dawn edlund : Il est très rare que les gens choisissent d’aller dans un pays de réinstallation, surtout lorsqu’ils ne connaissent rien de ce pays, avant qu’ils ne... avant qu’ils n’y aillent.

L'image revient à Dawn Edlund qui parle devant la caméra.

L’image fond à la même frontière en Turquie. L’image coupe à un plan rapproché et on voit encore des gens qui circulent et qui transportent de gros sacs polochons.

dawn edlund : Les opérations ont commencé le 4 novembre, mais le premier vol a quitté le Liban le 10 décembre… pendant la période du 10 décembre au 29 février, 99 vols sont arrivés au pays… et cette entreprise a été plutôt compliquée parce que… l’Organisation internationale pour les migrations a organisé cette opération en grande partie pour nous. Elle se rendait dans les endroits où les réfugiés résidaient. Il arrivait parfois, qu’ils se trouvent à des endroits comme au Liban par exemple, où ils vivent dans des situations de camps informels, mais la plupart des réfugiés syriens, qu’ils se trouvent en… en Turquie ou à Beyrouth, ou au Liban ou en Jordanie, vivaient principalement dans un environnement urbain. L’OIM organisait donc le transport par autobus des gens de l’endroit où ils vivaient jusqu’au lieu de destination… Parfois, ils se rendaient… à un hôtel pour y passer la nuit, et ensuite l’autobus les conduisait très tôt le lendemain matin jusqu’à l’aéroport pour qu’ils soient prêts pour leur vol. Ensuite, il fallait procéder à leur enregistrement et organiser leurs bagages. Et les gens n’avaient le droit d’apporter que deux bagages; donc, c’est beaucoup leur demander que d’essayer de faire tenir toute leur vie dans deux bagages.

L’image fond au noir.

On voit la signature du ministère d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et l’énoncé de droit d’auteur « Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2020 ». L’écran montre le mot symbole « Canada ».

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