Des réfugiés commencent une nouvelle vie au Canada à Winnipeg et à Charlottetown
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Transcription : « Des réfugiés commencent une nouvelle vie au Canada à Winnipeg et à Charlottetown »
Durée de la vidéo : 05:39 minutes
Une femme assise se met à parler.
Texte affiché : « Foton Khatabi – Réfugiée de Syrie »
Foton : J’ai quitté la Syrie à cause de la guerre, parce que nous ne pouvions pas rester en Syrie.
Un groupe de personnes marche le long d’un trottoir enneigé et entre dans un parc. Tous les membres du groupe sourient en s’asseyant sur des bancs et des balançoires du parc. Ils quittent le parc et arrivent à une maison en banlieue.
Narration : Comme de nombreux réfugiés, Foton et sa famille ont dû quitter leur pays natal, parce qu’ils craignaient pour leur sécurité. C’est à Winnipeg qu’ils ont choisi de commencer leur nouvelle vie au Canada. L’hiver est rigoureux et les températures très froides, mais la famille de Foton a enfin trouvé un endroit où elle se sent en sécurité.
Sa famille a la chance de vivre dans une communauté où elle se sent complètement acceptée, sans discrimination, un privilège important pour les nouveaux arrivants.
Un homme assis se met à parler.
Texte affiché : « Mohammad Khatabi – Réfugié De Syrie »
Mohammad : Par la grâce de Dieu, la sécurité règne en tout temps au Canada, et à cause de la manière dont les Canadiens nous traitent, nous ne nous sentons pas comme des expatriés au Canada.
Un groupe de personnes fait une bataille de boules de neige.
Narration : Un nouveau pays, un système d’éducation inclusif et un avenir prometteur permettent à Foton, l’aînée de la famille, de croire à une nouvelle vie.
Une femme assise se met à parler. Deux femmes s’assoient sur des balançoires dans un parc couvert de neige. Une femme prend un jeune garçon dans ses bras et l’embrasse sur la joue.
Narration: Celle qui rêve un jour d’ouvrir son propre bureau de psychologue sait que son rêve est maintenant possible. À l’école, son entourage et ses professeurs l’appuient et soulignent ses progrès. Un grand avantage d’étudier au Canada est l’inclusion, sans vivre de discrimination. Elle est consciente des opportunités que lui offre le Canada et compte bien tirer son épingle du jeu.
Une femme assise se met à parler.
Foton : Les professeurs sont très attentionnés, et ils nous ont fait aimer l’école… Nous pouvons toujours compter sur leur soutien.
Une famille s’assied sur le plancher pour prendre le repas.
Narration : La famille s’est installée il y a quelque temps au Manitoba, où elle a été accueillie à bras ouverts par la collectivité. De l’aide financière, mais également un accompagnement personnalisé, auront permis à la famille de s’installer à Winnipeg et de trouver tous les services dont elle a besoin.
Un homme assis se met à parler.
Mohammad : Le Canada est une deuxième maison pour la famille syrienne. Une destination convoitée par plusieurs réfugiés.
Une famille s’assied ensemble. Un couple prépare un repas dans une cuisine.
Narration : Pour les réfugiés, les journées sont longues, les heures de travail acharné s’accumulent, mais le résultat en vaut la peine. C’est avec beaucoup de discipline que les nouveaux arrivants apprennent l’une des deux langues officielles, sachant que cela est essentiel pour se construire une nouvelle vie. Saba et Alemseghed sont arrivés à Winnipeg il y a plusieurs années et se sont rapidement habitués à la vie canadienne, malgré les obstacles linguistiques.
Une femme assise se met à parler.
Texte affiché : « Saba A. Asghedom – Réfugiée D’érythrée »
Saba A. Asghedom (réfugiée d’Érythrée) : Je suis allée à l’école. J’ai commencé à suivre des cours de soir. Lorsque mon mari revient du travail, je quitte mes enfants et je vais à l’école. J’ai étudié l’anglais comme langue seconde. Et je maîtrise la langue. Je devais le faire pour savoir ce qui se passait, alors je m’y suis mise pendant environ deux mois, je dirais. Je ne savais rien à propos des soins de santé, je n’étais même pas infirmière, mais je me suis dit : « Je vais suivre ce cours, parce qu’il semble facile et que c’est de la science. » La science ne change pas.
