Établissement : l’aide de chacun est utile

Deborah Tunis, ancienne directrice générale, Intégration, et coordonnatrice spéciale pour la réinstallation des réfugiés syriens à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, parle de son travail avec les fournisseurs de services d’établissement ainsi que les provinces et les territoires afin de planifier l’arrivée des réfugiés syriens.

Établissement : l’aide de chacun est utile

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Transcription : Établissement : l’aide de chacun est utile

Durée de la vidéo : 1:49

Une musique douce se fait entendre.

Une image apparait et nous voyons des panneaux de direction dans un centre d’accueil pour réfugiés. 

Texte apparaissant à l’écran : Initiative de réinstallation des réfugiés syriens – Phase 4

L’image fond au noir, une nouvelle image apparait floue et un texte apparait à l’écran : Établissement

L’aide de chacun est utile

L’image fond au noir et la musique arrête.

Fondu d’une image d’une femme parlant hors caméra, assise devant une fenêtre avec un paysage urbain.

Texte apparaissant à l’écran : Deb Tunis, Directrice générale (antérieur), et Coordonnatrice spéciale pour la réinstallation des réfugiés syriens (2015), IRCC

deb tunis : À la fin de novembre [2015], j’ai coprésidé avec Chris Friesen d’« Immigrant Settlement Services of B.C. », qui à l’époque était coprésident du Conseil national d’établissement, une séance à Toronto où nous avons réuni plus de 100 représentants des provinces, des territoires, des municipalités, du secteur de l’établissement et de la réinstallation, et nous avons commencé à élaborer un plan. Donc, l’une des choses que j’ai apportées avec moi aujourd’hui, c’est cette photo.

L’image coupe à Deb qui tient une photo encadrée d’elle-même et d’un homme. Ils tiennent un exemplaire du journal « Le Globe and Mail ». L’image ensuite coupe à Deb.

deb tunis : C’était le… Chris et moi étions à la séance de la fin de novembre à Toronto, et le « Globe and Mail » titrait : « Le plan de réinstallation des réfugiés demeure un travail en cours. » Donc, ce que le « Globe and Mail » voulait dire, c’est que nous n’avions en quelque sorte pas tout réglé, et pour moi, c’était un succès parce que cela voulait dire qu’il y avait encore la possibilité de façonner l’élément de réinstallation dans tout cela.

L’image coupe à des images d’employées d’IRCC qui travaillent sur des ordinateurs dans un centre de contrôle. La dernière image coupe ensuite à Deb.

deb tunis : Il y avait beaucoup de personnes au ministère qui s’employaient à faire venir les gens au Canada en toute sécurité, à les faire venir ici, mais la véritable question quant au fait de les accueillir et de se soucier de leur établissement et de leur intégration à long terme… c’est quelque chose qui prend plus de temps, et il faut que les établissements d’enseignement, les partenariats locaux en matière d’immigration, les organismes d’établissement, les écoles et le système médical unissent leurs efforts pour atteindre les buts communs. C’était une occasion formidable. C’était… c’était un excellent projet.

On voit la signature du ministère d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et l’énoncé de droit d’auteur « Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2020 ». L’écran montre le mot symbole « Canada ».

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