Un couple prépare un repas dans une cuisine.
Un homme assis se met à parler.
Texte affiché : « Alemseghed Asghedom – Réfurié D’érythrée »
Alemseghed Asghedom (réfugié d’Érythrée) : C’est un combat incessant, mais c’est quelque chose que nous voulions faire. C’est quelque chose… nous sommes tenaces et très ambitieux, et nous savions que l’éducation était pour nous un moyen de trouver du travail. Par conséquent, nous avons décidé que nous allions poursuivre nos études sans relâche.
Un couple, assis à la table d’une salle à manger, insère des papiers dans de grandes enveloppes.
Un homme offre du tutorat individuel à une femme dans une salle de classe pendant que d’autres élèves étudient.
Narration : Khaled Alzoubi a également immigré avec sa famille immédiate en laissant plusieurs personnes qu’il aime derrière.
Texte affiché : « Khaled Alzoubi – Réfugié De Syrie »
Un homme assis se met à parler devant une bibliothèque, un globe et un drapeau canadien.
Khaled Alzoubi (réfugié de Syrie) : Je suis triste, parce que j’ai laissé la majeure partie de ma famille, la plupart des membres de ma parenté, dans différents pays. J’ai laissé deux frères en Syrie. J’ai laissé trois sœurs au Liban. J’ai laissé une sœur en Jordanie, et la situation là-bas est très, très, très difficile.
Une rue urbaine apparaît. Plusieurs drapeaux flottent devant un immeuble de bureaux.
Des étudiants étudient dans une salle de classe.
Narration : Dans la petite communauté de Charlottetown, l’apprentissage de l’anglais lui a permis de refaire sa vie et d’envisager un retour au travail.
Un homme assis se met à parler devant une bibliothèque, un globe et un drapeau canadien. Les paroles de l’« Ô Canada! » sont affichées au mur.
Un montage d’interactions entre des étudiants et des enseignants dans une salle de classe passe à l’écran pendant que l’homme parle.
Khaled : J’espère poursuivre mes études, peut-être au collège Holland, peut-être à l’université, peut-être… peut-être que je vais avoir à travailler, peu importe le travail. Je ne sais pas. À mon avis, quand on apprend l’anglais, on peut… on peut trouver n’importe quoi. Si vous faites de votre mieux pour comprendre la vie au Canada, vous pouvez y trouver votre avenir.
Un manteau de cheminée orné de photos de famille apparaît.
Une femme assise se met à parler.
Une séquence de cette femme qui prépare un repas dans une cuisine passe à l’écran pendant qu’elle parle.
Saba A. Asghedom : Que ce soit d’élever mes enfants à cet endroit, d’avoir la possibilité de faire des études, et après avoir terminé mes études, d’avoir l’occasion de décrocher un emploi comme tout autre Canadien qui est né et a grandi ici. Travaillez fort, faites des études, et vous y arriverez.
Un homme assis se met à parler.
Une séquence de cet homme assis à la table d’une salle à manger pour insérer des documents dans de grandes enveloppes passe à l’écran pendant qu’il parle.
Alemseghed Asghedom : Le plus grand cadeau que m’a fait le Canada, en tant que réfugié, a été de me redonner ma vie, et un endroit où je peux m’installer et vivre, un passeport que je peux utiliser pour voyager sans tracas, une communauté où je peux vivre des expériences, une communauté où je peux faire du bénévolat, où je peux donner mes services en retour, où c’est reconnu. Le Canada m’a donc redonné ma vie, que j’avais perdue.
Une voie urbaine s’affiche en arrière-plan. Plusieurs drapeaux, dont des drapeaux canadiens, flottent devant un immeuble de bureaux.
Texte affiché : canada.ca/refugies
Narration : Pour en savoir davantage, rendez-vous au Canada.ca/refugies
La signature d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et l’avis du droit d’auteur « Sa Majesté la Reine du chef du Canada, représentée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, 2016 », s’affichent à l’écran.
Le mot-symbole « Canada » s’affiche sur un fond d’écran noir.
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